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Publié : mer. juil. 28, 2010 9:33 am
par chic_marmonneur
J'ai bien aimé Suzie Q.

J'avais le long jeu (33 tours) de Creedence Clearwater Revival que j'ai sans doute usé jusqu'à voir à travers, mais en écoutant les autres je préfère la version des Rolling Stones.

Merci pour le souvenir, saint-luc62, c'est apprécié.

Publié : mer. juil. 28, 2010 10:31 am
par saintluc
Merci Chic_Marmoneur, je fouille un peu au fond de ma malle... :))

Publié : mer. juil. 28, 2010 11:36 am
par saintluc
Quelques vieux trucs ;)
http://www.youtube.com/watch?v=3-q1H9N_u10 Flash & The Pan - Down Among The Dead Men (1978)
http://www.youtube.com/watch?v=t40INnb6DnY Frijid Pink - House of the Rising Sun
http://www.youtube.com/watch?v=A9o8SUSy_tY American Woman the guess who
http://www.youtube.com/watch?v=wynYMJwEPH8 George Harrison My Sweet Lord
http://www.youtube.com/watch?v=HVs4jDL-JBo Journey - Faithfully
http://www.youtube.com/watch?v=RGbVoDVWZsc Journey - Wheel In The Sky
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Publié : mer. juil. 28, 2010 11:14 pm
par saintluc
Bonjour à toustes :))



1666
29 juillet
Construction du canal du Midi
La première pierre du canal du Midi est posée. Les travaux, commencés par l'ingénieur Paul-Pierre Riquet, s'achèveront en 1681. Cette voie d'eau navigable mesure 241 kilomètres et relie la Garonne à la Méditerranée, de Toulouse à l'étang de Thau. Le site sera classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco.
Voir aussi : Construction - Histoire des Grands travaux



1830
29 juillet
Les "Trois Glorieuses"
Après trois jours de combat – les trois glorieuses, les défenseurs du roi se retranchent à Saint-Cloud autour de Charles X. Menée essentiellement par des Républicains et soutenue par la bourgeoisie dépouillée de son droit de vote par les ordonnances scélérates, la Révolution de Juillet met fin à la Restauration. Le roi abdiquera le 3 août et sera banni. Mais dans les jours qui vont suivre, la bataille se déplace du côté des élites qui cherchent à décider du sort de la France. Les Républicains ne parviendront pas à s’imposer et c’est finalement le Duc d’Orléans qui obtiendra le pouvoir dans une solution de compromis : la Monarchie de Juillet. Pour beaucoup, cette révolution n’est qu’une demie victoire et annonce le retour d’une politique réactionnaire et de nouvelles émeutes, notamment en 1832. C’est pourquoi l’on parle parfois de « Révolution confisquée ».
Voir aussi : Histoire de Paris - Dossier histoire de la Restauration - Sacre - Charles X - Louis-Philippe - Histoire des Bourbons-Orléans



1840
29 juillet
La première régate en France
Fondée en 1838, la Société des régates du Havre organise la première régate française de bateaux à voile. Créée par un petit groupe de passionnés, elle est le premier club nautique du pays. La course, quant à elle, se déroule selon un classement des départs par catégorie, tenant compte des caractéristiques et des pénalités de chaque bateau. Après avoir contribué aux jeux Olympiques de 1900, la société changera de statut à la fin des années 1910 pour devenir une association répondant à la loi de 1901 (non lucrative).
Voir aussi : Le Havre - Histoire de la Voile



1881
29 juillet
Loi sur la liberté de la presse
La IIIème République vote la loi sur la liberté de la presse, dont l'article Ier affirme : "l'imprimerie et la librairie sont libres". L'article 11 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 stipulait que "tout citoyen peut parler, écrire, imprimer librement".
Voir aussi : Loi - Histoire de la Liberté de la presse - Histoire de la Presse



1907
29 juillet
Premier camp scout
Le mouvement scout ("éclaireur" en anglais) est créé sur l'île de Brownsea, dans le sud de l'Angleterre. Le colonel Robert Baden-Powell, héros de la guerre des Boers, entraîne une vingtaine d'adolescents à des jeux de piste. En 1920, le père Sevin créera les Scouts de France. Aujourd'hui, l'Organisation mondiale du mouvement scout (OMMS) compte environ 25 millions de membres.
Voir aussi : Histoire des Loisirs



