Entab a écrit :
Couper les dépenses ! Rembourser nos dettes !
Devenir un état riche et fort !
Un avenir financier sain, viable et rentable pour nos enfants !
Bref rien de ce que le PQ a prévue de faire
Une dette c'est irremboursable, de plus sur notre dette de 250 milliards, 210 milliards sont des accumulation des intérêts, alors à qui doit on cette argent, et pourquoi doit on le payé?
Vouloir payé la dette, est comme nous dire, coupons dans nos service publiques pour payé quelques chose d'irremboursable, non mais tu veux que le québec deviennent un pays esclaves????
Non c'est tout le contraire que je veux.
Je veux que le Québec ce libère de sa dette.
Un homme sans dette est un homme riche !
Imagine une province sans dette!
A partir de la... pourquoi pas un pays sans dette?
Tu crois vraiment que les banque vont juste effacer notre dette comme par magie ? :)
Pourquoi on continu a payer les intérêts de notre dette si ont est pas tenu de le faire ?
Il va arriver quoi si nous ne payons plus nos dette ?
On va financer comment le dépassement perpétuel de nos budget ?
Le petit monde.... y va faire comment quand les tôt d’intérêt auront explosés
a cause que notre gouvernement n'est plus solvable ?
Mais bon vue de la gauche je sais bien que ces questions la ne ce pose pas!
Sa n’existe pas vaux mieux ne pas en parler :)
Quand les temps sont dures, les dures font dans leur pantalon!
Le ministre des Relations internationales, de la Francophonie et du Commerce extérieur du Québec, Jean-François Lisée, a sévèrement critiqué le candidat à la direction du Parti libéral du Canada Justin Trudeau, au lendemain de la publication du recensement 2011 de Statistique Canada.
Malgré les données indiquant un recul du français au Québec, comme ailleurs au Canada, Justin Trudeau a déclaré qu'il ne souhaitait pas que la loi 101 soit renforcée.
De passage à Québec jeudi, le député libéral de Papineau a dit qu'il fallait éviter de relancer « les vieux débats » sur la langue.
« Je trouve qu'on est en train de reprendre de vieux débats sans comprendre que la majorité des gens dans Papineau, à Québec et partout au Québec sont axés sur leur emploi, sur l'économie, la santé et l'éducation de leurs enfants pour pouvoir participer pleinement à cette ère de mondialisation dans laquelle on vit « , a dit M. Trudeau.
Ce dernier croit qu'un resserrement de la loi 101 aurait pour effet de pénaliser les francophones désireux d'offrir les meilleures perspectives d'avenir à leurs enfants.
« Mon inquiétude par rapport à l'enjeu de renforcer la loi 101, c'est qu'on se retrouve à punir les Québécois francophones qui veulent que leurs enfants développent une capacité en anglais, la langue du commerce international. Je trouve que ce n'est pas aller dans la bonne direction. » — Justin Trudeau
Jean-François Lisée Jean-François Lisée
Mais selon Jean-François Lisée, Justin Trudeau « démontre aujourd'hui qu'il ne comprend rien au débat linguistique qui anime le Québec depuis 50 ans. De dire que renforcer la loi 101, ça empêcherait les Québécois d'être bilingues et de connaître l'anglais, c'est ne rien comprendre ».
Affirmant que les Québécois étaient « les plus bilingues » et même « les plus trilingues en Amérique du Nord », il a expliqué que la loi 101 « sert à faire en sorte que le français reste la langue prédominante au Québec de génération en génération ».
Se disant particulièrement préoccupé par la situation à Montréal, celui qui est aussi ministre responsable de la région de Montréal a attaqué les « tenants du déni », demandant « à partir de quelles proportions [le seuil de francophones] sur l'île deviendrait un problème ».
