LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
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LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Si vous voulez copier en partie ou en totalité ce sujet LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849 ayez l'obligeance de m'en informer, merci. J'ai passé du temps à le créer. Les photos proviennent de timbres de France com. les commentaires de WIKIPEDIA
Cérès, divinité romaine de l'agriculture, a été choisie pour illustrer le premier timbre-poste d'usage courant français. Le dessin initial, la gravure, puis la réalisation du poinçon original est de Jacques-Jean Barre.
La dénomination officielle de ces timbres-poste est « République », « Cérès » est l'appellation utilisée par les philatélistes et les éditeurs de catalogues de cotations des timbres français. Le type Cérès fut ensuite repris plusieurs fois au cours de l'histoire postale française, par choix ou nécessité.
1849 - 1850
N°1 - N°2
N°3 - N°4 - N°5
N°6 - N°7 - N°8
N°8A
Les premiers timbres-poste ont été émis en deux séries, la première série émise en 1849 comprend les trois valeurs faciales suivantes : 20 centimes noir, 40 centimes orange et 1 franc rouge. La seconde série émise en 1850 comprend, dans l'ordre d'émission les valeurs suivantes : 25 centimes bleu, puis 15 centimes vert et en dernier le 10 centimes bistre.
Deux valeurs se distinguent pour les philatélistes :
Le vingt centimes noir qui correspondait au tarif de la lettre, et premier timbre français disponible le 1er janvier 1849.
Le un franc vermillon, plus grosse valeur faciale émise alors et qui connut plusieurs variations de couleurs.
Elu par 74% des suffrages, le 10 décembre 1848, le Prince Louis-Napoléon Bonaparte devient le premier Président de la République Française, pour 4 ans. Après le Coup d'État du 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte est nommé « Président » pour dix ans, ce qui prélude au retour d'un régime personnel, et à la restauration de l'Empire.
Une loi du 3 janvier 1852 prescrit le remplacement de l'effigie de la République (dite « Cérès ») par l'effigie du Président. Ainsi sont émis deux valeurs, conformes à ces nouvelles dispositions, non dentelées et imprimés en typographie :
en septembre 1852 un timbre de 25 centimes de couleur bleu, (ci-contre)
puis en décembre 1852, un timbre de 10 centimes de couleur bistre.
Dessiné et gravé par Jacques-Jean Barre, le timbre reprend le cadre des Cérès dont l'effigie est remplacée par celle du Prince Louis-Napoléon Bonaparte. De profil, il regarde vers la gauche, tête nue.
La légende en est : « REPUB FRANC » et le « B » sous le cou du profil est l'initiale du graveur.
Ces timbres-poste seront mis à la disposition du public alors que l'Empire est restauré après le senatus-consulte du 7 novembre 1852, puis par plébiscite les 21 et 22 novembre 1852.
N°9 - N°10
À partir de septembre 1853 commence l'émission de timbres-poste de même graphisme que ceux de 1852, avec le même profil ou effigie de Louis Napoléon Bonaparte, mais avec les différences suivantes :
une légende nouvelle : « EMPIRE FRANC », moins d'un an après le sénatus-consulte du 7 décembre 1852 créant la dignité impériale,
la disparition du « B ».
L'appellation « tête nue » pour l'effigie est plutôt employée par les numismates, en effet ce dessin est aussi celui des monnaies, gravés également par le Graveur général de la Monnaie de Paris Jacques-Jean Barre, et mises en circulation au cours de cette période. Les philatélistes parlent plutôt de série « Empire » pour la distinguer de la série suivante, dite « Empire lauré ».
Durant cette période, le 15 octobre 1862 est mis en vente le premier timbre dentelé de France : le 1 centime olive sur papier bleu-vert. Pendant ce dernier trimestre 1862, cinq autres valeurs sont émises.
N°11 - N°12
N°13A - N°13B - N°14A
N°14B - N°15 - N°16
N°17A - N°17B - N°18
1862
N°19 - N°20 - N°21
N°22 - N°23 - N°24
Aussi connue sous l'appellation « Empire lauré », ces timbres ont trois graphismes qui reprennent la même effigie de l'Empereur des français, Napoléon III, en lui ajoutant une couronne de laurier sur la tête, commémorant les succès de la « Campagne d'Italie » et porte la légende complète « EMPIRE FRANCAIS ».
Les « petites » valeurs faciales sont les premières à être mise en circulation, avec le 2 centimes en 1862, puis en 1863, le 3 centimes et en 1870, le 1 centimes. Dessinées et gravées par Désiré-Albert Barre, fils de Jacques-Jean Barre, le profil ne change pas, mais le cadre et le fond sont allégés de leurs motifs d'inspiration grecque antique.
Les valeurs de 10 à 80 centimes conçues ensuite reprennent la mise en page des timbres de la précédente série (voir paragraphe précédent), avec ces mêmes modifications.
