LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Récapitulatif par ordre alphabétique page 1
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Cygne de Bewick (Cygnus columbianus bewickii)
est une sous-espèce sibérienne du Cygne siffleur (Cygnus columbianus). Elle s'en distingue par le jaune beaucoup plus étendu sur le bec.
Elle est l'un des symboles de la Préfecture d'Aomori, au Japon.
N°1295 - N°515
Cette sous-espèce est menacée par les activités humaines qui dégradent son environnement naturel. Elle bénéficie d'importantes mesures de protection notamment au niveau des sites d'hivernage et de nidification.
L'adulte présente un plumage blanc, un bec noir et jaune (cette dernière coloration étant moins étendue que chez le Cygne sauvage), des pattes noires et des iris bruns.
Le jeune est gris brun, coloration un peu plus foncée que celle du jeune Cygne sauvage. Les pattes sont gris noir rougeâtre et le bec noirâtre et rose jaunâtre.
Cette espèce mesure 107 à 127 cm de longueur pour une envergure de 186 à 211 cm et une masse de 3 à 8 kg (variations importantes avec l'âge). Le mâle est un peu plus grand que la femelle (aile pliée mesurant respectivement 515 à 540 mm et 475 à 525 mm).
est une sous-espèce sibérienne du Cygne siffleur (Cygnus columbianus). Elle s'en distingue par le jaune beaucoup plus étendu sur le bec.
Elle est l'un des symboles de la Préfecture d'Aomori, au Japon.
N°1295 - N°515
Cette sous-espèce est menacée par les activités humaines qui dégradent son environnement naturel. Elle bénéficie d'importantes mesures de protection notamment au niveau des sites d'hivernage et de nidification.
L'adulte présente un plumage blanc, un bec noir et jaune (cette dernière coloration étant moins étendue que chez le Cygne sauvage), des pattes noires et des iris bruns.
Le jeune est gris brun, coloration un peu plus foncée que celle du jeune Cygne sauvage. Les pattes sont gris noir rougeâtre et le bec noirâtre et rose jaunâtre.
Cette espèce mesure 107 à 127 cm de longueur pour une envergure de 186 à 211 cm et une masse de 3 à 8 kg (variations importantes avec l'âge). Le mâle est un peu plus grand que la femelle (aile pliée mesurant respectivement 515 à 540 mm et 475 à 525 mm).
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Pélican blanc - Pelecanus onocrotalus
espèce d'oiseau de la famille des pélicans. On le trouve du sud-est de l'Europe jusqu'en Asie dans les marais et les lacs peu-profonds. Son nid est simplement constitué d'un amas de branchage dans un arbre.
Ce pélican mesure 160 cm de long pour une envergure de 280 cm. Il diffère du Pélican frisé par la blancheur de son plumage, par une tache rose nue autour des yeux et des pattes roses. Les oisillons sont gris et ont un duvet gris.
Michel N°2439
Plus de 50% des pélicans blancs vivent dans le delta du Danube. Ils migrent sur des courtes distances en hivernant dans le nord de l'Afrique. Le pélican a un vol majestueux, son bec étant en arrière comme pour le héron.
N°1612 - N°1354 - N°673
Les pélicans attrapent les poissons dans la poche de leur grand bec, pendant que leurs proies nagent en surfaces.
Comme le pélican frisé, la population a fortement diminué du fait de la destruction de leur habitat.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant476.mp3
espèce d'oiseau de la famille des pélicans. On le trouve du sud-est de l'Europe jusqu'en Asie dans les marais et les lacs peu-profonds. Son nid est simplement constitué d'un amas de branchage dans un arbre.
Ce pélican mesure 160 cm de long pour une envergure de 280 cm. Il diffère du Pélican frisé par la blancheur de son plumage, par une tache rose nue autour des yeux et des pattes roses. Les oisillons sont gris et ont un duvet gris.
Michel N°2439
Plus de 50% des pélicans blancs vivent dans le delta du Danube. Ils migrent sur des courtes distances en hivernant dans le nord de l'Afrique. Le pélican a un vol majestueux, son bec étant en arrière comme pour le héron.
N°1612 - N°1354 - N°673
Les pélicans attrapent les poissons dans la poche de leur grand bec, pendant que leurs proies nagent en surfaces.
Comme le pélican frisé, la population a fortement diminué du fait de la destruction de leur habitat.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant476.mp3
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
La Perdrix bartavelle ou simplement Bartavelle (Alectoris graeca), aussi nommée Perdrix royale, Perdrix de roche, Perdrix grecque, fait partie de la famille des phasianidés.
Elle est la plus grande des perdrix, avec une taille variant de 32 à 43 cm et un poids oscillant entre 460 et 770 grammes. Elle a une gorge blanche, circonscrite d'un collier noir. C'est une perdrix qui ressemble beaucoup a la perdrix rouge, les différences sont que la perdrix rouge a un plumage plus rouge sur le torse alors que la Bartavelle a un plumage plus jaunatre.
N°1029 - Michel N°1522 - Michel N°1120
Chez les Bartavelles on ne peut pas différencier un mâle d'une femelle , c'est au printemp lors de la reproduction que l'on peut les différencier , car le male sera un peu plus gros que la femelle , et qu'il Chantera pour attirer d'autres compagnes.Il faut savoir que cette perdrix vit surtout sur les pentes rocheuses alpines entre 1 000 et 2 000 m d'altitude. En France, elle a été rendue célèbre par le roman autobiographique de Marcel Pagnol, la Gloire de mon père, dans lequel la chasse à la bartavelle devient une épopée glorieuse dans un village provençal.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant121.mp3
Elle est la plus grande des perdrix, avec une taille variant de 32 à 43 cm et un poids oscillant entre 460 et 770 grammes. Elle a une gorge blanche, circonscrite d'un collier noir. C'est une perdrix qui ressemble beaucoup a la perdrix rouge, les différences sont que la perdrix rouge a un plumage plus rouge sur le torse alors que la Bartavelle a un plumage plus jaunatre.
N°1029 - Michel N°1522 - Michel N°1120
Chez les Bartavelles on ne peut pas différencier un mâle d'une femelle , c'est au printemp lors de la reproduction que l'on peut les différencier , car le male sera un peu plus gros que la femelle , et qu'il Chantera pour attirer d'autres compagnes.Il faut savoir que cette perdrix vit surtout sur les pentes rocheuses alpines entre 1 000 et 2 000 m d'altitude. En France, elle a été rendue célèbre par le roman autobiographique de Marcel Pagnol, la Gloire de mon père, dans lequel la chasse à la bartavelle devient une épopée glorieuse dans un village provençal.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant121.mp3
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Héron pourpré (Ardea purpurea Linnaeus, 1766) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Ardeidae.
C'est un oiseau migrateur présent et nicheur en Europe et Afrique du Nord, hivernant occasionnellement en Europe de l'Ouest et du sud, protégé.
Morphologie : Fin et longiligne, au long bec pointu jaune, il mesure de 78 à 90 m de long avec une envergure de 120 à 150 cm. Mâles et femelles se ressemblent (les juvéniles sont plus brun).
Sa poitrine est brune-rousse et l'abdomen noir avec flancs et scapulaires rousses-pourpre.
Les yeux sont jaunes clairs et sa tête est ornée d'une calotte noire, l'arrière du cou étant brun roussâtre et blanc sur le devant avec des stries noires en approchant du haut de la poitrine qui s'orne de plumes plus longues à la saison des amours. Les pattes jaunes tirant vers l'orange lui permettent de marcher dans l'eau et la vase. Des doigts inhabituellement longs pour un héron lui permettent de marcher sur les vases molles, les feuilles flottantes et de se poser sur les buissons.
Michel N°206
Comportements (aspects éthologiques) : semblable à celui du héron cendré dont il partage le régime alimentaire (poissons, mollusques, crustacés, insectes aquatiques, larves, reptiles, amphibiens, petits rongeurs voire oisillons), mais il niche volontiers dans les roselières plutôt que les grands arbres. La femelle pond 2 à 5 oeufs (de couleur bleue-verte claire) qui éclosent après 25 à 30 jours d'incubation assurée à tour de rôle par les deux parents qui vont ensuite nourrir (régurgitation dans leurs becs ou dans le nid) et défendre les poussins. Il est fréquent que le ou les plus faibles des poussins meurent les premières semaines. Les jeunes sortent du nid dès 10 jours environ pour se cacher dans les roseaux, revenant au nid pour quémander de la nourriture. Ils voleront vers trois mois, et pourront se reproduire après un an.
N°1350 - Michel N°1595A - Michel N°3173A
Écologie : Il joue un rôle majeur de prédateur des zones humides, contribuant à la régulation naturelle des populations de poissons, amphibiens et rongeurs.
