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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : sam. févr. 05, 2011 11:31 am
par saintluc
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Saint-Jacques-de-Compostelle (Santiago de Compostela en galicien et castillan) est une ville d'Espagne située dans la province de La Corogne. C'est la capitale de la communauté autonome de Galice, et à ce titre siège de la Xunta de Galicia (gouvernement régional autonome) et du Parlement de la communauté
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Saint-Jacques-de-Compostelle se situe en Galice, dans le nord-ouest de l’Espagne. Elle bénéficie d'un climat océanique, caractérisé par sa douceur et son humidité tout au long de l’année.

Saint Jacques Matamore, le « tueur de Maures », patron de l’Espagne

Très tôt, dès les années 785, saint Jacques est déjà présenté comme le sauveur de l'orthodoxie chrétienne et le Patron de l'Espagne par le moine Beatus de Liebana, réfugié dans les montagnes des Asturies : “ Chef resplendissant de l'Espagne, notre protecteur et patron de notre pays ”. Et dès la fin du VIIIe siècle circule dans les milieux chrétiens un poème qui donne saint Jacques comme saint patron à l’Espagne souffrante.

C’est sans doute à partir du XIe siècle que se dessine l’image du saint cavalier descendant du ciel. Comme il est d’usage, les chroniques espagnoles lui bâtissent une légitimité remontant quelques siècles en arrière : le saint tueur de Maures serait né au cours de la bataille de Clavijo, sous le règne du roi Ramire I (842-850). Peut-être le Matamore n’est-il né que pour retenir en Espagne les Galiciens qui partaient en foule à Jérusalem en leur donnant cette image du Matamore, aussi prestigieuse que la croix des Croisés ? En 1099, le pape Pascal II somme le clergé et le roi Alphonse VI de remédier à cet exode. Il écrit : « nous avons interdit aux chevaliers de votre royaume et à ceux qui veillent sur les frontières des royaumes les plus proches des vôtres, de se rendre à Jérusalem… Que personne ne leur reproche ce retour comme une infamie ou ose les accuser par quelques calomnies. À vous tous, nous prescrivons derechef de combattre les Maures demeurant sur vos terres, de toutes vos forces ». En 866, Alphonse III le Grand fait de Saint-Jacques-de-Compostelle un évêché. Une cathédrale y est inaugurée avec éclat en 899.
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N°594 - N°721 - N°722
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N°841
El Convento de San Paio de Antealtares
Fondé au IXe siècle pour abriter les reliques de saint Jacques désormais à la cathédrale, c'est un des plus vieux monastères de la ville.

El Monasterio de San Martín Pinario
Le Monastère de Saint-Martin Pinario est un ancien monastère bénédictin, le plus grand de Galice. L'édifice actuel, le plus important de la ville après la cathédrale, date du XVIIe siècle, comprend une église du XVIe siècle. Sa façade, composée comme un retable plateresque et précédée d'un escalier à double volée, donne sur la ravissante petite Plaza de San Martín.
L'intérieur frappe par l'ampleur de la nef unique, voûtée d'un berceau à caissons et éclairée par une lanterne sans tambour, à la mode byzantine. Le retable du maître-autel, du style churrigueresque le plus exubérant, fut dessiné par le grand architecte Casas y Novoa (1730). Remarquer les deux chaires baroques aux abat-voix en forme de double bulbe. Un escalier d'honneur sous une élégante coupole mène à trois cloîtres (XVIe – XVIIIe siècle) dont celui des Processions.
On sort sur la place de la Inmaculada où la façade du couvent opte pour l'ordre colossal, de grandes colonnes doriques groupées par paires s'élancent du sol au couronnement.