1939
29 juillet
Création de la Radiodiffusion nationale
Le système administratif de la radiodiffusion publique se voit modifier par un décret. Jusqu’alors, seul le ministre des PTT en assurait la gestion. Devenue la Radiodiffusion nationale, l’administration radiophonique dépend désormais uniquement du Président du Conseil.
Voir aussi : PTT - Histoire de la Radio



1958
29 juillet
Création de la NASA
Le président Eisenhower signe la loi instituant la National Aeronautics and Space Administration (NASA) afin de gagner la "course de l'espace" engagée contre l'URSS. La NASA coordonne les travaux de recherche et d'exploration aéronautiques et spatiales. Cette institution est destinée à rattraper le retard sur l’URSS : l’envoie de Spoutnik-1 a en effet provoqué un véritable choc aux Etats-Unis. Le programme lunaire annoncé par le président Kennedy en 1961 provoquera le véritable essor de la NASA. Le pari d'envoyer un homme sur la Lune sera tenu en 1969.
Voir aussi : Dossier histoire de la conquête spatiale dans la guerre froide - Histoire de la NASA - Eisenhower - Histoire de l'Espace



1981
29 juillet
Mariage du prince Charles et de Lady Diana
En présence de 2 500 invités réunis à la cathédrale Saint-Paul de Londres, l'héritier du trône de Grande-Bretagne, le prince Charles, 32 ans, épouse Lady Diana Spencer, 19 ans. L'événement est télédiffusé dans le monde entier, et l'on estime à 600 millions le nombre de téléspectateurs qui ont suivi la cérémonie. Ils auront deux fils et divorceront en 1996.
Voir aussi : Dossier histoire Mariage - Lady Di - Diana - Prince Charles - Histoire du Mariage



1987
29 juillet
Mitterrand et Thatcher donnent le départ du tunnel sous la Manche
Après avoir choisi le projet de tunnel ferroviaire et mis en place tous les moyens nécessaires à sa réalisation, François Mitterrand et Margaret Thatcher signent le traité franco-britannique autorisant sa construction. C’est en fait le point de départ des travaux qui commencent dans la foulée.
Voir aussi : Dossier histoire du Tunnel sous la Manche - Tunnel - Histoire des Grands travaux



2007
29 juillet
Mort de Michel Serrault
Michel Serrault s’éteint à Equemauville, en Normandie, des suites d’un cancer. L’acteur s’était révélé au grand public dans la « Cage aux folles » avant de devenir une des grandes figures du cinéma français. Son dernier rôle était celui d’un évêque dans le film "Antonio Vivaldi, un prince à Venise" de Jean-Louis Guillermou.
Voir aussi : Décès - Histoire du Cinéma


http://www.linternaute.com/histoire/jou ... ndex.shtml

Publié : mer. juil. 28, 2010 11:36 pm
par saintluc
La loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 définit les libertés et responsabilités de la presse française, imposant un cadre légal à toute publication, ainsi qu'à l'affichage public, au colportage et à la vente sur la voie publique.

Elle est souvent considérée comme le texte juridique fondateur de la liberté de la presse et de la liberté d'expression en France, inspirée par l'article 11 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789. Elle est, dans le même temps, le texte qui en limite l'exercice et incrimine certains comportements spécifiques à la presse (appelés « délits de presse »).
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Avec la loi du 16 juillet 1871, prise en réaction à la Commune de Paris, le dépôt d'un fort cautionnement comme préalable obligatoire à la parution de journaux fut rétabli. Avec l'arrivée des républicains au pouvoir en 1876, se sont engagées d'âpres négociations avec la droite, conservatrice d'un certain "ordre moral", et la presse d'opinion.

C'est pourtant avec un large soutien que la loi du 29 juillet 1881 est votée par le Parlement.

Le régime de l'autorisation préalable ainsi que le cautionnement sont abolis, on passe d'un système préventif à un système répressif. Une répression qui ne se manifeste qu'à travers quelque délit de presse tel que l'offense à la personne du président de la République, l'injure ou encore la diffamation. Grâce à cette loi, la presse dispose du régime le plus libéral que la France ait jamais connu. En effet,cette loi engendre la suppression de l'autorisation préalable, du cautionnement et du timbre comme le déclare l'article 5: " tout journal ou écrit périodique peut être publié , sans autorisation au préalable, et sans dépôt de cautionnement...", ce qui réduit les lourdes charges financières dont étaient victimes les journaux et favorise l'apparition de nouvelles publications.
La loi admet le principe d’un contrôle répressif à postériori des publications, par l’autorité judiciaire chargée de sanctionner et de réparer les dommages causés, ce qui impose certaines formalités préalables : déclarations préalables, inscriptions et enregistrements, mentions obligatoires et dépôts obligatoires, qui constitue un moyen d’information préalable sur les publications.