Répartition (aspects biogéographiques) : Il niche des tropiques jusqu'aux zones semi-tempérées, dont en Europe, dans le sud de l'Asie et en Afrique. Les oiseaux européens hivernent presque tous en Afrique tropicale, avec parfois quelques oiseaux hivernants en Europe.
Histoire de l'espèce : c'est une espèce à faible effectif qui a probablement beaucoup régressé. Elle est protégée, et menacée par le recul et la pollution des zones humides, par le dérangement, la chasse illégale. Il en resterait environ 5000 couples en Europe.
Statut : protégé et jugé dans une situation préoccupante.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant179.mp3
C'est un oiseau migrateur présent et nicheur en Europe et Afrique du Nord, hivernant occasionnellement en Europe de l'Ouest et du sud, protégé.
Morphologie : Fin et longiligne, au long bec pointu jaune, il mesure de 78 à 90 m de long avec une envergure de 120 à 150 cm. Mâles et femelles se ressemblent (les juvéniles sont plus brun).
Sa poitrine est brune-rousse et l'abdomen noir avec flancs et scapulaires rousses-pourpre.
Les yeux sont jaunes clairs et sa tête est ornée d'une calotte noire, l'arrière du cou étant brun roussâtre et blanc sur le devant avec des stries noires en approchant du haut de la poitrine qui s'orne de plumes plus longues à la saison des amours. Les pattes jaunes tirant vers l'orange lui permettent de marcher dans l'eau et la vase. Des doigts inhabituellement longs pour un héron lui permettent de marcher sur les vases molles, les feuilles flottantes et de se poser sur les buissons.
Michel N°206
Comportements (aspects éthologiques) : semblable à celui du héron cendré dont il partage le régime alimentaire (poissons, mollusques, crustacés, insectes aquatiques, larves, reptiles, amphibiens, petits rongeurs voire oisillons), mais il niche volontiers dans les roselières plutôt que les grands arbres. La femelle pond 2 à 5 oeufs (de couleur bleue-verte claire) qui éclosent après 25 à 30 jours d'incubation assurée à tour de rôle par les deux parents qui vont ensuite nourrir (régurgitation dans leurs becs ou dans le nid) et défendre les poussins. Il est fréquent que le ou les plus faibles des poussins meurent les premières semaines. Les jeunes sortent du nid dès 10 jours environ pour se cacher dans les roseaux, revenant au nid pour quémander de la nourriture. Ils voleront vers trois mois, et pourront se reproduire après un an.
N°1350 - Michel N°1595A - Michel N°3173A
Écologie : Il joue un rôle majeur de prédateur des zones humides, contribuant à la régulation naturelle des populations de poissons, amphibiens et rongeurs.
Répartition (aspects biogéographiques) : Il niche des tropiques jusqu'aux zones semi-tempérées, dont en Europe, dans le sud de l'Asie et en Afrique. Les oiseaux européens hivernent presque tous en Afrique tropicale, avec parfois quelques oiseaux hivernants en Europe.
Histoire de l'espèce : c'est une espèce à faible effectif qui a probablement beaucoup régressé. Elle est protégée, et menacée par le recul et la pollution des zones humides, par le dérangement, la chasse illégale. Il en resterait environ 5000 couples en Europe.
Statut : protégé et jugé dans une situation préoccupante.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant179.mp3
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Lagopède alpin (Lagopus muta, synonyme : Lagopus mutus) est parfois nommé également Perdrix des neiges ou Lagopède des rochers
Ce petit oiseau de 34 cm - 36 cm de longueur est totalement blanc en hiver (à l'exception des rectrices sous-caudales qui restent sombres), puis se recouvre de brun en été. En automne, il devient grisâtre avec le dessous blanc. Le mâle a une livrée nuptiale où domine le gris-brun, la femelle est d'un rouge-brun.
C'est un oiseau sédentaire.
Il vit en Amérique du Nord, au Nord-Est de l'Asie (Russie comprise), ainsi qu'en Europe du Nord. On le trouve partout dans les Alpes ainsi que dans les Pyrénées. En haute montagne, il vit en zone nivale à la limite des neiges éternelles, sur les terrains pierreux, broussailleux ou dénudés, parfois plus bas par mauvais temps. Dans le Grand Nord, il habite les toundras. Il niche à l'abri d'un rocher ou sous la basse végétation.
N°164 - N°353 - Michel N°1524
N°343 - N°344
De mai à juin, le lagopède construit son nid à même le sol, souvent derrière un buisson où la femelle pond 8 à 12 œufs qu'elle couve seule pendant 22 à 26 jours. En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Plusieurs familles se rassemblent en groupes de 15 à 20 individus.
Son alimentation change selon les saisons.
En été, il se nourrit de baies, d'insectes, de larves et autres invertébrés.
En automne, sa nourriture est essentiellement composée de baies.
En hiver, graines et restes de végétaux,
Et au printemps, il mange chatons ou bourgeons.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant127.mp3
Ce petit oiseau de 34 cm - 36 cm de longueur est totalement blanc en hiver (à l'exception des rectrices sous-caudales qui restent sombres), puis se recouvre de brun en été. En automne, il devient grisâtre avec le dessous blanc. Le mâle a une livrée nuptiale où domine le gris-brun, la femelle est d'un rouge-brun.
C'est un oiseau sédentaire.
Il vit en Amérique du Nord, au Nord-Est de l'Asie (Russie comprise), ainsi qu'en Europe du Nord. On le trouve partout dans les Alpes ainsi que dans les Pyrénées. En haute montagne, il vit en zone nivale à la limite des neiges éternelles, sur les terrains pierreux, broussailleux ou dénudés, parfois plus bas par mauvais temps. Dans le Grand Nord, il habite les toundras. Il niche à l'abri d'un rocher ou sous la basse végétation.
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N°343 - N°344
De mai à juin, le lagopède construit son nid à même le sol, souvent derrière un buisson où la femelle pond 8 à 12 œufs qu'elle couve seule pendant 22 à 26 jours. En octobre, les jeunes sont devenus adultes. Plusieurs familles se rassemblent en groupes de 15 à 20 individus.
Son alimentation change selon les saisons.
En été, il se nourrit de baies, d'insectes, de larves et autres invertébrés.
En automne, sa nourriture est essentiellement composée de baies.
En hiver, graines et restes de végétaux,
Et au printemps, il mange chatons ou bourgeons.
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Plongeon huard (Gavia immer), aussi appelé le Plongeon imbrin en Europe, le Huart à collier au Canada ou le Richepaume en Acadie, est une espèce de gaviidé de grande taille, bien qu’un peu plus petit que le Plongeon à bec blanc auquel il ressemble fort. Il est plus grand, plus rare et plus septentrional que le Plongeon arctique.
Cet oiseau, aussi gros qu'une oie, mesure de 68 à 88 cm et pèse en moyenne 3 700 g pour les femelles, et 4 200 g pour les mâles. Son envergure est de 127 à 150 cm. Les autres dimensions sont 330 à 385 mm pour l'aile pliée, 54 à 73 mm pour la queue et 76 à 98 mm pour le tarse.
Les pattes (qui mesurent environ 13 cm ) sont sombres puisque noires et gris clair. Les iris sont rouge brun. Son bec gris noir à pointe blanchâtre assez fort, en forme de poignard, le distingue du Plongeon à bec blanc ou du Plongeon arctique. Contrairement au Plongeon catmarin, le bec est tenu horizontalement.
En plumage nuptial acquis lors d'une mue pré-nuptiale complète (les rémiges tombant simultanément, l'oiseau ne peut plus alors voler) de février à avril, les adultes ont la tête et le collier noirs avec des reflets verts et bleus, la gorge blanche présente des rayures longitudinales noires, de même que le croissant clair situé entre la tête et le collier. Le ventre est blanc et le dos orné d’un dessin en damier noir et blanc.
Le plumage d’hiver, acquis lors de la mue post-nuptiale partielle entre fin juillet et janvier, est plus terne, d'un gris assez clair, la nuque plus sombre que le dos ; le menton et l’avant du cou sont blancs. On peut alors confondre ce plongeon avec des juvéniles de Grand cormoran, mais ces derniers ont le cou nettement plus long et n'ont pas le bec en poignard. A cette époque, le bec présente une teinte gris pâle.
N°172 - Michel N°883 - N°1356
Les juvéniles du Plongeon huard sont plus brunâtres que les adultes avec des iris brun rouge et un bec blanc bleuâtre. Les plumes des parties supérieures sont largement bordées de gris clair. Ils muent partiellement en décembre et janvier. Ils arborent alors un plumage intermédiaire. Le plumage nuptial complet n'est acquis qu'en février à la fin de leur deuxième hiver.