N°25 - N°26 - N°27
N°28A - N°28B
N°29A - N°29B
N°30 - N°31 - N°32
Le 1er novembre 1869, un timbre de 5 francs est émis pour les lettres lourdes vers l'étranger et les droits d'assurance. En plus des mentions habituelles de la série, il porte la mention « TIMBRE POSTE ».
N°33
Les timbres à l'effigie de Napoléon III ont continué à servir, conjointement avec des timbres Cérès imprimés dans Paris assiégé par les troupes allemandes, ou ceux du gouvernement provisoire à Bordeaux.
Deux timbres ont connus une histoire prolongée en 1871-1872 à cause du changement de tarif du 1er septembre 1871 :
le 10 c. bistre lauré (de 1863, type 2 à « gros points ») fut surchargé d'un « 10 » de couleur bleu foncé, répétant sa valeur faciale. Seules quelques feuilles de timbres ont été morcelées sur le marchés philatéliques. Ces timbres authentiques, dont il n'existe aucune trace officielle, sont concidérés comme des non émis. Ils n'existent que neufs avec gomme, et n'ont jamais été vendus au public pour l'affranchissement du courrier.
5 c. vertL'augmentation des tarifs de 20 centimes à 25c. pour la lettre ordinaire, ou de 10c. à 15c. pour le tarif local (tarif du 24 août 1871 applicable au 1er septembre 1871) provoqua un fort besoin de timbres de 5 c. comme valeur de complément, dans l'attente d'approvisionnement des bureaux en timbres à 25 centimes en cours de fabrication. Le 5 c. vert pâle de type Napoléon non lauré dentelé fut réimprimé. Ces timbres ont été notamment imprimés sur un papier bleuté caractéristique.
N°34 - N°35
Cérès, divinité romaine de l'agriculture, a été choisie pour illustrer le premier timbre-poste d'usage courant français. Le dessin initial, la gravure, puis la réalisation du poinçon original est de Jacques-Jean Barre.
La dénomination officielle de ces timbres-poste est « République », « Cérès » est l'appellation utilisée par les philatélistes et les éditeurs de catalogues de cotations des timbres français. Le type Cérès fut ensuite repris plusieurs fois au cours de l'histoire postale française, par choix ou nécessité.
1849 - 1850
N°1 - N°2
N°3 - N°4 - N°5
N°6 - N°7 - N°8
N°8A
Les premiers timbres-poste ont été émis en deux séries, la première série émise en 1849 comprend les trois valeurs faciales suivantes : 20 centimes noir, 40 centimes orange et 1 franc rouge. La seconde série émise en 1850 comprend, dans l'ordre d'émission les valeurs suivantes : 25 centimes bleu, puis 15 centimes vert et en dernier le 10 centimes bistre.
Deux valeurs se distinguent pour les philatélistes :
Le vingt centimes noir qui correspondait au tarif de la lettre, et premier timbre français disponible le 1er janvier 1849.
Le un franc vermillon, plus grosse valeur faciale émise alors et qui connut plusieurs variations de couleurs.
Elu par 74% des suffrages, le 10 décembre 1848, le Prince Louis-Napoléon Bonaparte devient le premier Président de la République Française, pour 4 ans. Après le Coup d'État du 2 décembre 1851, Louis-Napoléon Bonaparte est nommé « Président » pour dix ans, ce qui prélude au retour d'un régime personnel, et à la restauration de l'Empire.
Une loi du 3 janvier 1852 prescrit le remplacement de l'effigie de la République (dite « Cérès ») par l'effigie du Président. Ainsi sont émis deux valeurs, conformes à ces nouvelles dispositions, non dentelées et imprimés en typographie :
en septembre 1852 un timbre de 25 centimes de couleur bleu, (ci-contre)
puis en décembre 1852, un timbre de 10 centimes de couleur bistre.
Dessiné et gravé par Jacques-Jean Barre, le timbre reprend le cadre des Cérès dont l'effigie est remplacée par celle du Prince Louis-Napoléon Bonaparte. De profil, il regarde vers la gauche, tête nue.
La légende en est : « REPUB FRANC » et le « B » sous le cou du profil est l'initiale du graveur.
Ces timbres-poste seront mis à la disposition du public alors que l'Empire est restauré après le senatus-consulte du 7 novembre 1852, puis par plébiscite les 21 et 22 novembre 1852.
N°9 - N°10
À partir de septembre 1853 commence l'émission de timbres-poste de même graphisme que ceux de 1852, avec le même profil ou effigie de Louis Napoléon Bonaparte, mais avec les différences suivantes :
une légende nouvelle : « EMPIRE FRANC », moins d'un an après le sénatus-consulte du 7 décembre 1852 créant la dignité impériale,
la disparition du « B ».
