Forum Québec

Je viens de tomber sur un nouveau site que je souhaite vous partager :

http://rosaireenfantanaitre.free.fr/

c'est pour lutter contre l'avortement,

bonsoir,

rosa

Se faire avorter ou pas, ce n'est pas de nos affaires
c'est de l'affaire du couple.
a eux de prendre leur décision selon leurs raisons.

Doolores a écrit :Se faire avorter ou pas, ce n'est pas de nos affaires
c'est de l'affaire du couple.
a eux de prendre leur décision selon leurs raisons.

Je trouve que ceux qui veulent empecher les femmes de se faire avorter sont un excellent argumnt enfaveur de l,avortement. s,il avait pu se produire ils ne seraient pas la a s,opposer a ce qui ne les regarde pas.
( accents absents)

Encore une pub déguisée, j'ai mon voyage.

Néanmoins, ignorant le post d'ouverture, il y a-tu quelqu'un qui a une thèse à défendre sur la question?

En attendant, je soumet à votre entendement éthique cette question.

Nous sentons, avec nos tripes, qu'il ne faut pas désapprouver une femme qui se fait avorter.
Nous sentons également, avec nos tripes, une réprobation forte et profonde envers les femmes qui consomment de la drogue durant la grossesse ou qui mettent autrement le développement de leur foetus en danger.

Comment la raison peut-elle réconcilier ces deux sens moraux ?

Dans le contexte socio-juridique actuel,l'avortement est un meurtre accepté.

Il y a peut-être des avortement abusifs, d'autres acceptables. Qu'en est-il de ces jeunes femmes qui passent la fin de semaine sur l'extasie et autres substances, et qui baisent à qui mieux mieux, puis si jamais elles tombent enceintes, elles n'auront qu'à se faire à avorter (c'est malheureusement des histoires que j'ai trop souvent entendues de filles que je connais). Le corps des femmes leur appartient, mais il y a quand même des limites. Dans d'autres cas, viols, grossesse malgré les précautions comme utiliser un condom, etc. c'est plus acceptable de se faire avorter. Ils pourraient dire : après 2 avortements, c'était à toi de faire attention, donc tu le garde. Mais le problème c'est que des cliniques d'avortements illégales ouvriront dès lors. On ne peut pas empêcher ces choses.

C'est un sujet très très très délicat
chacun à sa propre facon d'y voir
mais j'oserais répondre que la seule raison valable à mon humble avis serait pour la cause d'un viol alors là avortement immédiate
pour celles qui font des enfants à droite et à gauche pour le simple plaisir et décident de se faire avorter ben cibolo prenez des moyens contraceptifs ,
je suis très heureuse d'être ici même si je dis des folies plus qu'autre chose car si mes parents en avaient décidé autrement et auraient opté pour l'avortement ben y aurait pas de poussière d'étoiles ici ni ailleurs sur cette terre
quelle grande perte pour l'humanité

poussiere d'étoiles a écrit :quelle grande perte pour l'humanité

En effet, il manquerait un "je ne sais quoi d'indéfinissable".

Metazoaire a écrit :

poussiere d'étoiles a écrit :quelle grande perte pour l'humanité

En effet, il manquerait un "je ne sais quoi d'indéfinissable".

Laissez les connes qui baisent à gauche et à droite se faire avorter si elles en ont envie, de toutes façons, ce n'est pas de nos affaires, et ça coûtera toujours moins cher en deniers publics de payer cent avortements que de faire vivre un B.S. de plus.

Vivre et laisser vivre, ça veut aussi dire ne pas contraindre à vivre ou à faire vivre.

Je ne suis pas conséquentialiste, mais la plupart d'entre vous l'êtes. Un argument qui pourrait vous toucher : il est plus mal d'avoir une vie dont les parents ne veulent pas que de perdre une vie.

Nous sommes tous heureux d'être en vie, mais si nos parents nous avaient élevé à contrecoeur en pensant : le petit nous a gâché notre vie, J'aurais dû le tuer quand j'en avais eu l'occasion, je ne suis pas sûr qu'on serait si content de vivre une telle vie.

J'ajouterais que l'avortement permet une plus grande justice, puisqu'il est juste que tous les enfants soient aimés de leurs parents et qu'en n'ajoutant pas les enfants qui ne seraient pas aimés, on réduit l'injustice.

Cela dit, le couple qui élève exemplairement un enfant alors qu'aucune inclination ne l'y pousse, c'est-à dire sans désir ni amour véritable, mais qui réussi quand même à élever un enfant qui deviendra un adulte épanoui, ce couple mérite l'admiration et l'estime la plus haute et la plus totale.

Je reposte ma question, au cas-où, si jamais elle intéresse quiconque.


Si nous sentons qu'il ne faut pas désapprouver une femme qui se fait avorter.
Comment se fait-il que nous sentons également une réprobation forte et profonde envers les femmes qui consomment de la drogue durant la grossesse ou qui mettent autrement le développement de leur foetus en danger ?

Jack Jack a écrit :Laissez les connes qui baisent à gauche et à droite se faire avorter si elles en ont envie, de toutes façons, ce n'est pas de nos affaires, et ça coûtera toujours moins cher en deniers publics de payer cent avortements que de faire vivre un B.S. de plus.

