Opération ou statu quo ???
Publié : dim. nov. 01, 2009 3:30 pm
Mise en scène :
un jeune homme (moi) sait depuis toujours qu'il n'est pas très agréable à regarder, d'innombrables fiascos amoureux et des bêtises à n'en plus finir causent chez lui un grave manque de confiance en soi...mais seulement chez le sexe opposé. Hormis cette facette de sa vie, tout semble bien ; carrière plus que bien lancée, excellente santé et assez de bons (vrais) amis. L'idée lui trotte depuis un bon moment de se faire traiter (par broches et opération chirurgicale) la machoire inférieure et supérieure afin modifier la pensée matinale face au mirroir de "Ark, pas encore moi" à "Hey handsome guy".
Il ne sait pas si les coûts reliés au traitement, en temps/douleur/argent
sont contrebalancés par les améliorations esthétiques et psychologiques...et aussi le plaisir qu'il retirera de pouvoir croquer "normalement" dans une pomme verte. Mais, le traitement n'est pas une nécessité absolue pour sa survie... à court terme, puisqu'il a déjà frôlé l'abégnation ultime même s'il a coché "non" à la question "avez vous eu des pensées suicidaires dans les derniers 6 mois?" du formulaire pour le permis d'armes à feu (quel question inutile....mais c'est hors sujet)
Je me suis utilisé comme exemple, mais la situation s'applique à plusieurs cas possibles...
Qu'en pensez-vous?? Que feriez-vous? Connaissez-vous des proches ayant fait un tel choix?
un jeune homme (moi) sait depuis toujours qu'il n'est pas très agréable à regarder, d'innombrables fiascos amoureux et des bêtises à n'en plus finir causent chez lui un grave manque de confiance en soi...mais seulement chez le sexe opposé. Hormis cette facette de sa vie, tout semble bien ; carrière plus que bien lancée, excellente santé et assez de bons (vrais) amis. L'idée lui trotte depuis un bon moment de se faire traiter (par broches et opération chirurgicale) la machoire inférieure et supérieure afin modifier la pensée matinale face au mirroir de "Ark, pas encore moi" à "Hey handsome guy".
Il ne sait pas si les coûts reliés au traitement, en temps/douleur/argent
sont contrebalancés par les améliorations esthétiques et psychologiques...et aussi le plaisir qu'il retirera de pouvoir croquer "normalement" dans une pomme verte. Mais, le traitement n'est pas une nécessité absolue pour sa survie... à court terme, puisqu'il a déjà frôlé l'abégnation ultime même s'il a coché "non" à la question "avez vous eu des pensées suicidaires dans les derniers 6 mois?" du formulaire pour le permis d'armes à feu (quel question inutile....mais c'est hors sujet)
Je me suis utilisé comme exemple, mais la situation s'applique à plusieurs cas possibles...
Qu'en pensez-vous?? Que feriez-vous? Connaissez-vous des proches ayant fait un tel choix?