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Unis pour battre les conservateurs

Publié : ven. mars 15, 2013 3:34 pm
par Mario300
Le parti conservateur de M. Harper est au pouvoir depuis belle lurette et semble capable d'y rester encore longtemps.

Lorsque la droite était divisée en deux partis distincts soit le Parti Progressiste-conservateur et le Reform Party, ils ne parvenaient pas au pouvoir et les libéraux l'emportaient.

Serait-il nécessaire que les forces centristes (les libéraux fédéraux) et les forces de gauche (le NPD) s'unissent pour pouvoir renverser le gouvernement Harper?

Je crois que la réponse est oui.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : ven. mars 15, 2013 7:10 pm
par Honneno
Mario300 a écrit :Le parti conservateur de M. Harper est au pouvoir depuis belle lurette et semble capable d'y rester encore longtemps.

Lorsque la droite était divisée en deux partis distincts soit le Parti Progressiste-conservateur et le Reform Party, ils ne parvenaient pas au pouvoir et les libéraux l'emportaient.

Serait-il nécessaire que les forces centristes (les libéraux fédéraux) et les forces de gauche (le NPD) s'unissent pour pouvoir renverser le gouvernement Harper?

Je crois que la réponse est oui.

Tu vas trouver bizarre ce que je vais te dire....
J'espère que c'est ce qui arrivera et que cet ''union'' délogera les conservateurs!

Car je suis pour...les conservateurs!

Mais je crois qu'une dose d'humilité est nécessaire pour calmer cette gang d'arrogants!
Par contre,je persiste à dire qu'Harper a plus tenu parole que tout les autres réunis....
Mais y fait chier un peu là...

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : mar. mars 19, 2013 8:55 pm
par Dents d'acier
Personnellement je pense que pour le moment c'est peut être pas une bonne idée. L'économie vas mal et comme il fait un excellent travail de ce coté-là mieux vaut se boucher le nez et voter conservateur.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : mer. mars 20, 2013 7:14 am
par Entab
De toute façon entre Harper, le NPD et l'autre fils de pet...
Je choisis Harper les yeux fermés.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : mer. mars 20, 2013 7:52 am
par Murray#3
Dents d'acier a écrit :Personnellement je pense que pour le moment c'est peut être pas une bonne idée. L'économie vas mal et comme il fait un excellent travail de ce coté-là mieux vaut se boucher le nez et voter conservateur.
Les Conservateurs font bien au niveau de l'économie?

:ahah

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : mer. mars 20, 2013 1:43 pm
par saintluc
Une inquiétude qui les motive même à réviser à la baisse leurs prévisions de croissance pour cette année et l'an prochain, lit-on dans leur bulletin de mise à jour publié hier.

Les économistes de Desjardins s'attendent désormais à ce que le produit intérieur brut (PIB) réel de l'économie du Québec affiche une croissance limitée à 1,4% en 2012, comparativement à leur prévision antérieure de 1,7%.

Et pour l'an prochain, en 2013, les économistes de Desjardins prévoient une croissance du PIB réel ramenée à 1,9%. Leur prévision précédente était à hauteur de 2,3%.

L'important voisin économique du Québec, la province de l'Ontario, subit aussi une révision à la baisse de la croissance de son PIB de la part des économistes de Desjardins. Leur révision est toutefois un peu moins prononcée que celle concernant l'économie québécoise.

Ainsi, ils s'attendent désormais à une croissance de 1,7% du PIB de l'Ontario cette année, comparativement à 1,8% prévu antérieurement.

Pour l'an prochain, en 2013, les économistes de Desjardins entrevoient un taux de croissance du PIB de 2,1% en Ontario. Leur prévision précédente était de 2,3%.

À l'égard du Québec, la révision à la baisse de la croissance attendue du PIB par les économistes de Desjardins s'appuie sur un constat pour le moins terne.

