Pensées quotidiennes

[leolo]

27 février

Nos cinq sens correspondent à des ouvertures
par lesquelles nous recevons toutes les perceptions
qui se transforment ensuite en conceptions, en idées.

Arnaud Desjardins

Les pensées de maîtres bouddhistes,
viennent de ce livre

[leolo]

Les bouddhistes affirment qu'il y a six sens qui est le mental.
Et la méditation aide à se défaire des déformations mentales.
Méditation qui n'est pas réservée qu'à une seule posture.
Mais d'être tout le temps dans le moment présent avec pleine conscience.
Pleine conscience les Anglais disent Aware

[Maikan]

Les bouddhistes affirment qu'il y a six sens qui est le mental.
Et la méditation aide à se défaire des déformations mentales.
Méditation qui n'est pas réservée qu'à une seule posture.
Mais d'être tout le temps dans le moment présent avec pleine conscience.
Pleine conscience les Anglais disent Aware

Pas evident par contre d'etre capable de méditer a un niveau tel qu'eux

[leolo]

Les bouddhistes affirment qu'il y a six sens qui est le mental.
Et la méditation aide à se défaire des déformations mentales.
Méditation qui n'est pas réservée qu'à une seule posture.
Mais d'être tout le temps dans le moment présent avec pleine conscience.
Pleine conscience les Anglais disent Aware

Pas evident par contre d'etre capable de méditer a un niveau tel qu'eux

Bouddha à dit que n'importe qui peut atteindre l'illumination.
Et l'illumination n'es pas de léviter ou de voire avec les oreilles.

[Maikan]

Les bouddhistes affirment qu'il y a six sens qui est le mental.
Et la méditation aide à se défaire des déformations mentales.
Méditation qui n'est pas réservée qu'à une seule posture.
Mais d'être tout le temps dans le moment présent avec pleine conscience.
Pleine conscience les Anglais disent Aware

Pas evident par contre d'etre capable de méditer a un niveau tel qu'eux

Bouddha à dit que n'importe qui peut atteindre l'illumination.
Et l'illumination n'es pas de léviter ou de voire avec les oreilles.

Duh! lol

[leolo]

Différentes écoles

Cela vaut la peine que vous fassiez différentes recherches sur le bouddhisme. Dont quelles sont les différentes écoles: l’hīnayāna, terme sanskrit signifiant « voie du Petit Véhicule »; le mahāyāna, terme sanskrit signifiant « voie du Grand Véhicule »; le vajrayāna, terme sanskrit signifiant « voie du Diamant ».

Chacune de ses écoles a d'autres branches qui les différencient l'une de l'autre.

Adresse de tous les centres bouddhique du Québec
http://www.jutier.net/contenu/bouque.htm

À Montréal il y a plusieurs communautés asiatiques qui fréquentent divers centres bouddhiques. Et dans chacun de ces centres soit le moine fait la cérémonie dans la langue de l'assemblé seulement ou en pali ou dans les deux langues ou s'il y a quelques francophones il va donner quelque enseignement en français et parfois des soirées ou des journées de la fin de semaine réservées aux francophones en français. Demandez s'ils le font et quand cela a lieu. Car si vous ne parlez pas une de ces langues peut-être que cela va vous ennuyer ou pas du tout.

Les centres zen il y a beaucoup de francophones. Les centres zen ont soit pas de statue ou une ou trois. Mais moi je préfère l’hinayana (Théravada ou l’école des anciens) qui me semble être plus près de l’enseignement du Bouddha original, c’est une question de choix.

Les centres Hinayana à l'intérieur il ni a que trois statues Le Bouddha assis, debout en marche ou pas et en position allongée méditative pour le sommeil.




Les centres Mahayana et vajrayanas en ont plusieurs dont les trois du Bouddha et nombreuse autre d’ancien maître bouddhiste et autres auquel je n’ai pas posé la question.