Cette espèce, comme tous les plongeons, est essentiellement piscivore, capturant ses proies sous l’eau à une profondeur de 10 à 12 m (certains auteurs citent des records allant jusqu’à une profondeur de 70 mètres). Il peut avaler des poissons dont la taille peut atteindre 28 cm. Il consomme aussi bien des espèces marines (morue, hareng, sprat, aiglefin, merlan, grondin tel le grondin gris, flet, etc.) que des espèces d'eau douce (épinoche, anguille, perche, gardon, poisson-chat, truite de lac, saumon de fontaine par exemple). Il peut aussi se nourrir de petits mollusques, crustacés et céphalopodes, voire d'annélides. On a aussi retrouvé dans son estomac des végétaux aquatiques en quantité telle qu'il ne peut s'agir d'une absorption fortuite.
Ces plongeons peuvent être chassés par des loutres et de grands rapaces (pygargue à tête blanche, balbuzard). Mais ce sont surtout les oeufs et les poussins qui sont exposés à la prédation, surtout par le goéland, le corbeau, la corneille, le pygargue à tête blanche, le raton laveur, la mouffette, le vison, la belette, la tortue serpentine et les gros poissons.
Il niche au Groenland, au Canada, dans certaines régions du Nord des États-Unis, en Alaska, sur l'île des Ours et à Jan Mayen. Il en existe une petite population en Islande. En hiver, on le trouve sur les côtes des océans Pacifique et Atlantique ou sur les grands lacs proches de la côte
Pendant la nidification, on le trouve généralement sur les lacs et grandes mares des zones côtières septentrionales, dans un paysage de toundra. Sa zone d’hivernage est plus vaste ; il hiverne en mer et sur de grands lacs.
De tous les plongeons, ce sont ceux qui gagnent le moins souvent l'intérieur des terres. Ils migrent généralement au-dessus de la mer, à une certaine distance de la côte. Ces oiseaux quittent l'aire de nidification en septembre. La migration s'effectue de jour, seul ou en formation pouvant compter jusqu'à 15 individus. Pendant la migration vers le sud, ils peuvent passer la nuit en bandes de plusieurs centaines d'individus et se concentrer sur de grands lacs.
La maturité sexuelle survient à 2 ou 3 ans. Sa longévité, bien qu'encore non déterminée, est d'au moins 8 ans; elle est estimée à 20 ans. Les adultes instaurent un territoire de 24 à 80 ha qu'ils patrouillent régulièrement et défendent avec énergie. Cet oiseau monogame pose son nid sur les rives ou les îlots d'un lac, au contact de l'eau, de sorte que lorsqu'il sort de son nid, il lui suffit de se laisser glisser sur le ventre pour se retrouver à l'eau. Ce nid est assez grand, constitué de fragments de plantes aquatiques, avec un creux profond où la femelle dépose, en mai ou juin, deux oeufs en général. Les oeufs sont bruns, avec quelques taches plus foncées, plus nombreuses vers la pointe. L'incubation dure environ 30 jours et est assurée par les deux parents. Nidifuges, les poussins suivent leurs parents à l'eau dès qu'ils sont secs. Ces derniers les promènent parfois sur leur dos ou sous leurs ailes. Les petits sont capables de réaliser de courtes plongées au bout de deux jours, et peuvent voler après deux ou trois mois.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant257.mp3
Cet oiseau, aussi gros qu'une oie, mesure de 68 à 88 cm et pèse en moyenne 3 700 g pour les femelles, et 4 200 g pour les mâles. Son envergure est de 127 à 150 cm. Les autres dimensions sont 330 à 385 mm pour l'aile pliée, 54 à 73 mm pour la queue et 76 à 98 mm pour le tarse.
Les pattes (qui mesurent environ 13 cm ) sont sombres puisque noires et gris clair. Les iris sont rouge brun. Son bec gris noir à pointe blanchâtre assez fort, en forme de poignard, le distingue du Plongeon à bec blanc ou du Plongeon arctique. Contrairement au Plongeon catmarin, le bec est tenu horizontalement.
En plumage nuptial acquis lors d'une mue pré-nuptiale complète (les rémiges tombant simultanément, l'oiseau ne peut plus alors voler) de février à avril, les adultes ont la tête et le collier noirs avec des reflets verts et bleus, la gorge blanche présente des rayures longitudinales noires, de même que le croissant clair situé entre la tête et le collier. Le ventre est blanc et le dos orné d’un dessin en damier noir et blanc.
Le plumage d’hiver, acquis lors de la mue post-nuptiale partielle entre fin juillet et janvier, est plus terne, d'un gris assez clair, la nuque plus sombre que le dos ; le menton et l’avant du cou sont blancs. On peut alors confondre ce plongeon avec des juvéniles de Grand cormoran, mais ces derniers ont le cou nettement plus long et n'ont pas le bec en poignard. A cette époque, le bec présente une teinte gris pâle.
N°172 - Michel N°883 - N°1356
Les juvéniles du Plongeon huard sont plus brunâtres que les adultes avec des iris brun rouge et un bec blanc bleuâtre. Les plumes des parties supérieures sont largement bordées de gris clair. Ils muent partiellement en décembre et janvier. Ils arborent alors un plumage intermédiaire. Le plumage nuptial complet n'est acquis qu'en février à la fin de leur deuxième hiver.
Cette espèce, comme tous les plongeons, est essentiellement piscivore, capturant ses proies sous l’eau à une profondeur de 10 à 12 m (certains auteurs citent des records allant jusqu’à une profondeur de 70 mètres). Il peut avaler des poissons dont la taille peut atteindre 28 cm. Il consomme aussi bien des espèces marines (morue, hareng, sprat, aiglefin, merlan, grondin tel le grondin gris, flet, etc.) que des espèces d'eau douce (épinoche, anguille, perche, gardon, poisson-chat, truite de lac, saumon de fontaine par exemple). Il peut aussi se nourrir de petits mollusques, crustacés et céphalopodes, voire d'annélides. On a aussi retrouvé dans son estomac des végétaux aquatiques en quantité telle qu'il ne peut s'agir d'une absorption fortuite.
Ces plongeons peuvent être chassés par des loutres et de grands rapaces (pygargue à tête blanche, balbuzard). Mais ce sont surtout les oeufs et les poussins qui sont exposés à la prédation, surtout par le goéland, le corbeau, la corneille, le pygargue à tête blanche, le raton laveur, la mouffette, le vison, la belette, la tortue serpentine et les gros poissons.
Il niche au Groenland, au Canada, dans certaines régions du Nord des États-Unis, en Alaska, sur l'île des Ours et à Jan Mayen. Il en existe une petite population en Islande. En hiver, on le trouve sur les côtes des océans Pacifique et Atlantique ou sur les grands lacs proches de la côte
Pendant la nidification, on le trouve généralement sur les lacs et grandes mares des zones côtières septentrionales, dans un paysage de toundra. Sa zone d’hivernage est plus vaste ; il hiverne en mer et sur de grands lacs.
De tous les plongeons, ce sont ceux qui gagnent le moins souvent l'intérieur des terres. Ils migrent généralement au-dessus de la mer, à une certaine distance de la côte. Ces oiseaux quittent l'aire de nidification en septembre. La migration s'effectue de jour, seul ou en formation pouvant compter jusqu'à 15 individus. Pendant la migration vers le sud, ils peuvent passer la nuit en bandes de plusieurs centaines d'individus et se concentrer sur de grands lacs.
La maturité sexuelle survient à 2 ou 3 ans. Sa longévité, bien qu'encore non déterminée, est d'au moins 8 ans; elle est estimée à 20 ans. Les adultes instaurent un territoire de 24 à 80 ha qu'ils patrouillent régulièrement et défendent avec énergie. Cet oiseau monogame pose son nid sur les rives ou les îlots d'un lac, au contact de l'eau, de sorte que lorsqu'il sort de son nid, il lui suffit de se laisser glisser sur le ventre pour se retrouver à l'eau. Ce nid est assez grand, constitué de fragments de plantes aquatiques, avec un creux profond où la femelle dépose, en mai ou juin, deux oeufs en général. Les oeufs sont bruns, avec quelques taches plus foncées, plus nombreuses vers la pointe. L'incubation dure environ 30 jours et est assurée par les deux parents. Nidifuges, les poussins suivent leurs parents à l'eau dès qu'ils sont secs. Ces derniers les promènent parfois sur leur dos ou sous leurs ailes. Les petits sont capables de réaliser de courtes plongées au bout de deux jours, et peuvent voler après deux ou trois mois.
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
La Harelde kakawi ou Cacaoui (Clangula hyemalis) est une espèce de canard plongeur marin de la famille des anatidés.
