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Nicolas Sarkozy
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Longue vie au grand peuple québécois. 7.8 millions de frères.
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Ptit Inculte de la politique française.
En gros c'est Mario Dumont, mais dans 40 ans quand il aura jamais gagné d'élection, fait honte au québec en passant au second tour en 2002 (Mario a fait l'équivalent en devenant opposition officielle), ce mec a déjà dit ne pas croire en l'égalité des races, il est très conservateur, très nationaliste et bah... En fait c'est l'extrême droite française mais vu que Sarko est de plus en plus à droite et en faveur de la répression policière éh bien on peut quasiment dire que Sarko a ainsi volé tout l'électorat de Lepen.
http://ca.youtube.com/watch?v=Dibv21LmZU4
En tout cas, c'est une vraie blague ce type.
En gros c'est Mario Dumont, mais dans 40 ans quand il aura jamais gagné d'élection, fait honte au québec en passant au second tour en 2002 (Mario a fait l'équivalent en devenant opposition officielle), ce mec a déjà dit ne pas croire en l'égalité des races, il est très conservateur, très nationaliste et bah... En fait c'est l'extrême droite française mais vu que Sarko est de plus en plus à droite et en faveur de la répression policière éh bien on peut quasiment dire que Sarko a ainsi volé tout l'électorat de Lepen.
http://ca.youtube.com/watch?v=Dibv21LmZU4
En tout cas, c'est une vraie blague ce type.
Jusqu'en avril 2007, Jean-Marie Le Pen a été condamné 25 fois.
Janvier 1960 : condamné pour des menaces de mort proférées à l'encontre d'un commissaire de police (Le Monde, 21 janvier 1992).
27 avril 1964 : condamné pour coups et blessures volontaires (Le Monde, 21 janvier 1992).
16 janvier 1969 : condamné à trois mois de prison avec sursis et 20 000 F de dommages et intérêts pour coups et blessures volontaires par le Tribunal de grande instance de Paris (Le Monde, 21 janvier 1992).
14 janvier 1971 : reconnu coupable par la Cour de cassation d'« apologie de crime de guerre ». La pochette d'un disque édité par la Serp affirmait : « La montée vers le pouvoir d'Adolf Hitler et du Parti national-socialiste fut caractérisée par un puissant mouvement de masse, somme toute populaire et démocratique, puisqu'il triompha à la suite de consultations électorales régulières, circonstance généralement oubliée. » (« La justice a plusieurs fois condamné le chef du FN pour des propos racistes ou antisémites », Le Monde, 24 avril 2002). La Cour écrit que « L'ensemble de cette publication était de nature à inciter tout lecteur à porter un jugement de valeur morale favorable aux dirigeants du parti national-socialiste allemand […] et constituait un essai de justification au moins partielle de leurs crimes » (Martine Aubry et Olivier Duhamel, Petit dictionnaire pour lutter contre l'extrême droite, éd. du Seuil, 1995, article « Justice »).
11 mars 1986 : condamné au franc symbolique par le tribunal d'Aubervilliers pour « antisémitisme insidieux » (« La justice a plusieurs fois condamné le chef du FN pour des propos racistes ou antisémites », Le Monde, 24 avril 2002). La peine est confirmée en appel le 9 juillet. Jean-Marie Le Pen s'en était violemment pris à des journalistes juifs ou d'ascendance juive : « Je dédie votre accueil à Jean-François Kahn, à Jean Daniel, à Yvan Levaï, à Elkabbach, à tous les menteurs de la presse de ce pays. Ces gens-là sont la honte de leur profession. Monsieur Lustiger me pardonnera ce moment de colère, puisque même Jésus le connut lorsqu'il chassa les marchands du temple, ce que nous allons faire pour notre pays. » Et il leur accordait comme circonstance atténuante de n'avoir « appris le français que récemment ».
27 mars 1986 : reconnu coupable d'apologie de crimes de guerre dont la déportation pour l'édition d'un disque sur lequel on peut entendre « un hymne du parti nazi » et « Vive Hitler ».
16 novembre 1987 : condamné à 3 000 F d'amende et 8 000 F de dommages et intérêts à verser au Mrap pour « provocation à la haine, la discrimination et la violence raciale » par le Tribunal de Paris à la suite de la distribution d'un tract lors des élections municipales de 1983. Condamné lors du même procès à 5 000 F d'amende pour « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale » pour ses propos lors d'une l'émission télévisée du 14 février 1984, selon lesquels « le monde islamo-arabe » constituerait un « danger mortel ». Peines confirmées par la Cour d'appel de Paris (11e chambre) le 29 mars 1989.
