Roman d'une vie de bohème sous le ciel de Paris ...
Publié : ven. août 28, 2009 11:54 am
ROMAN D'UNE VIE DE BOHEME,
D'UNE PASSION SOUS LE CIEL DE PARIS...
des espoirs à l' Espoir....des amours à l'Amour...
Cahier de route...itinéraires sons et lumières et fracas...
QU'IL EST LOINTAIN LE PORT
Une route forestière de montagne très éloigné de toutes habitations.
Un accident de voiture, loin de tout secours.
Un jeune homme courant, aux abois, vers de lointains secours.
En courant, il se rappelle toute sa vie passée, en rétrospective.
Pour lui et sa compagne c’est déjà trop tard.
Il ne peut ni remonter les aiguilles du temps,
ni recommencer les actes de sa vie.
_____________
DESESPERANCE
_____________
Fabien est seul sur l’asphalte mouillé,
toute la nuit, sous la pluie, il a marché.
Il avance, sous les étoiles, le dos courbé,
droit, devant lui, le front baissé.
_________________________________________
Fabien hurle dans le vent et la nuit,
le cœur opprimé par le remord qui le poursuit.
Sans se retourner, aux abois, il s’enfuit,
là-haut, dans le ciel, la lune luit
_________________________________________
Ce soir toutes les portes sont fermées sur l’espérance
l’âme de Fabien pleure sur la mort et l’absence.
__________________________________________
Il a fallu cet accident stupide à ce carrefour,
si loin de la ville et des secours,
et un seul instant d’inattention sur ce maudit parcours,
pour changer la trajectoire et le cours d’une histoire d’amour.
__________________________________________
Souviens-toi ! la bruine et la mélancolie
tombait sur les pavés de la place Clichy.
Souviens-toi ! de cette rencontre avec Cathy
c’ était un soir dans les rues de Paris …
__________________________________________
Souviens-toi, Fabien, combien la vie était belle,
lorsque Cathy te murmurait encore je t’aime à l’oreille.
Souviens-toi, des baisers fous sous la tonnelle
des désirs, des élans, des promesses éternelles.
__________________________________________
Cathy de nous aimer ne sois jamais lassée,
je t’aime tant : j’en vis ! tu le sens ! tu le sais !
__________________________________________
J’aime tant à t’aimer ! c’est si bon vivre ensemble,
et sentir que son cœur, épris, s’approche et tremble
auprès d’un autre cœur, qui lui ressemble.
__________________________________________
Oui, je t’aime Cathy plus fort que l’espérance,
tu es mon seul amour, mon unique chance.
Vivre sans toi c’est vivre sans abondance,
car ma seule peur, vois-tu, c’est ton absence.
__________________________________________
Nous vivions notre bohème sous les toits de Paris,
sans argent, sans travail, la tête pleine de rêveries.
__________________________________________
Que de projets sans suite et sans lendemain,
rêves d’infini prenez nous par la main…
Conduisez nous vers des horizons lointains,
vers une autre vie, un autre regain.
__________________________________________
A vivre d’amour et d’eau fraîche, sans argent…
tout le monde le sait, cela ne dure qu’un temps.
La facilité, la peur de quitter Cathy ne serait-ce qu’un instant,
a engendrer un dessein fou, un volcan, un carcan.
__________________________________________
Où vas-tu Fabien avec cette arme dans ta poche ?
vers quel néant ? vers quel joug ? vers quel rush ?
__________________________________________
Non, Fabien, n’entre pas dans cette bijouterie,
pour y voler les joyaux, l’or, l’argenterie.
Ne vise pas, avec ce pistolet, le vendeur ahuri.
avant qu’il soit trop tard arrête ta folie.
__________________________________________
Cathy attends avec anxiété et lassitude
le retour de Fabien, la fin de l’incertitude.
Fabien, en courant, ouvre violemment la portière de la voiture
déjà l’automobile roule, à tombeau ouvert, dans le clair-obscur
__________________________________________
La route se déroule et s’étire vers l’infini,
comme un long ruban sous un ciel de pluie.
