L'art du bonheur

[Vicky1234]

Un jour, au magasin, je passais devant la section des livres et j’ai aperçu Le Dalaï Lama, L’art du bonheur, je me suis tout de suite dit que ce livre semblait intéressant et qu’il allait pouvoir m’apporter. Je n’ai pas décidé de l’acheter mais, me suis plutôt dite qu’un jour j’allais me le procurer. Un jour, une amie me l’a offert en présent pour mon anniversaire, le bonheur! J’étais très heureuse car j’allais enfin pouvoir apprendre et appliquer le véritable art du bonheur. Cela faisait presque quatre mois et, je n’avais toujours pas lu le livre, ni même jeté un coup d’œil. Pourquoi? Peut-être parce que lorsque l’on entame quelque chose pour de bon c’est là que l’on se dit que notre vie va réellement commencer à changer, c’est la peur de l’inconnu, du changement. Ce qui est inconnu fait réellement peur puisque comme la plupart d’entre nous, nous sommes bien et se disons heureux dans ce qui est nos habitudes, nos routines. Enfin, un jour, le 11 janvier 2012, je regardais dans ma chambre, apercevant ce livre, je me suis dite, c’est l’heure, c’est le temps de commencer un changement. À ce jour, j’ai lu environ 40 pages du livre et je peux affirmer que réellement le bonheur reste encore à atteindre. Je crois que je me suis dite que temps et aussi longtemps que le livre n’est pas terminé le changement ne s’impose pas mais, je me trompe. C’est dès aujourd’hui que cela doit commencer. Pourquoi repousser ce dont quoi on peut atteindre et apprendre dès maintenant. Le bonheur ne doit pas attendre.

C’est en me couchant, en m’étendant dans mon lit, dans le noir, regardant le plafond que la pensée que le bonheur ne m’était pas acquis, qu’il allait devoir le conquérir chaque jour, m’est venu à l’esprit. Suis-je satisfaite de ma journée? De ma vie? Suis-je pleinement épanoui? Suis-je amplement capable d’affirmer, sans l’ombre d’un doute que, OUI je suis heureuse? Je crois que la réponse à toutes ses questions reste négative pour la plupart des gens, y compris moi. C’est à moi de trouver mon équilibre, de chérir tout ce dont je possède, de l’apprécié. En accomplissant cela, je crois être sur la bonne direction : vers la route du bonheur. Appréciez ce que je possède, non pas au sens matériel, mais au sens intellectuel, psychique, éthique. Ne vaut mieux pas être compatissant, aimable, rempli de bonté, rempli de bonheur, que de posséder argent, biens ou matériels. Je crois que l’interrogation est évidente. Il est bien évident que la richesse matérielle apporte plaisir ou joie mais, pour combien de temps? Le temps que le plaisir passe, que l’euphorie de s’estompe. Pour ma part, au bout du compte, je me suis retrouvée avec un plaisir passager et une carte de crédit à sa pleine capacité. Où est le bonheur dans tout cela? Ne vaut-il mieux pas se contenter de ce que l’on a et travailler sur soi-même, se bâtir un vrai MOI? Vous trouverez vous-même la réponse que vous souhaitez avoir. Pour ma part, j’ai été soi-disant prise, dans le jeu de la société : Matériel=bonheur=popularité=attention des autres (C’est en fait ce qui est perçu). Je me suis vite rendu compte qu’en réalité : Matériel=bonheur à court terme=dette=besoin constant d’attention des autres=estime de soi faible= encore plus de matériel et ainsi de suite. C’est un cercle vicieux. Pourquoi ne pas se concentrer sur : Se contenter de ce que l’on possède déjà= l’apprécier davantage=avoir un compte bancaire respectable, pas de dette= moins de stress quotidien= être plus aimable, compatissant= bonheur à long terme= appréciation de soi-même= Vers le chemin du véritable bonheur. Voyez la différence. Que préférez-vous un bonheur à court terme ou à long terme? À ce jour, je me pose toujours la question suivante : En ai-je réellement besoin? Est-ce que cela va m’apporter du bonheur à long terme?

Bref, tout cela n’est qu’un long processus vers le véritable bonheur. Le bonheur auquel je pourrai répondre OUI, ABSOLUMENT je suis heureuse.

N’ayez pas peur du changement, il ne peut que mener vers une conscience en paix, un esprit positif et sain, une force incroyable qui permet de s’avouer que VOUS méritez le bonheur.

