....Alors? Le défi consiste à faire en sorte que l'offre soit proéminente sur internet. Vraiment? Comment, en 2007, peut-on imaginer des règles contraignantes sur internet qui feraient en sorte que les musiques québécoises et canadiennes puissent être ainsi mises en valeur? À l'ADISQ, on y croit.
«Bien sûr, signale sa directrice générale, nous n'avons pas l'intention d'exiger 65 % de contenu francophone sur la Toile comme c'est le cas à la radio, mais il est quand même possible d'imaginer qu'un bouquet de services offerts par les fournisseurs canadiens d'accès internet (FAI) donne une place prépondérante aux contenus canadiens. Toute cette discussion américaine sur le net neutrality mène à croire que les FAI sont capables de choisir ce qui passe et ce qui ne passe pas dans leurs tuyaux.
«Alors? Si, par exemple, je m'abonne à Bell Sympatico ou à Bell Mobilité, je voudrais qu'on s'assure que les contenus canadiens y soient accessibles en priorité. Si Google est capable de le faire en Chine avec des intentions de censure, nous sommes capables de le faire ici avec des intentions de promotion culturelle. Dans le cas qui nous occupe, il ne s'agit évidemment pas de censure mais de contrôle de notre environnement culturel. Et si les FAI canadiens s'annoncent comme les distributeurs de contenus de demain, qu'ils prennent leurs responsabilités.»....
Ce groupuscule de communiste subventionné peut aller jouer dans le décor il m'empecheront pas d'écouter la musique que je veux sur internet. Si un jour ca arrive j'espere que le gens vont les boycotter solide pour les faire crever. J'ai jamais acheter de disque des membres de l'ADISQ et je n'en acheterais jamais les non membre vont passer avant.