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Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : dim. mars 20, 2011 9:31 am
par administration
saintluc a écrit :Vous trouverez en 1ère page le récapitulatif des noms par ordre alphabétique ainsi que le N° de page correspondant au nom.

??

Je ne comprends pas :red

Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : dim. mars 20, 2011 10:04 am
par saintluc
Exemple:
Casgrain Thérèse F. page 4
Villeneuve Gilles page 5
Leclerc Félix page 6
Desjardins Gabriel Alphonse page 3

Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : dim. mars 18, 2012 5:18 am
par saintluc
Carrie Best naît le 4 mars 1903, à New Glasgow, Nouvelle-Écosse, de James et Georgina Ashe Prevoe.

En 1925, elle épouse Albert T. Best, avec qui elle a un fils, J. Calbert Best. Plus tard, elle devient mère d’accueil pour Berma, Emily, Sharon et Aubrey Marshall.

Durant les années 1940, Mme Best et son fils Cal sont arrêtés pour s’être assis dans la partie inférieure, sur les sièges réservés aux Blancs, du Roseland Theater à New Glasgow. En conséquence, les deux seront accusés de troubler la paix, reconnus coupables et condamnés à une amende.

En 1946, Mme Best fonde The Clarion, le premier journal de la Nouvelle-Écosse appartenant à des Noirs. En 1952, son émission de radio, appelée The Quiet Corner (le coin tranquille), entre en ondes. Elle sera diffusée pendant 12 ans, dans quatre stations de radio dans les provinces maritimes. En 1968, elle est embauchée comme chroniqueuse pour le Pictou Advocate, un journal de Pictou, en Nouvelle-Écosse. Sa chronique est publiée jusqu’en 1975, sous la rubrique « Droits de la personne. »
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Voici quelques-unes des réalisations les plus importantes Carrie Best :

•Membre de l’Ordre du Canada en 1974
•Titulaire de la Médaille de la Reine Elizabeth en 1977
•Officier de l’Ordre du Canada en 1979
•Récipiendaire d’un doctorat honorifique en droit civil (DC.L.) de l’Université King’s College, à Halifax, en 1992
•Fondatrice de la société Kay Livingstone pour les femmes appartenant à une minorité de la Nouvelle-Écosse en 1975
•Intronisée au Temple de la renommée des Noirs de Nouvelle‑Écosse en 1980
•Récipiendaire du prix Harry Jerome en 1986
•Récipiendaire de la Plaque d’adhésion Harambee en 1987
•Récipiendaire du Black Professional Women’s Group Award Certificate en 1989
•Récipiendaire du prix d’excellence du ministre pour les relations interraciales (ministre d’État au Multiculturalisme), en 1990
•Récipiendaire du prix de la commission des droits de la personne de la Nouvelle-Écosse en 1991
•Récipiendaire du prix de la ville de New Glasgow pour son travail à l’amélioration des relations interraciales en 1992
•Récipiendaire du Congress of Black Women Certificate en 1993
Carrie Best est décédée en juillet 2001, à New Glasgow.

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(2011)

Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : dim. mars 18, 2012 5:26 am
par saintluc
Ferguson Arthur Jenkins, C.M., né le 13 décembre 1942 à Chatham, Ontario, Canada, est un lanceur droitier de baseball ayant joué dans les Ligues majeures de 1965 à 1983.

Au cours de sa carrière de 19 années avec les Phillies de Philadelphie, les Cubs de Chicago, les Rangers du Texas et les Red Sox de Boston, Ferguson Jenkins a remporté 284 victoires et totalisé 3192 retraits sur des prises. Il a remporté le trophée Cy Young du meilleur lanceur en 1971.

Ce joueur canadien est membre du Temple de la renommée du baseball depuis 1991.
Ferguson Jenkins signe son premier contrat avec les Phillies de Philadelphie en 1962. Il fait ses débuts en Ligue majeure le 10 septembre 1965 avec les Phillies. Amené en relève en 8e manche face aux Cardinals de Saint-Louis, il reste au monticule jusqu'en 12e et est crédité de sa première victoire en carrière lorsque Philadelphie l'emporte en prolongation. Jenkins est utilisé comme lanceur de relève en 1965 ainsi qu'en 1966. Le 21 avril 1966, les Phillies l'échangent avec John Herrnstein et Adolfo Phillips aux Cubs de Chicago en retour de Bob Buhl et Larry Jackson.
Les Cubs font de Jenkins un lanceur partant en 1967. Il connaît alors la première de 6 saisons consécutives de 20 victoires, un exploit qu'il accomplira à 7 reprises durant sa carrière. En 1967, sa fiche victoires-défaites est de 20-13 avec une excellente moyenne de points mérités de 2,80. Il mène les majeures avec 20 matchs complets. Il reçoit à la mi-saison sa première invitation au match des étoiles et termine 2e au vote pour le trophée Cy Young, attribué à Mike McCormick des Giants de San Francisco.