« Ce serait bon que tous les élus des citoyens du Québec, qu'ils soient du Parti libéral ou du Parti conservateur, comprennent que d'avoir à Montréal une majorité de francophones, c'est un objectif national légitime et arrêtent de dire à chaque recensement : "C'est pas grave que ça baisse." » — Jean-François Lisée
La faute à la dénatalité
M. Trudeau ne voit pas matière à inquiétude devant les plus récentes données de Statistique Canada qui révèlent une nouvelle diminution du poids relatif du français au pays, notamment à Montréal. À son avis, la perte de terrain du français résulte essentiellement de « la crise démographique » et de « la dénatalité qu'on vit au Québec ».
D'après Statistique Canada, la proportion de locuteurs qui utilisent exclusivement le français à la maison dans la région de Montréal est passée de 62,4 % en 2001 à 56,5 % en 2011.
À l'échelle canadienne, le déclin du français s'est poursuivi entre 2006 et 2011, alors que la proportion de gens ayant le français comme langue maternelle est passée de 22,1 à 21,7 %.
Le Parti québécois au pouvoir pense que ces résultats justifient son engagement électoral de renforcer la loi 101.
En point de presse, mercredi, la ministre responsable de la Charte de la langue française, Diane De Courcy, a promis une réforme « vraiment costaude » de la loi afin d'assurer la pérennité de la langue officielle du Québec.
Mais Justin Trudeau, citant en exemple la composition ethnolinguistique de sa circonscription, conclut que la loi 101 porte ses fruits dans l'état actuel des choses et n'a pas besoin d'être révisée.
« Si je parle aux parents de gens [originaires] du Bangladesh, du Pakistan ou de l'Inde, oui les parents parlent plus anglais, mais dès que je parle aux jeunes de 5, 10 ou 15 ans, c'est en français qu'on parle, parce que la loi 101 fonctionne. [...] Je ne suis pas inquiet, je suis très fier de ma belle langue française. » — Justin Trudeau
C'est toujours les mêmes foutus arguments de cul.
Il faut parler anglais pour faire de l'argent, comme si le reste n'avait pas d'importance comme l'amitié, aller vers l'autre, apprendre la langue de la majorité qui est le français au Québec.
La dénatalité c'est la faute aux Québécois s'ils ne font pas assez d'enfants, les Québécois nous parlent en anglais, donc pourquoi les immigrants devrait faire un effort.
Autrement dit nous les immigrants on fait ce que l'on veut et on apprends la langue que l'on veut, même si on disait faire n'importe quoi pour immigrer au Québec.
Mais quand on leur parle en français ils nous demandent pourquoi on ne veut pas parler anglais et en plus ils nous demandent cela au Québec et quand on était plus nombreux dans les années 1970 (baby boom) et avant cela et qu'on faisait beaucoup d'enfants, ils ne l'apprenaient pas plus le français.
De vieilles querelles, de vieux débats, dans le fond ce qu'il veut dire fermer votre gueule et faite avec et vous n'avez pas de loi linguistique a renforcer pour que le Québec demeure la seule et unique province ayant une majorité francophone, assimilez-vous autrement dit.
Pensez seulement économie, achetez votre caisse de bière le vendredi soir et fermer votre gueule docilement et avec soumission. Parce que c'est impossible de régler 2-3 choses en même temps ou de mâcher de la gomme en marchant.
Justin Trudeau en a rien à foutre du fait français au Québec, ils jouent la carte de l'économie.
Mais le problème avec l'accumulation de la richesse, est l'insatiabilité de toujours vouloir plus d'argent et qu'il n.'y aura jamais de fin a ça.
Et que cela ne règle absolument aucun problème, pour que les différentes nations vivent en harmonie entre eux, parce que l'argent ne fait pas le bonheur et que ce n'est pas avec certains articles des journalistes anglophones que la haine va baisser quand ils parlent du Québec.
OU
Les citations que vous ne verrez jamais dans les «Minutes du Patrimoine» du gouvernement fédéral
Voici une petite collection de citations qui ont été faites à l'égard des souverainistes et parfois, de toute la société québécoise en général. J'ai choisi ces citations avec soin: ces paroles ne sortent pas de la bouche de quelques hurluberlus marginaux mais bien de celles de leaders d'opinion, de journalistes, de politiciens et de gens influents du Canada anglais. Ces citations visent à lever le voile sur le racisme dont les Québécois sont souvent victimes et à dénoncer les abominables mensonges qui sont parfois véhiculés à leur sujet.
