Forum Québec

Qu'en pensez-vous ?

Je préfère ne pas y penser

difficile à décrire disons, un état de grande détresse, de noirceur , la personne qui le pense ou le vit ne voit aucune lumière au bout du tunnel, et la seule facon de mettre fin à ses souffrances est le suicide.
c un sujet terriblement délicat et ceux qui l'ont fait ne sont pas des lâches pour autant car nous ne sommes pas dans leurs souliers, ca l'air que ce sentiment ne dure que quelques secondes mais assez pour passer à l'acte , on ne peut le prévoir chez la personne en question car rare sont ceux qui donnent des signes précis ,

En général, les personne dépressive ne donne aucun signe extérieur, à moins de vraiment bien connaitre la personne...

Même si le suicide est un sujet délicat, il faut en parler. Personne est a l'abri de ça. Même les plus fort...

Parfois, j'ai l'impression que certains se suicide après une longue réflexion relativement objective et qu'ils sont sereins avec leur décision, et dans ce cas je dois dire que je la respecte.

Dans bien des cas par contre, surtout pour les plus jeunes qui se suicident, je crois que c'est un peu comme acheter soudainement quelque chose de très cher en étant subitement attiré par lui à un moment, puis à se demander pourquoi on à acheté cela rendu à la maison, surtout qu'on avait jamais voulu l'acheter avant. Mais dans le cas du suicidé, sauf si il s'est manqué, il ne pourra jamais se demander pourquoi il a soudainement trouvé que c'était le bon geste à faire.

Quand c'est comme cela, c'est très triste.

"La mort n'est jamais qu'un manque de savoir-vivre"

Alphonse allais.

grumpythedwarf a écrit :"La mort n'est jamais qu'un manque de savoir-vivre"

Alphonse allais.

Désolée, je suis peut-être très lente, mais celle là, je ne la comprend pas

Je n'ai jamais essayé de me suicider, on s'en reparlera dans plusieurs années

cabro a écrit :

grumpythedwarf a écrit :"La mort n'est jamais qu'un manque de savoir-vivre"

Alphonse allais.

Désolée, je suis peut-être très lente, mais celle là, je ne la comprend pas

C'est parce qu'il lui manquait des données pour confronter les épreuves de la vie.

leolo a écrit :

cabro a écrit :

grumpythedwarf a écrit :"La mort n'est jamais qu'un manque de savoir-vivre"

Alphonse allais.

Désolée, je suis peut-être très lente, mais celle là, je ne la comprend pas

C'est parce qu'il lui manquait des données pour confronter les épreuves de la vie.

Merci, leolo

Cela fait beaucoup plus de sens maintenant. Que c'est triste quand même.

Qu'en pensez-vous?

Sujet délicat VirtuoseII,

Je penses qu'il faut être bien désespérer pour choisir le suicide. Démunie aussi, on doit avoir l'impression que toutes les portent se referme sur nous sauf celle de la mort qui veut nous accueillir.

J'oses espérer que ceux qui commette cette acte, de bravoure pour certain et de lâcheté pour d'autres, le fond pour mettre un terme à leur souffrance soit physique ou psychologique. Laquelle est la plus douloureuse? Est-ce vraiment important, puisqu'ils ont choisi cette option extrême.

Comment juger un tel acte lorsque nous sommes seulement spectateur et non acteur.

Évidemment, ce sont toujours les survivants qui seront impactés pour cet acte et probablement pour le reste de leur vie.

Pas simple comme sujet.

"Le suicide, c'est une vengeance personnelle, et moi, personnellement, je ne m'en veux pas."

langundo a écrit :"Le suicide, c'est une vengeance personnelle, et moi, personnellement, je ne m'en veux pas."

+10

Je ne porte pas de Jugement pour ce qui est du Suicide.

C'est arrivé dans ma belle-famille et même quand on se pose la question pourquoi, la seule personne qui le sait, c'est celui qui a posé l'acte.

langundo a écrit :"Le suicide, c'est une vengeance personnelle, et moi, personnellement, je ne m'en veux pas."

Psychologiquement, Langundo tu rejoins la théorie sur le sujet à savoir que le suicidaire veut tuer la partie de lui-même qu'il n'accepte pas étant donné que son moi idéal ne correspond pas à son idéal du moi. Cela peut être sa mère ou son père intériorisé qu'il déteste.

Le suicidaire a besoin d'externaliser cette polarité qu'il juge intorérable afin de ne pas à choisir de s'enlever la vie pour la détuire à jamais !

Philosophiquement, l'homme est une créature tellement libre qu'il peut choisir cette avenue funeste et égoiste en laisse son entourage dans la détresse.