UNE NOUVELLE DU JOUR
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Découverte récente d'une météorite martienne unique, riche en eau
Une météorite martienne de 2,1 milliards d'années découverte récemment en Afrique du nord diffère de toutes celles trouvées jusqu'alors par sa richesse en eau et sa similitude des roches analysées par les sondes de la NASA sur Mars, selon une étude publiée jeudi
"La roche basaltique --d'origine volcanique-- contenue dans cette météorite est similaire à la composition de la croûte martienne ou de la partie supérieure du manteau de Mars", explique Carl Agee, de l'Université du Nouveau Mexique (sud-ouest), un des principaux co-auteurs de cette recherche parue dans la revue Science datée du 4 janvier.
"Nos analyses des isotopes de l'oxygène montre que cette météorite, appelée NWA (Northwest Africa) 7034, est différente de toutes les autres alors que sa composition chimique correspond à la formation du sol de Mars et à des interactions avec l'atmosphère de la planète rouge", ajoute-t-il.
Selon ce scientifique, l'abondance de molécules d'eau dans cette météorite (environ 6.000 parties par million ou dix fois plus que dans les autres météorites martiennes connues) fait penser qu'elle se trouvait sur la surface de Mars il y a 2,1 milliards d'années.
L'eau a pu provenir d'une source volcanique ou d'un aquifère proche de la surface, ce qui laisse penser qu'une activité aqueuse a persisté à la surface de Mars durant tout le début de l'ère de l'Amazonien.
"Nos analyses du carbone montre également que la météorite a subi une seconde transformation à la surface de Mars qui explique la présence de macro-molécule de carbone organique", relève Andrew Steele, de la Carnegie Institution, autre co-auteur de l'étude.
Pour ce scientifique, "il s'agit de la météorite martienne la plus riche géochimiquement jamais trouvée et les analyses qui se poursuivent vont probablement révéler d'autres surprises".
Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.
Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science puisse déterminer l'origine de ces météorites à partir de l'étude des gaz atmosphériques piégés à l'intérieur des roches.
Curiosity, la sonde la plus sophistiquée jamais envoyée sur une autre planète, se trouve depuis début août dans le cratère de Gale sur l'équateur martien pour déterminer si la planète rouge a été propice à la vie microbienne dans son passé.
Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. En 2012, la Meteoritical Society, avait répertorié plus de 42.000 météorites, un nombre qui augmente d'environ 1.500 chaque année.
Une météorite martienne de 2,1 milliards d'années découverte récemment en Afrique du nord diffère de toutes celles trouvées jusqu'alors par sa richesse en eau et sa similitude des roches analysées par les sondes de la NASA sur Mars, selon une étude publiée jeudi
"La roche basaltique --d'origine volcanique-- contenue dans cette météorite est similaire à la composition de la croûte martienne ou de la partie supérieure du manteau de Mars", explique Carl Agee, de l'Université du Nouveau Mexique (sud-ouest), un des principaux co-auteurs de cette recherche parue dans la revue Science datée du 4 janvier.
"Nos analyses des isotopes de l'oxygène montre que cette météorite, appelée NWA (Northwest Africa) 7034, est différente de toutes les autres alors que sa composition chimique correspond à la formation du sol de Mars et à des interactions avec l'atmosphère de la planète rouge", ajoute-t-il.
Selon ce scientifique, l'abondance de molécules d'eau dans cette météorite (environ 6.000 parties par million ou dix fois plus que dans les autres météorites martiennes connues) fait penser qu'elle se trouvait sur la surface de Mars il y a 2,1 milliards d'années.
L'eau a pu provenir d'une source volcanique ou d'un aquifère proche de la surface, ce qui laisse penser qu'une activité aqueuse a persisté à la surface de Mars durant tout le début de l'ère de l'Amazonien.
"Nos analyses du carbone montre également que la météorite a subi une seconde transformation à la surface de Mars qui explique la présence de macro-molécule de carbone organique", relève Andrew Steele, de la Carnegie Institution, autre co-auteur de l'étude.
Pour ce scientifique, "il s'agit de la météorite martienne la plus riche géochimiquement jamais trouvée et les analyses qui se poursuivent vont probablement révéler d'autres surprises".
Au total, une centaine de météorites d'origine martienne ont été retrouvées à ce jour.
Il a fallu attendre les années 1980 pour que la science puisse déterminer l'origine de ces météorites à partir de l'étude des gaz atmosphériques piégés à l'intérieur des roches.
Curiosity, la sonde la plus sophistiquée jamais envoyée sur une autre planète, se trouve depuis début août dans le cratère de Gale sur l'équateur martien pour déterminer si la planète rouge a été propice à la vie microbienne dans son passé.
Les météorites d'origine martienne et lunaire sont rares. La plupart proviennent de la ceinture d'astéroïdes, région du système solaire située entre Mars et Jupiter. En 2012, la Meteoritical Society, avait répertorié plus de 42.000 météorites, un nombre qui augmente d'environ 1.500 chaque année.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Le blocage antipub, un coup de semonce de Free contre Google
Le dispositif antipub de la Freebox en France menace potentiellement la presse en ligne mais sonne surtout comme un coup de semonce contre le géant Google, premier bénéficiaire de la publicité sur le web au détriment de fournisseurs d'accès à l'internet comme Free
"C'est une vieille histoire entre Google et les opérateurs fournisseurs d'accès", rappelle Philippe Jannet, ex-président du GESTE (Groupement des éditeurs numériques) et actuellement directeur général du GIE e-Presse, le kiosque numérique regroupant plusieurs grands éditeurs de presse.
Depuis des années, les fournisseurs d'accès à l'internet se plaignent que les grands fournisseurs américains de contenu siphonnent toute la publicité des sites web, ne leur laissant rien alors qu'ils sont obligés de consentir d'importants investissements pour faire face à la place de plus en plus grande de la vidéo, très gourmande en bande passante.
Quand les opérateurs "voient un coucou comme Google vendre l'eau qui circule dans les tuyaux qu'ils ont fournis sans leur reverser un centime, ils ont de quoi s'énerver", observe M. Jannet.
Dans ce contexte, l'annonce que la "box" qui permet aux abonnés de Free d'accéder à l'internet éliminait d'office les publicités a été perçue par les spécialistes du net comme une escalade dans l'offensive anti-Google.
A ce stade, le blocage antipub de Free est opportunément présenté dans sa version "béta", c'est-à-dire en phase de test.
Car en réalité, Free ne vise qu'à "faire monter la pression sur Google" pour négocier un partage de la valeur générée par la publicité en ligne, dans le cadre d'un accord de "peering payant" avec l'américain, explique à l'AFP une source proche du dossier.
L'opérateur historique, Orange (France Télécom), a lui-même négocié avec Google un accord similaire pour un montant chiffré en millions d'euros, et ses concurrents comme Bouygues voudraient en faire autant, selon la même source.
"Si Free atteint son objectif, une petite révolution est en vue", relève Tangi Le Liboux, analyste du courtier Aurel BGC. "Mais nous n'y sommes pas encore", prévient-il.
Même si le "dernier coup" de Free révèle la fragilité de l'écosystème s'appuyant sur la monétisation par la publicité des sites, M. Jannet ne voit "pas l'intérêt pour Free d'entrer en guerre avec les éditeurs de presse en ligne" qui basculent d'ailleurs peu peu à peu vers des modèles hybrides entre publicité et abonnements payants.
Ce n'est pas un hasard si Free a choisi les premiers jours de janvier, c'est-à-dire "la période de l'année où il y a le moins d'affichages publicitaires", a expliqué à l'AFP la source proche du dossier.
Ce choix lui permet de frapper sans faire trop de mal aux médias en ligne, dont les recettes sont tirées, pour les plus diversifiés, à 65% de la pub.
Le chiffre d'affaires réalisé en France par Google serait "d'environ 1,6 milliard d'euros", et le nouveau dispositif de Free - qui compte 5 millions d'abonnés - pourrait faire perdre à l'américain "jusqu'à un million d'euros par jour", selon les estimations d'une source proche du dossier.
"Voilà qui devrait pousser le géant à parler au petit opérateur", résume-elle.
Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Google a indiqué que le groupe américain avait "constaté les mesures prises par Free" et était "en train d'analyser la situation".
La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, s'est dite consciente de l'existence d'un "différend entre Free et Google", sans pouvoir dire si ce dispositif antipub s'inscrivait dans ce contexte.
Mme Pellerin doit recevoir lundi les éditeurs et l'opérateur. "S'il y a une négociation en cours entre Free et Google sur le partage de la valeur, c'est de cela dont nous allons parler", a-t-elle indiqué.
