Ballade mélancolique pour un soir de cafard
Publié : lun. oct. 12, 2009 10:56 am
Petit café, sombre demeure
où je suis seul sans toi.
Tu es parti comme un acteur,
quittant la scène où il joua.
Tu partis sans un mot, sans laisser ton regard
enlever à tes pas le son lourd du départ,
et donner à l'adieu la joie de l'au-revoir,
mais tu n'as pas tué dans mon coeur l'espoir.
C'était donc un adieu et non un au-revoir,
je le savais déjà en cherchant ton regard;
l'empreinte de toi quand j'irai au hasard,
mais tu n'as pas tué dans mon coeur l'espoir.
Et si j'attends, c'est que peut-être
chante tout au fond de moi,
une lumière et un poète
et cet amour tendu vers toi.
C'est le chant d'un soir de tristesse,
air triste et doux, là dans ma tête.
Clair-obscur et fol espoir
que le temps change sa trajectoire.
où je suis seul sans toi.
Tu es parti comme un acteur,
quittant la scène où il joua.
Tu partis sans un mot, sans laisser ton regard
enlever à tes pas le son lourd du départ,
et donner à l'adieu la joie de l'au-revoir,
mais tu n'as pas tué dans mon coeur l'espoir.
C'était donc un adieu et non un au-revoir,
je le savais déjà en cherchant ton regard;
l'empreinte de toi quand j'irai au hasard,
mais tu n'as pas tué dans mon coeur l'espoir.
Et si j'attends, c'est que peut-être
chante tout au fond de moi,
une lumière et un poète
et cet amour tendu vers toi.
C'est le chant d'un soir de tristesse,
air triste et doux, là dans ma tête.
Clair-obscur et fol espoir
que le temps change sa trajectoire.