L'appellation « tête nue » pour l'effigie est plutôt employée par les numismates, en effet ce dessin est aussi celui des monnaies, gravés également par le Graveur général de la Monnaie de Paris Jacques-Jean Barre, et mises en circulation au cours de cette période. Les philatélistes parlent plutôt de série « Empire » pour la distinguer de la série suivante, dite « Empire lauré ».
Durant cette période, le 15 octobre 1862 est mis en vente le premier timbre dentelé de France : le 1 centime olive sur papier bleu-vert. Pendant ce dernier trimestre 1862, cinq autres valeurs sont émises.
N°11 - N°12
N°13A - N°13B - N°14A
N°14B - N°15 - N°16
N°17A - N°17B - N°18
1862
N°19 - N°20 - N°21
N°22 - N°23 - N°24
Aussi connue sous l'appellation « Empire lauré », ces timbres ont trois graphismes qui reprennent la même effigie de l'Empereur des français, Napoléon III, en lui ajoutant une couronne de laurier sur la tête, commémorant les succès de la « Campagne d'Italie » et porte la légende complète « EMPIRE FRANCAIS ».
Les « petites » valeurs faciales sont les premières à être mise en circulation, avec le 2 centimes en 1862, puis en 1863, le 3 centimes et en 1870, le 1 centimes. Dessinées et gravées par Désiré-Albert Barre, fils de Jacques-Jean Barre, le profil ne change pas, mais le cadre et le fond sont allégés de leurs motifs d'inspiration grecque antique.
Les valeurs de 10 à 80 centimes conçues ensuite reprennent la mise en page des timbres de la précédente série (voir paragraphe précédent), avec ces mêmes modifications.
N°25 - N°26 - N°27
N°28A - N°28B
N°29A - N°29B
N°30 - N°31 - N°32
Le 1er novembre 1869, un timbre de 5 francs est émis pour les lettres lourdes vers l'étranger et les droits d'assurance. En plus des mentions habituelles de la série, il porte la mention « TIMBRE POSTE ».
N°33
Les timbres à l'effigie de Napoléon III ont continué à servir, conjointement avec des timbres Cérès imprimés dans Paris assiégé par les troupes allemandes, ou ceux du gouvernement provisoire à Bordeaux.
Deux timbres ont connus une histoire prolongée en 1871-1872 à cause du changement de tarif du 1er septembre 1871 :
le 10 c. bistre lauré (de 1863, type 2 à « gros points ») fut surchargé d'un « 10 » de couleur bleu foncé, répétant sa valeur faciale. Seules quelques feuilles de timbres ont été morcelées sur le marchés philatéliques. Ces timbres authentiques, dont il n'existe aucune trace officielle, sont concidérés comme des non émis. Ils n'existent que neufs avec gomme, et n'ont jamais été vendus au public pour l'affranchissement du courrier.
5 c. vertL'augmentation des tarifs de 20 centimes à 25c. pour la lettre ordinaire, ou de 10c. à 15c. pour le tarif local (tarif du 24 août 1871 applicable au 1er septembre 1871) provoqua un fort besoin de timbres de 5 c. comme valeur de complément, dans l'attente d'approvisionnement des bureaux en timbres à 25 centimes en cours de fabrication. Le 5 c. vert pâle de type Napoléon non lauré dentelé fut réimprimé. Ces timbres ont été notamment imprimés sur un papier bleuté caractéristique.
N°34 - N°35
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Dès la proclamation de la République le 4 septembre 1870, Anatole Hulot reçoit l'ordre de préparer des timbres à l'effigie de la République (au type « Cérès » de 1849), il réutilise les anciennes planches d'impression de 1849 et 1850 encore utilisables.
L'émission dite du « Siège de Paris » comprend trois valeurs dentelées : 10 centimes bistre, 20 centimes bleu et 40 centimes orange.
Ces timbres imprimés dans Paris assiégé et émis courant octobre 1870 dans la capitale ne seront disponibles sur l'ensemble du territoire qu'à la fin février 1871. Leur nom fait donc référence aux circonstances de leur apparition, mais ils ont continué à être imprimés et utilisés après le Siège (jusqu'en 1878 pour le 40 c. orange par exemple).
Cette période transitoire est marquée pour les Cérès par l'épisode des ballons montés du siège de Paris. Le passage du courrier entre la capitale assiégée et la province fut permis par des ballons gonflés au gaz de ville.
Pour le passage de la Province vers Paris, outres des nouvelles microfilmées transportées par pigeons, des lâchés de sphères dans la Seine dans la région de Bray-sur-Seine, Samois, Thomery après regroupement et conditionnement des lettres à Moulins (d'où le nom de « Boules de Moulins ») transportaient les lettres dans des coques étanches. Les plis transportés ainsi sont parmi les plus recherchés des collectionneurs français.