De son côté, l'Autorité des postes et télécoms (Arcep) a adressé un courrier à Free "afin de l'interroger sur la finalité et les modalités détaillées du dispositif mis en place". Le régulateur attend la réponse de l'opérateur "pour le milieu de la semaine prochaine".
Le dispositif antipub de la Freebox en France menace potentiellement la presse en ligne mais sonne surtout comme un coup de semonce contre le géant Google, premier bénéficiaire de la publicité sur le web au détriment de fournisseurs d'accès à l'internet comme Free
"C'est une vieille histoire entre Google et les opérateurs fournisseurs d'accès", rappelle Philippe Jannet, ex-président du GESTE (Groupement des éditeurs numériques) et actuellement directeur général du GIE e-Presse, le kiosque numérique regroupant plusieurs grands éditeurs de presse.
Depuis des années, les fournisseurs d'accès à l'internet se plaignent que les grands fournisseurs américains de contenu siphonnent toute la publicité des sites web, ne leur laissant rien alors qu'ils sont obligés de consentir d'importants investissements pour faire face à la place de plus en plus grande de la vidéo, très gourmande en bande passante.
Quand les opérateurs "voient un coucou comme Google vendre l'eau qui circule dans les tuyaux qu'ils ont fournis sans leur reverser un centime, ils ont de quoi s'énerver", observe M. Jannet.
Dans ce contexte, l'annonce que la "box" qui permet aux abonnés de Free d'accéder à l'internet éliminait d'office les publicités a été perçue par les spécialistes du net comme une escalade dans l'offensive anti-Google.
A ce stade, le blocage antipub de Free est opportunément présenté dans sa version "béta", c'est-à-dire en phase de test.
Car en réalité, Free ne vise qu'à "faire monter la pression sur Google" pour négocier un partage de la valeur générée par la publicité en ligne, dans le cadre d'un accord de "peering payant" avec l'américain, explique à l'AFP une source proche du dossier.
L'opérateur historique, Orange (France Télécom), a lui-même négocié avec Google un accord similaire pour un montant chiffré en millions d'euros, et ses concurrents comme Bouygues voudraient en faire autant, selon la même source.
"Si Free atteint son objectif, une petite révolution est en vue", relève Tangi Le Liboux, analyste du courtier Aurel BGC. "Mais nous n'y sommes pas encore", prévient-il.
Même si le "dernier coup" de Free révèle la fragilité de l'écosystème s'appuyant sur la monétisation par la publicité des sites, M. Jannet ne voit "pas l'intérêt pour Free d'entrer en guerre avec les éditeurs de presse en ligne" qui basculent d'ailleurs peu peu à peu vers des modèles hybrides entre publicité et abonnements payants.
Ce n'est pas un hasard si Free a choisi les premiers jours de janvier, c'est-à-dire "la période de l'année où il y a le moins d'affichages publicitaires", a expliqué à l'AFP la source proche du dossier.
Ce choix lui permet de frapper sans faire trop de mal aux médias en ligne, dont les recettes sont tirées, pour les plus diversifiés, à 65% de la pub.
Le chiffre d'affaires réalisé en France par Google serait "d'environ 1,6 milliard d'euros", et le nouveau dispositif de Free - qui compte 5 millions d'abonnés - pourrait faire perdre à l'américain "jusqu'à un million d'euros par jour", selon les estimations d'une source proche du dossier.
"Voilà qui devrait pousser le géant à parler au petit opérateur", résume-elle.
Interrogé par l'AFP, un porte-parole de Google a indiqué que le groupe américain avait "constaté les mesures prises par Free" et était "en train d'analyser la situation".
La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, s'est dite consciente de l'existence d'un "différend entre Free et Google", sans pouvoir dire si ce dispositif antipub s'inscrivait dans ce contexte.
Mme Pellerin doit recevoir lundi les éditeurs et l'opérateur. "S'il y a une négociation en cours entre Free et Google sur le partage de la valeur, c'est de cela dont nous allons parler", a-t-elle indiqué.
De son côté, l'Autorité des postes et télécoms (Arcep) a adressé un courrier à Free "afin de l'interroger sur la finalité et les modalités détaillées du dispositif mis en place". Le régulateur attend la réponse de l'opérateur "pour le milieu de la semaine prochaine".
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Japon: un thon rouge de 222 kilos vendu... 1,38 million d'euros
Un thon rouge de 222 kilos a été vendu samedi à Tokyo 1,38 million d'euros (1,8 M USD) lors de la première criée de l'année au grand marché aux poissons de Tsukiji
Le poisson, capturé au large de la ville de Oma, au nord du Japon, a été acheté pour 155,4 millions de yen par le propriétaire d'une célèbre chaîne de restaurants de sushis, pulvérisant de trois fois le record de l'an dernier, a indiqué un responsable de la traditionnelle vente aux enchères inaugurale du plus grand marché de poissons du monde.
Kiyoshi Kimura, le propriétaire de la chaîne de restaurant, avait déjà remporté l'enchère de l'an dernier.
"Je voulais être à la hauteur des attentes de mes clients qui veulent manger le meilleur thon possible comme l'an dernier", a-t-il déclaré à l'agence de presse Jiji.
Au prix où il l'a acheté, cela équivaut à environ 6.000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros, mais la société a indiqué qu'elle comptait le commercialiser à environ 400 yen par sushi (3,5 euros).
Le thon rouge, une espèce surexploitée, est le poisson le plus cher au marché de Tsukiji. Les Japonais consomment environ les trois quarts de la pêche mondiale de cette espèce
Un thon rouge de 222 kilos a été vendu samedi à Tokyo 1,38 million d'euros (1,8 M USD) lors de la première criée de l'année au grand marché aux poissons de Tsukiji
Le poisson, capturé au large de la ville de Oma, au nord du Japon, a été acheté pour 155,4 millions de yen par le propriétaire d'une célèbre chaîne de restaurants de sushis, pulvérisant de trois fois le record de l'an dernier, a indiqué un responsable de la traditionnelle vente aux enchères inaugurale du plus grand marché de poissons du monde.
Kiyoshi Kimura, le propriétaire de la chaîne de restaurant, avait déjà remporté l'enchère de l'an dernier.
"Je voulais être à la hauteur des attentes de mes clients qui veulent manger le meilleur thon possible comme l'an dernier", a-t-il déclaré à l'agence de presse Jiji.
Au prix où il l'a acheté, cela équivaut à environ 6.000 euros le kilo, ce qui mettrait la simple petite tranche de sushi à environ 260 euros, mais la société a indiqué qu'elle comptait le commercialiser à environ 400 yen par sushi (3,5 euros).
Le thon rouge, une espèce surexploitée, est le poisson le plus cher au marché de Tsukiji. Les Japonais consomment environ les trois quarts de la pêche mondiale de cette espèce
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP: Brésil: un chat spécialement entraîné à l'évasion de prisonniers
Les gardiens d'une prison brésilienne ont capturé un chat que des détenus, pleins d'imagination, avaient spécialement dressé pour leur fournir tout une panoplie nécessaire à une évasion, rapporte samedi le journal O Globo
C'est un agent de la prison qui a découvert la supercherie. Celui-ci, intrigué par le comportement bizarre du félin et en l'examinant de près a constaté qu'un sac, attaché à son corps, contenait tout un matériel pour s'évader: lames de scie, instruments nécessaires à forer et percer le ciment, ainsi qu'un téléphone portable avec son chargeur, a relaté au journal O Globo, Marcelo Avelino le responsable des gardiens de la prison de Alagoas, dans le nord-est du pays.
Le chat avait été souvent vu entrant et sortant en toute quiétude de la prison.
Un responsable de l'établissement pénitentiaire, Luiz de Oliveira Souza, a précisé sur le site internet de G1 news que les prisonniers avaient élevé le chat et que des proches le reprenaient souvent chez eux à l'issue d'une visite à la prison.
"On a été très surpris par cette nouvelle tactique des prisonniers", a-t-il commenté.
Les gardiens d'une prison brésilienne ont capturé un chat que des détenus, pleins d'imagination, avaient spécialement dressé pour leur fournir tout une panoplie nécessaire à une évasion, rapporte samedi le journal O Globo
C'est un agent de la prison qui a découvert la supercherie. Celui-ci, intrigué par le comportement bizarre du félin et en l'examinant de près a constaté qu'un sac, attaché à son corps, contenait tout un matériel pour s'évader: lames de scie, instruments nécessaires à forer et percer le ciment, ainsi qu'un téléphone portable avec son chargeur, a relaté au journal O Globo, Marcelo Avelino le responsable des gardiens de la prison de Alagoas, dans le nord-est du pays.
Le chat avait été souvent vu entrant et sortant en toute quiétude de la prison.
