A vos marque..
Publié : mer. avr. 25, 2012 8:45 pm
Prêts .. partez .. car il existe vraiment ce mystérieux point G
http://www.cyberpresse.ca/vivre/sexe/20 ... omique.php
Objet de controverse depuis des décennies sur sa réalité, le célèbre point G, zone érogène vaginale de très grande sensibilité, a bien une réalité anatomique, selon des médecins américains qui publient les résultats de leur recherche mercredi.
Le Dr Adam Ostrzenski de l'Institut de gynécologie de St Petersbourg en Floride a procédé à une dissection de la paroi intérieure d'un vagin sur le cadavre d'une femme de 83 ans.
Cette dissection a montré la présence du point G qui se présente sous la forme d'une petite cavité bien délimitée située sur l'arrière de la membrane périnéale, à 16,5 millimètres de la partie supérieure de l'orifice de l'urètre. Le point G créé ainsi un angle de 35 degrés avec la partie latérale de l'urètre, selon ce chercheur.
Formée de trois régions distinctes, le point G sur ce cadavre mesure 8,1 mm de longueur sur une largeur allant de 3,6 mm à 1,5 mm et une hauteur de 0,4 mm.
Une fois retiré du cadavre, le point G et l'ensemble des tissus adjacents s'étendaient de 8,1 à 33 mm, précisent ces chercheurs.
«Cette étude a confirmé l'existence anatomique du point G ce qui pourrait conduire à une meilleure compréhension et à une amélioration de la fonction sexuelle des femmes», explique le Dr Ostrzenski, principal auteur de cette étude qui paraît dans la dernière édition de la revue médicale le Journal of Sexual Medicine.
Soulignant «la grande importance de la recherche dans la santé sexuelle des femmes», Irwin Goldstein, l'éditeur en chef de cette revue médicale estime que ce cas d'étude sur un seul cadavre vient s'ajouter au flot grandissant des écrits et connaissances portant sur l'anatomie sexuelle des femmes et de leur physiologie.»
L'existence du point G a été avancée pour la première fois en 1950 par le Dr Ernest Gräfenberg. Il s'agit d'une zone érogène d'extrême sensibilité. Stimulée, elle permet d'obtenir une grande excitation sexuelle et un plaisir intense.
http://www.cyberpresse.ca/vivre/sexe/20 ... omique.php
Objet de controverse depuis des décennies sur sa réalité, le célèbre point G, zone érogène vaginale de très grande sensibilité, a bien une réalité anatomique, selon des médecins américains qui publient les résultats de leur recherche mercredi.
Le Dr Adam Ostrzenski de l'Institut de gynécologie de St Petersbourg en Floride a procédé à une dissection de la paroi intérieure d'un vagin sur le cadavre d'une femme de 83 ans.
Cette dissection a montré la présence du point G qui se présente sous la forme d'une petite cavité bien délimitée située sur l'arrière de la membrane périnéale, à 16,5 millimètres de la partie supérieure de l'orifice de l'urètre. Le point G créé ainsi un angle de 35 degrés avec la partie latérale de l'urètre, selon ce chercheur.
Formée de trois régions distinctes, le point G sur ce cadavre mesure 8,1 mm de longueur sur une largeur allant de 3,6 mm à 1,5 mm et une hauteur de 0,4 mm.
Une fois retiré du cadavre, le point G et l'ensemble des tissus adjacents s'étendaient de 8,1 à 33 mm, précisent ces chercheurs.
«Cette étude a confirmé l'existence anatomique du point G ce qui pourrait conduire à une meilleure compréhension et à une amélioration de la fonction sexuelle des femmes», explique le Dr Ostrzenski, principal auteur de cette étude qui paraît dans la dernière édition de la revue médicale le Journal of Sexual Medicine.
Soulignant «la grande importance de la recherche dans la santé sexuelle des femmes», Irwin Goldstein, l'éditeur en chef de cette revue médicale estime que ce cas d'étude sur un seul cadavre vient s'ajouter au flot grandissant des écrits et connaissances portant sur l'anatomie sexuelle des femmes et de leur physiologie.»
L'existence du point G a été avancée pour la première fois en 1950 par le Dr Ernest Gräfenberg. Il s'agit d'une zone érogène d'extrême sensibilité. Stimulée, elle permet d'obtenir une grande excitation sexuelle et un plaisir intense.