Le roi des déclarations racistes à l'égard des Québécois (toujours faites dans la plus grande impunité) est probablement l'écrivain anglo-montréalais Mordecai Richler. Pour en savoir plus sur ce personnage et ses odieux propos, cliquez ici.
Veuillez noter que ces citations calomnieuses ont été traduites de l'anglais.
«Le Québec me laisse un mauvais goût dans la bouche, selon moi, prenez ces bâtards (bastards) et jetez-les dans l'océan.»
--Jim Karygiannis, député libéral ontarien, propos cités dans The Gazette du 16 septembre 1989.
«Il est temps que les anglophones se réveillent et si les Québécois - les bébés gâtés du Canada - n'aiment pas ça, qu'ils s'en aillent. On se contrefiche (we don't give a damn) de ce que vous avez à dire au Québec. Si vous vous séparez, on ne vous laissera pas partir avec tout le Québec. Vos frontières seront celles d'avant 1867. (…) J'ai parlé à plusieurs Parisiens qui me l'ont dit. Ils ne vous comprennent pas. Vous parlez une langue qui n'est ni du français, ni de l'anglais.»
--Elmer Knutzen, chef du Confederation of Regions Party de l'Ouest, cité par Paul Roy dans La Presse du 8 février 1990, page A2.
«La mentalité traditionnelle de la plupart des Canadiens français (se résume à ceci): superficiels, ils ne s'intéressent qu'à ce qui paraît; pour eux, la réflexion, le courage, la générosité, la loyauté et autres qualités ne comptent pas, en règle générale. (…) La majorité des Canadiens français ruraux traditionnels ont la mentalité de peuples du tiers monde. Ils sont obnubilés pas leur obsession sexuelle alors qu'ils semblent n'avoir aucune soif de connaissance. (…) La plupart d'entre eux sont complètement incapables de réflexion. Ils ne font que répéter slogans ou idées à la mode. (…) Leur ignorance est révoltante! (…) Québec est un État policier. Il n'y existe ni liberté de presse ni liberté de parole. Les journaux anglais, les stations de radio et de télévision anglaises y appartiennent à des Franco-Canadiens. L'Office de la langue française, cette organisation ridicule, pompeuse et fanatique, y contrôle l'usage du français. Il faut converser, lire, écrire et même penser en français.»
--Yolanda East, ancienne fonctionnaire fédérale et écrivaine, citée par Paul Roy dans La Presse du 9 mars 1990, page B1.
«Les séparatistes ne sont pas tous des racistes et des criminels.»
--Jean Chrétien, premier ministre du Canada, en réaction à la déclaration du député fédéral John Nunziata à l'effet que les séparatistes étaient tous des traîtres et des racistes. 22 avril 1990.
«Le Québec est comme un pays du tiers monde où il n'y a pas de défense pour les individus.»
--May Cutler, mairesse de Westmount, propos tenus à la radio de CBC, 1991.
«Les Canadiens doivent dire d'une même voix (aux Québécois): "Non, vous ne partez pas." (…) Si un petit groupe isolé d'entre vous souhaite retourner en France, nous allons vous trouver un bateau. Et si vous voulez avoir bien à vous un petit bout de ce pays, on vous découpera une part de 10 000 ou 1000 milles carrés. (…) À chaque fois que je prends une boîte de céréales, je dois la tourner pour trouver de l'anglais. On voit ici des panneaux routiers en français alors que bien peu de personnes parlent français dans le coin. Je pense que nous avons fait des efforts considérables pour les satisfaire.»
--J.P. Bryan, président de Gulf Canada Resources Ltd., propos tenus devant 700 cadres du secteur pétrolier à Calgary qui applaudirent ses propos chaleureusement. Propos cités dans La Presse du 11 juin 1996, page B1.