À Montréal il y a la maison de la pleine conscience ou tous se passent en français.
CML de Montréal
5867 Saint-Hubert, Montréal (Québec), Canada H2S 2L8
Téléphone : 514-272-2832; Télécopieur : 514-684-5084
http://mpcmontreal.homestead.com/files/index.html
Courriel : mpcmontreal@videotron.ca

Et un livre que je vous suggère fortement.
Walpola Rahula
L’enseignement du Bouddha
D’après les textes les plus anciens
ISBN 2-02-004799-3 de 9à 10 dollars (190 pages)
Walpola Rahula (1907 - 1997) était un moine bouddhiste théravadin (École des Anciens), né et mort au Sri-Lanka (ex.Ceylan). Après ses études initiales, il s'intéressa également au bouddhisme mahāyāna (Grand Véhicule), qu'il étudia à Paris-Sorbonne dans les années 1950.

Je ne voudrais vous en dire plus pour ne pas vous influencer davantage.
Mais si vous avez des questions envoyez-moi-les en MP, sur ce poste ou visiter les forums bouddhiques.

[leolo]

28 février

La confiance est intiment liée
à l'adéquation entre nos perceptions et la réalité.

Matthieu Ricard

[rimk]

ils méditent sur quoi?

[leolo]

DICTIONNAIRE des TERMES BOUDDHIQUES

http://www.nichiren-etudes.net/dico/a.htm

[leolo]

Différentes postures pour méditer et 4 exemples de coussins et un banc de bois pour s’asseoir.

Mais moi j'ai pour mon dire que la méditation n'est pas réservée à une seule posture qui est la posture assisse du lotus. Avec les deux pieds sur les cuisses et les plantes des pieds vers le dessus. Sinon la méditation ne serait pas possible pour toute personne. Dons c'est de choisir une position ou l’on est confortable et il y a plusieurs façons pour les moines de s'asseoir que j'ai pu voire ici à Montréal. Même une chaise fait l'affaire. L’important est de s'asseoir dans une position pour ne pas dormir. Mais si vous le pouvez sur le sol c'est préférable, car dans les centres bouddhiques les personnes le font sur le sol et quelques ainés sur une chaise.

— Posture du lotus le plus difficile avec main gauche sur main droite et les deux pouces qui se touche légèrement et les deux genoux qui touches le sol autant que possible vous pouvez mettre un coussin de la grosseur que vous avez besoin en dessous des fesses, mais pas entièrement juste un peu plus loin que le coccyx pour vous aider. C'est important que les deux pouces se touchent légèrement, ainsi si vous vous assoupissez cela vous réveillera. L'important et de ne pas bouger, enfin le moins possible à la longue vous allez connaître votre position idéale. L'élément primordial est la position de la colonne vertébrale qui doit être presque "tendue" un peu comme la corde d'un arc. Cette "tension" est sa tenue naturelle, que nos modes de vie ont contrecarré. Il faut chercher ce point d'équilibre, qui existe chez tout un chacun, en particulier en se laissant légèrement tomber vers l'arrière. On peut également se balancer doucement d'avant en arrière jusqu'à ce que ce point d'équilibre soit trouvé. Demandez à quelqu'un de prendre une longue règle et de la mettre sur votre colonne vertébrale pour vérifier si votre tête ne va pas plus loin en arrière que votre colonne vertébrale. Fermez les yeux ou garder les ouverts en fixant un point sur un mur en gardant un de vos yeux sur une des deux narines cela vous donnera la hauteur. Et se couvrir pour éviter d'avoir froid, pouvez même porte une tuque. Comme j’ai dit, il faut être confortable et dans un endroit tranquille, votre chambre avec la porte fermée fera l'affaire.


— Posture demi-lotus. Avec seulement un pied sur les cuisses. Avec main gauche sur main droite...


— Posture en tailleur. Avec aucun pied sur les cuisses. Avec main gauche sur main droite...


