Dildo Impuissant?
Publié : ven. déc. 03, 2010 11:45 pm
Un sex-shop de Sherbrooke devra rembourser en totalité le prix d’achat d’un vibrateur à une consommatrice insatisfaite de l’appareil, qui ne fonctionnait que par intermittence, a tranché un juge de la cour des petites créances.
La femme avait décidé de se faire un petit cadeau de Noël le 21 décembre 2009 en se rendant chez Passion Action pour se procurer un Rabbit Vibe Waterproof, qu’elle a payé 118,50 $.
Mais au moment de tester la chose chez elle, elle se rend compte que le Rabbit Vibe ne fonctionne que par intermittence. Il « fonctionne peu de temps, il s’arrête, et elle doit remettre l’appareil en fonction en exerçant des pressions répétées sur l’interrupteur de contact, ce qui fonctionne difficilement et parfois pas », explique le juge Alain Désy.
La cliente retourne donc chez Passion Action après ce premier usage pour se faire rembourser. Le commerçant refuse et ne veut pas non plus lui échanger son vibrateur pour un autre qui fonctionne correctement.
La consommatrice décide tout de même de récupérer son argent et s’adresse à la cour des petites créances. Elle demande que l’achat soit annulé et, en échange du remboursement, offre au marchand de lui remettre « l’appareil vibrateur manuel dont l’état actuel serait encore semblable à ce qu’il était au moment de l’achat et dans son emballage »
http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-g ... jouissance
La femme avait décidé de se faire un petit cadeau de Noël le 21 décembre 2009 en se rendant chez Passion Action pour se procurer un Rabbit Vibe Waterproof, qu’elle a payé 118,50 $.
Mais au moment de tester la chose chez elle, elle se rend compte que le Rabbit Vibe ne fonctionne que par intermittence. Il « fonctionne peu de temps, il s’arrête, et elle doit remettre l’appareil en fonction en exerçant des pressions répétées sur l’interrupteur de contact, ce qui fonctionne difficilement et parfois pas », explique le juge Alain Désy.
La cliente retourne donc chez Passion Action après ce premier usage pour se faire rembourser. Le commerçant refuse et ne veut pas non plus lui échanger son vibrateur pour un autre qui fonctionne correctement.
La consommatrice décide tout de même de récupérer son argent et s’adresse à la cour des petites créances. Elle demande que l’achat soit annulé et, en échange du remboursement, offre au marchand de lui remettre « l’appareil vibrateur manuel dont l’état actuel serait encore semblable à ce qu’il était au moment de l’achat et dans son emballage »
http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-g ... jouissance
Aux dernières nouvelles il se porte très bien. En autant que je ne le laisse pas tomber à plat.