REPORTAGES et DOCUMENTAIRES

[saintluc]

Le bouddhisme en crise


Officiellement, la Thaïlande compte 250 000 bouddhistes, mais la réalité est tout autre : il n’y aurait plus que 70 000 bonzes dans le royaume, soit un par village. Les préceptes de Bouddha sont en déclin, sur fond de consumérisme et de mondialisation.
FOCUS
Par Cyril PAYEN

http://www.france24.com/fr/20130123-le- ... gion-bonze

[Léo]

Le Dieu

[saintluc]

Quel avenir pour l’amitié franco-allemande ?


Dans cette édition du "Face à Face", Roselyne Febvre, David Revault D'Allonnes (Le Monde) et Bruno Jeudy (Le JDD) évoquent les contours de l'amitié franco-allemande à l'heure du cinquantenaire du Traité de l’Élysée et dans un contexte bien particulier qui est celui de l'intervention française au Mali.

http://www.france24.com/fr/20130121-tra ... europeenne

[saintluc]

La tête sous l'eau:
Les bains-douches de Paris
http://webdoc.france24.com/bains-douches/index.html

[Polémix]

Le Dieu

Tellement insensé ! (je suppose que c'est ce que Léo voulait dire, lui aussi)

Le capital est un outil fantastique pour gérer la création et la circulations de biens et de services. Mais ça ne peut pas être un principe social alors en faire un "isme" est aller trop loin. Comme si on faisait du "technologisme" ou du "facebookisme" ..

[saintluc]

Les jeunes en 2013 : une génération perdue ?


Réunis à l’occasion du 43ème Forum économique mondial, les grands décideurs économiques et politiques de ce monde ont beaucoup parlé du chômage, notamment celui des jeunes. Alors que presque un jeune sur quatre est au chômage en Europe, un sur deux en Espagne et en Grèce, quelles peuvent être les solutions ? Cette génération de crise est-elle une génération perdue ?
LA SEMAINE DE L'ECO
Par Stéphanie ANTOINE
Pour en parler, Stéphanie Antoine reçoit :
• Sarah Noble, Directrice des relations extérieures de l’ONG Interpeace
• Maurice Lévy, PDG de Publicis Groupe et membre du Conseil de fondation du Forum économique mondial
• Tristan Lecomte, Fondateur de Pur Project
• Arsène Yabre, Chargé des relations extérieures et de la mobilisation des ressources du SPONG (Secrétariat Permanent des ONG du Burkina Faso)
http://www.france24.com/fr/20130125-201 ... maine-leco

[saintluc]

France : l'adoption pour tous ?


Alors que le gouvernement prépare un projet de loi sur le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels, nos reporters dressent un état des lieux de la situation aujourd’hui.
REPORTERS
Par Eve IRVINE / Pauline GODART
En France, le débat fait rage depuis la rentrée : pour ou contre le mariage et l’adoption pour les homosexuels. De nombreuses manifestations ont eu lieu ces derniers temps, à chacun ses arguments.

Les "anti" invoquent la tradition, la religion ou encore le refus d’aller contre la nature : un enfant né de la rencontre d’un père et une mère, il faut donc qu’il soit élevé par un père et une mère. Pour les "pro", cela fait trop longtemps que ces familles homoparentales existent dans les faits, tout comme le vide juridique sur la question. Ils réclament l’égalité et les mêmes droits que les couples hétérosexuels.

À travers notre reportage, nous avons voulu dresser un état des lieux, à la veille de ce changement majeur pour la société. Donner la parole aux principaux concernés, aller à la rencontre de ces familles homoparentales qui font partie de la société, mais qui ne sont pas ou peu protégées par la loi.

Il n’était pas facile de trouver des personnes qui acceptent de témoigner devant la caméra. Beaucoup d’entre elles en avaient assez d’être sollicitées par les journalistes… Une association nous a été d’une grande aide, l’APGL, l'association des parents et futurs parents gays et lesbiens. C’est grâce à elle que nous avons pu rencontrer la plupart des familles homoparentales que vous allez découvrir dans ce reportage.