Vivre et laisser vivre, ça veut aussi dire ne pas contraindre à vivre ou à faire vivre.

Je ne suis pas conséquentialiste, mais la plupart d'entre vous l'êtes. Un argument qui pourrait vous toucher : il est plus mal d'avoir une vie dont les parents ne veulent pas que de perdre une vie.

Nous sommes tous heureux d'être en vie, mais si nos parents nous avaient élevé à contrecoeur en pensant : le petit nous a gâché notre vie, J'aurais dû le tuer quand j'en avais eu l'occasion, je ne suis pas sûr qu'on serait si content de vivre une telle vie.

J'ajouterais que l'avortement permet une plus grande justice, puisqu'il est juste que tous les enfants soient aimés de leurs parents et qu'en n'ajoutant pas les enfants qui ne seraient pas aimés, on réduit l'injustice.

Cela dit, le couple qui élève exemplairement un enfant alors qu'aucune inclination ne l'y pousse, c'est-à dire sans désir ni amour véritable, mais qui réussi quand même à élever un enfant qui deviendra un adulte épanoui, ce couple mérite l'admiration et l'estime la plus haute et la plus totale.

Je reposte ma question, au cas-où, si jamais elle intéresse quiconque.


Si nous sentons qu'il ne faut pas désapprouver une femme qui se fait avorter.
Comment se fait-il que nous sentons également une réprobation forte et profonde envers les femmes qui consomment de la drogue durant la grossesse ou qui mettent autrement le développement de leur foetus en danger ?

Mister Jack Jack tu y vas fort en titi

pour commencer les connes comme tu les appelles je trouve que les nommer ainsi c'est pas trop intelligent
pourquoi les gens ont des enfants? pour les aimer, pour leurs propre satisfaction à eux et tous les enfants ne sont pas attendus à l'heure , jour et année que les parents l'ont décidé
c'est quoi cet argument de bébélala coup donc tu as quel âge ?
tu n'es pas une femme quand tu en seras une tu pourras te péter les bretelles d'ici là
sois beau et souris

Si nous sentons qu'il ne faut pas désapprouver une femme qui se fait avorter.
Comment se fait-il que nous sentons également une réprobation forte et profonde envers les femmes qui consomment de la drogue durant la grossesse ou qui mettent autrement le développement de leur foetus en danger ?


Parce que la femme qui décide de mener sa grossesse à terme, a aussi le devoir de tout faire pour que cet enfant naisse avec la meilleure santé possible.

Si la femme décide de se faire avorter, alors la question qu'elle fume ou se drogue n'a plus aucune importance.

À part, je trouve ça étrange de parler de droit à l'avortement.

Le droit à l'avortement, c'est le droit que tu obtiens quand tu mets dans un blender le droit au triple pontage coronarien avec le droit à l'implant mammaire.

Doolores a écrit :Si nous sentons qu'il ne faut pas désapprouver une femme qui se fait avorter.
Comment se fait-il que nous sentons également une réprobation forte et profonde envers les femmes qui consomment de la drogue durant la grossesse ou qui mettent autrement le développement de leur foetus en danger ?


Parce que la femme qui décide de mener sa grossesse à terme, a aussi le devoir de tout faire pour que cet enfant naisse avec la meilleure santé possible.

Si la femme décide de se faire avorter, alors la question qu'elle fume ou se drogue n'a plus aucune importance.

Ce devoir que la femme a de mener sa grossesse à terme, elle l'a envers qui?

Si elle l'a envers son foetus, comment se fait-il que ses devoirs n'incluent pas de préserver sa vie?
Si elle l'a envers elle-même, comment se fait-il que ses devoirs n'incluent pas d'assumer sa responsabilité de porter l'enfant qu'elle a conçu ?
Si elle l'a envers le père, je suppose que c'est conjointement avec elle-même, et la même question se pose.

Je pense avoir épuisé les cas de figure raisonnables. Sans les étudier, je vais mentionner les autres cas possibles les plus farfelus, à savoir les autres humains, les animaux, les fées et Dieu.


@ poussière d'étoile :

J'admets que les appeler « connes », c'est un jugement de valeur qui n'engage que moi. N'empêche qu'il est peu raisonnable de ne pas utiliser de contraception lorsque nos fins rationnelles n'incluent pas d'avoir des enfants. A fortiori si elles incluent « ne pas avoir d'enfants ».

Sinon, j'ai de la peine à comprendre en quoi le reste de ton message se rapporte au mien.

Je pense qu'il est bien moins pire de mettre fin à la vie d'un foetus (qui ne le saura jamais), que de détruire sa santé et ses capacités physiques et intellectuelles en toute connaissances de cause (ça, il vivre avec les conséquences). Pour pousser ta logique Jack Jack, est-ce que selon toi une petite branlette dans les toilettes c'est comme provoquer des millions de meurtres?

Metazoaire a écrit :Je pense qu'il est bien moins pire de mettre fin à la vie d'un foetus (qui ne le saura jamais), que de détruire sa santé et ses capacités physiques et intellectuelles en toute connaissances de cause (ça, il vivre avec les conséquences). Pour pousser ta logique Jack Jack, est-ce que selon toi une petite branlette dans les toilettes c'est comme provoquer des millions de meurtres?