Forum Québec

Je viens d'écouter peur grise avec Liam Neeson, non mais quel montagne de conneries, c'est pas possible !

Après l'écrasement un bon réflexe, concentrer les survivants dans la carcasse et faire du feux. Soigner les blessures. Ce sera le seul de tout le film.
Déjà dès que la menace des loups à été identifié un crétin réussis à se faire bouffer... en allant pisser à l'écart !!!
Le lendemain on décide de partir dans la foret et on le fait tout de suite, non mais quels idiots... Ils restait du combustible au moins pour une nuit de plus à l'abris de la carcasse (idéalement il faut rester a la carcasse pour attendre les secourt mais bon), journée qui pouvait etre utilisé pour fabriquer des armes efficace (principalement des lances) et fouiller en profondeur tout les cadavres pour récupérer tout ce qui était utile à la survie.
Le lendemain en partant dès le premiere lueur ils auraient eu plus de temps pour leur déplacement.

Départ pour la foret, la bande de crétins n'ont pas de lances, leurs couteau auraient été bien plus utile au bout d'une perche que dans leur étuits sans compter qu'un bâton ça aide à la marche. C'était déjà comme le faire epres pour que ça aille mal mais en plus au lieu de marcher en formation 2 par deux ils marchent en file indienne et ne s’occupent pas du retardataire qui évidemment fini en pâté pour les loups.

Dans la foret ils trouvent un cul de sac leur permettant de n'avoir qu'un coté à surveiller. Le bois pour le feux et se fabriquer un abris en appentis est abondant, l'eau illimité et la bouffe disponnible.
Trop pressé de faire de gaffes ils veulent bouger vite et passent une corde de fortune au dessus d'un précipice... Ils en perdent un autre trop con pour passer dans le bon sens. Alors que les loups l’achèvent, l'autre idiot s'endommage un genou pour tenter de le secourir... r'garde le crétin: il méritait de crever vas pas te briser un membre pour le secourir...

Parlant de notre crétin au genou.... pas foutu de marcher comme du monde il ne songe pas un instant à se fabriquer un bâton de marche et de se poser un attelle de fortune. D'ailleur personne n'à encore compris que ça ne donne rien de porter un couteau à la ceinture alors qu'ils pourraient facilement se fabriquer des bayonette en attachant ces couteau au bout de bâtons.

Le crétin décide de rester près de la rivière pour mourir... de un ils ne faut pas attendre d’être rendu le soir pour fabriquer un abris, le moment aurait été bien choisi pour le faire et profiter ensuite de la nuit pour poser une atelle de fortune au crétin. Bien non et on le laisse-là... en lui aissant son couteau et tout ce qu'il n'aura plus besoin une fois que les loups l'auront bouffer.

Encore une fois les deux dernier survivant ne marchent pas ensemble et se distancent... le moins rapide est poursuivi et tombe dans l'eau dans lequel il se noiera.

Liam est seul et mouillé. De l'autre coté de la rviere on peu voir une facade de pierre accidenté offant de nombreux recoins facile à défendre, peut etre meme des grottes, notre ami aurait pu sy rechauffer, et se reposé hors de porté des loups.
Bien non il part dans l'autre sens et notre SPÉCIALISTE DES LOUPS se retrouve sans le savoir dans la tanière des loups.

Tabarsnak !!!!!!

Hahahaha!

Faut que je vois ce film!

D'habitude tu as deux ou trois illogisme dans ce genre de film mais là ça n’arrête pas une minute et les connerie s'enchainent non stop (j'ai pas tout écrit là !).
C'est comme le bout ou ils se fabriquent finalement des armes longue... avec du bois mou en pointe avec des cartouche de 12 taper au bout. Non seulement ça aucune chance de fonctionner dans la réalité mais il aurait été bien plus simple de foutre leurs couteaux au bout des bâtons.

Clissme !

Ça ne doit pas être drôle d'aller travailler après avoir visionné la veille ce qu'ils ont fait dans la journée et qu'ils voient que ce n'est pas bon et que cela n'a aucun sens. C'est ce qu'on appelle faire des films que pour l'argent.

Il y a souvent des films comme ça auquel on se demande, comment ils font pour faire plein d'illogisme et d'anachronisme.