Les travailleuses des centres de la petite enfance syndiquées à la CSN demandent non seulement des hausses de salaire de 11,25 pour cent sur trois ans, mais aussi 10 jours de congé « personnel », 13 jours de congé férié et six semaines de vacances.
Éric Duhaime, via Facebook a écrit :Voici ce que les syndicats revendiquent pour justifier la grève. Les parents d'enfants en CPE sont les victimes qui paient de tous les bords, tous les côtés pour ce conflit: emmerdes pendant l'arrêt de travail, hausse de leurs impôts pour satisfaire les syndicats et obligation de fermer leurs gueules pour éviter les représailles ou se faire sortir de leur service de garde. À quand des parents libres de choisir leurs services sans se faire pénaliser par l'état, ni servir d'otage par les syndicats??? Donnez l'argent aux parents et qu'eux décident quoi faire avec!!!
Les syndicats...
"Le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle." Thomas Jefferson
Avec les moyens de pression qu'ils utilisent, ce sont les parents qui eux n'ont que 2 semaines de vacances par année qui sont pénalisés, car ils doivent les utiliser pour rester à la maison pendant que les éducatrices/éducateurs demandent des congés et vacances supplémentaires. C'est d'un ridicule !!
Le système coûte 8 fois plus cher que lorsqu'il a été créé en 1997.
Bureaux régionnaux, bureaux d'évaluation, conseil pour la nutrition -nouvelle cohorte pour la CSN.
Les gardiennes demandent 6 semaines de vacances. Elles veulent nous faire croire qu'elles sont des éducatrices à 25$ l'heures et demandent 11% d'augmentation.
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Depuis six mille ans, la guerre
Plaît aux peuples querelleurs,
Et Dieu perd son temps à faire
Les étoiles et les fleurs.
Le conjoint de ma cousine (qui a voté NPD et bande sur la photo de Khadir) me disait en fin de semaine qu'on se fait fourrer avec le prix du vin au Québec.
Il me demandait comment ça se faisait, que le Campofiorin se vendait 27$ au Québec et 15$ aux États-Unis.
Je lu ai demandé combien il pensait que gagnait le gars aux États-Unis dans l'entreprise privé où il avait acheté son vin.
Je lui ai ensuite demandé, s'il pensait qu'il méritait plus de 10$ l'heure...pour vendre du vin. Il a dit non!
Ensuite, je lui ai demandé combien, il pensait qu'un employé syndiqué de la SAQ gagnait au Québec...avec avantages sociaux et vacances et fonds de pension...pour le même travail.
L'ancien militaire venait d'avoir une petite leçon d'économie.
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Les travailleuses en garderie réclament de sept à huit semaines de vacances payées par année, ce qui est nettement exagéré, selon la ministre de la Famille, Yolande James.