Mon bon Agent, on devrait ouvrir un espace où nous pourrions nous insulter tranquillement, sans toujours être dérangés par des "empêcheuses de tourner en rond".
Bon, le but est, évidemment, de s'insulter gentiment, sans méchanceté, comme nous faisons depuis hier. On verra lequel des deux a la meilleure liste et le plus d'imagination et de pertinence.
Qu'en penses-tu, :sale moujik: ? (maudit qu'elle te va bien celle-là !)
"Le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle." Thomas Jefferson
Mark a écrit :Qu'en penses-tu, :sale moujik: ? (maudit qu'elle te va bien celle-là !)
Pourquoi pas, :vipère lubrique:, je ne suis pas contre.
:Oui.:
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.
Bon Mark, c'est sérieux, va t'en, t'es pas admis, le Demi-Dieu Agent l'a dit. Alors je te laisse sur une masturbation mentale...
_________________________________________
À toi Mark que j'aime tant
Et dont le nom rime avec fion
Je voudrai dire ma passion
Et mon amour de chaque instant
Au travers de ces quelques mots
Quand bien même sont-ils puérils
Révéler que tu es homo
Et très grand suceur de pistil
Faire savoir à tes vestales
Dans ce forum ou nul n’est vierge
Que ta cambrure n’a d’égale
Que la courbure de ma verge
Et quand dans ton corps je pénètre
Au moins de 18 centimètres
Je sens que vibre tout ton être
Sur le pourtour de mon urètre
Puis quand dans tes yeux révulsés
Je vois l’extase s’installer,
Je me retire de ton anal
Pour t’abreuver de ma faciale.
Tu te donnes à moi corps et âme
Tu me reçois je te visite
Et pour terminer dans un drame
Je te finis à coups de bite
L’amour que je ressens pour toi
Ne souffre aucune comparaison
Quand au fin fond de ton oignon
J’enfonce ni 1, ni 2 mais 3 doigts
Pour finir j’avoue sans complexe
Et devant tous les forumeux
Que quand tu me pompes le nœud
Tu es vraiment le roi du sexe
Je n’ai pour toi qu’admiration
Toi mon Mark que j’aime tant
Même si ton nom rime avec fion
Je t’offre pour la vie mon gland.
______________________________________ PS: RIEN DE ÇA N'EST VRAI ...
Dernière modification par killerguitar le mer. nov. 04, 2009 8:11 pm, modifié 1 fois.
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.
killerguitar a écrit :Bon Mark, c'est sérieux, va t'en, t'es pas admis, le Demi-Dieu Agent l'a dit. Alors je te laisse sur ma masturbation mentale... poétique...
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À toi Mark que j'aime tant
Et dont le nom rime avec fion
Je voudrai dire ma passion
Et mon amour de chaque instant
Au travers de ces quelques mots
Quand bien même sont-ils puérils
Révéler que tu es homo
Et très grand suceur de pistil
Faire savoir à tes vestales
Dans ce forum ou nul n’est vierge
Que ta cambrure n’a d’égale
Que la courbure de ma verge
Et quand dans ton corps je pénètre
Au moins de 18 centimètres
Je sens que vibre tout ton être
Sur le pourtour de mon urètre
Puis quand dans tes yeux révulsés
Je vois l’extase s’installer,
Je me retire de ton anal
Pour t’abreuver de ma faciale.
Tu te donnes à moi corps et âme
Tu me reçois je te visite
Et pour terminer dans un drame
Je te finis à coups de bite
L’amour que je ressens pour toi
Ne souffre aucune comparaison
Quand au fin fond de ton oignon
J’enfonce ni 1, ni 2 mais 3 doigts
Pour finir j’avoue sans complexe
Et devant tous les forumeux
Que quand tu me pompes le nœud
Tu es vraiment le roi du sexe
Je n’ai pour toi qu’admiration
Toi mon Mark que j’aime tant
Même si ton nom rime avec fion
Je t’offre pour la vie mon gland.
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CENSURÉ
Tu m'avais caché le fait que j'étais ta muse...
"Le prix de la liberté, c'est la vigilance éternelle." Thomas Jefferson
Non mais à la place d'effacer, t'aurais pu être honnête avec toi et prendre le tout au second degré.
PS: RIEN DE ÇA N'EST VRAI ... qu'une simple improvisation ...
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.
Non mais à la place d'effacer, t'aurais pu être honnête avec toi et prendre le tout au second degré.
des fois je me dis que le seul degré que t'es capable de prendre c'est celui de ton rectum
Palpitant.
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.