Il y a 2 coussins et 2 autres coussins qui vont ensemble, qui sont populaires dans les centres bouddhiques de Montréal soit le zafu et le rondo qu’ils appellent aussi le zafu. Et les 2 autres qui vont ensemble je les mentionne au bas de cette page.
— Coussin (zafu) d’environ 16" de diamètre par 4"à 6" d’épaisseur de moelleux à ferme, mais pas nécessaire d'avoir exactement celui-là il y a plusieurs forme et d’épaisseur de coussin. Et c'est bon d'avoir le genre de tapis en dessous du coussin qui fait 1" = 25.4 mm d'épaisseur qui est un tissu avec un caoutchouc mousse (foam) à l’intérieure. Mais ne prenez pas le caoutchouc mousse blanc qui devient jaune quand il vieillit, il s’écrase trop et il n’est pas assez rigide. Tandis que celui que j’ai qui fait 25" X 25" X 1" moi je mesure 1,80M soit 5'11" si vous êtes plus grand essayez-le pour vous assurez que vous êtes entièrement sur le tapis. Il est fait en caoutchouc mousse de plusieurs morceaux d’environ 1/4" à 1/2" qui ont été compressé et collé ensemble il est s’écrase beaucoup moins et il est confortable, vous pouvez obtenir cela à plusieurs endroits. Vous allez voir si vous en avez besoin pour ce coussin. Certains méditant ne prennent aucun coussin. Essayez ce que vous avez chez vous, sinon allez vous en acheter un et essayez-le avant de l'acheter ou encore mieux visiter divers centres de différente école, le centre zen de Albert Low est le plus dispendieux des centres, mais ils peuvent vous accommoder selon votre revenu. Vous êtes les bienvenues dans ces centres, il y'en a qui donne des initiations à faible cout. Mais pour la plupart c'est gratuit vous donnez selon votre conscience et il y a toujours une personne soit le moine ou un participant qui peut vous aider, osez demandez de l’aide ils se feront un plaisir de vous aider et de répondre toutes vos questions.


— Coussin de méditation ( zafu ou Rondo) plus petit 10" d’épaisseur environ X 4"à 6" d’épaisseur environ. Et cela va de moelleux à ferme.



— Cette position n'est pas l'idéale, car à la longue vous allez avoir les muscles de l'aine qui vont faire mal. Mais il y a toujours des exceptions.
Et pour les mains ce n'est pas bouddhique, je n’ai jamais vu cela dans un centre bouddhique.


— Vu de côté


— Vu de côté avec emplacement idéal pour le coussin que j’ai mentionné plus haut


— Posture sur un banc en bois que j'aime bien, car cela ne bouge pas.
Ce sont deux pièces de bois de 8"pour le haut X 1 coté de 7" X 1 cotés de 5" et demi X 3/4 " à 1" d'épaisseur X le bas va être un peu plus long vu que c'est une pente vu que les deux côtés non pas la même hauteur (un de 7" et l'autre 5" et demi) et le morceau du dessus 8" X 19" X 3/4 à 1" d'épaisseur. Les deux planches du dessous à 1" et demi de chaque bout de la planche du dessus. N’oubliez pas de percer avec une mèche le bois de grosseur moindre que la vis pour empêcher le bois de fendre. 1" = 25.4 mm.
Vous pouvez prendre un 2" X 8" X 36" et faire le banc avec 2" d’épaisseurs le banc en sera plus solide, mais prendre les mêmes dimensions que j’ai mentionnées plus haut pour le reste. Allez dans un Rona ou Réno-Dépôt ou ils font des coupes de bois amenez les dimensions avec un croquis que vous ferez selon les photos ci-dessous, appelez avant pour savoir s’ils font des coupes de bois. Et vous visserez les pièces de bois ensemble chez vous avec de la colle blanche ce sera encore plus solide, et si vous voulez vernissez-le et attendre 2 semaines avant de vous asseoir dessus.


Le même, mais avec penture donc pratique pour le voyage.


— Il ya deux autres coussins que j’aurais aimé vous montrer, mais j’ai pas trouvé d’image. Mais vous pourriez le voir dans le centre Zen de Albert Low près de la rivière des Prairies sur la rue St-Hubert à Montréal! C’est un coussin ( 16" X 12" X 4" à 6" environ) fait avec des écailles de sarrasin que vous mettez sur le côté entre les deux jambes quand vous êtes à genoux et vous mettez l’autre coussin sur le dessus sur le plat et de travers et asseyez-vous sur les deux coussins. Le coussin avec des écailles de sarrasin est consistant et il prend la forme rapidement et ne bouge plus et le coussin qui va dessus ( 16" X 12" X 4" à 6" environ) n’est pas moelleux du tout et ne bouge plus aussi. Vous allez être assis comme la personne ci-dessus sur le banc de bois.