«Ils se plaignent et gémissent et endommagent notre économie. Ils complotent et combinent et rêvent de créer un état ethnocentrique francophone. Ils réécrivent l'histoire. Ils créent de toutes pièces des revendications pour les injustices récentes. Ils irritent les Canadiens anglais pour aider leur cause. Ils sont, en un mot, méprisables (despicable).»
--Diane Francis, rédactrice en chef du Financial Post, le journal d'affaires le plus influent du Canada anglais, le 4 juillet 1996. Un groupe de pression anglophone trouva le courage de porter plainte contre Francis auprès du Conseil de presse de l'Ontario, le 21 mai 1996. Ils affirmèrent que ses éditoriaux étaient truffés «d'erreurs grossières, de fausses représentations et d'affirmations gratuites.» Aucune suite n'est donnée à la plainte.
«Le séparatisme québécois n'est pas une lutte pour l'auto-détermination. C'est une conspiration raciale qui a piétiné les droits humains, le fair-play, l'économie du Québec et la démocratie. Les séparatistes devraient être traités comme l'élite impitoyable qu'ils sont. (…) Les séparatistes ont triché. Ont menti. Ont caché les faits. Ont réécrit l'histoire. (…) Ont annulé des votes de façon frauduleuse pour ensuite cacher leur crime. Ils ont tripatouillé avec les forces armées de la nation. Ont arraché leurs droits civils aux anglophones et aux allophones depuis plus de trois décennies. Ont fait exprès pour chasser des anglophones du Québec. Ont adopté des lois qui légalisent les discriminations dans les domaines de l'emploi et de l'éducation.»
--Encore cette chère madame Francis, dans son livre «Fighting for Canada», publié en 1996. Au sujet de la soi-disant discrimination dans le domaine de l'éducation, il est intéressant de souligner que la communauté anglo-québécoise possède trois universités pour une population de moins d'un million de personnes. Celles-ci reçoivent 23,6% des subventions du Québec et 36,7% des subventions fédérales (malgré le fait que les Anglo-Québécois ne représentent que 8,8% de la population de la province). Comme discrimination, on a vu mieux.
«Il y a un parallèle entre ce qui est arrivé en Europe et ce qui se produit ici. (Les nazis) ont d'abord fondé un parti, puis ils ont infiltré les syndicats et les institutions avant de se trouver un leader charismatique. Ce qui se produit aujourd'hui (au Québec) correspond à ce qui s'est produit en Allemagne avant la guerre. Maintenant, on est en train de passer à la purification ethnique. (…) Hitler, lui, était fou; je ne pense pas que Bouchard le soit.»
--Anna Terrena, députée libérale fédérale de Vancouver, propos cités dans le Vancouver Sun, juillet 1996. Il semblerait que le fait de tenir des propos calomnieux et racistes à l'égard du Québec et de son chef démocratiquement élu ne cause pas de problème majeur puisque le premier ministre du Canada, Jean Chrétien, n'a pas demandé à Terrena de retirer ses propos ou même de s'excuser. Il lui a simplement demandé de ne pas récidiver.
«Si les membres du PQ s'indignent quand je décris leur parti comme néofasciste, laissez-les faire. (…) la culture francophone en elle-même n'est pas aussi intrinsèquement démocratique que les cultures basées sur les traditions britanniques. Si les séparatistes obtiennent leur État un jour, ce sera un pays désagréable, bureaucratique, étatiste et intolérant.»
--Barbara Amiel, citée dans le magazine MacLeans's, juin 1997. Madame Amiel est l'épouse de Conrad Black, fondateur du Financial Post. Tout discours raciste diabolise le groupe-cible tout en se donnant à soi-même toutes les vertus.
«Le Québec veut un état ethnique du XIXe siècle, mais les chefs et les intellectuels essaient de l'emballer dans des notions de société pluraliste de la fin du XXe siècle.»