«L'évolution de l'économie québécoise inquiète depuis quelques mois», écrivent l'économiste-chef, François Dupuis, et son adjoint, Yves St-Maurice.

«Non seulement les statistiques de l'emploi ont créé un émoi, mais la confiance des consommateurs poursuit aussi sa chute, les exportations ne parviennent pas à remonter la pente, les mises en chantier se sont écrasées en janvier.»

Après un tel constat, les prévisions de croissance économique moindres au Québec des économistes de Desjardins sont les plus faibles parmi celles de leurs homologues dans les banques.

Un rebond en vue

À la Banque Nationale, principale concurrente de Desjardins au Québec, l'économiste et stratège en chef Stéfane Marion s'en tient à une prévision de croissance de 1,5% cette année et de 2,1% l'an prochain.

«Il est vrai que certaines données économiques récentes pour le Québec étaient plutôt inquiétantes, notamment pour le marché de l'emploi. Mais avec ce qui se passe aux États-Unis, je m'attends à un rebond de certaines exportations du Québec. Elles pourraient être une meilleure contributrice à la croissance, qui serait alors mieux répartie dans l'économie que la consommation des dernières années», selon M. Marion.

À la Banque Laurentienne, l'économiste Sébastien Lavoie soulève aussi «la fatigue des ménages québécois» comme un facteur négatif qui influencera la croissance économique au Québec au cours des prochains trimestres.

Toutefois, il ne s'attend pas à réviser ses prévisions (1,5% pour 2012 et 2013) avant le prochain épisode de budgets fédéral et provinciaux, lesquels s'annoncent particulièrement ardus.

Les prochaines données sur l'emploi, attendues le 9 mars, seront aussi très suivies par les économistes des institutions financières. Surtout après les mauvais résultats rapportés au cours des trois derniers mois de l'année 2011, durant lesquels l'économie du Québec a perdu 61 000 emplois.

Au Mouvement Desjardins, les économistes François Dupuis et Yves St-Maurice estiment que le léger rebond de l'emploi observé en janvier 2012 était encore trop timide pour être significatif.

«Cette amélioration [regain de 9500 emplois] a permis d'amoindrir les inquiétudes sans réussir à les dissiper complètement. Le risque à la baisse demeure présent pour les consommateurs», lit-on dans leur bulletin publié hier.

À la Banque Nationale, l'économiste Stéfane Marion mise encore sur la création «de 60 000 à 80 000 emplois» au Québec cette année. Mais il avoue aussi un certain scepticisme après les «données inquiétantes des derniers mois».

«Elles ont surpris tout le monde tellement elles étaient mauvaises. C'est pourquoi les prochaines données du marché du travail seront très attendues. L'économie du Québec a un retard de création d'emplois à rattraper», selon M. Marion.

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PRÉVISIONS D'ÉCONOMISTES BANCAIRES POUR LE QUÉBEC

(variation du PIB réel en %)

SOCIÉTÉ 2011*/ 2012 /2013

Mouvement Desjardins 1,6% /1,4% /1,9%

Banque Scotia 1,8% /1,4%/ n.d.

Banque TD 2,1% /1,4%/ 2%

Banque Nationale 1,6% /1,5% /2,1%

Banque Laurentienne 1,7% /1,5% /1,5%

Banque de Montréal (BMO) 1,7%/ 1,6% /2,2%

Banque Royale (RBC) 1,4%/ 1,8%/ 1,9%

http://affaires.lapresse.ca/economie/ma ... lentit.php

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : jeu. mars 21, 2013 10:41 pm
par Mario300
Les politiques gouvernementales font partie des composantes nationales ou provinciales influençant l'économie.

Toutefois il ne faut pas oublier que la situation économique nationale ou provinciale ne dépend pas exclusivement de facteurs nationaux ou provinciaux.

Elle dépend aussi pour une bonne part de facteurs internationaux sur lesquels les gouvernement Harper ou Marois n'ont pas de prise.