N°36 - N°37 - N°38
Pendant la Guerre franco-allemande de 1870, après que les républicains aient aboli le Second Empire, ils doivent faire face à la pénurie de timbres-poste dans le territoire non envahi par les armées prussiennes, celui-ci étant coupé de Paris assiégé où sont les ateliers de fabrication des timbres-poste.
Entre le 5 novembre 1870 et le 4 mars 1871, le Gouvernement de la Défense nationale replié sur Bordeaux, émet des timbres provisoires au type Cérès. Ils sont imprimés en lithographie (au lieu de la typographie) par l'imprimeur Augée-Delile. Le premier dessin de report, est confié à Dambourgez, qui réalise un timbre à 20 centimes, imprimé en bleu. Mais la finesse du trait, qui s'altère trop vite pour les volumes de tirage attendus, oblige à reprendre l'ensemble et à confier la réalisation d'un second dessin à Léopold Yon. Ce dernier réalisera l'ensemble des autres valeurs de la série. Ces « Cérès de Bordeaux » se caractérisent par un grand nombre de variations d'un timbre à un autre, tantôt accidentelles, tantôt répétitives et résultant de la méthode d'impression utilisée.
N°39A - N°40A - N°41A
N°42A - N°43A
N°44A - N°45A - N°46A
N°47 - N°48 - N°49
L'émission dite du « Siège de Paris » comprend trois valeurs dentelées : 10 centimes bistre, 20 centimes bleu et 40 centimes orange.
Ces timbres imprimés dans Paris assiégé et émis courant octobre 1870 dans la capitale ne seront disponibles sur l'ensemble du territoire qu'à la fin février 1871. Leur nom fait donc référence aux circonstances de leur apparition, mais ils ont continué à être imprimés et utilisés après le Siège (jusqu'en 1878 pour le 40 c. orange par exemple).
Cette période transitoire est marquée pour les Cérès par l'épisode des ballons montés du siège de Paris. Le passage du courrier entre la capitale assiégée et la province fut permis par des ballons gonflés au gaz de ville.
Pour le passage de la Province vers Paris, outres des nouvelles microfilmées transportées par pigeons, des lâchés de sphères dans la Seine dans la région de Bray-sur-Seine, Samois, Thomery après regroupement et conditionnement des lettres à Moulins (d'où le nom de « Boules de Moulins ») transportaient les lettres dans des coques étanches. Les plis transportés ainsi sont parmi les plus recherchés des collectionneurs français.
N°36 - N°37 - N°38
Pendant la Guerre franco-allemande de 1870, après que les républicains aient aboli le Second Empire, ils doivent faire face à la pénurie de timbres-poste dans le territoire non envahi par les armées prussiennes, celui-ci étant coupé de Paris assiégé où sont les ateliers de fabrication des timbres-poste.
Entre le 5 novembre 1870 et le 4 mars 1871, le Gouvernement de la Défense nationale replié sur Bordeaux, émet des timbres provisoires au type Cérès. Ils sont imprimés en lithographie (au lieu de la typographie) par l'imprimeur Augée-Delile. Le premier dessin de report, est confié à Dambourgez, qui réalise un timbre à 20 centimes, imprimé en bleu. Mais la finesse du trait, qui s'altère trop vite pour les volumes de tirage attendus, oblige à reprendre l'ensemble et à confier la réalisation d'un second dessin à Léopold Yon. Ce dernier réalisera l'ensemble des autres valeurs de la série. Ces « Cérès de Bordeaux » se caractérisent par un grand nombre de variations d'un timbre à un autre, tantôt accidentelles, tantôt répétitives et résultant de la méthode d'impression utilisée.
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qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
De 1871 à 1875, les timbres d'usage courant restent au type Cérès en alliant le graphisme originel et ajoutant pour les petites valeurs celle créée à Bordeaux.
En 1876, ces timbres sont remplacés par le type Paix et Commerce, connu aussi sous le nom de type Sage.
De 1871 à 1877 (et auparavant, mais peu de temps, entre 1850 et 1851), les colonies françaises utilisent les timbres métropolitains au type Cérès non dentelés pour leurs services postaux en remplacement des timbres impériaux (au type Aigle)
La III république est proclamée le 4 Septembre 1870 après la défaite de Napoléon III à Sedan
N°50 - N°51
N°52 - N°53
N°54 - N°55 - N°56
N°57 - N°58 - N°59
N°60A - N°60B - N°60C
En 1876, ces timbres sont remplacés par le type Paix et Commerce, connu aussi sous le nom de type Sage.
De 1871 à 1877 (et auparavant, mais peu de temps, entre 1850 et 1851), les colonies françaises utilisent les timbres métropolitains au type Cérès non dentelés pour leurs services postaux en remplacement des timbres impériaux (au type Aigle)
La III république est proclamée le 4 Septembre 1870 après la défaite de Napoléon III à Sedan
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
La Paix et le Commerce s’unissant pour régner sur le monde est une allégorie figurant sur une série de timbres français d’usage courant, connu également sous les appellations Paix et Commerce et type Sage ; ce dernier nom d’après leur dessinateur Jules-Auguste Sage
Les timbres ont été gravés par Louis-Eugène Mouchon pour une impression en typographie.