Le vent souffle et pousse des hurlements
au loin les nuages semblent apporter un châtiment.
D'UNE PASSION SOUS LE CIEL DE PARIS...
des espoirs à l' Espoir....des amours à l'Amour...
Cahier de route...itinéraires sons et lumières et fracas...
QU'IL EST LOINTAIN LE PORT
Une route forestière de montagne très éloigné de toutes habitations.
Un accident de voiture, loin de tout secours.
Un jeune homme courant, aux abois, vers de lointains secours.
En courant, il se rappelle toute sa vie passée, en rétrospective.
Pour lui et sa compagne c’est déjà trop tard.
Il ne peut ni remonter les aiguilles du temps,
ni recommencer les actes de sa vie.
_____________
DESESPERANCE
_____________
Fabien est seul sur l’asphalte mouillé,
toute la nuit, sous la pluie, il a marché.
Il avance, sous les étoiles, le dos courbé,
droit, devant lui, le front baissé.
_________________________________________
Fabien hurle dans le vent et la nuit,
le cœur opprimé par le remord qui le poursuit.
Sans se retourner, aux abois, il s’enfuit,
là-haut, dans le ciel, la lune luit
_________________________________________
Ce soir toutes les portes sont fermées sur l’espérance
l’âme de Fabien pleure sur la mort et l’absence.
__________________________________________
Il a fallu cet accident stupide à ce carrefour,
si loin de la ville et des secours,
et un seul instant d’inattention sur ce maudit parcours,
pour changer la trajectoire et le cours d’une histoire d’amour.
__________________________________________
Souviens-toi ! la bruine et la mélancolie
tombait sur les pavés de la place Clichy.
Souviens-toi ! de cette rencontre avec Cathy
c’ était un soir dans les rues de Paris …
__________________________________________
Souviens-toi, Fabien, combien la vie était belle,
lorsque Cathy te murmurait encore je t’aime à l’oreille.
Souviens-toi, des baisers fous sous la tonnelle
des désirs, des élans, des promesses éternelles.
__________________________________________
Cathy de nous aimer ne sois jamais lassée,
je t’aime tant : j’en vis ! tu le sens ! tu le sais !
__________________________________________
J’aime tant à t’aimer ! c’est si bon vivre ensemble,
et sentir que son cœur, épris, s’approche et tremble
auprès d’un autre cœur, qui lui ressemble.
__________________________________________
Oui, je t’aime Cathy plus fort que l’espérance,
tu es mon seul amour, mon unique chance.
Vivre sans toi c’est vivre sans abondance,
car ma seule peur, vois-tu, c’est ton absence.
__________________________________________
Nous vivions notre bohème sous les toits de Paris,
sans argent, sans travail, la tête pleine de rêveries.
__________________________________________
Que de projets sans suite et sans lendemain,
rêves d’infini prenez nous par la main…
Conduisez nous vers des horizons lointains,
vers une autre vie, un autre regain.
__________________________________________
A vivre d’amour et d’eau fraîche, sans argent…
tout le monde le sait, cela ne dure qu’un temps.
La facilité, la peur de quitter Cathy ne serait-ce qu’un instant,
a engendrer un dessein fou, un volcan, un carcan.
__________________________________________
Où vas-tu Fabien avec cette arme dans ta poche ?
vers quel néant ? vers quel joug ? vers quel rush ?
__________________________________________
Non, Fabien, n’entre pas dans cette bijouterie,
pour y voler les joyaux, l’or, l’argenterie.
Ne vise pas, avec ce pistolet, le vendeur ahuri.
avant qu’il soit trop tard arrête ta folie.
__________________________________________
Cathy attends avec anxiété et lassitude
le retour de Fabien, la fin de l’incertitude.
Fabien, en courant, ouvre violemment la portière de la voiture
déjà l’automobile roule, à tombeau ouvert, dans le clair-obscur
__________________________________________
La route se déroule et s’étire vers l’infini,
comme un long ruban sous un ciel de pluie.
Le vent souffle et pousse des hurlements
au loin les nuages semblent apporter un châtiment.