Je vous laisse en vous disant : Prenez une grande respiration et... questionnez-vous « En ai-je vraiment besoin? », « Est-ce que cela m’apporter le bonheur ? » et finalement, « Suis-je heureux (se) ? »

[Jazz]

Que préférez-vous un bonheur à court terme ou à long terme?

Moi, c'est le bonheur ici et maintenant. À chaque jour.

Reviens nous parler de la suite de ta lecture.

[Natalochka]

Bref, tout cela n’est qu’un long processus vers le véritable bonheur. Le bonheur auquel je pourrai répondre OUI, ABSOLUMENT je suis heureuse.

Si on cherche à atteindre un objectif, le cheminement que l'on prend pour y parvenir est très (plussss?) intéressant.

Qu'est-ce que le bonheur ? Pour moi, comme le dit précédemment Jazz, chaque jour réserve des instants faits de bonheurs. Des choses complètement imprévues ou qui font partie du quotidien, à vivre pleinement et sans modération.

[Jazz]

Coucou Natalochka!

La notion de bonheur est bien personnelle quand on y pense.
Pour certains, c'est l'absence de malheurs.
Pour d'autre, c'est de posséder (richesse, pouvoir ou estime).

Pour moi, le bonheur c'est d'aimer la vie dans tout ce qu'elle offre et de continuer à être sereine même si elle me les enlève.

Vous connaissez la théorie des besoins de Maslow?
Un besoin satisfait apporte une forme de bonheur.
Il est difficile de satisfaire un besoin si celui en dessous de la pyramide ne l'a pas été.



Un peu plus en détail, en général.




Exemple de besoins à satisfaire au travail.




La théorie appliquée à internet...

[Natalochka]

Coucou Natalochka!

La notion de bonheur est bien personnelle quand on y pense.
Pour certains, c'est l'absence de malheurs.
Pour d'autre, c'est de posséder (richesse, pouvoir ou estime).

Pour moi, le bonheur c'est d'aimer la vie dans tout ce qu'elle offre et de continuer à être sereine même si elle me les enlève.

Vous connaissez la théorie des besoins de Maslow?
Un besoin satisfait apporte une forme de bonheur.
Il est difficile de satisfaire un besoin si celui en dessous de la pyramide ne l'a pas été.

Hello Jazz

Je ne connaissais pas la théorie des besoins de Maslow, j'ai adoré la théorie relative à Internet !!!

Pour la base de la pyramide (repos et sommeil) j'ai souri en pensant que quand je ne dors pas comme un bébé mon compte d'heures, je me sens pas toujours au top de la pêche : le matin je me demande pourquoi les femmes dans les films sont toujours nickels chrome au lever du lit, (sont déjà maquillées, m'enfin comment font-elles?) sans un ch'veu de travers, ni un pli, avec un maquillage parfait sans rimmel qui fout l'camps.

mais... ça n'empêche pas de capter des p'tits bonheurs, ne serait-ce que dans un sourire que l'on m'adresse, ben tous ces p'tits moments, je suis preneuse.
Je suis d'accord, chacun a sa conception du bonheur, l'essentiel est d'être en accord avec soi-même.

[Jazz]

Pour la base de la pyramide (repos et sommeil) j'ai souri en pensant que quand je ne dors pas comme un bébé mon compte d'heures, je me sens pas toujours au top de la pêche : le matin je me demande pourquoi les femmes dans les films sont toujours nickels chrome au lever du lit, (sont déjà maquillées, m'enfin comment font-elles?) sans un ch'veu de travers, ni un pli, avec un maquillage parfait sans rimmel qui fout l'camps.

Tu confonds besoin physiologique et besoin d'estime... ?

Je suis d'accord, chacun a sa conception du bonheur, l'essentiel est d'être en accord avec soi-même.

Et que fait-on pour arriver à se mettre en accord avec soi-même?
Comment gérer nos besoins contradictoires ou nos conflits internes?

Je pense qu'il faut d'abord reconnaître ces conflits, les nommer et ensuite mieux les connaître et négocier avec.

Je pense que c'est la démarche que la plupart des personnes font ou devraient faire pour y arriver.

Si on reprend les besoins fondamentaux décrits par Maslow, ceux reliés au maintien de la vie, il y a des expressions assez cocasses pour nommer un besoin insatisfait plus haut dans la pyramide:

- Rester sur sa faim, être frileux, etc...

