Le Québec, royaume des usines à chiots
Publié : ven. févr. 06, 2009 6:31 pm
Le Québec, royaume des usines à chiots
Manque de ressources au Québec
A qui la faute?
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Vétérinaire et TSA, professions difficiles
Il semblerait que le nombre de suicides chez les vétérinaires soit beaucoup plus important que dans le reste de la population.
Les gens se débarrassent de leur animale comme si il s’agissait vulgaire meuble. Ce qui en choque plus d'un.
Manque de ressources au Québec
Problème de surpopulation d' animaux de compagnie au québec.L'élevage de chiens est une activité répandue au Québec. Or, selon une enquête de la télévision de Radio-Canada, beaucoup de chiens, principalement des chiots destinés à la vente, sont élevés dans des conditions de délabrement et d'insalubrité qui contreviennent aux lois et règlements de la province.
L'engouement du public québécois pour les chiens, particulièrement les chiens de race, qui se vendent à prix d'or sur le marché, a transformé certains élevages en véritables usines à chiots, où les bêtes sont parfois négligées et maltraitées.
Qui plus est, au Québec, les inspecteurs chargés de vérifier les conditions dans lesquelles sont élevés les chiens ne sont qu'une poignée pour contrôler efficacement les nombreux élevages de la province.
Les ressources sont à ce point limitées que les inspecteurs de la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) ont dû faire appel à la Humane Society, un organisme américain de secours aux animaux, pour les aider à mener une perquisition dans un élevage de Rawdon en septembre dernier.
Sur place, les enquêteurs ont découvert des chiens élevés dans un état des plus précaires. Certaines bêtes, privées de soins, d'eau et de nourriture étaient à l'agonie, tandis qu'à l'extérieur, d'autres chiens s'entassaient dans une grange, laissés à eux-mêmes.
Moins d'une semaine plus tard, la SPCA mène une nouvelle perquisition du même genre dans un élevage canin de Saint-Lin. Une fois de plus, la SPCA doit recourir au concours de la Humane Society pour mener l'opération.
Selon la directrice intérimaire de la SPCA, Alanna Devine, il existerait beaucoup d'usines à chiots au Québec alors que son organisme ne dispose que de quatre inspecteurs pour l'ensemble de la province. En Ontario, on en retrouve plus de 200.
Deux organismes concurrents
Au Québec, le gouvernement ne finance pas la SPCA. L'État a plutôt créé ANIMA-Québec, dont le mandat est de faire respecter la loi québécoise sur le bien-être animal en déployant cinq inspecteurs sur l'ensemble du territoire de la province.
Ironiquement, la SPCA de Montréal et ANIMA-Québec se parlent à peine. La SPCA voudrait appliquer les lois fédérale et provinciale, comme le font certaines SCPA ailleurs au pays. Anima-Québec de son côté veut chapeauter les deux organismes.
A qui la faute?
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Vétérinaire et TSA, professions difficiles
Il semblerait que le nombre de suicides chez les vétérinaires soit beaucoup plus important que dans le reste de la population.
Les gens se débarrassent de leur animale comme si il s’agissait vulgaire meuble. Ce qui en choque plus d'un.
-------) http://carriere.jobboom.com/marche-trav ... 53241.htmlPermis de tuer
Trop bête…
Ce n’est pas de gaieté de cœur que les vétérinaires donnent aux animaux l’ultime piqûre, surtout quand ils sont pétants de santé. Un geste si bouleversant que certains en perdent le goût du métier, quand ce n’est pas le goût de vivre.