8 juin 1993 : Cassation partielle[39] de l'arrêt de la cour d'appel de Paris du 29 mars 1989 en ses dispositions portant condamnations pénales et civiles du chef du délit de provocation à la discrimination raciale (condamnation concernant les propos tenus lors de l'émission télévisée). Pour la cour d'appel, Le Pen
« met l'accent sur le « monde islamo-arabe qui actuellement pénètre dans notre pays » et le « danger mortel » pour les français de se voir ainsi « colonisés » ; que de tels propos sont de nature à créer dans l'esprit des français l'idée qu'ils sont menacés dans leur identité même par la présence sur leur territoire de musulmans venant du tiers monde, à faire naître envers ce groupe déterminé, à raison de sa religion des réactions de rejet et à provoquer des actes discriminatoires voire de violence »
alors que pour la Cour de cassation,
« les expressions reprochées au demandeur ne désignaient aucune personne ou aucun groupe de personnes autre que des populations étrangères indéterminées, n'étaient de nature à inciter le public ni à la haine, ni à la violence, ni à la discrimination raciale et n'avaient pas dépassé les limites du droit à la libre expression sur le phénomène de l'immigration, la cour d'appel a dénaturé les propos incriminés et fait une fausse application de l'article 24 alinéa 6 de la loi du 29 juillet 1881 »
Janvier 1991 : condamné par le tribunal de grande instance de Lyon, pour « trouble manifestement illicite à l'ordre public », à retirer tous ses affiches et tous ses tracts faisant référence au sida[40]. La cour d'appel de Lyon la condamnation pour « utilisation du terme SIDA pour stigmatiser l'immigration qui représenterait un danger aussi grave que la maladie porte une atteinte intolérable à la dignité des malades, qui ont droit au respect et à la solidarité et également une atteinte intolérable à la dignité des populations immigrées ».
18 mars 1991 : condamné par la cour d'appel de Versailles pour « banalisation de crimes contre l'humanité » et « consentement à l'horrible » pour avoir déclaré :
« Je me pose un certain nombre de questions. Et je ne dis pas que les chambres à gaz n'ont pas existé. Je n'ai pas pu moi-même en voir. Je n'ai pas étudié spécialement la question. Mais je crois que c'est un point de détail de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale. [...] Si, c'est un point de détail au niveau de la guerre ! Voulez-vous me dire que c'est une vérité révélée à laquelle tout le monde doit croire ? Que c'est une obligation morale ? Je dis qu'il y a des historiens qui débattent de ces questions. »
Jean-Marie Le Pen doit verser 10 F au MRAP, 100 000 F aux neuf autres associations s'étant portées parties civiles. Il doit faire publier le jugement à ses frais dans cinq quotidiens nationaux, à concurrence de 15 000 F, et dans cinq hebdomadaires, à concurrence de 30 000 F. En outre M. Le Pen est condamné aux dépens, et doit verser, au titre de l'article 700 du code de procédure civile, 1 000 F à chacune des dix associations (« L'affaire du « point de détail » — La cour d'appel de Versailles aggrave les peines prononcées contre M. Le Pen », Le Monde, 20 mars 1991).
27 mai 1992 : condamné pour « diffamation » par le tribunal de grande instance de Paris à 1 F symbolique de dommages et intérêts à Jean-Christophe Cambadélis. Jean-Marie Le Pen avait qualifié le député PS d'« ancien — ou toujours — trotskiste, et ami des organisations terroristes allemandes » (Le Monde, 7 juin 1992).
3 juin 1993 : condamné à 10 000 francs d'amende par la Cour d'appel de Paris « injure publique » au ministre de la Fonction publique de l'époque, Michel Durafour, appelé « monsieur Durafour-crématoire » (Le Monde, 5 juin 1993). Le 7 décembre de la même année, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi.
8 novembre 1995 : condamné à un redressement de 1,4 million de francs pour « oublis de plus-value boursière et sous-estimation de loyer ».
15 novembre 1996 : condamné le tribunal de grande instance de Mont-de-Marsan à 10 000 F de dommages et intérêts pour avoir tenu des propos ayant « gravement porté atteinte » au président du tribunal d'Auch (Le Monde, 17 novembre 1996).
6 janvier 1997 : condamné à 6 000 F d'amende et 1 F symbolique de dommages et intérêts par la première chambre civile du tribunal de grande instance de Strasbourg pour avoir qualifié l'association Ras l'front de « mouvement de tueurs de flics » (Le Monde, 10 janvier 1997).