Un responsable de l'établissement pénitentiaire, Luiz de Oliveira Souza, a précisé sur le site internet de G1 news que les prisonniers avaient élevé le chat et que des proches le reprenaient souvent chez eux à l'issue d'une visite à la prison.
"On a été très surpris par cette nouvelle tactique des prisonniers", a-t-il commenté.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP: Espace: au moins 17 milliards de planètes de taille terrestre dans la Voie Lactée
Au moins 17 milliards de planètes d'une taille similaire ou proche de celle de la Terre se trouveraient dans la Voie lactée, notre galaxie, selon une nouvelle estimation publiée lundi aux Etats-Unis
Cela ne veut pas dire pour autant qu'elles sont toutes potentiellement habitables, mais la probabilité de découvrir des planètes soeurs de la Terre augmente notablement.
Pour être habitable, une planète doit se trouver à une distance de leur étoile permettant des températures à leur surface ni trop chaudes ni trop froides pour que l'eau puisse exister à l'état liquide et où la vie serait possible.
Cette estimation résulte d'une nouvelle analyse des données recueillies par le télescope spatial américain Kepler lancé en 2009 pour rechercher des planètes se trouvant hors de notre système solaire ou exoplanètes.
Au moins une étoile sur six dans la Voie Lactée a une planète de taille terrestre en orbite autour d'elle, selon François Fressin du Centre d'Astrophysique de l'Université de Harvard, principal auteur de cette recherche estimant que la galaxie contient environ cent milliards d'étoiles.
Il a présenté ces résultats à la conférence annuelle de l'American Astronomical Society réunie cette semaine à Long Beach (Californie, ouest).
Kepler détecte une exoplanète quand celle-ci passe devant son étoile et entraîne une baisse de luminosité à l'endroit où elle transite.
Kepler identifie ainsi les exoplanètes potentielles en mesurant en permanence les changements de luminosité de plus de 150.000 étoiles situées dans les constellations du Cygne et de la Lyre.
Durant les 16 premiers mois de l'observation, Kepler a identifié 2.400 exoplanètes potentielles.
Ces scientifiques ont cherché à déterminer combien de ces signaux correspondaient bien à la présence d'une exoplanètes et combien d'exoplanètes Kepler avaient ratées.
Au moins 17 milliards de planètes d'une taille similaire ou proche de celle de la Terre se trouveraient dans la Voie lactée, notre galaxie, selon une nouvelle estimation publiée lundi aux Etats-Unis
Cela ne veut pas dire pour autant qu'elles sont toutes potentiellement habitables, mais la probabilité de découvrir des planètes soeurs de la Terre augmente notablement.
Pour être habitable, une planète doit se trouver à une distance de leur étoile permettant des températures à leur surface ni trop chaudes ni trop froides pour que l'eau puisse exister à l'état liquide et où la vie serait possible.
Cette estimation résulte d'une nouvelle analyse des données recueillies par le télescope spatial américain Kepler lancé en 2009 pour rechercher des planètes se trouvant hors de notre système solaire ou exoplanètes.
Au moins une étoile sur six dans la Voie Lactée a une planète de taille terrestre en orbite autour d'elle, selon François Fressin du Centre d'Astrophysique de l'Université de Harvard, principal auteur de cette recherche estimant que la galaxie contient environ cent milliards d'étoiles.
Il a présenté ces résultats à la conférence annuelle de l'American Astronomical Society réunie cette semaine à Long Beach (Californie, ouest).
Kepler détecte une exoplanète quand celle-ci passe devant son étoile et entraîne une baisse de luminosité à l'endroit où elle transite.
Kepler identifie ainsi les exoplanètes potentielles en mesurant en permanence les changements de luminosité de plus de 150.000 étoiles situées dans les constellations du Cygne et de la Lyre.
Durant les 16 premiers mois de l'observation, Kepler a identifié 2.400 exoplanètes potentielles.
Ces scientifiques ont cherché à déterminer combien de ces signaux correspondaient bien à la présence d'une exoplanètes et combien d'exoplanètes Kepler avaient ratées.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP: La consommation excessive d'alcool touche près de 14 millions d'Américaines
Près de 14 millions de femmes et de lycéennes américaines sont touchées par le phénomène du "binge drinking", consommant régulièrement en moyenne six verres d'alcool lors d'une même soirée, ont indiqué mardi les autorités sanitaires
Selon un rapport des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui met en garde contre ce problème de santé souvent sous-estimé, ces femmes et lycéennes se livrent trois fois par mois environ à ces soirées, où la consommation d'alcool est considérée excessive à partir de quatre verres chez les femmes.
Ce phénomène est le plus fréquent chez des femmes de 18 à 34 ans et les lycéennes. Elles sont le plus souvent blanches et hispaniques et vivent dans des ménages dont les revenus annuels sont de 75.000 dollars et plus.
La moitié de toutes les lycéennes qui consomment de l'alcool reconnaissent boire au moins quatre verres d'alcool à chacune de ces occasions, précisent les CDC.
Boire excessivement provoque quelque 23.000 décès par an parmi les femmes et les lycéennes aux Etats-Unis.
"Trop boire est responsable d'un grand nombre de problèmes de santé et il existe des moyens vérifiés de l'éviter", souligne le Dr Thomas Frieden, directeur des CDC, citant des programmes pour conseiller les femmes et les jeunes femmes et prévenir de tels excès.
"C'est alarmant de voir qu'une consommation aussi excessive d'alcool est courante parmi les femmes et les lycéennes", déplore le Dr Robert Brewer, responsable du programme sur l'alcool aux CDC.
Pour ce rapport, les chercheurs des CDC ont étudié les habitudes de consommation d'alcool d'environ 278.000 Américaines âgées de 18 ans et plus ainsi que de 7.500 lycéennes sur une période de 30 jours en 2011.
Près de 14 millions de femmes et de lycéennes américaines sont touchées par le phénomène du "binge drinking", consommant régulièrement en moyenne six verres d'alcool lors d'une même soirée, ont indiqué mardi les autorités sanitaires
Selon un rapport des Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC), qui met en garde contre ce problème de santé souvent sous-estimé, ces femmes et lycéennes se livrent trois fois par mois environ à ces soirées, où la consommation d'alcool est considérée excessive à partir de quatre verres chez les femmes.
Ce phénomène est le plus fréquent chez des femmes de 18 à 34 ans et les lycéennes. Elles sont le plus souvent blanches et hispaniques et vivent dans des ménages dont les revenus annuels sont de 75.000 dollars et plus.
La moitié de toutes les lycéennes qui consomment de l'alcool reconnaissent boire au moins quatre verres d'alcool à chacune de ces occasions, précisent les CDC.
Boire excessivement provoque quelque 23.000 décès par an parmi les femmes et les lycéennes aux Etats-Unis.
"Trop boire est responsable d'un grand nombre de problèmes de santé et il existe des moyens vérifiés de l'éviter", souligne le Dr Thomas Frieden, directeur des CDC, citant des programmes pour conseiller les femmes et les jeunes femmes et prévenir de tels excès.
"C'est alarmant de voir qu'une consommation aussi excessive d'alcool est courante parmi les femmes et les lycéennes", déplore le Dr Robert Brewer, responsable du programme sur l'alcool aux CDC.
Pour ce rapport, les chercheurs des CDC ont étudié les habitudes de consommation d'alcool d'environ 278.000 Américaines âgées de 18 ans et plus ainsi que de 7.500 lycéennes sur une période de 30 jours en 2011.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Un théâtre de Sibérie propose à Depardieu un CDD à 400 euros par mois
Un théâtre de Tioumen, grande ville de Sibérie occidentale située à 2.150 km de Moscou, a proposé mercredi à l'acteur français Gérard Depardieu, qui possède depuis peu un passeport russe, de rejoindre sa troupe pour 400 euros par mois
Dans un communiqué publié sur son site internet, le théâtre "invite le citoyen russe et grand acteur français Gérard Depardieu à rejoindre sa troupe à partir de mars pour un contrat à durée déterminée" à 16.000 roubles par mois (400 euros), plus les primes.
Le théâtre ne précise pas la durée du CDD mais propose aussi de prendre en charge le loyer de l'acteur pour un appartement à Tioumen, ville de 600.000 habitants, au centre d'une région riche en pétrole et en gaz.
De son côté, la république de Mordovie (Volga) a proposé mercredi à Gérard Depardieu d'être l'ambassadeur de cette région auprès de la Fédération internationale de football (Fifa) à l'occasion du Mondial-2018 qui sera organisé par la Russie.