--Vivian Rakoff, psychiatre de Toronto qui dressa un portrait psychologique dévastateur du premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, sans jamais l'avoir rencontré (on découvrit par la suite que le gouvernement fédéral y avait contribué financièrement). Comme le démontre la citation ci-dessus, le bon docteur va même jusqu'à psychanalyser le Québec dans son ensemble! Propos rapportés dans le Globe and Mail du 25 août 1997, page A1.
«Ce pays avait une politique non-discriminatoire d'immigration. Il est clair que le Québec tente de bâtir une enclave ethnocentrique francophone grâce à une méthode de sélection attentive des immigrants. (…) Le gouvernement fédéral est assis, silencieusement, et regarde les séparatistes enfoncer leur projet dans la gorge des Canadiens en imposant des politiques d'immigration racistes et discriminatoires.»
--Gerry Weiner, ancien ministre conservateur de l'Immigration, propos tenus lors d'une conférence de presse à Ottawa, le 28 août 1997. Notons que la politique d'immigration du Québec avait été adoptée par le gouvernement du Parti libéral alors que Weiner était ministre et qu'il ne l'a jamais dénoncée avant l'élection du Parti québécois.
«Les Québécois possèdent d'immenses richesses mais, génération après génération, ils n'ont pas su exploiter pleinement ces dons à cause de l'aspect rétrograde de leur personnalité culturelle collective.»
--Pierre Elliott Trudeau, ancien premier ministre canadien, février 1998.
«Les intellectuels québécois de gauche ont toujours aimé flirter avec des causes qui se prétendent libératrices des opresseurs colonialistes - incluant leur propre Front de Libération du Québec local, lequel leur donna un frisson de plaisir en semant la terreur au Canada à la fin des années 60 avec des bombes dans les boîtes aux lettres, des kidnappings et un meurtre. Leur sympathie culturelle et historique pour les pays arabes francophones à laquelle s'ajoute leur anti-américanisme et une grosse tendance antisémite qui a influencé le discours intellectuel du Québec à travers toute son histoire, sont tous des facteurs qui font du Québec la plus anti-Israël des provinces et donc la plus enclin à sympatiser avec des terroristes islamistes.»
--Barbara Kay, chroniqueuse au journal National Post, propos publiés dans sa chronique du 9 août 2006, intitulée "The Rise of Quebecistan". Kay fait ici référence à une manifestation pacifique qui eut lieu à Montréal le 6 août et à laquelle avait pris part plusieurs politiciens québécois tels que Gille Duceppe (chef du Bloc Québécois) et André Boisclair (chef du Parti Québécois). La manifestation demandait que la paix soit rétablie au Liban, après plusieurs semaines sanglantes de bombardements israéliens. Madame Kay refuse de s'excuser pour ses propos diffamatoires et récidive dans sa chronique du 17 août. Suite à cette seconde chronique, la Ligue Québécoise contre la francophobie canadienne porte plainte pour que Mme Kay et le journal écopent de sanctions criminelles. La Ligue invoque les articles 318 et 319 du code criminel canadien en signalant que ses textes constituent de la propagande haineuse contre les Québécois et qu'ils ternissent la réputation de tout un peuple qui ne le mérite pas.
À mon avis, c'est Biz, membre du célèbre groupe Loco Locass, qui offre la meilleure réplique avec sa lettre ouverte publiée dans Le Devoir du 15 août. Cliquez ici pour lire les lettres de Biz et de Kay dans leur intégrité.
«Les Montréalais se demandent: Pourquoi nous? (...) Les gens de l’extérieur du Québec ne réalisent pas à quel point, depuis des décennies, les batailles linguistiques ont marqué cette ville autrefois cosmopolite. Cela n’a pas seulement affecté les vieilles familles anglophones, cela affecte les immigrants aussi. Il est vrai que les trois fusillades ont été le fait d’individus mentalement dérangés. Mais il est tout aussi vrai que dans les trois incidents, l’auteur de la fusillade n’était pas un pure laine, l’argot désignant un pur francophone. Ailleurs, il serait répugnant de parler de pureté de la race. Pas au Québec. (...) Certes, Lépine haïssait les femmes, Fabrikant haïssait ses collègues de l’école d’ingénieurs, et Gill haïssait tout le monde. Mais tous les trois avaient été marginalisés par une société qui valorise davantage les pure laine.»