Tu peux en nommer aussi quelques uns?

[saintluc]

L'art du bonheur?
Rester zen en toutes circonstances.
Que chaque mn passée a été un bonheur et je salive pour la mn suivante.
Les mauvaises choses ne font que glisser sur moi tout simplement.

[Jazz]

C'est pas pour rien que tu t'appelles saintluc!

[saintluc]

Je pense à Epicure...
Le maître incontesté du bonheur.

[Jazz]

Je pense à Epicure...
Le maître incontesté du bonheur.

C'est vrai. T'as les piqures...
(je sors... )
Heureusement que tu as un bon moral.
C'est essentiel pour garder la santé.

[saintluc]

Pour toi ce sera EPICURE de sommeil

[Jazz]

[Natalochka]

Jazz : Tu confonds besoin physiologique et besoin d'estime... ?


Mais oui, absolument, je trouve ça profondément injuste. Me demande comment font ces nanas pour sortir du lit déjà super pimpantes quand, de mon côté, les ch'veux en bataille, je fonctionne au radar pour me diriger jusqu'à la machine à café au fond de la cuisine à droite en entrant. pourquoi sous la pluie leur rimmel ne coule pas quand j'ai les yeux d'un panda dans la même situation... pourquoi la vie n'est pas comme dans les films, hein, j'vous l'demande ! Bref, grosses grosses questions existentielles que celles-ci...
Trêve de plaisanterie, ce que j'ai voulu dire (j'ai du mal à rester tout le temps sérieuse) c'est qu'il y a juste des jours avec et des jours sans. Je compose. m'arrive de jouer les funambules.

Jazz : Je pense qu'il faut d'abord reconnaître ces conflits, les nommer et ensuite mieux les connaître et négocier avec.
Je pense que c'est la démarche que la plupart des personnes font ou devraient faire pour y arriver.
Si on reprend les besoins fondamentaux décrits par Maslow, ceux reliés au maintien de la vie, il y a des expressions assez cocasses pour nommer un besoin insatisfait plus haut dans la pyramide:
- Rester sur sa faim, être frileux, etc...
Tu peux en nommer aussi quelques uns?

Grande question. Digérer, gérer... je ne prétends pas détenir la recette idéale, chacun a certainement sa façon de gérer ses propres conflits internes.
Je fais du mieux que je peux, jour après jour, étape par étape en essayant de ne pas me laisser parasiter par des éléments négatifs. Se prendre la tête, c'est perdre de l'énergie inutilement. c'est la ligne de conduite que j'essaie de tenir depuis quelques années.
On EST pas, on, devient. Être en accord, c'est m'accepter et accepter de me remettre en question, parce que rien n'est jamais acquis, que je n'ai jamais fini d'apprendre. Agir, penser, ce qui me semble le mieux, cohérent, aussi et surtout, sans culpabiliser...

Je sèche sur les expressions.
Ce que j'ai en tête, là maintenant, et qui n'est pour moi pas un effet de mode (et que l'on a un peu galvaudé) c'est Carpe Diem...

[saintluc]

Je fais du mieux que je peux, jour après jour, étape par étape en essayant de ne pas me laisser parasiter par des éléments négatifs. Se prendre la tête, c'est perdre de l'énergie inutilement. c'est la ligne de conduite que j'essaie de tenir depuis quelques années.
On EST pas, on, devient. Être en accord, c'est m'accepter et accepter de me remettre en question, parce que rien n'est jamais acquis, que je n'ai jamais fini d'apprendre. Agir, penser, ce qui me semble le mieux, cohérent, aussi et surtout, sans culpabiliser...



C'est exactement ce que je pense et ce que je fais.
C'est vrai que le bonheur c'est cela aussi.
Il n'y a que pour la douleur, je n'arrive pas à la mettre de coté, merde!!!!!!!!!!
Je n'arrive pas à trouver de solutions...
Quand les migraines sont là, elles sont là nom de Diou!
Z'avez pas un truc?

[Cynyhia]

oui j'ai un truc mais tu es trop loin : mon magnétisme que j'ai appliqué pour mon mari et pour ma maman tous deux partis au ciel , mais j'arrivais à calmer les douleurs ..J'en été éberluée moi même ..Pour celà il faut y croire et il faut que moi, je sois extémement concentrée en oubliant ce qui m'entoure et en visualisant l'endroit où la douleur se situe