Après avoir reçu son passeport russe lors d'une rencontre le week-end dernier sur les bords de la mer Noire avec le président russe Vladimir Poutine, Gérard Depardieu avait été accueilli comme un héros lundi au cours d'une visite à Saransk (640 km à l'est de Moscou), capitale de la Mordovie et l'une des villes retenues pour accueillir des matches du Mondial-2018.
"Il a pris en photo des sites en construction pour la Coupe du monde de football, afin de montrer à Joseph Blatter (président de la Fifa, ndlr) comment Saransk se prépare pour le Mondial", a déclaré un responsable du gouvernement de Mordovie à l'agence Ria Novosti.
Le gouverneur de cette région moins connue pour ses attraits touristiques que pour la vingtaine de camps de prisonniers qu'elle abrite aujourd'hui avait proposé à Gérard Depardieu un terrain pour se faire construire une maison et le poste de ministre de la Culture de Mordovie, offre déclinée par l'acteur.
Il s'était ensuite rendu à Zurich pour assister à la cérémonie de la Fifa de remise du Ballon d'Or à l'Argentin Lionel Messi, à l'invitation de M. Blatter.
Par ailleurs, une commune de la région de Krasnodar (sud) a elle aussi proposé à Depardieu de venir s'y installer, vantant ses attraits culturels et son climat doux, selon l'agence Itar-Tass.
Les producteurs de vins de Russie seraient eux aussi ravis de voir l'acteur français à leurs côtés, indique l'agence Ria Novosti.
Très célèbre en Russie, Gérard Depardieu apparaît régulièrement dans diverses publicités, notamment pour la banque Sovietski et pour une marque de ketchup.
Un théâtre de Tioumen, grande ville de Sibérie occidentale située à 2.150 km de Moscou, a proposé mercredi à l'acteur français Gérard Depardieu, qui possède depuis peu un passeport russe, de rejoindre sa troupe pour 400 euros par mois
Dans un communiqué publié sur son site internet, le théâtre "invite le citoyen russe et grand acteur français Gérard Depardieu à rejoindre sa troupe à partir de mars pour un contrat à durée déterminée" à 16.000 roubles par mois (400 euros), plus les primes.
Le théâtre ne précise pas la durée du CDD mais propose aussi de prendre en charge le loyer de l'acteur pour un appartement à Tioumen, ville de 600.000 habitants, au centre d'une région riche en pétrole et en gaz.
De son côté, la république de Mordovie (Volga) a proposé mercredi à Gérard Depardieu d'être l'ambassadeur de cette région auprès de la Fédération internationale de football (Fifa) à l'occasion du Mondial-2018 qui sera organisé par la Russie.
Après avoir reçu son passeport russe lors d'une rencontre le week-end dernier sur les bords de la mer Noire avec le président russe Vladimir Poutine, Gérard Depardieu avait été accueilli comme un héros lundi au cours d'une visite à Saransk (640 km à l'est de Moscou), capitale de la Mordovie et l'une des villes retenues pour accueillir des matches du Mondial-2018.
"Il a pris en photo des sites en construction pour la Coupe du monde de football, afin de montrer à Joseph Blatter (président de la Fifa, ndlr) comment Saransk se prépare pour le Mondial", a déclaré un responsable du gouvernement de Mordovie à l'agence Ria Novosti.
Le gouverneur de cette région moins connue pour ses attraits touristiques que pour la vingtaine de camps de prisonniers qu'elle abrite aujourd'hui avait proposé à Gérard Depardieu un terrain pour se faire construire une maison et le poste de ministre de la Culture de Mordovie, offre déclinée par l'acteur.
Il s'était ensuite rendu à Zurich pour assister à la cérémonie de la Fifa de remise du Ballon d'Or à l'Argentin Lionel Messi, à l'invitation de M. Blatter.
Par ailleurs, une commune de la région de Krasnodar (sud) a elle aussi proposé à Depardieu de venir s'y installer, vantant ses attraits culturels et son climat doux, selon l'agence Itar-Tass.
Les producteurs de vins de Russie seraient eux aussi ravis de voir l'acteur français à leurs côtés, indique l'agence Ria Novosti.
Très célèbre en Russie, Gérard Depardieu apparaît régulièrement dans diverses publicités, notamment pour la banque Sovietski et pour une marque de ketchup.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
L'astronaute canadien Chris Hadfield prône la solidarité planétaire
L'astronaute canadien Chris Hadfield a souhaité jeudi que tous les habitants de la Terre puissent la regarder depuis l'espace pour devenir plus pacifiques et solidaire
Emboîtant le pas à bien des cosmonautes et astronautes ayant eu la même expérience de "faire le tour de la planète en 90 minutes" et la voir se dérouler devant eux "comme un tapis", il a souhaité que tous puissent la vivre pour améliorer la situation sur la Terre où "il y a tant de conflits, tant d'affrontements", où les gens "font tant de choses terribles à eux-mêmes et à la Terre elle-même".
"C'est pourquoi nous nous efforçons avec autant d'ardeur de partager un peu ce que nous voyons", car "nous sommes tous là sur un même bateau" et "la planète est un vaisseau spatial elle aussi", a encore dit M. Hadfield lors d'une conférence de presse transmise en direct à la télévision.
Par ailleurs, l'astronaute qui côtoie à bord de la station spatiale internationale (ISS) des Russes et des Américains a confié qu'il y chante chaque soir "après le travail" en s'accompagnant à la guitare et qu'il compose des chansons "influencées par la vie en apesanteur".
"J'écris actuellement quelques chansons sur la vie sur Terre mais je le fais peut-être aussi sous l'influence de la vie ici en apesanteur. Après cinq mois, peut-être que je vais en avoir assez pour faire un album", a-t-il dit.
Depuis 23 jours dans l'espace, il s'est félicité d'être suivi sur Twitter par près de 160.000 personnes, souhaitant que cela permette à un vaste public de "prendre toute la mesure de l'intérêt de ce que l'on vit ici dans la perspective d'une expérience humaine historique".
De même, la diffusion directe, désormais possible, de photos prises depuis l'espace, permet de faire participer des milliers de gens au "passe-temps préféré des astronautes", qui consiste à regarder la Terre. "C'est tellement beau, c'est hypnotisant", s'est exclamé Chris Hadfield, avant de souligner l'importance scientifique des photos des couches les plus élevées de l'atmosphère, permettant d'en étudier les transformations.
Il a saisi l'occasion, en bon Canadien, pour rappeler son attachement au hockey sur glace et notamment au club des Maple Leafs de Toronto.
L'astronaute canadien Chris Hadfield a souhaité jeudi que tous les habitants de la Terre puissent la regarder depuis l'espace pour devenir plus pacifiques et solidaire
Emboîtant le pas à bien des cosmonautes et astronautes ayant eu la même expérience de "faire le tour de la planète en 90 minutes" et la voir se dérouler devant eux "comme un tapis", il a souhaité que tous puissent la vivre pour améliorer la situation sur la Terre où "il y a tant de conflits, tant d'affrontements", où les gens "font tant de choses terribles à eux-mêmes et à la Terre elle-même".
"C'est pourquoi nous nous efforçons avec autant d'ardeur de partager un peu ce que nous voyons", car "nous sommes tous là sur un même bateau" et "la planète est un vaisseau spatial elle aussi", a encore dit M. Hadfield lors d'une conférence de presse transmise en direct à la télévision.
Par ailleurs, l'astronaute qui côtoie à bord de la station spatiale internationale (ISS) des Russes et des Américains a confié qu'il y chante chaque soir "après le travail" en s'accompagnant à la guitare et qu'il compose des chansons "influencées par la vie en apesanteur".
"J'écris actuellement quelques chansons sur la vie sur Terre mais je le fais peut-être aussi sous l'influence de la vie ici en apesanteur. Après cinq mois, peut-être que je vais en avoir assez pour faire un album", a-t-il dit.
Depuis 23 jours dans l'espace, il s'est félicité d'être suivi sur Twitter par près de 160.000 personnes, souhaitant que cela permette à un vaste public de "prendre toute la mesure de l'intérêt de ce que l'on vit ici dans la perspective d'une expérience humaine historique".
De même, la diffusion directe, désormais possible, de photos prises depuis l'espace, permet de faire participer des milliers de gens au "passe-temps préféré des astronautes", qui consiste à regarder la Terre. "C'est tellement beau, c'est hypnotisant", s'est exclamé Chris Hadfield, avant de souligner l'importance scientifique des photos des couches les plus élevées de l'atmosphère, permettant d'en étudier les transformations.