El Monasterio de San Pelayo et le Musée d'Art sacré
Le monastère de San Pelayo fut fondé à l'origine par Alphonse II le Chaste (759 - roi des Asturies en 791 - 842), mais l'édifice actuel, quelque peu austère, remonte aux XVIIe et XVIIIe siècles. L'un des côtés du bâtiment longe la Plaza de Quintana. À l'intérieur, il faut s'attarder sur l'Autel de l'Apôtre, en marbre et d'une grande sobriété, qui passe pour avoir été consacré par les disciples de l'apôtre Jacques. Le petit musée d'Art Sacré (Museo de Arte Sacro) mérite également une visite.
Dans la Chapelle du monastère de San Pelayo, La Virgen de la 0, représentation galicienne de la Vierge de l'Annonciation.

La Iglesia Santa María del Sar
L'église Sainte Marie du Sar, située dans les faubourgs de la ville, on y accède par la Calle Castron d'Ouro.
Cette église du XIIe siècle frappe extérieurement par ses contreforts qui ont été ajoutés au XIIIe siècle. La puissance de ces derniers n'apparaîtra pas superflue quand on observera, à l'intérieur, le saisissant déversement des piliers sous l'action des poussées exercées par la voûte.
Du cloître qui l'accompagnait, il ne reste que l'aile adossée à l'église, dont les arcades géminées, décorées de fleurs et de feuillages, sont d'une grande élégance.

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El Hostal de los Reyes Católicos.
Cet hôpital fut édifié à partir de 1501 sur ordre de Ferdinand d'Aragon et Isabelle de Castille pour accueillir les pèlerins et remplacer le vieil hôpital qui se trouvait alors sur l'actuelle Plaza de la Azabachería. Sa longue façade est ornée d'un imposant portail plateresque, et les fers forgés et les colonnes de la chapelle sont d'une facture exceptionnelle. Son plan est celui de tous les hôpitaux de l’époque. Une croix inscrite dans un carré qui délimite quatre élégants patios plateresques.
Cet Hostal, devenu parador, continue de remplir sa fonction d'hébergement au service du voyageur, bien qu'il ait un caractère luxueux. Quotidiennement, une quinzaine de pèlerins, munis de leur Compostela, sont admis dans les cuisines pour y recevoir gracieusement un repas.

L'Hôtel de ville.

Face à la cathédrale, il est installé dans l'ancien palais de Raxoy dont la façade très classique fut confiée au XVIIIe siècle au Français Charles Lemaur. Il sert aussi de siège à la présidence de la Xunta de Galicia.

Le Collège Saint-Jérôme.
Sur le côté sud de la place, cet édifice du XVIIe siècle conserve un élégant portail du XVe siècle avec de fortes réminiscences romanes.

El Palacio de Gelmírez.
Situé à gauche de la cathédrale, il abrite l'archevêché. On peut voir quelques salles du palais du XIIe siècle et de l'époque gothique.
Commandé par l'évêque Gelmírez en 1120, le Palais de Gelmírez (el Palacio de Gelmírez) est considéré comme l'un des plus remarquables spécimens de l'architecture romane. La façade date du XVIIIe siècle ; l'intérieur est simple et austère, mais extrêmement élégant. La salle de banquet, appelée Salón Sinodal (Salle synodale), longue de plus de 30 m, est soutenue par des voûtes sculptées en ogive et ne comporte qu'un seul arc central, l'Arc du Palais. Sur les culs-de-lampe se déroule, en haut relief, le banquet nuptial d'Alphonse IX de León.

Museo do Pobo Galego.
Le musée du Peuple galicien occupe l'ancien monastère Santo Domingo de Bonaval qui fut fondé au début du XIIIe siècle mais dont la structure actuelle date du XVIIe - XVIIIe siècle. Les salles sont organisées par thème (la mer, l'artisanat, la campagne et l'architecture populaire), permettant ainsi d'observer l'évolution qui eut lieu au cours des siècles. Signalons aussi des escaliers à triple révolution avec plusieurs rampes et sans support. L'église attenante abrite le panthéon de Galiciens illustres.

El Hospital Real de Santiago de Compostela.
L'Hôpital Royal de Saint-Jacques-de-Compostelle construit dans le style plateresque entre 1501 et 1512 par Enrique Egas (1455 - 1534), architecte espagnol d'ascendance flamande.