Vous pourrez également découvrir des témoignages d’enfants élevés par des parents homosexuels, qui sont devenus adultes aujourd’hui. Pour eux, il est important de témoigner et de se faire entendre… Simplement, nous disent-ils, pour "montrer qu’ils vont bien".


http://www.france24.com/fr/20130125-rep ... s-france24

[saintluc]

La Turquie, base arrière pour les dissidents iraniens


Le nombre de réfugiés politiques iraniens qui se réfugient en Turquie ne cesse d’augmenter. La majorité d’entre eux transitent par la Turquie, en attendant un visa pour l’Europe ou les États-Unis. Notre correspondante s’est rendue dans la ville d’Eskisehir en Anatolie, à la rencontre d’activistes iraniens.
FOCUS
Par Fatma KIZILBOGA

http://www.france24.com/fr/20130128-201 ... on-turquie

[saintluc]

Prédictions animales


Depuis longtemps au Japon, des chercheurs analysent le comportement des animaux pour tenter de prévoir les séismes. En France, ce sont des têtards fluorescents qui sont désormais étudiés à la loupe pour détecter la pollution de l'eau. En matière d'environnement, les animaux ont-ils réponse à tout ?
Par Emilie COCHAUD / Juliette LACHARNAY / Mairead DUNDAS / Marina BERTSCH
A l'Institut de technologie de Kanagawa, au Japon, les chats comme les souris sont équipés de capteurs. Le professeur Naoyuki Yada est convaincu que les animaux sont de précieux indicateurs pour prédire les tremblements de terre.

Un laboratoire français, a choisi, lui, de parier sur la sensibilité des têtards pour signaler la présence de résidus médicamenteux dans l'eau. En cas de pollution, ces petits batraciens donnent le signal d'alarme en devenant... fluorescents !

Autre alliée de l'environnement : la vache. Bête sacrée en Inde, elle y est aussi un animal utile. Les fermiers du Kerala utilisent aujourd'hui son urine comme engrais 100% naturel, exempt de tout pesticide.

http://www.france24.com/fr/20130126-wb- ... s-animales

[saintluc]

Les "people" espagnols font entrer le mariage gay dans les mœurs


Ils sont présentateur vedette de télévision, patron de chaîne d’hôtels en vogue ou membre du PP, le parti conservateur espagnol. Ces "people" homosexuels qui se sont mariés ont contribué à faire entrer le mariage gay dans les mœurs. Aujourd’hui la plupart des Espagnols ne comprennent pas que cela soit impossible en France.
FOCUS
Par Clément PERROUAULT


http://www.france24.com/fr/20130129-mar ... epuis-2005

[saintluc]

Brésil : la tragédie de la discothèque Kiss à Santa Maria


L'incendie de la discothèque Kiss à Santa Maria, qui a tué 235 personnes, inquiète, à moins de 500 jours du coup d'envoi de la Coupe du Monde de football. Nous verrons ensuite comment Barack Obama relance sa réforme de l'immigration. Enfin, nous irons à Damascus, une des rares villes des aux Etats-Unis où l’alcool est encore prohibé.
UNE SEMAINE AUX AMÉRIQUES

http://www.france24.com/fr/20130130-201 ... d-damascus

[saintluc]

L'Autorité palestinienne imprime ses premiers timbres


L'Autorité palestinienne multiplie les efforts pour doter la Palestine des symboles d'un Etat digne de ce nom. Les tout premiers timbres à l'effigie de la Palestine ont ainsi été émis cette semaine.
FOCUS
Par Gallagher FENWICK / Nidal Rafah
http://www.france24.com/fr/20130201-ter ... es-conflit

[saintluc]

RDC : Denis Mukwege, le docteur qui "répare" les femmes mutilées


En République démocratique du Congo, le viol est une arme de guerre. En une douzaine d'années, le gynécologue Mukwege a opéré plus de 30 000 femmes violées et mutilées. Menacé, ce médecin, considéré comme un héros, continue son combat. Nos reporters Marc Perelman et Johan Bodin l’ont rencontré.
REPORTERS
Par Johan BODIN / Marc PERELMAN
Inlassablement, Denis Mukwege, gynécologue congolais, soigne, opère, répare. Des femmes violées et souvent aussi mutilées. Avec ses équipes, dans son hôpital de Bukavu, au Sud-Kivu, il a déjà soigné 40 000 femmes. Un travail à la mesure de l’horreur à laquelle il est confronté au quotidien. Ces quinze dernières années, on estime qu’un demi million de femmes ont été violées en République démocratique du Congo (RDC).