Le village global dont parlait Marshall Mac Luhan dans les années 60 est maintenant devenu une réalité non seulement sur le plan des communications grâce à l'internet mais aussi sur le plan économique via la mondialisation de l'économie.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : jeu. mars 21, 2013 10:46 pm
par Mario300
Mario300 a écrit :Les politiques gouvernementales font partie des composantes nationales ou provinciales influençant l'économie.

Toutefois il ne faut pas oublier que la situation économique nationale ou provinciale ne dépend pas exclusivement de facteurs nationaux ou provinciaux, dont, entre autres. les politiques gouvernementales.

Elle dépend aussi pour une bonne part de facteurs internationaux sur lesquels les gouvernement Harper ou Marois n'ont pas de prise.

Le village global dont parlait Marshall Mac Luhan dans les années 60 est maintenant devenu une réalité non seulement sur le plan des communications grâce à l'internet mais aussi sur le plan économique via la mondialisation de l'économie.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : sam. avr. 13, 2013 10:32 am
par Hyppolite
Mario300 a écrit :
Mario300 a écrit : Les politiques gouvernementales font partie des composantes nationales ou provinciales influençant l'économie.

Toutefois il ne faut pas oublier que la situation économique nationale ou provinciale ne dépend pas exclusivement de facteurs nationaux ou provinciaux, dont, entre autres. les politiques gouvernementales.

Elle dépend aussi pour une bonne part de facteurs internationaux sur lesquels les gouvernement Harper ou Marois n'ont pas de prise.