Du côté des Platerías, la Casa del Deán et la Casa del Cabildo (maisons du Doyen et du Chapitre), baroques.
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Les Places
La Praza do Obradoiro.
La Place de l'Obradoiro l'une des places les plus charmantes et les plus typiques d'Espagne. Les tours de la cathédrale s'étirent en longueur face au Palais Rajoy (el Pazo de Raxoy), séminaire du XVIIIe siècle à l'origine, qui de nos jours, derrière une élégante façade néoclassique, abrite l'Hôtel de Ville. À gauche, face à la cathédrale, mariant les styles gothique et Renaissance, se dresse l'Auberge des Rois catholiques (el Hostal de los Reyes Católicos) construite au XVIe siècle pour loger les pèlerins. En face, se trouve le Colegio de San Jerónimo, qui date de la fin du XVe siècle et abrite aujourd'hui la demeure du recteur de l'université de la ville. Ces quatre superbes édifices, contrastant les uns sur les autres, forment un ensemble d'une beauté exceptionnelle.
C’est probablement la place où les ouvriers avaient leur chantier.

La Praza da Quintana.
La place de Quintana (la Praza da Quintana), située au chevet, derrière la cathédrale et de la Plaza de Obradoiro (la Praza do Obradoiro), diffère dans le style et dans le caractère. Elle est animée par la vie estudiantine.
Bordée dans sa partie inférieure par l'ancienne Maison du Chapitre (casa de la Canònica), aux arcades sobres et bien rythmées, et, sur l'aile, en retour d'équerre, s'étend la longue façade austère du Monastère Sant Pelayo, dont les murs austères s'ornent de fenêtres barrées de belles grilles anciennes.
En face, perçant le mur du chevet de la cathédrale, la porte du Pardon ou Porte Sainte.
En haut du grand escalier, la maison de la Treille (Casa de la Parra) est une belle construction baroque de la fin du XVIIe siècle. En face, une volée de marches en béton, couverte de lierre, et qui recouvre une extrémité de la place, plonge sur la casa de Conga, datant du XVIIIe siècle.

La plaza de la Inmaculada.
La Calle las Casas Reales conduit vers l’accomplissement, devant la porte nord de la cathédrale, sur la Plaza de la Inmaculada, qui a bien changé depuis l'époque du Guide du pèlerin. Au Moyen Âge s'y tenait un grand marché appelé el Paraiso (le Paradis), dont les dimensions, en longueur et en largeur, équivalaient "a un tiro de piedra" («un tir de pierre»).
A l'entrée de la place se trouvait l'admirable fontaine Sancti Jacobi, qui, selon Aimery Picaud, dans son Guide du Pèlerin, « elle n'avait pas d'égale au monde entier ».
Elle fut construite par Bernard, trésorier de Saint-Jacques en 1122, et détruite au XVe siècle.

Les rues
La Rúa das Casas Reais (des maisons royales) est celle où l'Hospital San Miguel, disparu, soigna les pèlerins à partir du XVIe siècle. Aujourd'hui deux sanctuaires néo-classiques du XVIIIe siècle : dans une rue latérale à gauche Santa Maria do Camino, puis dans la rue à droite l'église de las Animas (des âmes). Elle débouche sur une place, plaza de Cervantès l'ancien hôtel de ville (baroque, XVIIe siècle) s'y dresse. Un peu en retrait, l'église néo-classique San Binito del Campo.
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La Rúa Azabachería qui suit passe entre deux maisons anciennes, la Casa da Troia, s'ouvrant sur une rue latérale, la Casa de Parra. La seconde est baroque et du XVIIIe siècle. La première, récemment restaurée, abrite un musée romantique. Pension populaire pour étudiants, elle a servi de cadre au roman Casa de Troia de Alejandro Pérez Lugín.
Elle débouche sur la plaza de la Inmaculada, face à la porte nord de la cathédrale, cette célèbre Puerta del Paraiso, porte du paradis.

La Rúa do Marmoutier. Dans cette pittoresque rue s'observent d’anciens collèges (Fonseca), des boutiques et des bistrots typiques.