Le sujet est l’alliance des allégories de la Paix (une femme portant un rameau d’olivier) et du Commerce (rappelant le dieu grec Hermès) se tenant la main au-dessus d’un globe terrestre. Outre les mentions « POSTE » en haut et « REPUBLIQUE FRANÇAISE », la valeur faciale figure dans un grand rectangle cachant une partie du globe.
Les premiers timbres de cette série furent émis en 1876. Ils remplacèrent les timbres du Second Empire (effigies de Napoléon III) et les Cérès réémises en 1871. Des impressions de nouvelles valeurs eurent lieu jusqu’en 1900 ; ils furent remplacés par les types Blanc, Mouchon et Merson. L’impression de certains timbres Sage s’effectuait en deux fois : un premier passage pour la couleur de fond et un second pour le dessin.
Ces timbres constituent la première série régulière à ne pas avoir été imprimée par Anatole Hulot, congédié par l'administration des postes en juin 1876. De janvier 1876 à 1895, ils sont réalisés dans l'imprimerie parisienne de la rue d'Hauteville, sous la responsabilité de la Banque de France, puis sous celle des postes qui rachètent le matériel et les locaux. De 1895 à 1900, ils sont les premiers sortis de l'imprimerie du boulevard Brune, au sud de Paris.
Les philatélistes distinguent deux types principaux et assez faciles à identifier du type Sage. Ils sont repérables par la position de la signature « J A SAGE INV » sous le cartouche contenant « REPUBLIQUE FRANCAISE »
Le graveur (Étienne Mouchon) avait donné comme consigne de mettre la lettre N de INV sous le U de REPUBLIQUE. Mais le poinçon fut cassé lors de la trempe. Lors de la réparation, la signature fut gravée à nouveau et déplacée, le N se situant sous la lettre B. Un autre poinçon fut également fabriqué (conforme aux spécifications initiale). Enfin le premier fut également retouché en 1898 On distingue donc finalement 2 types :
le type 1 avec le N sous B
N°61 - N°62 - N°63
N°64 - N°65 - N°66
N°67 - N°68 - N°69
N°70 - N°71 - N°72
Les timbres ont été gravés par Louis-Eugène Mouchon pour une impression en typographie.
Le sujet est l’alliance des allégories de la Paix (une femme portant un rameau d’olivier) et du Commerce (rappelant le dieu grec Hermès) se tenant la main au-dessus d’un globe terrestre. Outre les mentions « POSTE » en haut et « REPUBLIQUE FRANÇAISE », la valeur faciale figure dans un grand rectangle cachant une partie du globe.
Les premiers timbres de cette série furent émis en 1876. Ils remplacèrent les timbres du Second Empire (effigies de Napoléon III) et les Cérès réémises en 1871. Des impressions de nouvelles valeurs eurent lieu jusqu’en 1900 ; ils furent remplacés par les types Blanc, Mouchon et Merson. L’impression de certains timbres Sage s’effectuait en deux fois : un premier passage pour la couleur de fond et un second pour le dessin.
Ces timbres constituent la première série régulière à ne pas avoir été imprimée par Anatole Hulot, congédié par l'administration des postes en juin 1876. De janvier 1876 à 1895, ils sont réalisés dans l'imprimerie parisienne de la rue d'Hauteville, sous la responsabilité de la Banque de France, puis sous celle des postes qui rachètent le matériel et les locaux. De 1895 à 1900, ils sont les premiers sortis de l'imprimerie du boulevard Brune, au sud de Paris.
Les philatélistes distinguent deux types principaux et assez faciles à identifier du type Sage. Ils sont repérables par la position de la signature « J A SAGE INV » sous le cartouche contenant « REPUBLIQUE FRANCAISE »
Le graveur (Étienne Mouchon) avait donné comme consigne de mettre la lettre N de INV sous le U de REPUBLIQUE. Mais le poinçon fut cassé lors de la trempe. Lors de la réparation, la signature fut gravée à nouveau et déplacée, le N se situant sous la lettre B. Un autre poinçon fut également fabriqué (conforme aux spécifications initiale). Enfin le premier fut également retouché en 1898 On distingue donc finalement 2 types :
le type 1 avec le N sous B
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
N°73
le type 2 avec le N sous U
N°74 - N°75 - N°76
N°77 - N°78 - N°79
N°80 - N°81 - N°82
N°83 - N°84
N°85 - N°86 - N°87
N°88 - N°89 - N°90
N°91 - N°92
N°93 - N°94 - N°95
N°96 - N°97
N°98 - N°99
1892: Papier quadillé
N°101
type 3 avec le N sous B
N°102 - N°103
N°104 - N°105
Pour les collectionneurs l'identification des types est importante car elle modifie considérablement la cote des timbres (voir par exemple la différence entre le 1c vert sur vert pâle de 1876 et 1c noir sur azuré de 1877).
