Forum Québec

Hé be...

J,vien d'apprendre que l'histoire originale du petit chaperon rouge est loin de ressembler au conte de notre enfance!

La version originale: le loup veut violer le petit chaperon...il la bouffe ,ensuite un chasseur la délivre en tuant le loup puis il l'a viole à son tour!

Putain!

Tu termines en disant putain. Je dirais plutôt victime.

Mais noooon!

Mon putain était comme un ''Tabarnak'' ou un ''J,en crois pas mes yeux!''

Il est bien évident que jamais je n'aurais traitée cette pauvrette de pute!

Bienvenue à l'aéroport de Québec. Nous vous souhaitons un bon débarquement et un excellent séjour.

Tiens, la moralité de Perrault que personne ne lit jamais et que je résume aux enfants: "il ne faut jamais entrer dans le lit d'un personnage poilu"... Ah et je précise: chez Perrault, pas de chasseur pour sauver la petite fille. Elle est engloutie, et c'est tout. Le truc que tout le monde retient c'est qu'"il ne faut jamais parler aux inconnus et obéir à sa maman", sauf qu'une mère comme celle du petit chaperon rouge, pardonnez-moi, c'est une cinglée qui a un pet au casque: oser envoyer un enfant par les bois, c'est tout simplement inconscient...

MORALITÉ

On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange,
S’il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup, car tous les Loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.

J'espère que tu es au courant que l'histoire de Blanche Neige raconte la puberté et les menstruations. Non je ne plaisante pas!

calimero a écrit :Hé be...

J,vien d'apprendre que l'histoire originale du petit chaperon rouge est loin de ressembler au conte de notre enfance!

La version originale: le loup veut violer le petit chaperon...il la bouffe ,ensuite un chasseur la délivre en tuant le loup puis il l'a viole à son tour!

Putain!

Quand je pense qu'on pleure la grand-mère alors que c'était son dernier tour...

Et la belle au bois dormant se faisait engrosser par son prince charmant durant son sommeil!

Ouais...nous n'avions pas le monopole des histoires tordues!

Pareil, c'est une histoire sur les menstrus:
sang qui coule>long dodo = forêt de ronces=poils>prince charmant.
Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.

Juliette D. a écrit :Pareil, c'est une histoire sur les menstrus:
sang qui coule>long dodo = forêt de ronces=poils>prince charmant.
Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants.

Quoi ? Faut être poiluse (comme j'entends parfois) pour attirer le prince charmant ??

Pour moi, les seuls poils que je tolère sont les cheveux, les cils et les sourcils.

oh lala
mais le loup dans l'histoire il était de Laval non?

Mais alors, c'était un loup de centre d'achat!

Metazoaire a écrit :Mais alors, c'était un loup de centre d'achat!

ca existe ca?

Il paraît que les trappeurs font des affaires d'or dans les gros centres commerciaux. Si vous voyez une meute arriver, allez dans une boutique de parfums, l'odeur forte les repoussent.

calimero a écrit :Mais noooon!

Mon putain était comme un ''Tabarnak'' ou un ''J,en crois pas mes yeux!''

Il est bien évident que jamais je n'aurais traitée cette pauvrette de pute!

Savez-vous pourquoi Blanche-Neige aime bien vivre avec des nains ?? Ne sont-ils pas parfaits... juste à la bonne hauteur pour faire l'amour oral de cette pure et blanche comme neige ?? Avec sept, c'est parfait... un pour chaque jour de la semaine !

En fait le conte porte sur la sexualité et la séduction des jeunes filles. Et il n'y a pas de sauvetage surprise par un chasseur à la fin du conte de Charles Perrault. Elle se fait dévorer, point final.

La moralité à la fin du conte de Charles Perrault :

MORALITÉ

On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange,
S’il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup, car tous les Loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.