Denis Mukwege sait aussi, bien malgré lui, identifier cliniquement les auteurs de ces violences. Les bandes armées, miliciens ou soldats réguliers, qui ravagent cette région de l’est du Congo et qui rivalisent de cruauté. Des bourreaux qui laissent, dans la chair et le ventre des femmes suppliciées, la signature de leur torture. À coup de machettes, de pieux ou d’armes à feu, le viol est une arme de guerre.

Le docteur porte en lui un souvenir terrible. En octobre 1996, il est médecin-chef a l'hôpital de Lemera, au Sud-Kivu. Des bandes armées venues du Rwanda voisin sèment la terreur dans la région. Le gynécologue part accompagner un expatrié occidental qui doit être évacué pour des raisons sanitaires. Leur convoi échappe de peu à une attaque. Le lendemain, son hôpital est pris d'assaut, les patients et le personnel massacrés. Ces victimes hantent encore Mukwege.

Barbarie

Et puis, au fil des ans, le chirurgien a aussi vu revenir dans son hôpital des enfants des viols. Ici, l’horreur se répète de génération en génération. Ces fillettes qu’il avait vu naître ont à leur tour été violées, à l’âge de 3 ou 5 ans. Une barbarie. Denis Mukwege s’est emparé de sa colère sourde de chirurgien pour la porter par delà les frontières de son pays. Porter son indignation aux grands de ce monde : ONU, Parlement européen, France. Le docteur a saisi toutes les tribunes qui lui on été offertes.

Le docteur refuse la banalisation, malgré le manque de moyens d’un État congolais souvent aux abonnés absents. Car en dépit des campagnes pour lutter contre les violences sexuelles, les auteurs de ces crimes peuvent toujours compter sur une large impunité. Aujourd’hui, ce ne sont plus seulement les hommes en uniformes qui commettent des viols. L’esprit de guerre a contaminé aussi les civils. Les quelques avocats qui défendent la poignée de victimes qui osent porter plainte sont tous rémunérés par des ONG étrangères. Les magistrats militaires de Bukavu, dans leur bâtiment dont le toit s’effondre, doivent compter sur les véhicules de l’ONU ou de l’aide internationale pour mener leurs enquêtes.

Le 25 octobre dernier, le docteur Mukwege a échappé à une tentative d’assassinat à son domicile. Était-ce pour le faire taire ? Après trois mois d’exil en Belgique, il a décidé de rentrer à Bukavu, dans son hôpital, auprès de ces femmes qui s’étaient côtisées pour lui payer son billet retour. Nous l’avons suivi.

Depuis sa table d’opération jusqu’à la crèche des enfants en passant par les cachots de la police et les maisons d’accueil, nous avons été confrontés à des récits parfois durs à supporter. Mais indispensables à entendre.

Voir le reportage:
http://www.france24.com/fr/20130201-rep ... u-france24

[saintluc]

Une semaine dans le monde - 1er février (partie 1)


Au programme cette semaine : la guerre au Mali, où en sont les troupes françaises et de la MISMA ? La révolution en Égypte n’en finit pas et la rue met la pression sur le président Mohamed Morsi. En France le débat sur le mariage pour tous a maintenant lieu à l’Assemblée Nationale.
UNE SEMAINE DANS LE MONDE
Nos invités :

Vincent HUGEUX, grand reporter, L'Express
Martine LAROCHE-JOUBERT, grand reporter à France 2
Zyad LIMAM, directeur d'Afrique Magazine
François d'ORCIVAL, éditorialiste à Valeurs Actuelles


Émission préparée par Paul Maakad, Anthony Saint-Léger et Maud Roubeaud.

http://www.france24.com/fr/20130201-une ... ariage-gay

2è partie
http://www.france24.com/fr/20130201-une ... ariage-gay

[saintluc]

La sécurité des femmes, entre protection accrue et misogynie


Depuis le viol collectif suivi de la mort d'une étudiante à New Delhi, les Indiennes sont de plus en plus pointées du doigt. Plusieurs politiciens hauts placés ont déclaré publiquement que les femmes ne devaient plus sortir dans les rues à la nuit tombée.
FOCUS
Par Constantin SIMON
À Bombay, les femmes qui se promenent seules le soir ainsi que les couples non mariés peuvent écoper d'une amende de 1 200 roupies (18 euros). Une double peine pour les Indiennes modernes, qui dénoncent la misogynie de ces mesures.

http://www.france24.com/fr/20130204-ind ... lhi-bombay