[img]http://foule_nature.tripod.com/oiseaux/harelde-kakawi-male-internuptial.jpg[/img]
Elle est également appelée Harelde boréale, Harelde de Miquelon ou Harelde du Nord, voire Garrot de Miquelon, Fuligule de Miquelon, Canard de Miquelon, Harelde glaciale, Morillon glacial, Criard d'hiver, Petit Pilet, Pilet dériveux, Micloux, Canard à longue queue de Terre-Neuve, Sarcelle de Féroé ou Canard des glaces.
Harelde viendrait de l'islandais havela, du danois havlit qui sont les noms de cet oiseau dans ces langues.
C'est un canard de 41 à 60 cm de long avec une envergure de 72 à 80 cm, pesant entre 450 et 1 030 g.
Le mâle est brun-noir en été, en dehors des flancs et d'une tache oculaire, blancs. En hiver, il est de couleur blanchâtre, en dehors de la poitrine, des ailes et de la tache faciale, qui sont noires. En toutes saisons, il possède une longue queue effilée noire.
La femelle a une queue courte, un dos sombre et un ventre blanc.
N°179
Originaire de Terre-Neuve, présente en Scandinavie, en Écosse, le long des côtes de l'Atlantique, des côtes du Pacifique, des grands lacs du Canada, des îles Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle migre dès juillet pour aller jusqu'en Afrique du nord en longeant les côtes. On peut en trouver sporadiquement sur les lacs alpins. Selon le site, plusieurs centaines stationnent de la mi-octobre à fin avril, voire mi-mai autour de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon et parmi ceux-ci on en trouve quelques uns dans le secteur du Grand Barachois, l'anse de la Pointe au cheval et la Pointe aux alouettes.
La Harelde kakawi niche dans la toundra. En hiver, elle est principalement sur les côtes marines et les lagunes.
La Harelde kakawi est un oiseau peu farouche. Elle est toujours en mouvement, plongeant sans cesse. Elle prend son essor facilement et vole habituellement au ras de l'eau. Elle vole très vite, sa vitesse en migration pouvant atteindre 100 km/h. C'est une espèce dont la chasse est autorisée.
C'est un excellent plongeur. Elle plonge avec les ailes entrouvertes, pendant une minute voire deux, à des profondeurs de 10 à 15 mètres. Le record étant à 60 mètres sur des lacs américains. Elle se nourrit principalement de mollusques, de crustacés, de petits poissons, de vers, voire d'insectes au cours de l'été.
La femelle pond une couvée par an de 6 à 7 œufs. Le nid est situé près de l'eau, sur le sol, à l'abri de la végétation. Il est habituellement construit dans une légère cuvette et est tapissé de feuilles et de plumes du duvet de la femelle.
http://www.royalbcmuseum.bc.ca/School_P ... l_old.html
[img]http://foule_nature.tripod.com/oiseaux/harelde-kakawi-male-internuptial.jpg[/img]
Elle est également appelée Harelde boréale, Harelde de Miquelon ou Harelde du Nord, voire Garrot de Miquelon, Fuligule de Miquelon, Canard de Miquelon, Harelde glaciale, Morillon glacial, Criard d'hiver, Petit Pilet, Pilet dériveux, Micloux, Canard à longue queue de Terre-Neuve, Sarcelle de Féroé ou Canard des glaces.
Harelde viendrait de l'islandais havela, du danois havlit qui sont les noms de cet oiseau dans ces langues.
C'est un canard de 41 à 60 cm de long avec une envergure de 72 à 80 cm, pesant entre 450 et 1 030 g.
Le mâle est brun-noir en été, en dehors des flancs et d'une tache oculaire, blancs. En hiver, il est de couleur blanchâtre, en dehors de la poitrine, des ailes et de la tache faciale, qui sont noires. En toutes saisons, il possède une longue queue effilée noire.
La femelle a une queue courte, un dos sombre et un ventre blanc.
N°179
Originaire de Terre-Neuve, présente en Scandinavie, en Écosse, le long des côtes de l'Atlantique, des côtes du Pacifique, des grands lacs du Canada, des îles Saint-Pierre-et-Miquelon. Elle migre dès juillet pour aller jusqu'en Afrique du nord en longeant les côtes. On peut en trouver sporadiquement sur les lacs alpins. Selon le site, plusieurs centaines stationnent de la mi-octobre à fin avril, voire mi-mai autour de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon et parmi ceux-ci on en trouve quelques uns dans le secteur du Grand Barachois, l'anse de la Pointe au cheval et la Pointe aux alouettes.
La Harelde kakawi niche dans la toundra. En hiver, elle est principalement sur les côtes marines et les lagunes.
La Harelde kakawi est un oiseau peu farouche. Elle est toujours en mouvement, plongeant sans cesse. Elle prend son essor facilement et vole habituellement au ras de l'eau. Elle vole très vite, sa vitesse en migration pouvant atteindre 100 km/h. C'est une espèce dont la chasse est autorisée.
C'est un excellent plongeur. Elle plonge avec les ailes entrouvertes, pendant une minute voire deux, à des profondeurs de 10 à 15 mètres. Le record étant à 60 mètres sur des lacs américains. Elle se nourrit principalement de mollusques, de crustacés, de petits poissons, de vers, voire d'insectes au cours de l'été.
La femelle pond une couvée par an de 6 à 7 œufs. Le nid est situé près de l'eau, sur le sol, à l'abri de la végétation. Il est habituellement construit dans une légère cuvette et est tapissé de feuilles et de plumes du duvet de la femelle.
http://www.royalbcmuseum.bc.ca/School_P ... l_old.html
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Alphonse de Lamartine
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Bruant des neiges (Plectrophenax nivalis) est une espèce de passereau appartenant à la famille des Calcariidae.
Le Bruant des neiges est un Emberiziné d'apparence robuste mesurant de 15 à 18 centimètres de long avec une envergure de 32 à 38 cm. Il pèse entre 26 et 50 grammes. Le mâle en saison de reproduction est tout blanc avec le dos noir ; la femelle ressemble au mâle mais avec le dos d’un gris noirâtre. En hiver, les deux sexes ont les parties supérieures tachetées de brun-roux, de blanc et de noir tandis que les parties inférieures sont brunes et blanches ; les mâles ont le plumage plus blanc que les femelles. Le bec est jaune avec l'extrémité noire sauf chez les mâles qui présentent un bec tout noir en été.
Contrairement aux autres passereaux, le Bruant des neiges possède des plumes sur les tarses. À part le Grand Corbeau, aucun autre passereau ne passe l’hiver plus au nord que le Bruant des neiges.
Il y a quatre sous-espèces, qui diffèrent légèrement par le plumage des mâles pendant la saison de reproduction :
P. n. nivalis. Europe arctique, Amérique du Nord arctique. Tête blanche, croupion surtout noir avec une petite zone blanche.
P. n. insulae. Islande, îles Féroé, Écosse. Tête blanche avec un collier noir, croupion noir.
P. n. vlasowae. Asie arctique. Tête blanche et croupion surtout blanc.
P. n. townsendi. Îles Aléoutiennes, Kamtchatka, et côte est de la Sibérie. Comme vlasowae, mais un peu plus grand.
Le Bruant blanc est proche parent du Bruant des neiges, dont il diffère par un plumage encore plus blanc. L’hybridation entre ces deux espèces a été observée en Alaska. Cependant, elles sont généralement considérées comme deux espèces différentes.
C’est un spécialiste de l’Arctique, avec une répartition circumpolaire à travers l’hémisphère nord pendant la saison de reproduction. Il existe de petites populations au sommet de quelques cîmes montagneuses au sud des régions arctiques, dont les Cairngorms en Écosse centrale et les montagnes Saint Elias à la portion sud de la frontière Alaska-Yukon. En Europe, cet oiseau apparaît en Grande-Bretagne, en France et en Belgique en automne, souvent en groupes dans des zones de landes ou de friches peu arborées, sur les dunes ou les plages.
N°180 - N°504
Pendant la dernière période glaciaire, le Bruant des neiges était commun en Europe continentale.
L’aire de nidification se retrouve dans la toundra et au sommet des montagnes. C’est une espèce migratoire qui hiverne dans les milieux ouverts des zones tempérées nordiques, par exemple les côtes sablonneuses, les steppes, les prés ou en basse montagne. En hiver, le Bruant des neiges est grégaire et forme des groupes mobiles.
Les œufs sont d’un bleu verdâtre avec des taches brunes et l’éclosion a lieu 12-13 jours après la ponte. Les jeunes sont prêts à voler environ 13 jours après l’éclosion. La femelle construit un nid dans une anfractuosité rocheuse, plus rarement dans un buisson bas. La saison de nidification a lieu d'avril à août et permet de 2 à 3 pontes avec 3 ou 4 jeunes par couvée. Seule la femelle tient le nid.