Il a saisi l'occasion, en bon Canadien, pour rappeler son attachement au hockey sur glace et notamment au club des Maple Leafs de Toronto.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Après Sandy, des milliers de voitures endommagées attendent sur un aérodrome
La vue du ciel est incroyable: des milliers de voitures endommagées par l'ouragan Sandy ont été acheminées sur un aérodrome de Long Island, près de New York, où elles attendent d'être vendues aux enchères
Elles couvrent entièrement deux pistes de l'aérodrome saisonnier de Calverton, respectivement sur 2 et 3 km. De toutes les marques et tous les genres, elles ont été rachetées aux compagnies d'assurance par une entreprise spécialisée IAA (Insurance Auto Auctions), qui va les vendre aux enchères sur internet.
Face au nombre, IAA n'a trouvé qu'une solution : louer les pistes du petit aérodrome situé à une centaine de km à l'est de New York, à la mairie de Riverhead, propriétaire des installations.
L'aérodrome étant fermé l'hiver, la mairie a applaudi à cette manne bienvenue : elle perçoit quelque 3.200 dollars mensuels par demi hectare loué.
Le premier accord signé portait sur 21 hectares pour six mois, soit des revenus de plus d'un million de dollars. Les voitures étaient tellement nombreuses, qu'IAA a signé un nouvel accord fin décembre.
Sollicités par l'AFP, ni l'IAA ni la mairie de Riverhead n'ont souhaité en parler.
Depuis, la zone bucolique s'est transformée en parking géant perturbé par le ballet incessant de camions déchargeant des voitures qui sont ensuite garées les unes à côté des autres sur des kilomètres.
Certaines semblent en bon état, d'autres sont très endommagées.
Les véhicules sont gardés par des vigiles armés, pas question pour les amateurs de venir y flâner. Des journalistes de l'AFP se sont vu intimer l'ordre d'en partir au plus vite.
Les voitures ont commencé à arriver fin novembre, un mois après l'ouragan qui a frappé la côte nord-est des Etats-Unis.
En principe, toutes doivent être parties en avril, pour la réouverture de l'aérodrome. Mais nul ne sait si cela sera possible.
"Voitures endommagées par Sandy aux enchères. Des milliers sont à vendre", annonce IAA sur son site internet.
On y trouve une Jeep Grand Cherokee 2012, prix de départ de 2.025 dollars, une Ford Escape à 2.850 dollars, ou une Cadillac de 2010 à 4.075 dollars. La vente n'est pas ouverte au grand public, seulement à ceux qui sont enregistrés auprès d'IAA, contre cotisation annuelle.
Selon des chiffres mentionnés dans l'accord entre IAA et la mairie, quelque 200.000 voitures ont été inondées à New York et dans sa grande banlieue après le passage de Sandy. Elles font partie des quelque 3,5 millions de voitures qui sont en moyenne déclarées inutilisables chaque année aux Etats-Unis.
La vue du ciel est incroyable: des milliers de voitures endommagées par l'ouragan Sandy ont été acheminées sur un aérodrome de Long Island, près de New York, où elles attendent d'être vendues aux enchères
Elles couvrent entièrement deux pistes de l'aérodrome saisonnier de Calverton, respectivement sur 2 et 3 km. De toutes les marques et tous les genres, elles ont été rachetées aux compagnies d'assurance par une entreprise spécialisée IAA (Insurance Auto Auctions), qui va les vendre aux enchères sur internet.
Face au nombre, IAA n'a trouvé qu'une solution : louer les pistes du petit aérodrome situé à une centaine de km à l'est de New York, à la mairie de Riverhead, propriétaire des installations.
L'aérodrome étant fermé l'hiver, la mairie a applaudi à cette manne bienvenue : elle perçoit quelque 3.200 dollars mensuels par demi hectare loué.
Le premier accord signé portait sur 21 hectares pour six mois, soit des revenus de plus d'un million de dollars. Les voitures étaient tellement nombreuses, qu'IAA a signé un nouvel accord fin décembre.
Sollicités par l'AFP, ni l'IAA ni la mairie de Riverhead n'ont souhaité en parler.
Depuis, la zone bucolique s'est transformée en parking géant perturbé par le ballet incessant de camions déchargeant des voitures qui sont ensuite garées les unes à côté des autres sur des kilomètres.
Certaines semblent en bon état, d'autres sont très endommagées.
Les véhicules sont gardés par des vigiles armés, pas question pour les amateurs de venir y flâner. Des journalistes de l'AFP se sont vu intimer l'ordre d'en partir au plus vite.
Les voitures ont commencé à arriver fin novembre, un mois après l'ouragan qui a frappé la côte nord-est des Etats-Unis.
En principe, toutes doivent être parties en avril, pour la réouverture de l'aérodrome. Mais nul ne sait si cela sera possible.
"Voitures endommagées par Sandy aux enchères. Des milliers sont à vendre", annonce IAA sur son site internet.
On y trouve une Jeep Grand Cherokee 2012, prix de départ de 2.025 dollars, une Ford Escape à 2.850 dollars, ou une Cadillac de 2010 à 4.075 dollars. La vente n'est pas ouverte au grand public, seulement à ceux qui sont enregistrés auprès d'IAA, contre cotisation annuelle.
Selon des chiffres mentionnés dans l'accord entre IAA et la mairie, quelque 200.000 voitures ont été inondées à New York et dans sa grande banlieue après le passage de Sandy. Elles font partie des quelque 3,5 millions de voitures qui sont en moyenne déclarées inutilisables chaque année aux Etats-Unis.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Pas de risque de collision de l'astéroïde Apophis avec la Terre en 2036
Les scientifiques de la Nasa excluent désormais le risque d'une collision d'Apophis avec la Terre en 2036, après le passage de cet astéroïde dans le voisinage de notre planète mercredi
Lorsqu'il a été repéré pour la première fois, en 2004, des scientifiques avaient d'abord évalué à 2,7% la probabilité d'une collision en avril 2029 avec la Terre. De nouveaux calculs avaient écarté ce scénario catastrophique pour 2029, mais il subsistait un tout petit risque pour 2036.
Avec les nouvelles données acquises mercredi lorsqu'Apophis s'est approché de la planète bleue à une distance de 14,4 millions de kilomètres, les scientifiques du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa à Pasadena (Californie) excluent désormais le risque d'un impact en 2036 également.
"Avec les nouvelles données fournies par les observatoires astronomiques Magdalena Ridge (Nouveau Mexique) et Pan-STARRS (Université d'Hawaï), ainsi que des données très récentes fournies par le radar de Goldstone, nous avons effectivement exclu la possibilité d'un impact entre la Terre et Apophis en 2036", explique Don Yeomans, directeur du Programme objets géocroiseurs au JPL, sur le site de la Nasa.
"Les risques d'impact sont maintenant inférieurs à un sur un million, ce qui nous permet de dire que nous pouvons effectivement exclure un impact avec la Terre en 2036", ajoute-t-il. Une précédente évaluation évoquait une probabilité de collision de un sur 250.000.
Baptisé du nom d'une divinité égyptienne du mal et des ténèbres, Apophis, qui a la taille de 3,5 terrains de football, frôlera la surface terrestre à quelque 31.300 kilomètres de distance le 13 avril 2029.
Le télescope Herschel, de l'Agence spatiale européenne (ESA), a pu l'observer ce week-end pendant environ deux heures, alors qu'il s'approchait de la Terre.
D'après ces nouvelles données, Apophis aurait un diamètre de 325 mètres, soit 20% de plus que les estimations antérieures (270 mètres).
"L'augmentation de 20% en diamètre, de 270 à 325 mètres, se traduit par une augmentation de 75% dans nos estimations du volume de l'astéroïde ou de sa masse", a expliqué Thomas Müller de l'Institut Max Planck de physique extraterrestre à Garching (Allemagne).
En analysant la chaleur émise par Apophis, Herschel a également fourni une nouvelle estimation de l'albédo de l'astéroïde, c'est-à-dire de sa réflectivité. Elle apparaît inférieure à l'estimation précédente.
Le 15 février prochain, c'est l'astéroïde 2012 DA14 qui nous rendra visite. Plus petit qu'Apophis (57 mètres de diamètre), il va passer à 34.500 kilomètres d'altitude.
Les scientifiques de la Nasa excluent désormais le risque d'une collision d'Apophis avec la Terre en 2036, après le passage de cet astéroïde dans le voisinage de notre planète mercredi
Lorsqu'il a été repéré pour la première fois, en 2004, des scientifiques avaient d'abord évalué à 2,7% la probabilité d'une collision en avril 2029 avec la Terre. De nouveaux calculs avaient écarté ce scénario catastrophique pour 2029, mais il subsistait un tout petit risque pour 2036.
Avec les nouvelles données acquises mercredi lorsqu'Apophis s'est approché de la planète bleue à une distance de 14,4 millions de kilomètres, les scientifiques du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa à Pasadena (Californie) excluent désormais le risque d'un impact en 2036 également.
