Vivre, c’est demeurer le temps d’un battement de cils.Arkhon a écrit :Du bla bla, voilà la seule chose que tu es capable de faire...
Ah… je savais pas qu’on pouvait devenir immortel, mais ça serait vraiment sympa de ta part si tu pouvais m'expliquer comment je dois vivre pour que je le devienne.leolo a écrit :C'est relatif dans la façon que chaque personne vit
Et c'est quoi le rapport avec ma citation ?leolo a écrit :Je dirais que nous sommes interdépendants. Et que toutes personnes si ridicules qu'il soit comme le battement d'une aile d'un papillon procurent l'effet papillon.
Je ne parlais pas d'immortalité. Et ce que je voulais dire par relatif. Et je vais te donner deux exemples :
Quelqu'un qui est haineux et méprisant à cause d'une fausse perception ou un ouï-dire du passé et qui reste amer et qui ne fonctionne dans le présent qu'en vengeance ou aux aguets, au lieu de se remettre en question. Et bien, il ne vit jamais en paix et en harmonie avec le présent. Car il reste principalement collé sur quelques petits moments de sa vie. Il ne s'actualise plus. Une vie de 60 ans, mais surtout arrêtée sur quelques moments traumatisants de sa vie. Et il gèle ses émotions pour ne plus rien ressentir et il développe une dépendance ou tout tourne autour de cela entre deux conspués.
Tandis que quelqu'un qui recherche la vertu vit en harmonie et équilibre s'intéresse à tout et à une vie adéquate. Il n'arrête pas de se remplir de bonheur et de connaissance. Donc, il a plus de chance de se remémorer par plusieurs imprégnations des solutions pour aider et de rendre contagieux sont bonheur et à la fin il n'aura pas peur de mourir. Car toute sa vie il aura pris le temps de se connaître et de rechercher la vérité. Une vie de 60 ans et plus de chance d'avoir vécu 60 ans avec beaucoup de richesse intérieure. Avec les mêmes traumatismes de l'exemple du haut.
Et pour ce qui est de
mourir, c'est demeurer éternellement dans l'oubli
Après ma mort je ne sais pas si je serais vivant pour me remémorer, et je m'en fou de pas le savoir.
Mais pour ceux que je laisserais quoi que j'ai fait de bien ou de mal. Bien si je prends ma vie en exemple. Je me dis que dans la vie que j'aurais vécu toutes personnes auquel j'ai vu seulement et/ou entendu ou lu enfin toute communication de près ou de loin comme transmission, banal ou insignifiante soit-elle et qui se sont toute imprégnés en moi consciemment ou inconsciemment. Sont les causes du comment je suis en ce moment. Mais avec seule différence, c'est sur quoi je me suis arrêté et recherché à être bien intérieurement et à faire le bien autour de moi, ou le mal.
Un gars à l'antipode du Québec en Australie. Il peut dire ou faire quelque chose et avoir un effet sur ma vie. Comme le battement d'ailes d'un papillon ou d’un papion agitant ses bras. Et je peux finir par savoir son nom ou pas et parler de lui et/ou de ce que je ressens et du changement et sa contribution en moi s’il y a lieu.
Et toi que vois-tu dans ta pensée?