Doté d'un bec conique épais et court, le Bruant des neiges est assez éclectique dans ses choix alimentaires: insectes, larves, petits invertébrés et graines. En hiver, il se concentre surtout sur les graines, dans les zones restées découvertes par d'éventuels enneigements. Cette espèce ne craint pas les humains, niche souvent près des bâtiments et se nourrit de grains mis à sa disposition. Au sol, il court plutôt que de sauter. Il se nourrit de graines, de mauvaises herbes qui dépassent la surface de la neige et, quand une volée s'abat dans un champ de graminées, les individus se dispersent, volettent d'une touffe à l'autre, sautillant parfois pour atteindre les plus hautes. À mesure que le groupe glane les graines, certains oiseaux survolent les autres et se posent devant eux par vagues successives. On peut aussi remarquer quand ils trouvent des mangeoires au sol et qu'ils sont en groupe, se détachent un petit nombre d'éclaireurs, pendant que le groupe plus loin attend pour aller se nourrir quelques temps après.
http://www.oiseaux-europe.com/Oiseau-8/ ... eiges.html
Le Bruant des neiges est un Emberiziné d'apparence robuste mesurant de 15 à 18 centimètres de long avec une envergure de 32 à 38 cm. Il pèse entre 26 et 50 grammes. Le mâle en saison de reproduction est tout blanc avec le dos noir ; la femelle ressemble au mâle mais avec le dos d’un gris noirâtre. En hiver, les deux sexes ont les parties supérieures tachetées de brun-roux, de blanc et de noir tandis que les parties inférieures sont brunes et blanches ; les mâles ont le plumage plus blanc que les femelles. Le bec est jaune avec l'extrémité noire sauf chez les mâles qui présentent un bec tout noir en été.
Contrairement aux autres passereaux, le Bruant des neiges possède des plumes sur les tarses. À part le Grand Corbeau, aucun autre passereau ne passe l’hiver plus au nord que le Bruant des neiges.
Il y a quatre sous-espèces, qui diffèrent légèrement par le plumage des mâles pendant la saison de reproduction :
P. n. nivalis. Europe arctique, Amérique du Nord arctique. Tête blanche, croupion surtout noir avec une petite zone blanche.
P. n. insulae. Islande, îles Féroé, Écosse. Tête blanche avec un collier noir, croupion noir.
P. n. vlasowae. Asie arctique. Tête blanche et croupion surtout blanc.
P. n. townsendi. Îles Aléoutiennes, Kamtchatka, et côte est de la Sibérie. Comme vlasowae, mais un peu plus grand.
Le Bruant blanc est proche parent du Bruant des neiges, dont il diffère par un plumage encore plus blanc. L’hybridation entre ces deux espèces a été observée en Alaska. Cependant, elles sont généralement considérées comme deux espèces différentes.
C’est un spécialiste de l’Arctique, avec une répartition circumpolaire à travers l’hémisphère nord pendant la saison de reproduction. Il existe de petites populations au sommet de quelques cîmes montagneuses au sud des régions arctiques, dont les Cairngorms en Écosse centrale et les montagnes Saint Elias à la portion sud de la frontière Alaska-Yukon. En Europe, cet oiseau apparaît en Grande-Bretagne, en France et en Belgique en automne, souvent en groupes dans des zones de landes ou de friches peu arborées, sur les dunes ou les plages.
N°180 - N°504
Pendant la dernière période glaciaire, le Bruant des neiges était commun en Europe continentale.
L’aire de nidification se retrouve dans la toundra et au sommet des montagnes. C’est une espèce migratoire qui hiverne dans les milieux ouverts des zones tempérées nordiques, par exemple les côtes sablonneuses, les steppes, les prés ou en basse montagne. En hiver, le Bruant des neiges est grégaire et forme des groupes mobiles.
Les œufs sont d’un bleu verdâtre avec des taches brunes et l’éclosion a lieu 12-13 jours après la ponte. Les jeunes sont prêts à voler environ 13 jours après l’éclosion. La femelle construit un nid dans une anfractuosité rocheuse, plus rarement dans un buisson bas. La saison de nidification a lieu d'avril à août et permet de 2 à 3 pontes avec 3 ou 4 jeunes par couvée. Seule la femelle tient le nid.
Doté d'un bec conique épais et court, le Bruant des neiges est assez éclectique dans ses choix alimentaires: insectes, larves, petits invertébrés et graines. En hiver, il se concentre surtout sur les graines, dans les zones restées découvertes par d'éventuels enneigements. Cette espèce ne craint pas les humains, niche souvent près des bâtiments et se nourrit de grains mis à sa disposition. Au sol, il court plutôt que de sauter. Il se nourrit de graines, de mauvaises herbes qui dépassent la surface de la neige et, quand une volée s'abat dans un champ de graminées, les individus se dispersent, volettent d'une touffe à l'autre, sautillant parfois pour atteindre les plus hautes. À mesure que le groupe glane les graines, certains oiseaux survolent les autres et se posent devant eux par vagues successives. On peut aussi remarquer quand ils trouvent des mangeoires au sol et qu'ils sont en groupe, se détachent un petit nombre d'éclaireurs, pendant que le groupe plus loin attend pour aller se nourrir quelques temps après.
http://www.oiseaux-europe.com/Oiseau-8/ ... eiges.html
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qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le Guillemot à miroir (Cepphus grylle) est une espèce d'oiseau marin de la famille des alcidés.
Les oiseaux adultes ont le corps entièrement noir, sauf pour une large tache blanche distinctive sur le dessus de l'aile, le « miroir ». Le dessous de l'aile, visible en vol, est partiellement blanc. Le bec effilé est noir tandis que les pattes et l'intérieur du bec sont rouges. Ils mesurent entre 32 et 38 cm de longueur et leurs ailes ont une envergure de 49 à 58 cm. Leur plumage d'hiver est beaucoup plus pâle; le dos et le dessus de la tête sont plutôt « poivre et sel» et le reste du corps est blanc, sauf une petite tache noire devant l'œil et une ligne noire derrière l'œil. Les ailes demeurent noires avec un miroir blanc. Les mâles et les femelles se ressemblent, tandis que les juvéniles ont un plumage semblable aux adultes en hiver.
N°181 - N°409 - N°786
Le guillemot à miroir est une espèce circumpolaire qui niche sur les rivages, les îles et les falaises rocheux sur les côtes de l'Atlantique nord et de l'océan Arctique. Son aire de nidification s'étend vers le sud jusqu'au Maine, en Amérique, et jusqu'en Irlande, en Europe. En Grande-Bretagne, il niche surtout dans l'ouest et le nord de l'Écosse. On en trouve aussi quelques colonies à St. Bees Head en Cumbrie, sur l'île de Man et sur l'île d'Anglesey dans le nord du pays de Galles. Quelques colonies isolées nichent en Alaska, où son aire de répartition recoupe celle du guillemot colombin, auquel il ressemble. Bien que ces oiseaux passent souvent l'hiver à proximité de leur site de nidification, il arrive qu'ils migrent vers des zones libres de glace, mais ne voyagent généralement pas très loin vers le sud.
Le guillemot à miroir est un oiseau beaucoup plus côtier que le guillemot marmette. Il se laisse flotter à la surface de l'eau et met d'abord la tête sous l'eau pour s'assurer que le champ est libre avant de plonger. Il se propulse sous l'eau à l'aide de ses ailes, et descend rarement à plus de 40 m de profondeur. Il se nourrit surtout de petits poissons et de crustacés, mais aussi de mollusques et de vers marins. Son cri, que l'on peut entendre sur les sites de nidification, est un sifflement aigu.
Cet oiseau niche généralement en petites colonies de 5 à 200 paires, bien qu'on en retrouve des colonies beaucoup plus importantes dans le Grand Nord. Il pond un ou deux œufs verdâtres tachetés de brun ou de gris sur un lit de gravier, préférant les crevasses des basses falaises et les talus d'éboulis. Le mâle et la femelle se partagent la tâche de l'incubation, qui dure un peu moins de 4 semaines.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant326.mp3
Les oiseaux adultes ont le corps entièrement noir, sauf pour une large tache blanche distinctive sur le dessus de l'aile, le « miroir ». Le dessous de l'aile, visible en vol, est partiellement blanc. Le bec effilé est noir tandis que les pattes et l'intérieur du bec sont rouges. Ils mesurent entre 32 et 38 cm de longueur et leurs ailes ont une envergure de 49 à 58 cm. Leur plumage d'hiver est beaucoup plus pâle; le dos et le dessus de la tête sont plutôt « poivre et sel» et le reste du corps est blanc, sauf une petite tache noire devant l'œil et une ligne noire derrière l'œil. Les ailes demeurent noires avec un miroir blanc. Les mâles et les femelles se ressemblent, tandis que les juvéniles ont un plumage semblable aux adultes en hiver.
