La mauvaise foi de Jean-François Lisée

[Mark]

Nathalie Elgrably-Lévy, excellente comme toujours, et Richard Martineau.

Deux chroniques ne laissant pas la place au doute.

http://www.journaldemontreal.com/2012/0 ... re-ennemie

http://fr.canoe.ca/infos/chroniques/ric ... 35702.html

La chronique de Nathalie Elgrably-Lévy est tellement excellente que je la poste au complet !

Notre pire ennemie

Un lecteur a porté à mon attention le texte que Jean-François Lisée a publié sur son blogue et dans lequel il présente un extrait de son récent livre Comment mettre la droite K.-O. en 15 arguments.

Il y va d’une affirmation qui dévoile son incompréhension des motivations des pourfendeurs de l’étatisme. Il écrit : « On sent bien qu’une droite québécoise carbure à la détestation du Québec, à la détestation de soi. Il y a une joie non feinte à présenter le Québec comme retardataire, tribal, paresseux. »

Pour M. Lisée, comme pour la majorité des chevaliers de la gauche, l’équation est rudimentaire : critiquer le modèle québécois, c’est détester le Québec et les Québécois.

Cette logique traduit une triste confusion entre le Québec et le modèle économique en vigueur, entre les êtres humains et l’environnement dans lequel ils évoluent.

Saisir la nuance, c’est comprendre qu’on peut désapprouver notre système économique tout en aimant le Québec.

De plus, tenir un discours jovial et réconfortant suscite moins de controverse que de souligner nos échecs économiques.

Ne faut-il donc pas sincèrement aimer notre Belle Province et souhaiter ce qu’il y a de mieux pour ses citoyens pour s’atteler à une tâche aussi ingrate que désagréable?

Est-ce suffisant ?

M. Lisée est satisfait de la situation du Québec. Il a en partie raison. Nous sommes incontestablement mieux ici qu’à bien d’autres endroits dans le monde. Toutefois, est-ce suffisant ?

Au Québec, nous sommes choyés. Nous disposons, entre autres, de ressources abondantes, d’électricité bon marché, d’une main-d’œuvre qualifiée, d’un accès privilégié au marché américain, d’une relative stabilité politique, d’une monnaie forte qui permet d’acquérir à bon prix les plus récentes technologies et d’un système bancaire en bonne santé.

Malgré tout, de 1981 à 2010, le poids économique du Québec dans l’ensemble du Canada a diminué, les Québécois se sont enrichis moins vite que les autres Canadiens, nous avons créé moins d’emplois que dans le reste du Canada, le nombre de jeunes travailleurs a diminué au Québec alors qu’il a augmenté ailleurs au pays, et l’investissement des entreprises y a été plus faible que dans les autres provinces.

Nos atouts

Notre performance économique n’est clairement pas à la hauteur de nos nombreux atouts. Nous pourrions faire l’envie des autres provinces; alors, pourquoi nous contenter d’être à la traîne du Canada?

Cette question ne traduit ni la détestation du Québec ni la haine de soi.

C’est plutôt la preuve que nous sommes conscients de nos capacités et motivés à nous dépasser.

En s’acharnant à défendre un modèle économique fondé sur l’étatisme et en nous faisant croire que tout est rose, la gauche retarde les réformes nécessaires à la réalisation de notre potentiel économique et nous maintient en position désavantageuse. À cet égard, elle est la pire ennemie des Québécois!

Adhérer au discours de la gauche et nous complaire dans notre situation, c’est accepter d’être né pour un petit pain. Pire encore, c’est s’en réjouir. Personnellement, je suis convaincue que nous valons plus et que nous méritons mieux. Et vous ?

[InspecteurSpecteur]

La gauche s’estime détentrice du Bien et de la Vérité.

Les accusations primaires représentent l’arme de prédilection de la gauche.

Le symbole le plus marquent est certainement les multiples accusations de xénophobie et de racisme visant à démoniser les non gauches - les non pro-syndicats.

Voilà maintenant qu'on on est anti-québécois lorsqu'on critique, un tant soi peu, le model social-démocrate à la québécoise. (sic)

La gauche minimise les dettes publiques – encourage les gouvernements à s’endetter davantage pour financer les emplois…syndiqués.

[Harry Tuttle]

Nathalie Elgrably-Lévy

Ah la Lévy, toujours aussi anti-gauche.

Son combat à elle, c'est cracher sur la gauche de toutes les façons possibles et imaginables.

[Mark]

Nathalie Elgrably-Lévy

Ah la Lévy, toujours aussi anti-gauche.

Son combat à elle, c'est cracher sur la gauche de toutes les façons possibles et imaginables.

Ah le Tuttle, toujours aussi anti-droite.

Son combat à lui, c'est cracher sur la droite de toutes les façons possibles et imaginables.

Ben non, Tuttle il crache sur les messagers sans apporter la moindre pertinence à son propos.

Explique-nous plutôt en quoi elle "crache". Je trouve sopn discours très lucide, au contraire. Rien à voir avec l'autruchisme de certain.

[Harry Tuttle]

Nathalie Elgrably-Lévy

Ah la Lévy, toujours aussi anti-gauche.

Son combat à elle, c'est cracher sur la gauche de toutes les façons possibles et imaginables.

Ah le Tuttle, toujours aussi anti-droite.