En 1968, il est le lanceur qui effectue le plus grand nombre de départs (40) dans la Ligue nationale, il remporte 20 victoires contre 15 défaites et présente une moyenne de points mérités de 2,63.

En 1969, il totalise le plus grand nombre de départs (42) de toutes les majeures et mène les deux ligues (Nationale et Américaine) pour les retraits sur des prises avec 273. Son dossier victoires-défaites est de 21-15.

En 1970, il montre un dossier de 22-16 avec un sommet dans les majeures de 24 matchs complets.

La saison 1971 est considérée comme sa meilleure en carrière : il gagne 24 matchs (contre 13 défaites) et mène les majeures avec 30 matchs complétés. Il affiche le plus faible ratio (1,0) de buts-sur-balles accordés par 9 manches lancées tout en étant le lanceur le plus utilisé de la Nationale avec 325 manches passées au monticule. Pour une 3e année de suite, il affiche le ratio retraits sur des prises/buts-sur-balles le plus élevé du baseball, ayant vu ce différentiel passer de 3,85 en 1969 à 4,57 en 1970 puis à 7,11 retraits au bâton par but-sur-balles accordé en 1971. Il est invité à sa seconde partie d'étoiles et on lui décerne après la saison le trophée Cy Young comme meilleur lanceur de la Ligue nationale, devançant au scrutin l'as lanceur des Mets de New York Tom Seaver, malgré le fait que ce dernier ait perdu moins de matchs, totalisé plus de retraits sur des prises et affiché une meilleure moyenne de points mérités que Jenkins durant l'année.

En 1973, Jenkins remporte 20 victoires pour un 6e saison d'affilée, encaissant 12 défaites. Il retourne pour la 3e fois au match d'étoiles. Le 25 octobre 1973, les Cubs concluent une importante transaction, envoyant Jenkins aux Rangers du Texas contre le joueur d'utilité Vic Harris et, surtout, le futur champion frappeur Bill Madlock.

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À sa première année avec les Rangers, Jenkins mène les majeures avec 25 victoires, contre seulement 12 défaites. Il s'agit d'un nouveau record de franchise, qu'il détient toujours en date de 2010. Il mène aussi les majeures avec 29 matchs complets en plus d'afficher la plus faible moyenne de buts-sur-balles accordés par 9 manches lancées (1,2) et le meilleur différentiel retraits sur des prises/buts-sur-balles (5,0) des majeures. Sa moyenne de points mérités est de 2,82. Il termine second derrière Catfish Hunter des A's d'Oakland au scrutin pour le trophée Cy Young dans l'Américaine et voit son nom apparaître pour la 6e et dernière fois de sa carrière au vote pour le joueur par excellence de la ligue, prenant la 5e place, son rang le plus élevé dans cette catégorie où les lanceurs sont traditionnellement peu considérés. Étrangement, il reçoit 2 votes de plus que Hunter au titre de joueur par excellence.

Jenkins affiche un dossier négatif de 17-18 en 1975. Le 17 novembre, les Rangers le transfèrent avec le lanceur Craig Skok aux Red Sox de Boston pour le voltigeur Juan Beniquez et le lanceur Steve Barr.
Le séjour de Fergie Jenkins à Boston est sans histoire et ne dure que deux saisons, au cours desquelles il présente des fiches de 12-11 et 10-10.

Le 14 décembre 1977, les Red Sox le retournent aux Rangers du Texas contre le lanceur recrue John Poloni et une somme d'argent.

La carrière de Jenkins reprend vie en 1978 chez les Rangers. En 34 matchs, dont 30 départs, il remporte 18 victoires contre seulement 8 revers et s'impose à nouveau par son excellent contrôle au monticule : il est premier dans les majeures avec seulement 1,5 but-sur-balles accordé par 9 manches lancées et pour un ratio de 3,83 retraits sur des prises par but-sur-balles alloué. Pour la 4e et dernière fois de sa carrière, il est considéré pour le trophée Cy Young, mais se classe 6e au scrutin.

Après une saison de 16 gains en 1979, sa saison 1980, au cours de laquelle il totalisa 12 victoires contre 12 défaites, est troublée par son arrestation à l'Aéroport international de Toronto, Ontario. Le 25 août, les douaniers trouvent Jenkins en possession de 4 grammes de cocaïne, 2 grammes de hashish et 56 grammes de marijuana. Quatorze jours après son arrestation, Jenkins est suspendu à vie du baseball par le commissaire Bowie Kuhn. Il s'agit de la première fois qu'un joueur des Ligues majeures reçoit une telle sanction pour une histoire de stupéfiants. Cependant, le 22 septembre 1980, l'arbitre Raymond Goetz intervient et ordonne que Jenkins soit autorisé à jouer à nouveau. Un juge accorde une absolution complète à Jenkins.