N°181 - N°409 - N°786
Le guillemot à miroir est une espèce circumpolaire qui niche sur les rivages, les îles et les falaises rocheux sur les côtes de l'Atlantique nord et de l'océan Arctique. Son aire de nidification s'étend vers le sud jusqu'au Maine, en Amérique, et jusqu'en Irlande, en Europe. En Grande-Bretagne, il niche surtout dans l'ouest et le nord de l'Écosse. On en trouve aussi quelques colonies à St. Bees Head en Cumbrie, sur l'île de Man et sur l'île d'Anglesey dans le nord du pays de Galles. Quelques colonies isolées nichent en Alaska, où son aire de répartition recoupe celle du guillemot colombin, auquel il ressemble. Bien que ces oiseaux passent souvent l'hiver à proximité de leur site de nidification, il arrive qu'ils migrent vers des zones libres de glace, mais ne voyagent généralement pas très loin vers le sud.
Le guillemot à miroir est un oiseau beaucoup plus côtier que le guillemot marmette. Il se laisse flotter à la surface de l'eau et met d'abord la tête sous l'eau pour s'assurer que le champ est libre avant de plonger. Il se propulse sous l'eau à l'aide de ses ailes, et descend rarement à plus de 40 m de profondeur. Il se nourrit surtout de petits poissons et de crustacés, mais aussi de mollusques et de vers marins. Son cri, que l'on peut entendre sur les sites de nidification, est un sifflement aigu.
Cet oiseau niche généralement en petites colonies de 5 à 200 paires, bien qu'on en retrouve des colonies beaucoup plus importantes dans le Grand Nord. Il pond un ou deux œufs verdâtres tachetés de brun ou de gris sur un lit de gravier, préférant les crevasses des basses falaises et les talus d'éboulis. Le mâle et la femelle se partagent la tâche de l'incubation, qui dure un peu moins de 4 semaines.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant326.mp3
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Le guillemot de Brünnich ou marmette de Brünnich est un oiseau de mer de la famille des alcidés qui niche sur les côtes et les îles du haut Arctique européen, américain et asiatique. C'est l'un de oiseaux les plus courants de cette région.
Ces oiseaux mesurent 40 à 44 cm de long pour une envergure de 64 à 75 cm. Ils pèsent en général entre 1 et 1,5 kg. Les adultes sont noirs sur la tête, la nuque, l'arrière et le derrière et blancs sur le devant. Le bec est long et pointu. Le bas de la tête devient blanc en hiver.
Les juvéniles ne sont pas capables de voler avant un mois et demi, les adultes ne peuvent voler durant leur mue.
Ils nichent en grande colonie sur les falaises à partir de à la mi-mai et pondent leur unique œuf directement sur le rebord d'une falaise à partir de la mi-juin. L'éclosion se produit un mois plus tard et les poussins sont nourris au nid jusqu'à ce qu'ils prennent leur envol, de la mi-août à la fin août. Tous les poussins ont quitté la colonie au début de septembre. En hiver, ils migrent vers les parties nord de l'Atlantique et du Pacifique pour arriver dans des eaux non prises par les glaces. Les femelles migrent habituellement les premières, suivies des mâles et des poussins quelques jours plus tard. Les mâles nourrissent les petits. Ils voyagent en nageant étant incapable de voler, adultes et juvéniles, durant cette période de leur vie pour des raisons différentes.
N°182
La principale source de nourriture de la marmette de Brünnich est la morue polaire, mais elle mange aussi d'autres poissons et des crustacés pélagiques (en particulier des mysidacés et des amphipodes). Après la débâcle de l'avant-côte, les marmettes de Brünnich peuvent voyager pendant 2 heures pour se nourrir parmi les plaques de glace dans les eaux libres.
On estime la population du Canada à 3,5 millions d'oiseaux et la majorité reproductrice se concentre en 9 colonies installées dans l'Arctique canadien de l'Est. On en trouve aussi en plus petits nombres sur les côtes du Labrador et de Terre-Neuve et au cap Parry, la seule colonie établie dans l'Arctique de l'Ouest.
Environ 11 % (160 000 couples) de la population canadienne de marmette de Brünnich nichent à la pointe Cambridge à l'extrémité sud de l'île Coburg. Des recensements récents (1993) aux lieux d'étude de la marmette laissent penser que cette espèce a maintenu des populations reproductrices stables depuis que l'on a commencé les recensements, il y a près de 15 ans.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant464.mp3
Ces oiseaux mesurent 40 à 44 cm de long pour une envergure de 64 à 75 cm. Ils pèsent en général entre 1 et 1,5 kg. Les adultes sont noirs sur la tête, la nuque, l'arrière et le derrière et blancs sur le devant. Le bec est long et pointu. Le bas de la tête devient blanc en hiver.
Les juvéniles ne sont pas capables de voler avant un mois et demi, les adultes ne peuvent voler durant leur mue.
Ils nichent en grande colonie sur les falaises à partir de à la mi-mai et pondent leur unique œuf directement sur le rebord d'une falaise à partir de la mi-juin. L'éclosion se produit un mois plus tard et les poussins sont nourris au nid jusqu'à ce qu'ils prennent leur envol, de la mi-août à la fin août. Tous les poussins ont quitté la colonie au début de septembre. En hiver, ils migrent vers les parties nord de l'Atlantique et du Pacifique pour arriver dans des eaux non prises par les glaces. Les femelles migrent habituellement les premières, suivies des mâles et des poussins quelques jours plus tard. Les mâles nourrissent les petits. Ils voyagent en nageant étant incapable de voler, adultes et juvéniles, durant cette période de leur vie pour des raisons différentes.
N°182
La principale source de nourriture de la marmette de Brünnich est la morue polaire, mais elle mange aussi d'autres poissons et des crustacés pélagiques (en particulier des mysidacés et des amphipodes). Après la débâcle de l'avant-côte, les marmettes de Brünnich peuvent voyager pendant 2 heures pour se nourrir parmi les plaques de glace dans les eaux libres.
On estime la population du Canada à 3,5 millions d'oiseaux et la majorité reproductrice se concentre en 9 colonies installées dans l'Arctique canadien de l'Est. On en trouve aussi en plus petits nombres sur les côtes du Labrador et de Terre-Neuve et au cap Parry, la seule colonie établie dans l'Arctique de l'Ouest.
Environ 11 % (160 000 couples) de la population canadienne de marmette de Brünnich nichent à la pointe Cambridge à l'extrémité sud de l'île Coburg. Des recensements récents (1993) aux lieux d'étude de la marmette laissent penser que cette espèce a maintenu des populations reproductrices stables depuis que l'on a commencé les recensements, il y a près de 15 ans.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant464.mp3
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qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
L'Oie des neiges (Chen caerulescens, appelée Oie blanche au Canada) est une espèce de palmipède appartenant à la famille des Anatidae et de la sous-famille des Anserinae.
L'Oie des neiges mesure entre 65 et 84 cm pour un poids de 2,5 à 3,5 kg. Cette espèce a la particularité de présenter deux types de coloration :
une phase blanche chez laquelle le plumage est blanc sauf les primaires qui sont noires ; chez certains oiseaux de cette phase, la tête et le cou peuvent être teintés de roussâtre.
Une phase bleue chez laquelle seuls la tête et le cou sont blancs, le reste du plumage étant gris foncé.
Le bec et les pattes sont roses.
C'est une espèce d'oie qui habite surtout au Canada arctique et passe l'hiver sur les côtes américaines atlantique et pacifique. On la retrouve parfois en Europe.
Au retour de l'Arctique, selon sa région d'origine, pour rejoindre les zones humides où elle hiverne, elle empruntera plusieurs voies différentes : côté Pacifique, elle file vers les marais de Californie et le Mexique. Plus à l'est, elle longe le Mississippi vers les marais de Louisiane et le Texas ou traverse le Québec vers la côte est américaine.
Des zones protégées ont été établies le long du fleuve Saint-Laurent afin de préserver les terres humides qu'elle fréquente pour son alimentation lors de ses deux migrations annuelles, comme la Réserve nationale de faune du cap Tourmente. Il est possible de l'observer également sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent à Cap-Saint-Ignace et à Montmagny où d'ailleurs se déroule le festival de l'oie blanche à chaque automne.
