Voici comment se résout une crise économique sans rien débou
Publié : jeu. mai 21, 2009 3:52 am
résoudre la crise sans rien débourser...
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touristes.
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100$.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre - no sweat - la crise mondiale?
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touristes.
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables.
Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100$.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
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Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.
N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre - no sweat - la crise mondiale?