Les premiers timbres de cette série furent émis en 1876. Ils remplacèrent les timbres du Second Empire (effigies de Napoléon III) et les Cérès réémises en 1871. L’impression de certains timbres Sage s’effectuait en deux fois : un premier passage pour la couleur de fond et un second pour le dessin. Des impressions de nouvelles valeurs eurent lieu jusqu’en 1900 ; ils furent remplacés par les types Blanc, Mouchon et Merson.
Type II
N°106
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Les timbres français du type Blanc ont été émis pour la première fois en 1900. Ils ont été gravés par le peintre Joseph Blanc.
Ce type a servi pour les petites valeurs, aux côtés des type Mouchon pour les valeurs intermédiaires et les type Merson pour les valeurs les plus importantes.
Le timbre au type Blanc a été émis par l'administration française le 4 décembre 1900. La série complète comprenait les valeurs faciales de 1c, 2c, 3c, 4c, 5c, 7½c et 10c. C'est le premier timbre dit semi-moderne (avec la semeuse qui sort à la même époque).
Il représente la « déesse de la Liberté tenant la balance de l'Égalité, et la Fraternité (symbolisée par deux angelots) ».
Le poinçon original a été gravé sur un bloc de buis à partir du dessin de M. Blanc. Le buis est un bois très dur et de grain très serré qui permet une gravure très fine en le travaillant bois de bout. À partir de cet original, les plaques d'impression en cuivre (galvanotype) sont réalisées par des procédés utilisant la galvanoplastie.
À l'époque de sa sortie, le type Blanc est imprimé par un procédé à plat (feuille par feuille). Vers 1925, va apparaître l'impression par rotative.
Ce timbre a connu une période d'utilisation de presque 30 ans : il correspondait aux tarifs des cartes postales et des imprimés. On trouve donc de nombreux documents anciens affranchis par ces timbres à des prix abordables dans les brocantes et vide-greniers.
1900 - 1924
N°107 - N°108
N°109 - N°110 - N°111
Ce type a servi pour les petites valeurs, aux côtés des type Mouchon pour les valeurs intermédiaires et les type Merson pour les valeurs les plus importantes.
Le timbre au type Blanc a été émis par l'administration française le 4 décembre 1900. La série complète comprenait les valeurs faciales de 1c, 2c, 3c, 4c, 5c, 7½c et 10c. C'est le premier timbre dit semi-moderne (avec la semeuse qui sort à la même époque).
Il représente la « déesse de la Liberté tenant la balance de l'Égalité, et la Fraternité (symbolisée par deux angelots) ».
Le poinçon original a été gravé sur un bloc de buis à partir du dessin de M. Blanc. Le buis est un bois très dur et de grain très serré qui permet une gravure très fine en le travaillant bois de bout. À partir de cet original, les plaques d'impression en cuivre (galvanotype) sont réalisées par des procédés utilisant la galvanoplastie.
À l'époque de sa sortie, le type Blanc est imprimé par un procédé à plat (feuille par feuille). Vers 1925, va apparaître l'impression par rotative.
Ce timbre a connu une période d'utilisation de presque 30 ans : il correspondait aux tarifs des cartes postales et des imprimés. On trouve donc de nombreux documents anciens affranchis par ces timbres à des prix abordables dans les brocantes et vide-greniers.
1900 - 1924
N°107 - N°108
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Le type Mouchon a été émis du 4 décembre 1900 à juin 1903. Ces timbres courants servent de valeurs intermédiaires entre les timbres au type Blanc portant de petites faciales et ceux au type Merson pour les plus forts affranchissements.
Fortement critiqué, remanié en 1902, le dessin de Louis-Eugène Mouchon est finalement abandonné au profit du type Semeuse qui va servir jusqu'en 1940.
L'illustration est une allégorie féminine de la République portant un bonnet phrygien et une couronne de lauriers, signe de paix. Assise, elle tient avec sa main gauche une table de pierre sur laquelle est gravée « DROITS DE L'HOMME » et une main de justice dans l'autre. Une tête de lion sur la cuirasse signale le courage de la République.
Cinq valeurs sont émises le 4 décembre 1900. Le 10 centimes rouge et le 25 centimes bleu existent sous deux types, le 15 centimes orange sous le type 2, le 20 centimes brun-lilas et le 30 centimes lilas uniquement sous le type 1. Les timbres au type 1 sont imprimés en typographie en deux presses : la première pour l'illustration, la seconde pour la valeur faciale. Au type 2, l'impression est réalisée en une seule fois.