[leolo]

Sur quoi méditer

Il faut tout d'abord rappeler que la méditation n'est pas une technique spécifiquement bouddhique. Elle fut amplement développée et pratiquée par les ascètes indiens depuis l'âge védique jusqu'à nos jours. Elle a pu également s'enrichir de pratiques régionales, comme c'est le cas au Tibet avec les tenants de la pensée Bön ou en Chine avec la pratique du Ch'an (ou Zen au Japon).

La méditation est avant tout un travail sur soi et une démarche strictement personnelle et individuelle d'introspection sans aucun support idéologique et sans aucune visée mystique. C'est pas pour léviter ou d'avoir un oeil en arrière de la tête.

Ceci montre bien que le bouddhisme est fondamentalement éloigné d'une démarche doctrinale et dogmatique et est à l'opposé d'une construction intellectuelle basée sur un certain type de discours.

Dans la méditation, il est impératif de ne penser strictement à rien. La méditation c'est une remise à zéro, c'est un repos de toutes les fonctions qui constituent le sujet. Repos ne veut pas dire annihilation, rejet, interdit, négation, conflit ou mortification.

Au contraire, la méditation, c'est un enroulement de soi-même sur soi-même, c'est la remise en cohérence de soi, c'est le ramassement de soi avec soi (soi, étant entendu ici comme cohérence du système percepto-sensoriel tel que décrit dans l'article sur les cinq agrégats). Ce n'est surtout pas l'éparpillement, l'épanchement, la fusion, la métamorphose. Tous ces égarements relèvent plutôt de la névrose et parfois du dédoublement ou de la perte d'identité. Il existe plusieurs types de méditation, nous ne décrivons que la méditation sur la respiration.

L'élément primordial est la position de la colonne vertébrale qui doit être presque « tendue» un peu comme la corde d'un arc. Cette « tension» est sa tenue naturelle, que nos modes de vie ont contrecarrée. Il faut chercher ce point d'équilibre, qui existe chez tout un chacun, en particulier en se laissant légèrement tomber vers l'arrière. On peut également se balancer doucement d'avant en arrière jusqu'à ce que ce point d'équilibre soit trouvé.

Ainsi, doit commencer la méditation en respirant normalement, sans forcer à l'inspiration, ni à l'expiration par le nez seulement. La respiration connaît elle-même ses rythmes et ses variations d'ampleur. Il n'y a pas lieu de la contraindre à une régularité rythmique ou volumique. Cette contrainte, en opposition avec les rythmes naturels du corps, ne saurait avoir d'effets bénéfiques.

Une fois que la posture est trouvée et que la respiration s'est installée dans son cycle, il convient de se décontracter. Il s'agit de relâcher les tensions physiques et psychiques. Il faut faire ce parcours mental sur son propre corps : laisser tomber les crispations du visage et de la mâchoire, décrisper la nuque (on peut éventuellement au début mouliner un peu la tête en la faisant tomber sur une épaule puis en tournant lentement), laisser retomber les épaules, laisser reposer ses jambes.

Une fois toutes ces conditions naturelles retrouvées (ce qui peut prendre un certain temps), il est impératif de ne penser strictement à rien. Il est primordial de ne pas laisser des idées distraire cette démarche méditative. Le but n'est pas de réfléchir d'une manière relaxée à ceci ou à cela, le but n'est pas d'endosser d'une manière imaginaire la « sérénité orientale»....; non, il ne faut penser à rien. Il ne s'agit pas non plus de somnoler ou de rêvasser, mais d'accompagner la respiration simplement (sans lui attribuer des significations abracadabrantes de purification ou d'expulsion) et d'observer simplement ce qui se passe.

Il faut commencer par de petites séances et allonger le temps des séances selon votre disponibilité ou votre contentement et votre désir de progresser, mais attention ce n’est pas une course. Ainsi, vous dormirez moins, serez plus concentré dans votre journée et déciderez de plus en plus de vivre votre moment présent avec pleine conscience. Et l’harmonie s’installera de plus en plus dans votre vie.

Si vous avez des questions vous pouvez allez sur des forums bouddhiques, mais n’oubliez surtout pas de gardez votre sens critique et de posez toutes les questions et vos pensées. N’hésitez pas à aller sur d’autres forums bouddhiques ou d’y revenir.