Son combat à lui, c'est cracher sur la droite de toutes les façons possibles et imaginables.

Ben non, Tuttle il crache sur les messagers sans apporter la moindre pertinence à son propos.

Explique-nous plutôt en quoi elle "crache". Je trouve sopn discours très lucide, au contraire. Rien à voir avec l'autruchisme de certain.

En gros, la Lévy dit que le Québec et le Canada ont une société enviable grâce à leurs systèmes fortement inspirés du socialisme, mais qu'il est temps de jeter le bébé avec l'eau du bain.

Pourquoi? Sans doute pour que ceux qui ont une situation confortable la conservent et que ceux pour qui l'avenir s'annonce difficile, crèvent.

Ouais, je crache et cracherai toujours sur la droite, synonyme d'égöisme, de méfiance et d'avarisme.

[Mark]

Tu es victime des préjugés véhiculés par les media de masse, comme Radio-Canada.

C'est bien joli le Monde à travers des lunettes roses, mais comme l'argent ne pousse pas dans les arbres, il faut bien, à un moment, se demander quelle genre de société on veut laisser à nos enfants...

[InspecteurSpecteur]

Pourquoi? Sans doute pour que ceux qui ont une situation confortable la conservent et que ceux pour qui l'avenir s'annonce difficile, crèvent.

Bien dit!
Les employés syndiqués du Québec sont en situation bien trop confortable. Ils ne veulent que conserver leur acquis -et que les autres pour qui s'annonce un avenir difficile, crèvent.

Ouais, je crache et cracherai toujours sur la droite, synonyme d'égöisme, de méfiance et d'avarisme.

Je crache et cracherai toujours sur les syndicats de gauche, synonyme d'égoïsme, de méfiance et surtout d'avarisme.

[Mark]

Mes respect, cher Specteur.

On ne pouvait mieux viser !

Les nantis ne sont pas toujours ceux qu'on croit. S'il y en a quelques-uns d'un bord, il y en a une kyrielle de l'autre qui, eux, vivent non pas de leurs propres avoirs, mais des avoirs de la classe laborieuse du secteur privé.

[InspecteurSpecteur]

Trouve moi Mark, une classe de travailleur au Québec qui peut se permettre de prendre une retraite dorée à 55 ans - en ayant travaillé avec un salaire moyen?

Tu connais la réponse.

Maintenant, dit-moi, quelle est la portion de leur fonds de pension qu'ils auront personnellement contribué pour avoir acquis une telle richesse?

[Mark]

Je sais juste qu'une partie de mes impôts servent à ces nantis, et que je n'ai que mépris en retour en plus. Alors que je devrai peut-être travailler jusqu'à 67 ans sans avoir la chance de mettre un sou de côté pour mes vieux jours, d'autres prendront une retraite dorée à 55.

Qu'ont-ils de plus que moi ? Le cul bordé de nouilles: ils sont fonctionnaires, je suis col-rouge.

En plus, il se dit que le gouvernement du Québec a dû donner 500 millions de dollars pour combler les trous abyssaux des fonds de pension garantis des employés de la Ville de Montréal... mais ça doit être une invention de Martineau et de Duhaime, sûrement...

[Honneno]

Tanpeu là!

Êtes vous en train de me dire que l'avancement de l'âge de la retraite ne s'appliquerais pas au secteur public??????

[InspecteurSpecteur]

La poste financier de la Santé et des Services Sociaux du Québec est hors contrôle. Sommes-nous autant malade?

Non!

Les gouvernements du Québec ne cessent d'investir dans l'éducation. Les coûts sont incontrôlable. Est-ce que nos enfants savent mieux écrire? Non!

Alors où va l'argent?

Cette réalité a, malicieusement, été dissimulée par les syndicats et les spécialistes des sciences de l’éducation, les lologues et autres syndicaleux; pour qui il n'y a qu’une seule chose qui compte : « toujours plus de création de postes, toujours plus de moyens pour le syndicat».

[InspecteurSpecteur]

Tanpeu là!

Êtes vous en train de me dire que l'avancement de l'âge de la retraite ne s'appliquerais pas au secteur public??????

Bah non!

Lorsqu'on parle de la retraite à 67 ans, il est question de la pension de vieillesse du Ouernement.

Si tu prends ta retraite , avant 67, tu n'aura pas doit au plein monatnt.

Or, pourquoi un fonctionnaire aurait besoin de ce 600$ et quelques dollars de plus par mois, alors qu'il aura 70% de son salaire garanti...par l'ensemble des travailleurs du Quéebc?

[Harry Tuttle]

[
Je crache et cracherai toujours sur les syndicats de gauche, synonyme d'égoïsme, de méfiance et surtout d'avarisme.

De la part d'un entrepreneur qui tient à conserver la plus grande part des gains de sa production pour lui-même, ça se comprend.

[InspecteurSpecteur]

[
Je crache et cracherai toujours sur les syndicats de gauche, synonyme d'égoïsme, de méfiance et surtout d'avarisme.

De la part d'un entrepreneur qui tient à conserver la plus grande part des gains de sa production pour lui-même, ça se comprend.

Qui prend les risques tu crois?

Qui a donné sa maison en garantie pour créer des Jobs?

Sur les épaules de qui, tu crois, que repose les jours de paie?

Sur qui, crois-tu, repose la responsabilité d'apporter des revenus qui serviront à payer les salaires?