Des différences dans le dessin permettent de distinguer types 1 et 2 pour les deux valeurs concernées. Pour le 10 centimes, la base du « 1 » est plate sur le type 1 et incurvée vers l'intérieur du chiffre pour le type 2. Pour le 20 centimes, le cadre intérieur du cartouche est un trait continu sur le type 1, mais discontinu sur le type 2.
Type I
N°112 - N°113
N°114 - N°115
Type II
N°116 - N°117 - N°118
Les timbres du type Merson, émis le 4 décembre 1900, servaient aux plus forts affranchissements. Ils furent retirés de la vente (selon les valeurs) au cours des années 1920.
Le motif des timbres au type Merson rejoint les thèmes allégoriques initialisés avec les timbres au type Sage et représente « La République assise, gardienne de la Paix ».
À dentelure ou non dentelés, imprimés en typographie et de grand format (rarement utilisé à l'époque), ils furent les premiers timbres bicolores utilisés en France. L’impression en deux fois (un passage pour chaque couleur) a créé des variétés de couleurs et de position des couleurs. Le format et les deux couleurs s'expliquent par la forte valeur faciale des Merson qui servirent conjointement avec les plus faibles valeurs des types Blanc et Mouchon.
N°119 - N°120
N°121 - N°122 - N°123
Suite aux critiques, le dessin est retouché pour des émissions étalées tout au long de l'année 1902 pour chacune des cinq valeurs précédentes. Le cartouche de la valeur faciale est désormais un écu couronné de laurier. Le mot « POSTES » est centré dans la ligne de décoration en haut du timbre.
Malgré les retouches au dessin réalisés en 1902, la popularité de ces timbres portant les tarifs les plus utilisés ne s'accroît pas. En octobre 1902, Georges Trouillot ministre du Commerce et Alexandre Bérard sous-secrétaire d'État chargé des Postes décident de son remplacement par la Semeuse d'Oscar Roty qui est déjà utilisée sur les pièces de monnaie depuis 1897.
N°124 - N°125
N°126 - N°127 - N°128
Fortement critiqué, remanié en 1902, le dessin de Louis-Eugène Mouchon est finalement abandonné au profit du type Semeuse qui va servir jusqu'en 1940.
L'illustration est une allégorie féminine de la République portant un bonnet phrygien et une couronne de lauriers, signe de paix. Assise, elle tient avec sa main gauche une table de pierre sur laquelle est gravée « DROITS DE L'HOMME » et une main de justice dans l'autre. Une tête de lion sur la cuirasse signale le courage de la République.
Cinq valeurs sont émises le 4 décembre 1900. Le 10 centimes rouge et le 25 centimes bleu existent sous deux types, le 15 centimes orange sous le type 2, le 20 centimes brun-lilas et le 30 centimes lilas uniquement sous le type 1. Les timbres au type 1 sont imprimés en typographie en deux presses : la première pour l'illustration, la seconde pour la valeur faciale. Au type 2, l'impression est réalisée en une seule fois.
Des différences dans le dessin permettent de distinguer types 1 et 2 pour les deux valeurs concernées. Pour le 10 centimes, la base du « 1 » est plate sur le type 1 et incurvée vers l'intérieur du chiffre pour le type 2. Pour le 20 centimes, le cadre intérieur du cartouche est un trait continu sur le type 1, mais discontinu sur le type 2.
Type I
N°112 - N°113
N°114 - N°115
Type II
N°116 - N°117 - N°118
Les timbres du type Merson, émis le 4 décembre 1900, servaient aux plus forts affranchissements. Ils furent retirés de la vente (selon les valeurs) au cours des années 1920.
Le motif des timbres au type Merson rejoint les thèmes allégoriques initialisés avec les timbres au type Sage et représente « La République assise, gardienne de la Paix ».
À dentelure ou non dentelés, imprimés en typographie et de grand format (rarement utilisé à l'époque), ils furent les premiers timbres bicolores utilisés en France. L’impression en deux fois (un passage pour chaque couleur) a créé des variétés de couleurs et de position des couleurs. Le format et les deux couleurs s'expliquent par la forte valeur faciale des Merson qui servirent conjointement avec les plus faibles valeurs des types Blanc et Mouchon.
N°119 - N°120
N°121 - N°122 - N°123
Suite aux critiques, le dessin est retouché pour des émissions étalées tout au long de l'année 1902 pour chacune des cinq valeurs précédentes. Le cartouche de la valeur faciale est désormais un écu couronné de laurier. Le mot « POSTES » est centré dans la ligne de décoration en haut du timbre.
Malgré les retouches au dessin réalisés en 1902, la popularité de ces timbres portant les tarifs les plus utilisés ne s'accroît pas. En octobre 1902, Georges Trouillot ministre du Commerce et Alexandre Bérard sous-secrétaire d'État chargé des Postes décident de son remplacement par la Semeuse d'Oscar Roty qui est déjà utilisée sur les pièces de monnaie depuis 1897.