[leolo]

LA MÉDITATION EN MARCHE

Il y a quatre façons de noter pendant la marche.

1. Vous faites une note à chaque pas
2. Vous faites deux notes à chaque pas
3. Vous faites trois notes à chaque pas
4. Vous faites six notes à chaque pas

Faire cela très lentement sans faire de grands pas.

1. La première méthode consiste à faire une note à chaque pas. Vous notez alors simplement : « gauche, droite». Lorsque vous notez « gauche», essayez de maintenir votre esprit focalisé du début à la fin du mouvement. Vous devez vous concentrer avec le plus de précision possible, sur le mouvement graduel vers l'avant. Ne vous attardez sur à la forme physique du pied. De même lorsque vous notez « droite», concentrez-vous sur le mouvement graduel vers l'avant. Vous devez essayer de suivre les différentes étapes de ce mouvement, en ignorant la forme physique du pied.

2. La deuxième méthode consiste à faire deux notes à chaque pas. Vous notez alors de la façon suivante : « lever, baisser, lever, baisser». Vous devez être conscient du mouvement graduel vers le haut, tel qu'il se produit, étape par étape, et ignorer la forme physique du pied, son apparence extérieure. Lorsque vous notez « baisser», vous devez également vous concentrer sur la nature du mouvement progressif et lent vers le bas, et oublier l'apparence extérieure du pied.
La forme extérieure, l'apparence physique, est conventionnellement appelée « pied», mais n'est qu'un concept. En Pali, « concept » se dit « pannatti». Les concepts n'ont rien à voir avec vipassana. Dans la pratique de vipassana, la seule chose qui importe, c'est la Réalité, « paramattha». Dans ce cas-ci, paramattha, c'est l'élément de mouvement. C'est cet élément, « vayo dhatu », qui rend le mouvement possible. Vayo dhatu, c'est paramattha, la réalité. Vous devez essayer de vous concentrer avec le plus de précision possible et de façon ininterrompue sur l'élément vayo, de façon à le réaliser.

3. La troisième méthode consiste à faire trois notes à chaque pas : « lever, avancer, baisser». Lorsque vous élevez le pied, vous devez être attentif de façon ininterrompue aux différentes étapes du mouvement vers le haut. Lorsque vous notez « avancer», vous devez observer le mouvement graduel vers l'avant. Et lorsque vous notez « baisser», vous devez être très attentif au mouvement graduel vers le bas.

Vous devez observer tous ces mouvements avec beaucoup d'attention et de façon très précise, au moment même où ils se produisent. La prise de conscience de ce mouvement doit être synchronisée avec le mouvement lui-même. La conscience du mouvement doit surgir à l'instant même où le mouvement a lieu. Le mouvement, c'est la réalité ultime, c'est « paramattha». Lorsque votre concentration sera devenue forte, et que vous noterez « lever», vous réaliserez par vous-même, non seulement le mouvement graduel vers le haut, étape par étape, mais aussi la sensation de légèreté croissante qui est associée à ce mouvement vers le haut.

Lorsque vous noterez « avancer», vous réaliserez non seulement le mouvement graduel vers l'avant, étape par étape, mais également une sensation de légèreté grandissante qui est associée à ce mouvement vers l'avant. Lorsque vous noterez « abaisser», vous réaliserez non seulement le mouvement graduel vers le bas, étape par étape, mais également une sensation grandissante de lourdeur qui est associée à ce mouvement vers le bas. Toutes ces réalisations auront pour résultat d'éveiller chez le yogi l'enthousiasme pour la pratique. C'est le début de la Sagesse, le début de la Vision Pénétrante.

Expérimenter la légèreté, c'est expérimenter les caractéristiques de l'élément « tejo» - élément de chaleur et de froid - et de l'élément « vayo » - élément de mouvement ou d'air. Expérimenter la lourdeur, c'est expérimenter les caractéristiques de l'élément « pañhavã» - élément de terre, d'extension, de dureté - et de l'élément « apo» - élément de cohésion et de fluidité. Ressentir et réaliser de cette façon les manifestations de l'esprit et de la matière, c'est commencer à comprendre correctement la nature intrinsèque des processus physiques et mentaux, c'est commencer à les voir tels qu'ils sont réellement.