4 juillet 1997 : condamné à 5 000 F d'amende par la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris, pour avoir traité le président de SOS-Racisme, Fodé Sylla, de « gros zébu fou » lors d'une conférence de presse (Le Monde, 6 juillet 1997).
26 décembre 1997[41] : condamné à 300 000 F de consignation pour diffusion du jugement dans des journaux, à verser entre un franc symbolique et 5 000 F de dommages et intérêts à onze associations plaignantes, et à payer leurs frais de justice par le Tribunal de grande instance de Nanterre pour « banalisation de crimes contre l'humanité, consentement à l'horrible », pour avoir dit lors d'une conférence de presse en compagnie de Franz Schönhuber, le 5 décembre 1997 à Munich que « dans un livre de mille pages sur la Seconde Guerre mondiale, les camps de concentration occupent deux pages et les chambres à gaz dix à quinze lignes, ce qui s'appelle un détail ». Le 10 septembre 1999, la cour d'appel de Versailles confirme la peine (Le Monde, 15 septembre 1999).
2 avril 1998 : condamné à deux ans d'inéligibilité (réduits à un an par la cour d'appel, qui ajoute 8000 F d'amende) et trois mois de prison avec sursis par le Tribunal correctionnel de Versailles pour « violences en réunion » et « injures publiques » (faits requalifiés par la Cour d'appel en « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique dans l'exercice de ses fonctions ») pour avoir agressé la maire et candidate socialiste Annette Peulvast-Bergeal (qui portait son écharpe d'élue) lors des législatives de 1997 [42]. Le 23 novembre 1999, la Cour de cassation a rejeté son pourvoi[43],[44]. Par une décision du 10 mai 2001, la Cour européenne des droits de l'homme a déclaré irrecevable sa requête fondée sur la violation de l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme[45].
9 septembre 1998 : condamné au franc symbolique pour avoir présenté une tête en carton à l'effigie de Catherine Trautmann lors d'un meeting du Front national en mai 1996. Le tribunal parle d'« mise en scène macabre et choquante évoquant l'image de la mise à mort par décapitation visant d'une manière certes symbolique mais intolérable à l'élimination de l'intéressée », et estime que « l'agressivité de cette mise en scène est de nature à susciter envers Catherine Trautmann un climat d'hostilité excédant les limites admissibles d'un débat d'opinion dans une société démocratique » (Le Monde, 1er octobre 1998).
Novembre 1998 : condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre à 10 000 F de dommages et intérêts à l'Union des étudiants juifs de France pour avoir déclaré « Je crois à l'inégalité des races », lors de l'université d'été du FN, le 30 août 1996 (Le Monde, 27 novembre 1998).
10 juin 1999 : condamné à 12 000 DM (environ 6 000 €) d'amende par le tribunal d'instance de Munich pour incitation à la haine raciale et apologie de crime de guerre, i.e. « le point de détail » (MRAP, avril 2002)
24 février 2003 : La cour d'appel de Paris a confirmé jeudi 24 février la condamnation de Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour incitation à la haine raciale, pour des propos sur les musulmans parus dans Le Monde du 19 avril 2003.
2 avril 2004 : Le tribunal correctionnel de Paris a condamné Jean-Marie Le Pen à 10 000 euros d'amende pour provocation à la haine raciale, en raison de propos tenus l'an précédent dans une interview au quotidien Le Monde (il avait déclaré notamment « Le jour où nous aurons en France, non plus 5 millions mais 25 millions de musulmans, ce sont eux qui commanderont. Et les Français raseront les murs, descendront des trottoirs en baissant les yeux. »). Jean-Marie Le Pen devra également verser 5 000 euros de dommages et intérêts à la Ligue des droits de l'homme et la même somme à la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra), qui étaient parties civiles. Décision qui sera confirmée le 11 mai 2006 par la chambre criminelle de la cour de cassation.
Le président du FN a également été condamné à verser 5 000 euros de dommages et intérêts à la LDH, partie civile (Le Monde, daté du 25 février 2005).
8 février 2008 : condamné à 10 000 € d'amende et à 3 mois de prison avec sursis pour complicité d'apologie de crimes de guerre et contestation de crime contre l'humanité, en raison de propos publiés en 2005 dans l'hebdomadaire Rivarol, qualifiant l'occupation allemande de « pas particulièrement inhumaine ».
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