--Jane Wong, chroniqueuse au prestigieux journal torontois The Globe and Mail et la fille du fondateur d'un restaurant chinois bien connu, Bill Wong. Propos publiés dans le Globe and Mail du 16 septembre 2006. Wong fait ici référence à la tragique fusillade survenue quelques jours plus tôt au collège Dawson de Montréal, ainsi qu'à deux autres fusillades survenues à l'école polytechnique et à l'université Concordia, il y a quelques années. Comme l'écrit si bien le journaliste Michel Vastel: "Cette interprétation des événements est odieuse. Elle suggère que les tueurs avaient «une raison» de tirer sur des innocents. C'est le Québec, société distincte, avec ses politiques linguistiques, qui a attisé la haine de ces gens-là. Si le tueur du collège Dawson, d'origine ethnique, haïssait tellement les pure laine, pourquoi s'en est-il pris à une institution dont la majorité des élèves sont eux-mêmes d'origine ethnique?"
Permettez-moi de terminer avec cet article choquant mais très révélateur:
La Presse, mardi le 6 octobre 1992, page B4.
VALENTIN CONTRE LE VILAIN SÉPARATISTE
Les jeunes lecteurs du Toronto Sun ont eu une bande dessinée assez inusitée à se mettre sous la dent dimanche: les aventures du héros Valentin contre un séparatiste du Bloc québécois, qu'il n'arrive pas à convaincre d'utiliser la persuasion plutôt que la violence dans son action politique.
L'action se déroule, lit-on dans les bulles, durant une violente confrontation à l'Université Laval, à Québec. Le méchant, qui porte un pull imprimé d'un gros «Bloc québécois», est en train de casser la figure à un adversaire en disant: «Non! Le Bloc québécois dit non, non, non! On se battra encore jusqu'à la fin. Non!»
Le héros est une sorte de croisement entre Superman et Batman, avec des coeurs cousus sur la poitrine. Valentin déborde de modération, de gentillesse, d'ouverture. Le vilain séparatiste, lui, ne veut rien entendre, parle de sang, de violence, et cogne à tout va. Cette bande dessinée a été publiée hier dans The Young Sun, la section réservée aux jeunes. Il a été impossible, hier, d'obtenir les commentaires du quotidien torontois.
J'essais comme je peux d'expliquer le pourquoi de nos revendications dans cet océan d'anglos.
Un travail sans relâche où parfois j'ai l'impression que nous pelletons l'eau de la mer en avant de nous.
Il semblerait que la moitié du monde ne soit là que pour écoeurer l'autre moitié.
Dijon a écrit :Une dette c'est irremboursable, de plus sur notre dette de 250 milliards, 210 milliards sont des accumulation des intérêts, alors à qui doit on cette argent, et pourquoi doit on le payé?
Vouloir payé la dette, est comme nous dire, coupons dans nos service publiques pour payé quelques chose d'irremboursable, non mais tu veux que le québec deviennent un pays esclaves????
Les intérêts sont si monstrueux parce que lorsque la dette était encore remboursable, des carrés rouges en ton genre ont voulu plus, plus et plus. Gel des frais de scolarité... oups, "GRATUITÉ" scolaire, garderies publiques, télé-publique, subventions aux entreprises, régimes de pension déficitaires renfloués, etc.
"As long as we live beyond our means, our children are destined to live beneath their means. And we have lived beyond our means because we are financing a foreign policy that is so extravagant and beyond what we can control, as well as the spending here at home. And we're depending on the creation of money out of thin air, which is nothing more than debasement of the currency. It's counterfeit. And it is a natural, predictable consequence that you're going to have people benefit from it and other people suffer.". - Ron Paul
Government is good for one thing: It knows how to break your legs, hand you a crutch, and say "See, if it weren't for the Government, you wouldn't be able to walk.'