N°187 - Michel N°2690
L'Oie des neiges est une espèce très grégaire toute l'année. Elle niche en grandes colonies dans la toundra arctique dès le mois de juin. Les oiseaux s'accouplent généralement avec un partenaire de leur phase mais les couples mixtes existent. Le départ en migration a lieu dès le mois de septembre. Pendant l'hiver l'Oie des neiges se mêle volontiers à d'autres espèces d'oies telles que l'Oie de Ross ou la Bernache du Canada.
La population est estimée à 7 600 000 individus et n'est pas menacée. La population de passage au Québec de la grande oie blanche était estimée en 2009 à 1 428 000 indovidus, et en forte progression.
Les colonies comptent jusqu'à cent nids à l'hectare.
L'Oie des neiges mesure entre 65 et 84 cm pour un poids de 2,5 à 3,5 kg. Cette espèce a la particularité de présenter deux types de coloration :
une phase blanche chez laquelle le plumage est blanc sauf les primaires qui sont noires ; chez certains oiseaux de cette phase, la tête et le cou peuvent être teintés de roussâtre.
Une phase bleue chez laquelle seuls la tête et le cou sont blancs, le reste du plumage étant gris foncé.
Le bec et les pattes sont roses.
C'est une espèce d'oie qui habite surtout au Canada arctique et passe l'hiver sur les côtes américaines atlantique et pacifique. On la retrouve parfois en Europe.
Au retour de l'Arctique, selon sa région d'origine, pour rejoindre les zones humides où elle hiverne, elle empruntera plusieurs voies différentes : côté Pacifique, elle file vers les marais de Californie et le Mexique. Plus à l'est, elle longe le Mississippi vers les marais de Louisiane et le Texas ou traverse le Québec vers la côte est américaine.
Des zones protégées ont été établies le long du fleuve Saint-Laurent afin de préserver les terres humides qu'elle fréquente pour son alimentation lors de ses deux migrations annuelles, comme la Réserve nationale de faune du cap Tourmente. Il est possible de l'observer également sur la rive sud du fleuve Saint-Laurent à Cap-Saint-Ignace et à Montmagny où d'ailleurs se déroule le festival de l'oie blanche à chaque automne.
N°187 - Michel N°2690
L'Oie des neiges est une espèce très grégaire toute l'année. Elle niche en grandes colonies dans la toundra arctique dès le mois de juin. Les oiseaux s'accouplent généralement avec un partenaire de leur phase mais les couples mixtes existent. Le départ en migration a lieu dès le mois de septembre. Pendant l'hiver l'Oie des neiges se mêle volontiers à d'autres espèces d'oies telles que l'Oie de Ross ou la Bernache du Canada.
La population est estimée à 7 600 000 individus et n'est pas menacée. La population de passage au Québec de la grande oie blanche était estimée en 2009 à 1 428 000 indovidus, et en forte progression.
Les colonies comptent jusqu'à cent nids à l'hectare.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Labbe à longue queue. Stercorarius longicaudus
Il rappelle un peu le labbe parasite mais il s'en distingue morphologiquement par sa plus petite taille, ses ailes plus fines, son arrière plutôt plus long, son ventre moins rebondi donnant l'impression d'une poitrine assez saillante. Son bec est légèrement plus court et épais, son allure générale plus élégante. L'adulte nuptial est toujours de forme pâle, l'existence d'individus de forme sombre restant à prouver. Outre les différences morphologiques déjà citées, le labbe à longue queue se distingue du parasite de forme pâle par les très longues rectrices médianes qui ondulent souvent pendant le vol souple. Le ventre est grisâtre contrastant avec la poitrine blanche. Chez la plupart des individus, le gris est restreint à l'arrière du ventre et au bas-ventre alors qu'à l'inverse, il ne s'étend que très rarement jusqu'à la poitrine, ne laissant que la gorge blanche. Le dessus est moins uniforme que chez le parasite : les rémiges sont nettement sombres contrastant sous bonne lumière avec les couvertures alaires et le manteau qui sont brun-gris. La calotte qui recouvre la tête et la moitié de la face jusque sous l'oeil sont très sombres, presque noirs.
N°188
En été, le labbe à longue queue fréquente les vastes étendues dégagées de la toundra arctique. Bien que ses quartiers océaniques d'hivernage soient moins bien connus, il se situent surtout dans l'hémisphère sud , l'espèce ayant été rarement observé au nord de l'Equateur pendant la période qui se situe de décembre à mars. A cette époque, elle hante le Pacifique Central et croise au large des côtes de l'Amérique du Sud et l'Afrique Occidentale
Cet oiseau est un migrateur au long cours. Il passe chaque année au large des côtes européennes, lors de ses grands trajets qui le mènent des zones nordiques de nidification jusqu'à ses quartiers océaniques hivernaux. Il est plutôt solitaire effectue la plupart des migrations seul ou en petits groupes, bien que des bandes d'une cinquantaine d'individus ne soient pas si rares. Précédant la nidification, le labbe à longue queue se livre à une spectaculaire parade nuptiale. Les deux partenaires se poursuivent en vol en zigzaguant et prennent de la hauteur avant de piquer. Lors de la défense de son territoire, il peut faire preuve d'un comportement très agressif, n'hésitant pas à frapper de ses pattes le crâne d'un homme qui s'approcherait trop près du nid.
Pendant la saison estivale, le labbe à longue queue se nourrit de petits rongeurs vivant dans la toundra. Les lemmings constituent les proies favorites mais les campagnols ne sont pas pour autant délaissés. Le labbe survole sa proie avant de fondre brusquement sur elle. Bien que les petits rongeurs constituent l'essentiel de son régime alimentaire pendant la nidification, le labbe à longue queue consomme également des musaraignes, des petits oiseaux et leurs oeufs, des coléoptères, des vers et des fruits comme les camarines noires. Excellent voilier, il est capable d'attraper des papillons en plein vol. Les effectifs des petits rongeurs de la toundra varient considérablement d'une année à l'autre. Les années où les ressources sont abondantes, les labbes élèvent de nombreux jeunes. Au cours des années moins favorables, ces oiseaux dépendent beaucoup des ressources de substitution et leur taux de reproduction est beaucoup moins important. Si les conditions se détériorent et deviennent très mauvaises, certains couples ne nichent pas du tout. En hiver, le labbe à longue queue tire ses ressources pratiquement exclusivement de la mer. Il s'y nourrit de poissons, de charognes et de déchets rejetés par les chalutiers. Il fait également preuve d'un comportement parasitaire, volant leurs prises à d'autres oiseaux comme les sternes et les goélands, les poursuivant jusqu'à épuisement et les obligeant ainsi à régurgiter les proies qu'ils venaient d'avaler. Ce type de parasitisme est nettement moins fréquent pendant la période de reproduction.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant318.mp3
Il rappelle un peu le labbe parasite mais il s'en distingue morphologiquement par sa plus petite taille, ses ailes plus fines, son arrière plutôt plus long, son ventre moins rebondi donnant l'impression d'une poitrine assez saillante. Son bec est légèrement plus court et épais, son allure générale plus élégante. L'adulte nuptial est toujours de forme pâle, l'existence d'individus de forme sombre restant à prouver. Outre les différences morphologiques déjà citées, le labbe à longue queue se distingue du parasite de forme pâle par les très longues rectrices médianes qui ondulent souvent pendant le vol souple. Le ventre est grisâtre contrastant avec la poitrine blanche. Chez la plupart des individus, le gris est restreint à l'arrière du ventre et au bas-ventre alors qu'à l'inverse, il ne s'étend que très rarement jusqu'à la poitrine, ne laissant que la gorge blanche. Le dessus est moins uniforme que chez le parasite : les rémiges sont nettement sombres contrastant sous bonne lumière avec les couvertures alaires et le manteau qui sont brun-gris. La calotte qui recouvre la tête et la moitié de la face jusque sous l'oeil sont très sombres, presque noirs.
N°188
En été, le labbe à longue queue fréquente les vastes étendues dégagées de la toundra arctique. Bien que ses quartiers océaniques d'hivernage soient moins bien connus, il se situent surtout dans l'hémisphère sud , l'espèce ayant été rarement observé au nord de l'Equateur pendant la période qui se situe de décembre à mars. A cette époque, elle hante le Pacifique Central et croise au large des côtes de l'Amérique du Sud et l'Afrique Occidentale
Cet oiseau est un migrateur au long cours. Il passe chaque année au large des côtes européennes, lors de ses grands trajets qui le mènent des zones nordiques de nidification jusqu'à ses quartiers océaniques hivernaux. Il est plutôt solitaire effectue la plupart des migrations seul ou en petits groupes, bien que des bandes d'une cinquantaine d'individus ne soient pas si rares. Précédant la nidification, le labbe à longue queue se livre à une spectaculaire parade nuptiale. Les deux partenaires se poursuivent en vol en zigzaguant et prennent de la hauteur avant de piquer. Lors de la défense de son territoire, il peut faire preuve d'un comportement très agressif, n'hésitant pas à frapper de ses pattes le crâne d'un homme qui s'approcherait trop près du nid.
