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- padawan
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Bonjour Martin et Gilbert!En fait je vis en France et j'aimerais devenir professeur de littérature et francais au Québec dans les collèges et lycées,je trouve le Québec vraiment authentique et çà me plait vraiment beaucoup!Merci de vous être interessés à mon sujet je commencais à désesperer 
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- Idylle
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- Inscription : mer. nov. 21, 2007 5:38 pm
- Localisation : Terre de paix
Bonjour Glamy. Ton rêve est malheureusement voilé par le fonctionnement de notre système d'éducation. Les nouveaux enseignants ne choisissent pas leur classe: ils héritent des postes dont les enseignants avec ancienneté ne veulent pas.
Au niveau 'lycée' qui correspond ici au niveau secondaire 3, 4 et 5, les professeurs enseignent souvent une matière autre que leur spécialité. Un professeur d'histoire peut être appelé, par exemple, à enseigner la géographie.
Au collégial, les professeurs sont souvent des chargés de cours qui sont en rédaction de maîtrise ou de doctorat à l'université. C'est une question de budget: ils ne sont pas employés à temps complet et sont donc des 'professeurs jetables' (à contrat).
Si on exclut les écoles privées, l'éducation est probablement une des pires portes d'entrée pour un nouvel arrivant. Peut-être verrons-nous un jour LA réforme en éducation qui fera un bon ménage dans le fouilli actuel, mais depuis une quinzaine d'année, les réformes n'ont été qu'échecs sur échecs.
Au niveau 'lycée' qui correspond ici au niveau secondaire 3, 4 et 5, les professeurs enseignent souvent une matière autre que leur spécialité. Un professeur d'histoire peut être appelé, par exemple, à enseigner la géographie.
Au collégial, les professeurs sont souvent des chargés de cours qui sont en rédaction de maîtrise ou de doctorat à l'université. C'est une question de budget: ils ne sont pas employés à temps complet et sont donc des 'professeurs jetables' (à contrat).
Si on exclut les écoles privées, l'éducation est probablement une des pires portes d'entrée pour un nouvel arrivant. Peut-être verrons-nous un jour LA réforme en éducation qui fera un bon ménage dans le fouilli actuel, mais depuis une quinzaine d'année, les réformes n'ont été qu'échecs sur échecs.
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- padawan
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- Idylle
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Glamy a écrit :Tout rêve ne mérite t-il pas sa chance?
Effectivement. Même s'il faut aplanir ou contourner certains obstacles.
La désillusion, je connais. J'ai étudié en orthopédagogie et si je n'avais pas rapidement réorienté ma carrière, je serais au chômage aujourd'hui. Je touche quand même le bout de mon rêve (l'éducation) puisque j'ai régulièrement eu des contrats de formation aux employés.
Obstacle contourné.
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Bonne chance!