La Rúa do Vilar. En remontant vers la Cathédrale, elle est bordée d’arcades et de demeures anciennes, comme la rue parallèle plus commerçante, la Rúa Nova.
C'est dans cette rue, au 43, que se trouve la Oficina de Turismo – 15705 Santiago de Compostela. Ainsi que l'accueil des Pélerins, au n° 1, le Delegado de Peregrinaciones – Acogida del Peregrino.

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Fin de la 1ère partie

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : sam. févr. 05, 2011 12:11 pm
par saintluc
Cathédrale - Portique de la gloire
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N°595 - N°596
portail central - encensoir ciselé de la cathédrale
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N°723 - N°724
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N°842 - N°1717
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N°2653
Chemins de Saint Jacques
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N°2977

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : dim. févr. 06, 2011 5:26 am
par saintluc
Hôpital des rois catholique - Pélerin en vue de Saint Jacques
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N°1982 - N°1718

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : dim. févr. 06, 2011 6:00 am
par saintluc
Séville (Sevilla en espagnol) est une ville du sud de l’Espagne, capitale de la province de Séville et de la communauté autonome d’Andalousie
C’est également une ville au passé prestigieux, ayant légué un patrimoine artistique d’une immense richesse, qui en fait une des destinations touristiques les plus prisées d’Europe et l'auréole d’un certain prestige. Ses monuments, les nombreux artistes qui y sont nés ou y ont œuvré, son histoire glorieuse, ses fêtes traditionnelles, mais aussi son climat ont ainsi contribué à sa renommée.

Le nom de Sevilla provient du toponyme ibère I-Spal (Isfân en carthaginois a donné l'Hispania romaine, l'Isfâniya arabe, Espana médiévale) romanisé sous la forme Hispalis, devenu Isbaliya/Isbiliya/Ishbalyia/Isbilyia au VIIIè siècle.

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Séville est une ville éminemment imprégnée par la religion, comme en témoignent le nombre très élevé de lieux de culte. Parmi les plus célèbres :

la cathédrale et la Giralda, classées au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco ;
l'église Santa Marina ;
l'église San Lorenzo ;
l'église Omnium Sanctorum ;
l'église San Marcos ;
l'église Santa Catalina ;
l'église San Pedro ;
l'église Santa Ana ;
l'église de la Magdalena ;
l'église San Luis de los Franceses ;
l'église del Salvador ;
la chapelle de San José ;
le couvent de San Clemente ;
le couvent de Santa Clara ;
le couvent de Santa Paula ;
le couvent de San Leandro ;
l'ancien couvent de la Merced Calzada de la Asunción
(actuel musée des Beaux-Arts) ;
l'hôpital de la Caridad ;
l'hôpital de los Venerables ;

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Patrimoine civil
les Reales Alcázares, classé au Patrimoine mondial de l'Humanité par l'Unesco ;
la Casa de Pilatos
le Palais archiépiscopal ;
le Palais de San Telmo ;
le Palacio de las Dueñas ;
le Palacio de la Condesa de Lebrija
D'autres bâtiments civils sont dignes d'être mentionnés :

la mairie de Séville ;
l'Archivo General de Indias, classé au Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'Unesco ;
la Plaza de Toros de la Real Maestranza de Caballería de Sevilla (arènes) ;
la Fabrique royale de Tabac ;
l'Hospital de las Cinco Llagas (siège du Parlement d'Andalousie)
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Séville conserve quelques vestiges de son enceinte fortifiée :

la Muraille de la Macarena ;
la Torre del Oro
la Torre de la Plata
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : dim. févr. 06, 2011 6:14 am
par saintluc
Université
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Michel N°4027
Place d'Espagne
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N°369 - N°374
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N°377
La Giralda
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N°571 - N°1308
Tour de l'Or
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N°1415

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : dim. févr. 06, 2011 6:23 am
par saintluc
bourse - Christ de l'Expiation
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N°2120 - N°2300
Vue de Séville (16è s.)
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N°2340