"Avec les nouvelles données fournies par les observatoires astronomiques Magdalena Ridge (Nouveau Mexique) et Pan-STARRS (Université d'Hawaï), ainsi que des données très récentes fournies par le radar de Goldstone, nous avons effectivement exclu la possibilité d'un impact entre la Terre et Apophis en 2036", explique Don Yeomans, directeur du Programme objets géocroiseurs au JPL, sur le site de la Nasa.
"Les risques d'impact sont maintenant inférieurs à un sur un million, ce qui nous permet de dire que nous pouvons effectivement exclure un impact avec la Terre en 2036", ajoute-t-il. Une précédente évaluation évoquait une probabilité de collision de un sur 250.000.
Baptisé du nom d'une divinité égyptienne du mal et des ténèbres, Apophis, qui a la taille de 3,5 terrains de football, frôlera la surface terrestre à quelque 31.300 kilomètres de distance le 13 avril 2029.
Le télescope Herschel, de l'Agence spatiale européenne (ESA), a pu l'observer ce week-end pendant environ deux heures, alors qu'il s'approchait de la Terre.
D'après ces nouvelles données, Apophis aurait un diamètre de 325 mètres, soit 20% de plus que les estimations antérieures (270 mètres).
"L'augmentation de 20% en diamètre, de 270 à 325 mètres, se traduit par une augmentation de 75% dans nos estimations du volume de l'astéroïde ou de sa masse", a expliqué Thomas Müller de l'Institut Max Planck de physique extraterrestre à Garching (Allemagne).
En analysant la chaleur émise par Apophis, Herschel a également fourni une nouvelle estimation de l'albédo de l'astéroïde, c'est-à-dire de sa réflectivité. Elle apparaît inférieure à l'estimation précédente.
Le 15 février prochain, c'est l'astéroïde 2012 DA14 qui nous rendra visite. Plus petit qu'Apophis (57 mètres de diamètre), il va passer à 34.500 kilomètres d'altitude.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
AFP: La "Crackolandia" de Sao Paulo toujours très fréquentée malgré la police
Des centaines d'hommes et de femmes continuent à tuer le temps en fumant du crack dans les rues d'un quartier décadent du centre de Sao Paulo, la mégapole du Brésil, où il y a un an, une opération policière avait expulsé un millier de drogués
Une odeur d'ordures et d'urine prend à la gorge dans cette "Crackolandia" où le gouvernement de Sao Paulo concentrera les actions d'une nouvelle mesure radicale: l'internement obligatoire des adultes drogués au crack, un dérivé bon marché de la cocaïne aux effets dévastateurs.
"Je m'appelle Ema et je vis ici depuis des lustres. Je fume du crack. Pourquoi? Parce que j'ai tout perdu", dit cette femme qui déambule pieds nus dans des vêtements crasseux.
La scène se répète jour et nuit dans cette région, près de la gare de la "Luz", que le gouvernement de Sao Paulo a essayé de restaurer avec l'opération policière de trois jours mais où de nombreux toxicomanes sont revenus.
"La situation s'est améliorée. Beaucoup de drogués ont été internés et les trafiquants écroués; mais le problème est très complexe", déclare à l'AFP la secrétaire de Justice de l'Etat de Sao Paulo, Eloisa de Sousa.
A l'époque, des ONG avaient dénoncé "l'usage excessif de la force policière" mais selon Mme de Sousa "il le fallait" pour que les services de santé et d'assistance sociale puissent pénétrer dans la zone, aujourd'hui mieux protégée par la police.
Depuis, plus de 1.300 internements et 13.000 consultations dans les services de santé ont eu lieu, dit-elle.
Épidémie de crack au Brésil
Le Brésil est devenu le premier marché mondial de crack avec un million de consommateurs, selon une étude récente de l?Université fédérale de Sao Paulo.
En décembre 2011, le gouvernement brésilien a lancé un plan de 2,2 milliards de dollars contre ce qu'il appelle "l'épidémie de crack" dans ce pays de 194 millions d'habitants.
Experts et critiques estiment que ce n'est pas suffisant pour remédier à la situation. Selon eux, beaucoup de toxicomanes ont simplement changé de quartier. Ils remettent aussi en question l'internement obligatoire.
Cet internement obligatoire (dans des abris où on les soigne) existe déjà à Rio de Janeiro mais seulement pour les enfants et les adolescents. L'expansion de la mesure aux adultes est actuellement en discussion.
"C'est un mécanisme dangereux et probablement inefficace; comment seront choisies et traitées ces personnes?", s'interroge Lucia Nader directrice de l'ONG Conectas de défense des droits de l'Homme.
Le but est de créer "un système qui facilite les internements non volontaires parce qu'il y a des personnes qui sont en situation extrême, dont la vie est en danger et c'est à l'Etat d'intervenir", rétorque la secrétaire de justice.
"Ce sont des cas extrêmes et nous ne pouvons pas laisser mourir ces personnes", souligne Mme de Sousa.
L'internement pourra être sollicité par les familles des drogués ou décidé par une équipe composée notamment d'un médecin et d'un juge, dans les cas les plus graves.
"Cela ne va pas résoudre le problème mais cela aidera à le résoudre", admet Mme de Sousa, affirmant qu'il y a aujourd'hui 700 places disponibles Sao Paulo.
"Le triomphe de la perdition"
La nuit tombe et dans une ruelle beaucoup allument leur pipe de crack tandis que des prostituées cherchent le client; d'autres mendient pour s'acheter de la drogue.
"J'ai vécu trois ans dans les rues en fumant du crack", raconte Helio Vieira, aujourd'hui membre de la Mission évangélique de la Crackolandia d'aide aux toxicomanes.
"On ne leur donne pas seulement de la soupe. On leur passe l'idée qu'ils peuvent changer de vie s'ils le veulent. L'internement obligatoire ne sert à rien, la foi, si", dit-il convaincu.
Ironie du sort, cette ruelle où se regroupent les drogués s'appelle "la rue du Triomphe".
"C'est plutôt celle du Triomphe de la perdition", dit une jeune en tendant la main pour un verre d'eau tandis qu'elle tient sa pipe de crack de l'autre.
Des centaines d'hommes et de femmes continuent à tuer le temps en fumant du crack dans les rues d'un quartier décadent du centre de Sao Paulo, la mégapole du Brésil, où il y a un an, une opération policière avait expulsé un millier de drogués
Une odeur d'ordures et d'urine prend à la gorge dans cette "Crackolandia" où le gouvernement de Sao Paulo concentrera les actions d'une nouvelle mesure radicale: l'internement obligatoire des adultes drogués au crack, un dérivé bon marché de la cocaïne aux effets dévastateurs.
"Je m'appelle Ema et je vis ici depuis des lustres. Je fume du crack. Pourquoi? Parce que j'ai tout perdu", dit cette femme qui déambule pieds nus dans des vêtements crasseux.
La scène se répète jour et nuit dans cette région, près de la gare de la "Luz", que le gouvernement de Sao Paulo a essayé de restaurer avec l'opération policière de trois jours mais où de nombreux toxicomanes sont revenus.
"La situation s'est améliorée. Beaucoup de drogués ont été internés et les trafiquants écroués; mais le problème est très complexe", déclare à l'AFP la secrétaire de Justice de l'Etat de Sao Paulo, Eloisa de Sousa.
A l'époque, des ONG avaient dénoncé "l'usage excessif de la force policière" mais selon Mme de Sousa "il le fallait" pour que les services de santé et d'assistance sociale puissent pénétrer dans la zone, aujourd'hui mieux protégée par la police.
Depuis, plus de 1.300 internements et 13.000 consultations dans les services de santé ont eu lieu, dit-elle.
Épidémie de crack au Brésil
Le Brésil est devenu le premier marché mondial de crack avec un million de consommateurs, selon une étude récente de l?Université fédérale de Sao Paulo.
En décembre 2011, le gouvernement brésilien a lancé un plan de 2,2 milliards de dollars contre ce qu'il appelle "l'épidémie de crack" dans ce pays de 194 millions d'habitants.
Experts et critiques estiment que ce n'est pas suffisant pour remédier à la situation. Selon eux, beaucoup de toxicomanes ont simplement changé de quartier. Ils remettent aussi en question l'internement obligatoire.
Cet internement obligatoire (dans des abris où on les soigne) existe déjà à Rio de Janeiro mais seulement pour les enfants et les adolescents. L'expansion de la mesure aux adultes est actuellement en discussion.
"C'est un mécanisme dangereux et probablement inefficace; comment seront choisies et traitées ces personnes?", s'interroge Lucia Nader directrice de l'ONG Conectas de défense des droits de l'Homme.