Pendant la saison estivale, le labbe à longue queue se nourrit de petits rongeurs vivant dans la toundra. Les lemmings constituent les proies favorites mais les campagnols ne sont pas pour autant délaissés. Le labbe survole sa proie avant de fondre brusquement sur elle. Bien que les petits rongeurs constituent l'essentiel de son régime alimentaire pendant la nidification, le labbe à longue queue consomme également des musaraignes, des petits oiseaux et leurs oeufs, des coléoptères, des vers et des fruits comme les camarines noires. Excellent voilier, il est capable d'attraper des papillons en plein vol. Les effectifs des petits rongeurs de la toundra varient considérablement d'une année à l'autre. Les années où les ressources sont abondantes, les labbes élèvent de nombreux jeunes. Au cours des années moins favorables, ces oiseaux dépendent beaucoup des ressources de substitution et leur taux de reproduction est beaucoup moins important. Si les conditions se détériorent et deviennent très mauvaises, certains couples ne nichent pas du tout. En hiver, le labbe à longue queue tire ses ressources pratiquement exclusivement de la mer. Il s'y nourrit de poissons, de charognes et de déchets rejetés par les chalutiers. Il fait également preuve d'un comportement parasitaire, volant leurs prises à d'autres oiseaux comme les sternes et les goélands, les poursuivant jusqu'à épuisement et les obligeant ainsi à régurgiter les proies qu'ils venaient d'avaler. Ce type de parasitisme est nettement moins fréquent pendant la période de reproduction.
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
- saintluc
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
Chevalier arlequin Tringa erythropus
En plumage nuptial, il ne peut être confondu avec nul autre en raison de son plumage presque entièrement noir fuligineux ponctué de blanc sur le dessus. Les pattes sont rouge noirâtre, les sous-caudales rayées de blanc. En plumage hivernal, sa livrée gris pâle et ses ailes finement barrées de noir peuvent le faire confondre avec le chevalier gambette. Cependant, il est plus grand et plus élancé, avec des pattes plus longues et un tache rouge à la base du bec, qui est également plus long, plus mince et plus incurvé. D'autres éléments viennent renforcer la discrimination : Il est d'un gris plus pâle et plus pur dessus et plus blanc dessous. Les marques faciales sont différentes : chez l'arlequin, un étroit sourcil blanchâtre bien déterminé marque l'avant de l'oeil qui est également souligné par un trait loral noirâtre.
N°163
Dans son aire de nidification située dans l'extrême nord de l'Europe, il fréquente la toundra boisée ainsi que les tourbières et les marécages de la taïga. En hiver et au passage, on le trouve dans les marais salants, les estuaires vaseux et les lagunes saumâtres. Par contre, sa présence est rare le long des côtes basses.
La quête de la nourriture se fait en petits groupes serrés qui se déplacent rapidement, en courant souvent et en nageant, tenant la tête très bas par rapport à la surface de l'eau, ainsi que le font aussi les chevaliers aboyeurs.
La période de nidification commence vers la fin avril. Le lieu est choisi à la lisière des forêts, dans les landes et les prairies au voisinage des eaux. Il bâtit son nid dans une petite dépression qu'il garnit sobrement d'herbes. La ponte est de 4 oeufs olive tachés de brun dont l'incubation est assurée par les deux adultes pendant environ 21 jours.
Le chevalier Arlequin recherche sa nourriture dans les bas-fonds et les marécages où il déambule dans l'eau jusqu'au bas- ventre. Il se nourrit principalement de petits mollusques qu'il prélève grâce à son long bec légèrement incurvé, mais aussi d' insectes aquatiques qu'il capte à la surface.
Source: oiseaux.net
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant310.mp3
En plumage nuptial, il ne peut être confondu avec nul autre en raison de son plumage presque entièrement noir fuligineux ponctué de blanc sur le dessus. Les pattes sont rouge noirâtre, les sous-caudales rayées de blanc. En plumage hivernal, sa livrée gris pâle et ses ailes finement barrées de noir peuvent le faire confondre avec le chevalier gambette. Cependant, il est plus grand et plus élancé, avec des pattes plus longues et un tache rouge à la base du bec, qui est également plus long, plus mince et plus incurvé. D'autres éléments viennent renforcer la discrimination : Il est d'un gris plus pâle et plus pur dessus et plus blanc dessous. Les marques faciales sont différentes : chez l'arlequin, un étroit sourcil blanchâtre bien déterminé marque l'avant de l'oeil qui est également souligné par un trait loral noirâtre.
N°163
Dans son aire de nidification située dans l'extrême nord de l'Europe, il fréquente la toundra boisée ainsi que les tourbières et les marécages de la taïga. En hiver et au passage, on le trouve dans les marais salants, les estuaires vaseux et les lagunes saumâtres. Par contre, sa présence est rare le long des côtes basses.
La quête de la nourriture se fait en petits groupes serrés qui se déplacent rapidement, en courant souvent et en nageant, tenant la tête très bas par rapport à la surface de l'eau, ainsi que le font aussi les chevaliers aboyeurs.
La période de nidification commence vers la fin avril. Le lieu est choisi à la lisière des forêts, dans les landes et les prairies au voisinage des eaux. Il bâtit son nid dans une petite dépression qu'il garnit sobrement d'herbes. La ponte est de 4 oeufs olive tachés de brun dont l'incubation est assurée par les deux adultes pendant environ 21 jours.
Le chevalier Arlequin recherche sa nourriture dans les bas-fonds et les marécages où il déambule dans l'eau jusqu'au bas- ventre. Il se nourrit principalement de petits mollusques qu'il prélève grâce à son long bec légèrement incurvé, mais aussi d' insectes aquatiques qu'il capte à la surface.
Source: oiseaux.net
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LES OISEAUX D'EUROPE (philatélie) CHANTS quand possible
La Grive draine (Turdus viscivorus) est une espèce de passereaux appartenant à la famille des Turdidae.
Cet oiseau de grande taille mesure près de 27 cm.c'est la plus grosse des grives présentes en France.
Très craintive, elle fréquente les bois, les parcs ou toute formation arborée. L'hiver, associée à d'autres espèces de grives, on peut néanmoins l'apercevoir dans les prairies.
Comme la Grive musicienne, la Grive draine (Turdus viscivorus) est une migratrice partielle. Elle est présente dans toute l'Europe occidentale (à l'exception des régions les plus méridionales) toute l'année.
N°511
La Grive draine construit son nid dès la fin mars et parfois un second au mois de juin. C'est la femelle qui prend en charge la construction de ce nid, le mâle apportant les matériaux de construction. La femelle pond de 4 à 5 œufs qu'elle couve durant deux semaines. Si vous trouvez un nid ou un oisillon tombé du nid,il ne faut pas les toucher : votre odeur effraierait la grive qui ne reviendrait pas dans son nid et abandonnerait ses petits.
La Grive draine est également parfois nommée Grive viscivore, en référence au fait qu'elle se nourrit de baies du gui d'Europe (Viscum album) en été, contribuant ainsi à sa dissémination. Granivore ou insectivore selon la saison, la Grive draine se nourrit aussi de petits escargots, d'insectes et de larves diverses au printemps.
http://www.oiseaux-europe.com/Son/chant016.mp3
Cet oiseau de grande taille mesure près de 27 cm.c'est la plus grosse des grives présentes en France.
Très craintive, elle fréquente les bois, les parcs ou toute formation arborée. L'hiver, associée à d'autres espèces de grives, on peut néanmoins l'apercevoir dans les prairies.
Comme la Grive musicienne, la Grive draine (Turdus viscivorus) est une migratrice partielle. Elle est présente dans toute l'Europe occidentale (à l'exception des régions les plus méridionales) toute l'année.
N°511
La Grive draine construit son nid dès la fin mars et parfois un second au mois de juin. C'est la femelle qui prend en charge la construction de ce nid, le mâle apportant les matériaux de construction. La femelle pond de 4 à 5 œufs qu'elle couve durant deux semaines. Si vous trouvez un nid ou un oisillon tombé du nid,il ne faut pas les toucher : votre odeur effraierait la grive qui ne reviendrait pas dans son nid et abandonnerait ses petits.
La Grive draine est également parfois nommée Grive viscivore, en référence au fait qu'elle se nourrit de baies du gui d'Europe (Viscum album) en été, contribuant ainsi à sa dissémination. Granivore ou insectivore selon la saison, la Grive draine se nourrit aussi de petits escargots, d'insectes et de larves diverses au printemps.
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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