4. La quatrième méthode consiste à faire six notes à chaque pas : « début du mouvement d'élévation, fin du mouvement d'élévation; début de l'avancement, fin de l'avancement; début de l'abaissement, fin de l'abaissement». Le début du mouvement d'élévation, c'est lorsque le talon quitte le sol. La fin de ce mouvement, c'est lorsque le pied tout entier, y compris les orteils, n'est plus en contact avec le sol. Le début de l'avancement, c'est lorsque le pied commence à s'avancer, la fin de l'avancement, c'est lorsque le pied est sur le point d'entamer le mouvement vers le bas. Le début de l'abaissement, c'est lorsque le pied commence à descendre, et la fin de ce mouvement, c'est lorsque le pied touche le sol. Cette quatrième façon de noter consiste donc simplement à noter, à chaque fois, le début et la fin des trois mouvements de base.

Il y a une autre façon de faire six notes à chaque pas. Vous notez chaque fois le phénomène mental, c'est-à-dire l'intention, et ensuite le phénomène physique : « Intention de lever, lever ; intention d'avancer, avancer ; intention de baisser, baisser».

Il y a encore une autre façon de faire six notes à chaque pas. Vous notez alors de la façon suivante : « lever le talon, lever le pied, avancer, baisser, toucher, presser.» Lorsque vous notez « lever le talon», vous observez simplement le début de ce mouvement d'élévation. Lorsque vous notez « soulèvement», vous observez le pied qui décolle du sol, les orteils ne sont plus en contact avec le sol. Lorsque vous notez « avancer», vous observez le mouvement vers l'avant, lorsque vous notez « baisser », vous observez le début de ce mouvement d'abaissement, lorsque vous notez "toucher", vous notez le contact du pied avec le sol, lorsque vous notez « presser», vous observez le fait que le pied prenne fermement appui sur le sol de façon à permettre à l'autre pied de s'élever. Donc vous notez six mouvements : « lever le talon, lever le pied, avancé, baissé, touché, pressé.»

Cette dernière façon de noter est excellente. Elle permet aux méditants de progresser très rapidement. Et des fois plus que la posture assisse.

Mais vous devriez être accompagné d'un initié. Pour savoir comment revenir sur vos pas et améliorer votre marche parce que la distance à l’intérieure de votre résidence n’est probablement pas assez grande pour marcher très loin en ligne droite. Ne faites pas cela sur un trottoir passant à moins que vous vous en foutiez d’avoir l’air fou. Moi je prends un trottoir moins passant ou une longue ruelle quand je vais dehors.

[leolo]

Posture méditative pour le sommeil



Et c’est les mêmes instructions que la méditation posture assisse.
Vous pouvez mettre votre main sous la tête ou les doigts sur le front.

[Arkhon]

Tu es, comme qui dirait, super lourd, leolo…

Ô n’ai crainte, ce n’est pas moi qui irait essayer de t’empêcher de t’exprimer car je suis un fervent défenseur de la liberté d’expression, mais j’aimerais que tu réfléchisses à ce que tu es en train de faire, car du fond du cul je te le dis, tu es super lourd avec ton prosélytisme et tes copier/coller. Tu comprends ?

On est pas dans un bureau de recrutement, alors tu vas nous ramener tout les articles Internet que tu trouves sur le bouddhisme ici, sur le forum, ou tu vas te décider à comprendre qu'on est sur un forum de discussions et non sur ton blog personnel ?

[leolo]

Tu es, comme qui dirait, super lourd, leolo…

Ô n’ai crainte, ce n’est pas moi qui irait essayer de t’empêcher de t’exprimer car je suis un fervent défenseur de la liberté d’expression, mais j’aimerais que tu réfléchisses à ce que tu es en train de faire, car du fond du cul je te le dis, tu es super lourd avec ton prosélytisme et tes copier/coller. Tu comprends ?

On est pas dans un bureau de recrutement, alors tu vas nous ramener tout les articles Internet que tu trouves sur le bouddhisme ici, sur le forum, ou tu vas te décider à comprendre qu'on sur un forum de discussions ?

Je préfère lui faire lire un texte auquel je pratique. Et ainsi lui éviter des erreurs de ma part. C'est moins dangereux que le spree killing.