Le but est de créer "un système qui facilite les internements non volontaires parce qu'il y a des personnes qui sont en situation extrême, dont la vie est en danger et c'est à l'Etat d'intervenir", rétorque la secrétaire de justice.
"Ce sont des cas extrêmes et nous ne pouvons pas laisser mourir ces personnes", souligne Mme de Sousa.
L'internement pourra être sollicité par les familles des drogués ou décidé par une équipe composée notamment d'un médecin et d'un juge, dans les cas les plus graves.
"Cela ne va pas résoudre le problème mais cela aidera à le résoudre", admet Mme de Sousa, affirmant qu'il y a aujourd'hui 700 places disponibles Sao Paulo.
"Le triomphe de la perdition"
La nuit tombe et dans une ruelle beaucoup allument leur pipe de crack tandis que des prostituées cherchent le client; d'autres mendient pour s'acheter de la drogue.
"J'ai vécu trois ans dans les rues en fumant du crack", raconte Helio Vieira, aujourd'hui membre de la Mission évangélique de la Crackolandia d'aide aux toxicomanes.
"On ne leur donne pas seulement de la soupe. On leur passe l'idée qu'ils peuvent changer de vie s'ils le veulent. L'internement obligatoire ne sert à rien, la foi, si", dit-il convaincu.
Ironie du sort, cette ruelle où se regroupent les drogués s'appelle "la rue du Triomphe".
"C'est plutôt celle du Triomphe de la perdition", dit une jeune en tendant la main pour un verre d'eau tandis qu'elle tient sa pipe de crack de l'autre.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Les chimpanzés ont comme les humains le sens de l'équité, révèle une étude
Les chimpanzés ont le sens de l'équité, un trait dont on pensait qu'il appartenait seulement aux humains, révèle une étude de scientifiques américains publiée lundi
Pour cette étude les chercheurs ont soumis six chimpanzés adultes à un jeu et ont parallèlement soumis à ce même test vingt enfants de deux à sept ans.
Répartis par paire, un des joueurs devait choisir entre deux jetons de différente couleur: avec la coopération de son partenaire, ce jeton pouvait ensuite être échangé contre de la nourriture dans le cas des chimpanzés ou des autocollants dans le cas des enfants.
Un des deux jetons permettait un partage à 50% de la récompense entre les deux partenaires, tandis que l'autre favorisait celui qui choisissait le jeton au détriment de l'autre joueur.
Une fois le jeton choisi, celui qui l'avait en main devait le donner à son partenaire, qui, à son tour, le remettait au chercheur menant le test pour obtenir la nourriture ou l'autocollant.
Dans chaque paire, les deux joueurs devaient de ce fait être d'accord sur le choix du jeton.
Comme les enfants, les chimpanzés ont réagi à ce test comme le font typiquement les adultes humains. Quand la coopération de l'autre était requise --pour remettre le jeton au chercheur--, les primates comme les enfants choisissaient le jeton leur permettant de partager la récompense.
En revanche, dans une version modifiée du jeu dans laquelle l'accord du second partenaire n'était pas requis pour obtenir la récompense, les chimpanzés comme les enfants choisissaient alors l'option les avantageant.
Les chimpanzés, qui se montrent très coopératifs quand ils sont dans la nature, doivent forcément avoir un sens de ce qui est équitable pour pouvoir bénéficier de la coopération de leurs congénères, expliquent ces chercheurs du Centre national de recherche sur les primates à l'Université Emory, en Géorgie.
Selon ces chercheurs, les résultats de cette étude pourraient aider à dévoiler les origines de l'aversion humaine pour l'inéquité. Leurs travaux paraissent dans la version en ligne des Annales de l'Académie nationale des sciences (PNAS) datées du 14 au 18 janvier.
Les chimpanzés ont le sens de l'équité, un trait dont on pensait qu'il appartenait seulement aux humains, révèle une étude de scientifiques américains publiée lundi
Pour cette étude les chercheurs ont soumis six chimpanzés adultes à un jeu et ont parallèlement soumis à ce même test vingt enfants de deux à sept ans.
Répartis par paire, un des joueurs devait choisir entre deux jetons de différente couleur: avec la coopération de son partenaire, ce jeton pouvait ensuite être échangé contre de la nourriture dans le cas des chimpanzés ou des autocollants dans le cas des enfants.
Un des deux jetons permettait un partage à 50% de la récompense entre les deux partenaires, tandis que l'autre favorisait celui qui choisissait le jeton au détriment de l'autre joueur.
Une fois le jeton choisi, celui qui l'avait en main devait le donner à son partenaire, qui, à son tour, le remettait au chercheur menant le test pour obtenir la nourriture ou l'autocollant.
Dans chaque paire, les deux joueurs devaient de ce fait être d'accord sur le choix du jeton.
Comme les enfants, les chimpanzés ont réagi à ce test comme le font typiquement les adultes humains. Quand la coopération de l'autre était requise --pour remettre le jeton au chercheur--, les primates comme les enfants choisissaient le jeton leur permettant de partager la récompense.
En revanche, dans une version modifiée du jeu dans laquelle l'accord du second partenaire n'était pas requis pour obtenir la récompense, les chimpanzés comme les enfants choisissaient alors l'option les avantageant.
Les chimpanzés, qui se montrent très coopératifs quand ils sont dans la nature, doivent forcément avoir un sens de ce qui est équitable pour pouvoir bénéficier de la coopération de leurs congénères, expliquent ces chercheurs du Centre national de recherche sur les primates à l'Université Emory, en Géorgie.
Selon ces chercheurs, les résultats de cette étude pourraient aider à dévoiler les origines de l'aversion humaine pour l'inéquité. Leurs travaux paraissent dans la version en ligne des Annales de l'Académie nationale des sciences (PNAS) datées du 14 au 18 janvier.
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Un colis inhabituel de 18 têtes humaines à l'aéroport de Chicago
Les autorités américaines ont dû traiter un colis inhabituel de... 18 têtes humaines afin de les envoyer vers leur destination finale, un crématorium, après leur saisie avant Noël par les douanes à l'aéroport O'Hare de Chicago (nord)
Les têtes, chacune étiquetée avec un nom et une cause de la mort, avaient été renvoyées aux Etats-Unis par un établissement de recherche scientifique en Italie, a indiqué Mary Paleologos, porte-parole des services médicaux du comté de Cook.
"Les têtes étaient des spécimens anatomiques utilisées pour la recherche, correctement préservées, emballées et étiquetées quand elles sont revenues" sur le sol américain, dans trois conteneurs scellés, à bord d'un vol de la compagnie aérienne allemande Lufthansa, afin d'être par la suite incinérées, selon Mme Paleologos.
Mais les conteneurs, une fois passés aux rayons X de l'aéroport, ont été confisqués par les douanes en raison d'une documentation insuffisante.
"Ils sont en train de travailler sur les papiers" pour que les conteneurs puissent partir vers le crématorium, a indiqué à l'AFP la porte-parole.
En attendant, les têtes ont été déposées à la morgue du comté.
La porte-parole n'a pu indiquer quel était l'établissement italien qui avait reçu les têtes.
Les Etats-Unis, où l'on peut faire don de son corps à la science, est un centre mondial important pour le marché, en hausse, de restes humains utilisés pour la recherche médicale.
Les autorités américaines ont dû traiter un colis inhabituel de... 18 têtes humaines afin de les envoyer vers leur destination finale, un crématorium, après leur saisie avant Noël par les douanes à l'aéroport O'Hare de Chicago (nord)
Les têtes, chacune étiquetée avec un nom et une cause de la mort, avaient été renvoyées aux Etats-Unis par un établissement de recherche scientifique en Italie, a indiqué Mary Paleologos, porte-parole des services médicaux du comté de Cook.
"Les têtes étaient des spécimens anatomiques utilisées pour la recherche, correctement préservées, emballées et étiquetées quand elles sont revenues" sur le sol américain, dans trois conteneurs scellés, à bord d'un vol de la compagnie aérienne allemande Lufthansa, afin d'être par la suite incinérées, selon Mme Paleologos.
Mais les conteneurs, une fois passés aux rayons X de l'aéroport, ont été confisqués par les douanes en raison d'une documentation insuffisante.
"Ils sont en train de travailler sur les papiers" pour que les conteneurs puissent partir vers le crématorium, a indiqué à l'AFP la porte-parole.
En attendant, les têtes ont été déposées à la morgue du comté.
La porte-parole n'a pu indiquer quel était l'établissement italien qui avait reçu les têtes.