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : dim. févr. 06, 2011 6:39 am
par saintluc
Hôpital de la Charité - Porte du Pardon
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N°2348 - N°2513
Monastère Sainte Marie - b]
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[b]N°2711

Cathédrale
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N°2755

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : lun. févr. 07, 2011 3:14 am
par saintluc
L'abbaye Santa Maria de Montserrat est une abbaye bénédictine autonome située sur le massif montagneux de Montserrat en Catalogne (Espagne). L'abbaye fait partie de la province espagnole de la congrégation de Subiaco, au sein de la confédération bénédictine.
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En l'an 880, un samedi après-midi à la tombée de la nuit, des pâtres virent descendre du ciel une puissante lumière accompagnée d'une belle mélodie. Le samedi suivant, la vision se répéta. Les quatre samedis suivants le recteur d'Olesa les accompagna et put constater la vision miraculeuse.

Après avoir pris connaissance de l'événement, l'évêque qui se trouvait à Manresa organisa une montée au Montserrat pendant laquelle fut découverte une grotte où se trouvait une image de la Sainte Vierge. L'évêque proposa alors de la transférer à Manrèse, mais dès qu'ils essayèrent de la mouvoir, elle se fit tant pesante qu'il ne purent la faire bouger. L'homme d'Église interpréta ce fait comme la volonté de la Sainte Vierge de rester en ce lieu et décida de faire construire une chapelle sur le site.

Depuis cette légende, Montserrat est considéré comme un haut lieu du catholicisme tant espagnol que catalan (elle est la patronne de la Catalogne), puisqu'elle est ainsi fêtée le 27 avril. En dehors du monastère et de la sainte grotte, le massif compte un bon nombre de petites églises et d'ermitages abandonnés. La sainte Vierge, appelée familièrement la Moreneta (la noiraude) pour sa couleur sombre, a été taillée en bois à la fin du XIIe siècle ; il s'agit d'une vierge noire comme il y en a en quelques endroits d'Europe.

Sceau du monastère
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N°473 - N°474
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N°475 - N°476
L'abbé montrant le plan de la chapelle à un moine sculpteur
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N°477 - N°482
Parmi les divers édifices du monastère bénédictin, la salle capitulaire, le cloître néoroman et le réfectoire sont remarquables par leur architecture.

En 1636, des bénédictins du monastère de Montserrat, s'installent au cloître d’Emmaüs dans la Nouvelle Ville de Prague et y restent jusqu'en 1880 quand ils sont remplacés par ceux de l'abbaye Saint-Martin, expulsés de leur base à Beuron.

L'abbaye a été détruite par les troupes napoléoniennes en 1811. Les bâtiments actuels datent du 19e siècle et ont été rénovés par Josep Puig i Cadafalch.

La communauté monastique actuelle est composée d'une vingtaine de moines qui suivent la règle de saint Benoît dont l'objectif principal est de conserver le Montserrat en tant que lieu de prière et de recueillement.

Vierge Noire
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N°478 - N°480
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N°479 - N°483 - N°485
Vue du monastère
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N°481 - N°484
La culture est un élément important de Montserrat, la bibliothèque du monastère compte environ 300 000 volumes.

La manécanterie (l'Escolania) considérée comme l'un des conservatoires pour enfants parmi les plus vieux d'Europe, est l'une des plus célèbres du monde et est réputée pour son répertoire de musique baroque religieuse.

Au point de vue musical, le monastère est également connu pour avoir renfermé dès XIVe siècle, le fameux Livre Vermeil (ou « Llibre Vermell » en catalan), recueil de chants profanes et religieux, mondialement connu par les spécialistes de musique médiévale.

Le musée du monastère comprend des œuvres du Gréco, de Picasso et de Dali et de surcroît des trésors d'Égypte antique, dont une momie.

