Les Montréalaises plus chaudes que les femmes de Toronto
Publié : lun. sept. 27, 2010 11:44 pm
C'était une évidence pour moi
La sexologue clinicienne Julie Pelletier explique ces chiffres par la façon désinvolte dont les Québécoises abordent la question de la sexualité. MONTRÉAL – Les femmes de Montréal seraient plus «chaudes» que celles de Vancouver et Toronto.
Selon un sondage mené auprès de femmes âgées de 18 à 24 ans, 55% des Montréalaises affirment avoir des relations sexuelles régulièrement comparativement à 47% des femmes de Vancouver et 40% des Torontoises.
Par région, le sondage Vision Critical mené pour le compte de la compagnie pharmaceutique Merck Frosst, montre que la province de l’Ontario arrive aussi bonne dernière alors que 42% des femmes de cette province disent faire l’amour au moins une fois par semaine alors que ce chiffre s’élève à 55% au Québec et à 59 % dans les Prairies.
La sexologue clinicienne Julie Pelletier explique ces chiffres par la façon désinvolte dont les Québécoises abordent la question de la sexualité.
«Nous blaguons au sujet du sexe et nous sommes aussi ouverts à en parler librement» ce qui permet selon elle aux Québécoises d’être en «contrôle de leur sexualité» et de ne pas ressentir de culpabilité sur les questions du plaisir charnel.
Contraception et informations
Au sujet des méthodes de contraception, la plupart des répondantes utilisent les anovulants et le condom pour prévenir les grossesses.
Quand vient le temps de s’informer sur une question sexuelle, 58% des femmes questionnées disent préférer demander à une amie, 5% à leur médecin et 22% préfèrent garder leur vie sexuelle pour elles-mêmes.
«Il y a encore beaucoup de tabous au sujet du sexe», explique madame Pelletier, déplorant que ces jeunes femmes se privent d’informations importantes sur la contraception et sur les ITS (infections transmises sexuellement).
«Les gens ont une vie sexuelle active, ils utilisent des moyens de contraception, mais ont-ils le produit qui leur convient», questionne la sexologue.
Et pour les Torontoises qui pensent déménager afin de mieux s’épanouir sexuellement à Montréal, Julie Pelletier les invite à prendre le sondage avec un grain de sel. «Nous avons toutes en nous le gêne de l’exagération», rigole-t-elle.
Le sondage a été mené auprès de 1002 femmes et sa marge d’erreur est de 3,1% 19 fois sur 20.
http://www.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=740864
La sexologue clinicienne Julie Pelletier explique ces chiffres par la façon désinvolte dont les Québécoises abordent la question de la sexualité. MONTRÉAL – Les femmes de Montréal seraient plus «chaudes» que celles de Vancouver et Toronto.
Selon un sondage mené auprès de femmes âgées de 18 à 24 ans, 55% des Montréalaises affirment avoir des relations sexuelles régulièrement comparativement à 47% des femmes de Vancouver et 40% des Torontoises.
Par région, le sondage Vision Critical mené pour le compte de la compagnie pharmaceutique Merck Frosst, montre que la province de l’Ontario arrive aussi bonne dernière alors que 42% des femmes de cette province disent faire l’amour au moins une fois par semaine alors que ce chiffre s’élève à 55% au Québec et à 59 % dans les Prairies.
La sexologue clinicienne Julie Pelletier explique ces chiffres par la façon désinvolte dont les Québécoises abordent la question de la sexualité.
«Nous blaguons au sujet du sexe et nous sommes aussi ouverts à en parler librement» ce qui permet selon elle aux Québécoises d’être en «contrôle de leur sexualité» et de ne pas ressentir de culpabilité sur les questions du plaisir charnel.
Contraception et informations
Au sujet des méthodes de contraception, la plupart des répondantes utilisent les anovulants et le condom pour prévenir les grossesses.
Quand vient le temps de s’informer sur une question sexuelle, 58% des femmes questionnées disent préférer demander à une amie, 5% à leur médecin et 22% préfèrent garder leur vie sexuelle pour elles-mêmes.
«Il y a encore beaucoup de tabous au sujet du sexe», explique madame Pelletier, déplorant que ces jeunes femmes se privent d’informations importantes sur la contraception et sur les ITS (infections transmises sexuellement).
«Les gens ont une vie sexuelle active, ils utilisent des moyens de contraception, mais ont-ils le produit qui leur convient», questionne la sexologue.
Et pour les Torontoises qui pensent déménager afin de mieux s’épanouir sexuellement à Montréal, Julie Pelletier les invite à prendre le sondage avec un grain de sel. «Nous avons toutes en nous le gêne de l’exagération», rigole-t-elle.
Le sondage a été mené auprès de 1002 femmes et sa marge d’erreur est de 3,1% 19 fois sur 20.
http://www.canoe.com/cgi-bin/imprimer.cgi?id=740864