Les Etats-Unis, où l'on peut faire don de son corps à la science, est un centre mondial important pour le marché, en hausse, de restes humains utilisés pour la recherche médicale.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Une nouvelle espèce de grenouille volante découverte au Vietnam
Une nouvelle espèce de grenouille volante, sensiblement plus grosse que les autres spécimens de la même famille, a été récemment découverte au Vietnam par des scientifiques australien et vietnamiens
La "Rhacophorus helenae" possède "un ventre blanc clair et un blanc d'oeil très blanc" alors que l'espèce la plus proche présente un ventre jaune citron et un blanc d'oeil jaunâtre, a déclaré à l'AFP la biologiste australienne Jodi Rowley.
La grenouille se distingue également par la couleur de sa palmure, de ses cuisses et par sa grande taille puisque les mâles mesurent --hors pattes-- de 7,2 à 8,5 cm et les femelles environ 9 cm.
Jodi Rowley, de l'Australian Museum de Sydney, a découvert l'amphibien dans la forêt du Sud-Vietnam.
"Ce qui est rare dans cette découverte en particulier, c'est le fait que j'ai découvert cet individu à moins de 90 kilomètres du centre de Ho Chi Minh-Ville, l'une des plus grandes villes d'Asie du Sud-Est", a expliqué Jodi Rowley à l'AFP.
Les chercheurs doivent maintenant déterminer si la grenouille est menacée. Des spécimens ont été uniquement observés dans les forêts des provinces de Binh Thuan et Dong Nai.
Or "c'est une forêt de plaine (...) pour laquelle la perte d'habitat est un gros problème", a souligné Jodi Rowley.
Les travaux de la biologiste, associée à des chercheurs de l'université de Ho Chi Minh-Ville et du Zoologisches Forschungsmuseum Alexander Koenig de Bonn (Allemagne), ont été publiés dans la dernière édition du Journal of Herpetology.
Une nouvelle espèce de grenouille volante, sensiblement plus grosse que les autres spécimens de la même famille, a été récemment découverte au Vietnam par des scientifiques australien et vietnamiens
La "Rhacophorus helenae" possède "un ventre blanc clair et un blanc d'oeil très blanc" alors que l'espèce la plus proche présente un ventre jaune citron et un blanc d'oeil jaunâtre, a déclaré à l'AFP la biologiste australienne Jodi Rowley.
La grenouille se distingue également par la couleur de sa palmure, de ses cuisses et par sa grande taille puisque les mâles mesurent --hors pattes-- de 7,2 à 8,5 cm et les femelles environ 9 cm.
Jodi Rowley, de l'Australian Museum de Sydney, a découvert l'amphibien dans la forêt du Sud-Vietnam.
"Ce qui est rare dans cette découverte en particulier, c'est le fait que j'ai découvert cet individu à moins de 90 kilomètres du centre de Ho Chi Minh-Ville, l'une des plus grandes villes d'Asie du Sud-Est", a expliqué Jodi Rowley à l'AFP.
Les chercheurs doivent maintenant déterminer si la grenouille est menacée. Des spécimens ont été uniquement observés dans les forêts des provinces de Binh Thuan et Dong Nai.
Or "c'est une forêt de plaine (...) pour laquelle la perte d'habitat est un gros problème", a souligné Jodi Rowley.
Les travaux de la biologiste, associée à des chercheurs de l'université de Ho Chi Minh-Ville et du Zoologisches Forschungsmuseum Alexander Koenig de Bonn (Allemagne), ont été publiés dans la dernière édition du Journal of Herpetology.
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Alphonse de Lamartine
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Re: UNE NOUVELLE DU JOUR
Australie: une analyse génétique révèle une migration d'Inde il y a 4.000 ans
L'Australie qu'on pensait avoir été isolée entre l'arrivée des premiers humains il y a 40.000 ans et la venue des Européens au 19e siècle, a connu une vague d'immigration d'Inde il y a environ 4.000 ans, selon une analyse génétique publiée lundi aux Etats-Uni
Les auteurs de l'étude expliquent que ces immigrants auraient aussi apporté certains outils de pierre de petite taille appelés microlithe ainsi que le dingo, un chien sauvage trouvé en Australie.
Les datations de ces outils et des restes fossilisés de ces animaux, les font remonter à environ 4.000 ans, précisent ces scientifique du Max Planck Institute en Allemagne, auteurs de cette recherche parue dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) datées du 14-18 janvier.
Ces chercheurs ont comparé certaines variations génétiques des aborigènes d'Australie à celles des populations de Nouvelle Guinée, d'Asie du Sud-Est et d'Inde.
"Les résultats laissent penser à un flux substantiel de gènes d'Inde vers l'Australie il y a 4.230 ans, bien avant les premiers contacts avec les Européens", explique Irina Pugach du Max Planck Institute et principal auteur de la recherche.
"Cette période coïncide aussi avec de nombreux changements dans les données archéologiques en Australie comme la technologie des outils de pierre et la manière de transformer les plantes", poursuit-elle.
"Dans la mesure où nos détectons le flux de gènes d'Inde vers l'Australie autour de cette même période, il est probable que ces changements et l'apparition du dingo soient liés à cette migration", conclut Irina Pugash.
Cette analyse génétique révèle également une origine commune des populations aborigène d'Australie, de Nouvelle Guinée et des Mamanwa, un groupe Negritos des Philippines qui remonte de 35.000 à 45.000 ans.
Durant cette période, l'Australie et la Nouvelle Guinée ne formait qu'un seul bloc géographique appelé Sahul.
Selon ces chercheurs, ces trois groupes ont divergé les uns des autres il y a environ 36.000 ans.
"Cette découverte conforte l'hypothèse selon laquelle ces populations descendent d'un premier flux de migration d'Afrique par le Sud tandis que d'autres groupes sont arrivés plus tard", précise Mark Stoneking du Max Planck Institute, un des co-auteurs de l'étude.
Ces données génétiques indiquent également que les aborigènes australiens et les Néo-Guinéens ont divergé plus tôt dans l'histoire du Sahul et non pas quand la Nouvelle-Guinée et l'Australie ont été séparées par la montée du niveau de l'océan il y a environ 8.000 ans, relève-t-il.
L'Australie qu'on pensait avoir été isolée entre l'arrivée des premiers humains il y a 40.000 ans et la venue des Européens au 19e siècle, a connu une vague d'immigration d'Inde il y a environ 4.000 ans, selon une analyse génétique publiée lundi aux Etats-Uni
Les auteurs de l'étude expliquent que ces immigrants auraient aussi apporté certains outils de pierre de petite taille appelés microlithe ainsi que le dingo, un chien sauvage trouvé en Australie.
Les datations de ces outils et des restes fossilisés de ces animaux, les font remonter à environ 4.000 ans, précisent ces scientifique du Max Planck Institute en Allemagne, auteurs de cette recherche parue dans les Annales de l'Académie américaine des sciences (PNAS) datées du 14-18 janvier.
Ces chercheurs ont comparé certaines variations génétiques des aborigènes d'Australie à celles des populations de Nouvelle Guinée, d'Asie du Sud-Est et d'Inde.
"Les résultats laissent penser à un flux substantiel de gènes d'Inde vers l'Australie il y a 4.230 ans, bien avant les premiers contacts avec les Européens", explique Irina Pugach du Max Planck Institute et principal auteur de la recherche.
"Cette période coïncide aussi avec de nombreux changements dans les données archéologiques en Australie comme la technologie des outils de pierre et la manière de transformer les plantes", poursuit-elle.
"Dans la mesure où nos détectons le flux de gènes d'Inde vers l'Australie autour de cette même période, il est probable que ces changements et l'apparition du dingo soient liés à cette migration", conclut Irina Pugash.
Cette analyse génétique révèle également une origine commune des populations aborigène d'Australie, de Nouvelle Guinée et des Mamanwa, un groupe Negritos des Philippines qui remonte de 35.000 à 45.000 ans.
Durant cette période, l'Australie et la Nouvelle Guinée ne formait qu'un seul bloc géographique appelé Sahul.
Selon ces chercheurs, ces trois groupes ont divergé les uns des autres il y a environ 36.000 ans.
"Cette découverte conforte l'hypothèse selon laquelle ces populations descendent d'un premier flux de migration d'Afrique par le Sud tandis que d'autres groupes sont arrivés plus tard", précise Mark Stoneking du Max Planck Institute, un des co-auteurs de l'étude.
Ces données génétiques indiquent également que les aborigènes australiens et les Néo-Guinéens ont divergé plus tôt dans l'histoire du Sahul et non pas quand la Nouvelle-Guinée et l'Australie ont été séparées par la montée du niveau de l'océan il y a environ 8.000 ans, relève-t-il.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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