N°124 - N°125
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qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Les timbres français au type Semeuse sont des timbres d'usage courant émis pour la première fois en 1903. Cette semeuse semant à contre-vent a servi à maintes reprises et sous plusieurs formes.
L'impression de cette série est faite par typographie à plat et rotative.
10 centimes rose : émis le 6 mai 1903
15 centimes vert-gris : émis le 2 avril 1903 et retiré de la vente en 1927
20 centimes brun-lilas, 25 centimes bleu, 30 centimes lilas
N°129 - N°130
N°131 - N°132 - N°133
Semeuse Camée avec sol
N°134
C'est l'autre type courant, émis à partir de 1907, appelé aussi « Semeuse à fond plein ».
Inscriptions FINES
N°135 - N°136
Inscriptions GRASSES
N°137 - N°138 - N°139
N°140 - N°141 - N°142
L'impression de cette série est faite par typographie à plat et rotative.
10 centimes rose : émis le 6 mai 1903
15 centimes vert-gris : émis le 2 avril 1903 et retiré de la vente en 1927
20 centimes brun-lilas, 25 centimes bleu, 30 centimes lilas
N°129 - N°130
N°131 - N°132 - N°133
Semeuse Camée avec sol
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C'est l'autre type courant, émis à partir de 1907, appelé aussi « Semeuse à fond plein ».
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
1907: type Merson
N°143 - N°144 - N°145
1914: au profit de la Croix-Rouge
N°146 - N°147
1919-1926
[img]
N°157
1921-1922
N°158 - N°159 - N°160
N°161
N°143 - N°144 - N°145
1914: au profit de la Croix-Rouge
N°146 - N°147
1919-1926
[img]
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
1923-1926 : Série au type Pasteur
N°170 - N°171 - N°172
N°173 - N°174 - N°175
N°176 - N°177 - N°178
N°179 - N°180 - N°181
1923: Congrès philatélique de Bordeaux
N°182
N°170 - N°171 - N°172
N°173 - N°174 - N°175
N°176 - N°177 - N°178
N°179 - N°180 - N°181
1923: Congrès philatélique de Bordeaux
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
1924-1926: Timbre de type semeuse fond plein inscription maigre (type II) avec publicité
N°188 - N°188A
1924-1926
N°188B - N°189 - N°190
N°191 - N°192 - N°193
N°194 - N°195 - N°196
N°197 - N°198 - N°199
N°200 - N°201 - N°202
N°203 - N°204 - N°205
N°206 - N°207 - N°208
N°188 - N°188A
1924-1926
N°188B - N°189 - N°190
N°191 - N°192 - N°193
N°194 - N°195 - N°196
N°197 - N°198 - N°199
N°200 - N°201 - N°202
N°203 - N°204 - N°205
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
1925: Exposition philatélique internationale de Paris
BF N°1
1926-1927: Timbres de 1906-1926 surchargés
N°217 - N°218 - N°220
N°225 - N°227 - N°228
N°221 - N°223 - N°224
N°219 - N°222
BF N°1
1926-1927: Timbres de 1906-1926 surchargés
N°217 - N°218 - N°220
N°225 - N°227 - N°228
N°221 - N°223 - N°224
N°219 - N°222
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
1927 - 1931
N°233 - N°234 - N°235
N°236 - N°237 - N°238
N°239 - N°240
1927: Exposition philatélique de Strasbourg
BF N°2
N°241 - N°242
N°242A
N°233 - N°234 - N°235
N°236 - N°237 - N°238
N°239 - N°240
1927: Exposition philatélique de Strasbourg
BF N°2
N°241 - N°242
N°242A
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Au profit de la Caisse d'Amortissement
1927
N°246 - N°247 - N°248
1928
N°249 - N°250 - N°251
1929
N°253 - N°254 - N°255
BF N°
1929: Exposition philatélique du Havre
N°257A
1927
N°246 - N°247 - N°248
1928
N°249 - N°250 - N°251
1929
N°253 - N°254 - N°255
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Re: LE TIMBRE FRANCAIS D'USAGE COURANT DEPUIS 1849
Au profit de la Caisse d'amortissement
1930
N°266 - N°267 - N°268
1931
N°275 - N°276 - N°277
1930: Réunion du Conseil d'Administration du Bureau International du Travail à Paris
N°264 - N°265
1932-1937
N°277A - N°277B - N °278
N°278A - N°278B - N°279
N°279A
1930
N°266 - N°267 - N°268
1931
N°275 - N°276 - N°277
1930: Réunion du Conseil d'Administration du Bureau International du Travail à Paris
N°264 - N°265
1932-1937
N°277A - N°277B - N °278
N°278A - N°278B - N°279
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