Le village global dont parlait Marshall Mac Luhan dans les années 60 est maintenant devenu une réalité non seulement sur le plan des communications grâce à l'internet mais aussi sur le plan économique via la mondialisation de l'économie.
Pour illustrer les propos de Mario3000, je me permets de faire un petit rappel que chacun d'entre vous comprendrer certainement.
Pas besoin d’être un grand économiste pour comprendre que le marché ne peut, à lui seul, s’auto réglementer. Nous avons pour preuve ce qui vient d’arriver récemment : la crise économique de 1987 et plus particulièrement celle de 2008, citée plus haut, a exigé l’intervention des États à cause principalement de comportements irresponsables des banques américaines qui ont consentis par milliers de prêts immobiliers à risque en dessous des normes habituelles de solvabilité.
Lorsque la Réserve fédérale des États-Unis a remonté son taux directeur à 5,25% afin de prévenir une pression trop forte de l'inflation, provoquant ainsi l’augmentation des taux d’intérêt des prêts accordés trop à la légère, de nombreux emprunteurs surendettés à taux variable ont dû se résoudre à vendre à perte ou à laisser saisir leur maison.
La bulle immobilière américaine s’est dégonflée créant d’abord une catastrophe financière puis économique étant donné les répercussions au niveau social (baisse du pouvoir d’achat, baisse de la consommation, baisse de la production, diminution du personnel : licenciements massifs estimés de 27 à 30 millions de travailleurs) d’abord aux États-Unis puis dans le monde entier.
En fait ce qui est arrivé, c’est que les grandes banques ont mis sur le marché des produits financiers toxiques (appelés communément «surprimes») suite à la déréglementation américaine et anglaise. Le contexte était que les États-Unis et l’Angleterre coursaient pour devenir la capitale mondiale de la finance (New-York contre Londres ou si vous aimez mieux, Wall Street contre La City). Cette déréglementation a fait en sorte que tout le monde ou presque pouvait avoir accès au crédit quelque soit son niveau de solvabilité. L’immobilier a explosé créant une pseudo croissance économique, d’abord aux USA puis partout dans le monde. Lorsque les taux d’intérêts hypothécaires ont augmenté, les banques ont exigé que leurs clients paient mais ils en étaient incapables ainsi plus d’un million de maisons ont due être saisie principalement en Californie d’abord puis partout aux USA. Les banques, non remboursées, ont vacillées et certaines ont fait faillite créant une méfiance telle que tout le monde voulait retirer leur argent de ces banques qui n’avaient pas les liquidités pour faire face à la demande de retraits. Puis une des plus grandes compagnies d’assurance au monde AIG a fait faillite. C’est cette compagnie qui assurait les banques !
L’économie étant mondiale, l’effet domino a eu des répercussions partout dans le monde ainsi de grandes banques en Islande, en Allemagne et ailleurs ont aussi fait faillite. Les banques qui avaient pris des risques insensés auparavant, sont devenues paradoxalement hyper prudentes, n’accordant plus de prêts aux entreprises. Des milliers d’entreprises ne pouvaient plus investir et même ont fait faillite dont les trois géants de l’automobile américaine qui avaient consentis des salaires au-dessus de ce que les constructeurs étrangers sur le sol américain donnaient.
Le gouvernement américain, responsable de son laxisme envers le monde de la finance, a été obligé de sauver les banques (J. P. Morgan & Chase CO, Merrill Lynch, Goldman Sachs, Morgan Stanley), AIG et les constructeurs automobiles. Ce sauvetage, in extremis, c’est fait avec 1 000 milliards de fonds public. Édifiant que le plus gros chèque d’aide sociale aux entreprises soit fait dans le pays le plus capitaliste du monde ! Naturellement les républicains avec Georges W. Busch en tête et son secrétaire au trésor Henry Paulson avaient été balayé par les élections et ce sont maintenant aux démocrates de Barak Obama et à son secrétaire au trésor Timothy Geithner de ramasser les pots cassés et ce, sans l’aide des républicains qui ne veulent pas que l’on taxe davantage les corporations et les riches tout en diminuant les dépenses de l’État.
Afin de contrer la récession et le chômage, les gouvernements ont investi dans des travaux publics comme ils l’avaient fait lors du krach de 1929-1939. Les États se sont endettés et sont maintenant obligés de restreindre leurs dépenses dans les avantages sociaux, ce qui crée une instabilité dans le climat social de plusieurs pays encore aujourd’hui en 2011. Le Fonds monétaire international et la Banque Mondiale doivent venir au secours de l’Islande, la Belgique, l’Irlande, le Portugal, la Grèce, l’Espagne, l’Italie, etc.
Moi, comme beaucoup d’autres citoyens, je ne comprends pas pourquoi les banques peuvent prendre des risques déraisonnables et si ça fonctionne, elles s’en mettent plein les poches mais si ça foire, ce sont les employés qui paient la note en perdant leur emploi et ce sont les contribuables qui paient aussi la note en payant des taxes et des impôts exorbitants pour rembourser la dette publique qui atteint maintenant des sommets historiques : 13 000 milliards aux USA ou 88% du PIB et 563 milliards au Canada ou 73% du PIB et ce, en partant du principe qu’une dette ne devrait pas dépasser le seuil critique de 60% du produit intérieur brut.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : sam. avr. 13, 2013 10:38 am
par Honneno
Ce que j'aime ce sont les déclarations de tous ces pdg et présidents à gogo qui revendiquent des salaires de fous totalement déconnectés de la réalité en affirmant qu'il faille attirer la crème de la crème sur le caviar pour gérer tout cela, mais que finalement, un commis du Wal mart du coin aurait pu faire aussi bien qu'eux...

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : sam. avr. 13, 2013 1:14 pm
par Hyppolite
caliméro a écrit :Ce que j'aime ce sont les déclarations de tous ces pdg et présidents à gogo qui revendiquent des salaires de fous totalement déconnectés de la réalité en affirmant qu'il faille attirer la crème de la crème sur le caviar pour gérer tout cela, mais que finalement, un commis du Wal mart du coin aurait pu faire aussi bien qu'eux...
Dans le même sens, saviez-vous que ce sont les Français qui affichent le plus grand écart de salaire entre le patron et ses employés; contrairement aux Japonnais qui afficent le plus petit écart !