Après la saison 1981, Jenkins obtient le statut de joueur autonome et signe un contrat avec son ancienne équipe, les Cubs de Chicago.

Jenkins lance deux autres saisons pour les Cubs, présentant des dossiers de 14-15 en 1982 et 6-9 en 1983.

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(2011)
Ferguson Jenkins a joué 664 matchs dans les Ligues majeures, dont 594 comme lanceur partant. Il a remporté 284 victoires contre 226 défaites. Sa moyenne de points mérités en carrière est de 3,34 avec 3 192 retraits sur des prises en 4 500 manches et deux tiers lancées. Il compte 267 matchs complets dont 49 blanchissages. En 70 apparitions comme lanceur de relève, il a réussi 7 sauvetages.

Gagnant du trophée Cy Young dans la Ligue nationale en 1971.
Premier lanceur canadien de l'histoire à gagner le trophée Cy Young.
Sélectionné trois fois pour le match des étoiles (1967, 1971, 1972).
Est le seul lanceur de l'histoire des Ligues majeures à totaliser plus de 3 000 retraits au bâton mais moins de 1 000 buts-sur-balles accordés.
A mené la Ligue nationale avec 24 victoires en 1971 et les Ligues majeures avec 25 victoires en 1974.
A mené la Ligue nationale avec 273 retraits sur des prises en 1969.
A mené les Ligues majeures pour les matchs complets en 1967, 1970, 1971 et 1974.
A affiché le meilleur ratio retraits sur des prises/buts-sur-balles des majeures en 1969, 1970, 1971, 1974 et 1978.
A conservé le plus faible total de buts-sur-balles alloués par 9 manches lancées dans les majeures en 1971, 1974 et 1978.
A conservé le plus faible total de buts-sur-balles alloués par 9 manches lancées dans la Ligue nationale en 1970, puis dans la Ligue américaine en 1975.
Détient depuis 1974 le record de franchise des Rangers du Texas avec 25 victoires.
Élu au Temple de la renommée du baseball en 1991.
Fut le premier joueur né au Canada à être admis au Temple de la renommée du baseball.
Admis au Temple de la renommée du baseball canadien en 1987.
A vu son numéro d'uniforme (#31) retiré par les Cubs de Chicago en 2009.
A reçu en 1967, 1968, 1971 et 1974 le trophée Lionel Conacher à titre d'athlète masculin de l'année au Canada selon la Presse canadienne.
A gagné en 1974 le trophée Lou Marsh remis à l'athlète de l'année au Canada.
Nommé au Temple de la renommée des Rangers du Texas en 2004.
A reçu l'Ordre du Canada en 1979.
Membre de l'Allée des célébrités canadiennes depuis 2001.

Fergie Jenkins a joué au basket-ball pour les Harlem Globetrotters en 1967 et 1969
En 2003, Jenkins a été nommé commissaire de la Ligue canadienne de baseball. Le circuit a toutefois cessé ses activités à la mi-saison en raison d'un déficit financier.

En janvier 2010, Jenkins se prononce sur le cas de Mark McGwire, l'ancien champion des coups de circuit qui venait de s'avouer coupable de dopage. Dans une lettre ouverte acheminée à Associated Press, Jenkins affirme que McGwire doit présenter des excuses aux lanceurs qu'il a affronté, l'estimant coupable d'avoir mis fin à la carrière de certains d'entre eux.

Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : mar. mars 20, 2012 11:52 am
par saintluc
Ginette Reno, de son vrai nom Ginette Raynault (certaines sources indiquent Reynault), est née à Montréal le 28 avril 1946. Elle est une chanteuse et actrice québécoise.
Elle débute très tôt sa carrière dans les cabarets montréalais du début des années 1960 (entre autres au Café de l'Est, au Casa Loma et au Café Provincial). C'est d'ailleurs au Café de l'Est où se déroule le concours Les Découvertes de Jean Simon que ce dernier s'offre à la guider dans le monde du cabaret et du music-hall. Après quelques mois de rodage et de formation musicale, la voici qui enregistre ses premières chansons.

À 18 ans, elle reçoit le titre de découverte féminine de l'année au Gala des artistes du Québec. Par la suite, elle se produit en Angleterre, aux États-Unis et en France. Elle se produit sur les plus grandes scènes du Québec, dont la Place des Arts. Elle enregistre rapidement plusieurs disques dans les années 1960 dont un au cabaret Casa Loma en 1966.

