Natur-elle
Publié : sam. déc. 03, 2011 3:43 am
Voici mon poeme qui paraitra dans le recueil intercollégial de poésie.
Natur-elle
En contemplant ta nudité,
je vois Dame Nature incarnée
dans sa splendeur asexuée
dont toute ton âme est imprégnée :
Crinière de soie que tous admirent
tombant sur ta peau de cachemire,
ta douceur est enchanteresse
rendant tout homme ivre d’ivresse;
Parfait parfum de fleurs fruitées,
délectables lippes au gout miellé,
symbiose d’arômes et de saveurs
sustente mes sens avec ferveur.
Magnificence inégalée,
jaloux est l’ange qui t’a créée.
Dans cette sombre société,
jamais je n’ai vu si blanche beauté.
Paris aurait changé le destin
s’il t’avait eu sur son chemin,
quittant Hélène pour ton hymen,
princesse du royaume d’Éden.
Vérone n’est plus, Québec sera
dorénavant le terre qui a
fait germer la plus légendaire
des rouges roses de l’univers.
Tes joues rosées de mille baisers
peignent cette fleur qui nous est née,
celle sans épine, celle immortelle,
celle aux pétales de dentelles.
Dans notre coeur, enracinée,
elle sème sa semence éthérée.
L’extase n’est rien quand comparée
à ce bien-être immaculé.
Natur-elle
En contemplant ta nudité,
je vois Dame Nature incarnée
dans sa splendeur asexuée
dont toute ton âme est imprégnée :
Crinière de soie que tous admirent
tombant sur ta peau de cachemire,
ta douceur est enchanteresse
rendant tout homme ivre d’ivresse;
Parfait parfum de fleurs fruitées,
délectables lippes au gout miellé,
symbiose d’arômes et de saveurs
sustente mes sens avec ferveur.
Magnificence inégalée,
jaloux est l’ange qui t’a créée.
Dans cette sombre société,
jamais je n’ai vu si blanche beauté.
Paris aurait changé le destin
s’il t’avait eu sur son chemin,
quittant Hélène pour ton hymen,
princesse du royaume d’Éden.
Vérone n’est plus, Québec sera
dorénavant le terre qui a
fait germer la plus légendaire
des rouges roses de l’univers.
Tes joues rosées de mille baisers
peignent cette fleur qui nous est née,
celle sans épine, celle immortelle,
celle aux pétales de dentelles.
Dans notre coeur, enracinée,
elle sème sa semence éthérée.
L’extase n’est rien quand comparée
à ce bien-être immaculé.