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : sam. avr. 13, 2013 5:11 pm
par Mario300
Le long post d'Hyppolite sur l'économie (que j'aurai le bon sens de ne pas citer ici vu sa longueur! ;) ) est extrêmement intéressant et instructif.
Hyppolite a écrit :
caliméro a écrit :Ce que j'aime ce sont les déclarations de tous ces pdg et présidents à gogo qui revendiquent des salaires de fous totalement déconnectés de la réalité en affirmant qu'il faille attirer la crème de la crème sur le caviar pour gérer tout cela, mais que finalement, un commis du Wal mart du coin aurait pu faire aussi bien qu'eux...
Dans le même sens, saviez-vous que ce sont les Français qui affichent le plus grand écart de salaire entre le patron et ses employés; contrairement aux Japonnais qui afficent le plus petit écart !

La surtaxe de 75% du président Hollande sur les revenus personnels qui dépassent 1 million d'euros va peut-être mettre un bémol à cette situation?

A moins que tous les hauts salariés français ne foutent le camp en imitant cet acteur... quel est son nom déjà? ah oui... Gérard Depardievsky. :)

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : dim. avr. 14, 2013 9:36 am
par Hyppolite
Mario300 a écrit :Le long post d'Hyppolite sur l'économie (que j'aurai le bon sens de ne pas citer ici vu sa longueur! ;) ) est extrêmement intéressant et instructif.
Hyppolite a écrit :
caliméro a écrit :Ce que j'aime ce sont les déclarations de tous ces pdg et présidents à gogo qui revendiquent des salaires de fous totalement déconnectés de la réalité en affirmant qu'il faille attirer la crème de la crème sur le caviar pour gérer tout cela, mais que finalement, un commis du Wal mart du coin aurait pu faire aussi bien qu'eux...
Dans le même sens, saviez-vous que ce sont les Français qui affichent le plus grand écart de salaire entre le patron et ses employés; contrairement aux Japonnais qui afficent le plus petit écart !

La surtaxe de 75% du président Hollande sur les revenus personnels qui dépassent 1 million d'euros va peut-être mettre un bémol à cette situation?

A moins que tous les hauts salariés français ne foutent le camp en imitant cet acteur... quel est son nom déjà? ah oui... Gérard Depardievsky. :)
Le NPD a fait récemment un bel effort pour rajeunir le programme du parti qui était, somme toute, obsolète. J'aime bien Thomas Mulcair, il m'apparaît plus solide que le fils de PET, un opportuniste et que dire de Harper, un valet des Cies de pétrole et autres banques de toutes sortes.

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : dim. avr. 14, 2013 9:49 am
par Metazoaire
Moi je serais plutôt pour les conservateurs dans bien des domaines, mais par contre ils sont tellement idiots et aveugles dans le domaine de l'environnement, domaine pour lequel on ne peut être conservateur. On ne peut continuer de promouvoir les valeurs traditionnelle quand il s'agit de s'occuper d'environnement. Harper est, dans l'environnement, un des plus gros criminels de la planète. Par contre, voter pour Trudeau, vraiment? Pour un concours de personnalité, je voterais pour lui, mais en tant que prochain PM, avec l'équipe libérale trainant son vieux fond de gangstérisme d'état... Finalement, j'aime bien Mulcair, mais je me méfie de plus en plus de la gauche, qui ne sont pas toujours réalistes. Par contre je crois que le NPD est pas mal plus ancré dans la réalité que par exemple Québec Solidaire, qui est un parti qui me terrifie (si il devait prendre de l'importance). Je voterai probablement pour le NPD, sans grande conviction, aux prochaines élections.

En gros, j'aime personne :P :P

Re: Unis pour battre les conservateurs

Publié : dim. avr. 14, 2013 2:06 pm
par Hyppolite
Il est vrai qu'aussi bien sur la scène québécoise que fédérale, on ne peut pas dire qu'on a l'embarras du choix, on a seulement l'embarras !