Par ailleurs, plusieurs publications ont pour origine ce monastère, les Publicacions de l'Abadia de Montserrat et la revue Serra d'Or

On peut accéder à l'abbaye par la route depuis Monistrol de Montserrat, Sant Salvador de Guardiola et Bruc. On peut aussi y accéder depuis Monistrol par un téléphérique et par un train à crémaillère des Ferrocarrils de la Generalitat de Catalunya qui amènent jusqu'au monastère. De là, on peut rejoindre la sainte grotte et San Juan par deux funiculaires.
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N°846

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : mer. févr. 09, 2011 4:42 am
par saintluc
La basilique de Nuestra Señora del Pilar (Notre-Dame du Pilar) est un édifice religieux situé à Saragosse, capitale de la Communauté autonome d'Aragon en Espagne. On y conserve et vénère la colonne (pilar en castillan) sur laquelle la Vierge Marie serait apparue à l'apôtre saint Jacques en 40 après J.-C.
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N°847
La basilique est consacrée à une image de la Vierge fort vénérée en Espagne, à tel point que de nombreuses Espagnoles portent le prénom de Pilar. La Vierge du Pilar est patronne de la Garde civile, et surtout de l'Hispanité (et ce, depuis Pie XII), fêtée, tout comme cette Vierge, le 12 octobre, donnant lieu à Saragosse à une longue semaine de festivités. La basilique est par ailleurs le centre d'un pèlerinage réputé.
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Selon la tradition, l'apôtre Jacques serait venu évangéliser la péninsule Ibérique vers 40. Face à son peu de succès, il se serait découragé ; c'est là qu'au bord de l'Ebre lui serait apparue la Vierge Marie sur une colonne de marbre pour l'encourager à prêcher, en lui promettant que jamais la foi ne ferait défaut en Espagne. Jacques aurait alors élevé une chapelle destinée à abriter l'image miraculeuse de la Vierge à l'endroit même de l'apparition, créant ainsi ce qui fut le premier sanctuaire marial de la chrétienté.
Ruines de Belchite - Procession du Rosaire
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N°691 - N°692
Plusieurs édifices se succédèrent alors. Après la conquête de la ville par Alphonse Ier en 1118, un premier édifice roman est construit, il n'en reste aujourd'hui qu'un tympan. En 1434, un incendie ravageur contraint en effet les autorités épiscopales à démolir le temple roman pour reconstruire un édifice gothico-mudéjar, achevé en 1515. L'édifice était composé d'une nef unique, et d'un cloître abritant la chapelle du Pilar. L'historienne d'art María del Carmen Lacarra pense que la statuette (38 cm.) de la Vierge du pilier exécutée entre 1434 et 1443 serait du sculpteur aragonnais Jean de la Huerta.
La basilique - La Mère Rafols aux pieds de la Vierge
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N°693 - N°694
Face à l'accroissement constant de la ferveur vouée à la Vierge du Pilar, Juan de Marca, un zaragozano, propose dès 1638 de bâtir un nouveau temple. L'idée trouve un écho favorable auprès du chapitre qui organise un concours d'architecture. L'idée est d'adopter un style plus actuel que le gothique, mais aussi de rivaliser avec le plus grand monument religieux d'alors à Saragosse : la cathédrale de El Salvador. Les projets se veulent grandioses et monumentaux. Les travaux de construction de la nouvelle basilique commencèrent en 1681 sur ordre de Jean de Habsbourg, qui en confia la construction aux architectes Francisco Herrera Hidestrosa et Felipe Pérez, qui conçurent un édifice baroque plutôt robuste, dont le gros-œuvre est terminé en 1754.
Le sanctuaire de N.D. - Le serment des assiégés
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N°695 - N°696
Face au développement toujours constant du culte, et voulant offrir à la Vierge du Pilar un écrin digne de son prestige, en 1725, le chapitre confie à l'architecte Ventura Rodríguez le soin de reconstruire la Sainte Chapelle, achevée en 1765. Il réorganise également l'édifice dans le style classique. C'est à cet artiste que l'on doit la configuration et la décoration actuelles de la basilique.
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N°697 - N°698 - N°699 - N°700 - N°701 - N°702
Quelques années plus tard, en 1771, Goya peignit les fresques de la voûte du petit chœur, représentant l'adoration du nom de Dieu, ainsi que la fresque Regina Martyrum (la reine des martyrs) sur une des coupoles.
Miracle de Calanda
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N°703
La basilique continue à être aménagée durant les siècles suivants. La couverture totale est terminée en 1872 avec l'achèvement de la coupole centrale et de la première tour. Les trois autres tours seront élevées en 1907 et 1961.
L'apparition à l'apôtre Saint Jacques
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N°704