Le début des années 1990 marque son entrée dans le monde du cinéma avec le film Léolo de Jean-Claude Lauzon. Elle a aussi tenu le rôle principal dans deux films réalisés par Denise Filiatrault, lesquels sont adaptés d'une pièce écrite par Michel Tremblay.

Cette chanteuse de renom a marqué le Québec en interprétant la chanson de Jean-Pierre Ferland Un peu plus loin devant 250 000 personnes réunies sur le Mont Royal pour célébrer la Fête nationale du Québec en 1975. Près de 33 ans plus tard elle interprète cette même chanson en duo avec Céline Dion sur les Plaines d'Abraham devant une foule tout aussi grande le 23 août 2008.
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Sa production de disques est phénoménale, plus d'un album par année depuis 1962. Chacun de ceux-ci est bien accueilli, certains obtenant un grand succès populaire. On retient parmi les plus grandes chansons de Ginette Reno les titres suivants : "Roger" et "J'aime Guy" en 1963, "La dernière valse" en 1969, "Aimez-le si fort" en 1971, "Dans la vie" en 1973, "Je t'offrirai" ("Les croissants de soleil") en 1974, "La vie" et "À ma manière" en 1977, "Toi le poète", "J'ai besoin d'un ami", "Ça va mieux", "Tu es là" et "Je ne suis qu'une chanson" en 1979, "Quand on se donne" et "Rouge" en 1981, "Un homme ça tient chaud" et "J'ai besoin de parler" en 1983, "Paris Québec" et "De plus en plus fragile" en 1985, "Ma fille" en 1986, "Ceux qui s'en vont" et "La deuxième voix" en 1988, "L'essentiel", "Remixer ma vie" et "Y'a des enfants" en 1991, et "Galaxies", "L'hymne à l'amour de l'an deux mille" et "Laissez-moi rev'nir sur terre" en 1996. De plus, en duo avec Jean-Pierre Ferland, elle obtient un très gros succès avec la chanson "T'es mon amour, t'es ma maîtresse" en 1975, deux ans après avoir connu un autre succès en duo cette fois-ci avec l'animateur Jacques Boulanger, "Le sable et la mer".

En 1985, elle participe à une association Care France en compagnie de nombreuses chanteuses françaises. Elles chanteront "La chanson de la vie".

Elle est Officier de l'Ordre du Canada depuis 1981. Elle a reçu trois fois le prix de la meilleure chanteuse canadienne de l'année au Junos (1969, 1971 et 1972). En 1980, elle reçoit trois prix Félix dans les catégories interprète de l'année, album populaire de l'année et album le plus vendu de l'année (soulignant la vente de 350 000 copies de Je ne suis qu'une chanson). Elle est Chevalier de l'Ordre national du Québec depuis 2004.

Ginette Reno a lancé un nouvel album ("Fais-moi la tendresse") le 24 mars 2009 avec son fils Pascalin à la réalisation. Elle s'est entourée de paroliers français dont Michel Jourdan, Didier Barbelivien, Gérard Layani et de la parolière québécoise Martine Pratte qui a signé une chanson relatant sa vie : "J'ai soixante-deux ans". Le 29 mars 2009, Ginette se voyait décerner un disque d'or pour son dernier opus, cinq jours après sa mise sur le marché et, plus tard, un disque platine pour ce même album. La chanteuse part ensuite en tournée, demeurant 43 soirs à l'affiche de la Salle Pierre-Mercure, à Montréal. Au printemps 2011, elle revient avec un nouvel album intitulé "La musique en moi", écrit et composé notamment par Didier Barbelivien et Diane Juster.
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(2011)

Re: Et si nous abordions quelques personnages de votre histo

Publié : mar. mars 20, 2012 11:59 am
par saintluc
Les sœurs McGarrigle, Kate et Anna, formaient un duo de musique folk du Québec.
Kate McGarrigle est décédée à 63 ans, le 18 janvier 2010.
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Les sœurs McGarrigle écrivent leurs textes et se produisent sur scène ensemble. Elles sont nées à Montréal, puis ont passé leur enfance à Saint-Sauveur-des-Monts (Laurentides) entre les années 1940 et 1960. Leur parenté métissée québécoise et irlandaise influence leur répertoire, à la fois français et anglais. Elles apparaissent en 2001 sur l'album No More Shall We Part de Nick Cave and the Bad Seeds en tant que choristes.

Leurs albums Entre la jeunesse et la sagesse (connu aussi des anglophones comme French Record) et La Vache qui pleure, sont en français. D'autres albums incluent plusieurs titres en français. Philippe Tatartcheff en a souvent été le co-auteur.

Les deux sœurs ont été décorées de l'Ordre du Canada en 1993 et ont reçu le Prix du Gouverneur général en 2004. Une autre sœur, Jane McGarrigle, a aussi écrit et chanté avec le duo sans pour autant avoir constitué un trio.
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(2011)