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : jeu. févr. 10, 2011 2:10 am
par saintluc
L'Aljaferia (en espagnol La Aljafería) est un palais fortifié construit durant la seconde moitié du XIe siècle, à l'époque d'Al-Muqtadir, à Saragosse, en tant que résidence des rois Bani Hud. Elle reflète la splendeur de la taifa de Saragosse au moment de son apogée politique et culturelle.
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Son importance réside en ce qu'elle est l'unique témoignage conservé d'un grand édifice de l'architecture islamique en Espagne à l'époque des Taifas. Avec la mosquée de Cordoue (Xe siècle) et le chant du cygne de la culture islamique que fut l'Alhambra de Grenade (XIVe siècle), nous devons inclure dans la triade de l'architecture hispano-musulmane l'Aljaferia de Saragosse comme parfait exemple de réalisation de l'art taifa (es) de la période intermédiaire des royaumes indépendants antérieurs à l'avènement des almoravides.

Après la reconquête de Saragosse en 1118 par Alphonse Ier le Batailleur, le palais servit de résidence aux rois chrétiens d'Aragon, dont l'Aljaferia devint le principal élément de diffusion de l'art mudéjar aragonais. Il devint la résidence royale de Pierre IV le Cérémonieux. Postérieurement, en 1492 fut menée la reconversion des appartements de l'étage principal en palais des rois catholiques.
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L'Aljaferia fut la résidence des rois Banu Hud (arabe : بنو هود), une dynastie arabe du taifa de Saragosse entre 1039 et 1110, puis celle des rois catholiques d'Aragon, avant d'être affectée aux services de l'Inquisition.

Durant la Guerre civile espagnole, le palais de l'Aljaferia servit de prison : de nombreux républicains, socialistes, communistes y furent enfermés. Une fois la guerre civile terminée, le régime franquiste continua à l'utiliser comme prison.

L'Aljaferia abrite aujourd'hui le siège du parlement d'Aragon.

Ce palais, avec son décor de stucs peints, est le reflet de la splendeur atteinte par le royaume-taifa de Saragosse.

Les aménagements et agrandissements continus, du XIIe siècle au XIVe siècle, furent le principal foyer de rayonnement et d'inspiration de l'art mudéjar aragonais.

De structure quadrangulaire, l'enceinte est composée de grosses tours semi-circulaires, à l'exception de l'une d'entre elles, rectangulaire, nommée « tour du Troubadour » (Torreón del Trovador).

L'édifice a subi plusieurs agrandissements à la fin XVe siècle, sous la direction de l'architecte mudejar Faraig de Gali. Sous le règne de Philippe II d'Espagne, le palais fut transformé en fort militaire moderne par le siennois Tiburcio Spanochi.

suite: http://fr.wikipedia.org/wiki/Palais_de_l'Aljaferia
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N°3193

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : ven. févr. 11, 2011 3:10 am
par saintluc
Le Roque Nublo, emblème de Grande Canarie, se dresse dans les environs de Tejeda.
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La municipalité de Tejeda est située dans le centre de l'île de Grande Canarie. La dépression de Tejeda surgit d'un cratère volcanique sur lequel s'élève une montagne couronnée de plusieurs promontoires rocheux, dont le Roque Nublo, énorme rocher de lave, emblème de Grande Canarie et le Roque Bentayga, percé des Cuevas del Rey, grotte préhispanique sacré qui renferme quelques peintures rupestres.

Le paysage de cette zone est marqué par la présence de bosquets de pin canarien et d'amandiers.

La croix est à 1500m d'altitude
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N°1983

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : ven. févr. 11, 2011 3:36 am
par saintluc
San Pedro d'Alcantara a été fondé en 1561 par San Pedro de Alcántara autour de la Ermita de San Andrés del Monte, un petit bâtiment gothique au-dessus (style artistique XII-XV).
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La chapelle royale de San Pedro de Alcantara
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N°2021
Attachée à l'église du monastère elle a été construite dans les années 1757-1776,à l'intérieur, dans une urne de marbre , les restes de San Pedro de Alcántara.
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N°2023 - N°2022

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : sam. févr. 12, 2011 1:49 am
par saintluc
La Porte de Tolède est un reste de la muraille qui entourait la ville, par où passe aujourd’hui la route de circonvallation, de 4,5 Km de périmètre. Cette fortification avait été commencée en 1297. Selon les chroniques, elle eut jusqu’á 130 tours sur son large périmètre, exhibant la plupart du temps de la maçonnerie et de la brique. De son intégralité, se conserve seulement, á l’exception d’un pan de mur du secteur ouest de la ville et de l’arc d’accès á ce qui fut l’Alcazar d’Alphonse XI, cette Porte de Tolède.

Construction de style gothique mudéjar, sévère et sans ornements, faite de pierres de taille bien encadrées de calcaire de la zone dans ses arcs et coins, et de petites pierres de taille et de maçonnerie le reste, est antérieur de plus de cinquante ans á la Porte del Sol (du Soleil) de Tolède.
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Elle compte six arcs où la combinaison de l’arc en ogive et celui en fer á cheval parait vouloir être un paradigme symbolique de la coexistence entre la population chrétienne et maure. Les deux arcs extérieures sont brisés, avec un grand surhaussement, appuyés sur des colonnes adossées aux murs, deux autres, en fer á cheval, un d’eux en pointe et sans alfiz, et deux plus á l’intérieur, brisés, entre lesquels descendait le rastrillo de cierre (un petit marché aux puces).

Flanqués de deux tours carrées massives de 12 mètres de haut par 4 de large et d’un couronnement en créneaux, manquant aujourd’hui. Par leurs proportions, elles formaient un cube parfait, la hauteur, la profondeur et la largeur entant égales entre elles.

Une console en pierre sur sa face intra-murale nous donne la date de sa construction, année 1328, sous le règne d’Alphonse XI, malgré le fait que d’autres auteurs de renom la considèrent antérieure á cette date. De son côté extramuros elle affiche leblason des armes de Castilla.
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N°2063

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : sam. févr. 12, 2011 1:59 am
par saintluc
Aqueduc d'Almunecar
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L’aqueduc a été construit au premier siècle. Aujourd’hui, certaines sections sont encore utilisées dans le système d’irrigation traditionnel. Cet aqueduc transportait de l’eau pour la ville et l’usine de salaison qui se trouve dans le parc d’Aubépine. Dans l’excavation, il y a quelques thermes romains et d’autres éléments funéraires d’origine romaine de la même époque.
Almuñécar a une longue histoire remontant à 800 ans av. J.-C., date à laquelle elle fut fondée par les Phéniciens qui en firent une colonie commerciale. Elle conserve de cette époque une nécropole et une manufacture de salaisons que vous pourrez visiter. Les Romains construisirent dans la Manaba Sexi Firman un aqueduc et des thermes
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N°2064

Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)

Publié : sam. févr. 12, 2011 2:07 am
par saintluc
Château d'Ampudia
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Ce château est peut-être le plus important de la province de Palencia. Il est dans un excellent état de conservation.
L'édifice a été construit entre le XIIIe et XVe, et a été déclaré monument national en 1931.
Il s'agit d'un château de style gothique avec un plan en trapèze et trois tours carrées aux angles (la quatrième s'est effondrée il y a longtemps). La façade du château est impressionnante, distribuée de façon symétrique avec des éléments décoratifs.
C'est dans ce château qu'a été signé l'édit transférant la capitale de Valladolid à Madrid.
source: monnuage.fr
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N°2067