Le respect de ces formalités s’impose aux éditeurs d’écrit, périodiques ou non. L’article 5 de la loi de 1881 énonce : "tout journal ou écrit périodique peut être publié, sans autorisation préalable ni dépôt de cautionnement, après la déclaration prescrite à l’article 7". Ainsi, la déclaration préalable de l’article 7 prévoit : " Avant la publication de tout journal ou écrit périodique, il sera fait au parquet du procureur de la République, une déclaration contenant :

le titre du journal ou écrit périodique et son mode de publication,
le nom et la demeure du directeur de la publication et, dans le cas prévu au troisième alinéa de l'article 6,du codirecteur de la publication,
l'indication de l'imprimerie où il doit être imprimé.
Toute mutation dans les conditions ci-dessus énumérées sera déclarée dans les cinq jours qui suivront."

Les déclarations, sur papier timbré, sont signées du directeur de la publication, contre récépissé.( article 8)

L’article 9 prévoit les sanctions pénales en cas de non-respect des articles précédant. Le périodique ne pourra continuer sa publication qu’après avoir accompli ces formalités.

La loi du 1er aout 1986 ajoute l’obligation de "l’ours" : encart dans lequel figure les mentions obligatoire sur l’identité du directeur de la publication

Article 5 : Dans toute publication de presse, les informations suivantes doivent être portées, dans chaque numéro, à la connaissance des lecteurs : 1° Si l'entreprise éditrice n'est pas dotée de la personnalité morale, les nom et prénom du propriétaire ou du principal copropriétaire ; 2° Si l'entreprise éditrice est une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, son siège social, sa forme et le nom de son représentant légal et de ses trois principaux associés ; 3° Le nom du directeur de la publication et celui du responsable de la rédaction.
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La loi accorde des libertés mais définit aussi ses limites pour les garantir. Il existe des délits de presse (provocation aux crimes ou aux délits : meurtre, pillage, incendie, etc.) qui instaurent des responsabilités individuelles et collectives à la fois (depuis le distributeur jusqu'à l’éditeur de publication).

Les délits contre la chose publique : offense au président de la République, publication de fausses nouvelles.
Les délits contre les personnes : atteinte à l’honneur ou considération d’un citoyen,…
Pour ces délits, la loi accorde le droit de rectification (qui deviendra le droit de réponse) qui protège tout citoyen mis en cause dans une publication et l’autorise à répondre.

La publication d’acte d’accusation et de procédure criminelle est interdite, ainsi que le compte rendu des délibérations des juges. Les responsables, s’il y a un délit, sont les gérants et les éditeurs, sinon les auteurs et les imprimeurs, sinon les vendeurs et les distributeurs. Les auteurs peuvent être poursuivis comme complices. Les crimes et les délits sont sanctionnés par la Cour d’assises, les tribunaux correctionnels ou par la simple police, tout dépend du délit.
La diffamation est définie à l'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 lequel dispose : "constitue une diffamation toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé". Il faut retenir que le fait imputé peut être réel ou non. Il existe deux moyens de défense lorsque la diffamation est établie : c'est d'une part l'exceptio veritatis et d'autre part la bonne foi.

Selon l'avocat Basile Ader, spécialiste du droit de la presse, c'est parce qu’elle est de nature pénale que la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 est protectrice de la liberté de la presse. Elle offre en effet les garanties de la procédure pénale : prévisibilité et interprétation stricte de l’infraction de presse, oralité des débats, audition des témoins, primauté des droits de la défense, qui permet à celle-ci de faire valoir sa bonne foi.
Exceptio veritatis
En latin : «exception de la vérité».

C'est le fait de rapporter la réalité des faits qui ont été reconnus comme diffamatoires. L'exceptio veritatis ne peut pas toujours être rapportée. C'est notamment le cas en matière d'infraction amnistiée, les infractions prescrites ou les faits relatifs à la vie privée. La jurisprudence est très exigeante sur la preuve de lexceptio veritatis qui doit être certaine, étayée et articulée aux faits. 1% des relaxes seulement est fondé sur lexceptio veritatis.
La mauvaise foi est présumée. La bonne foi se démontre par :

un but légitime
la sincérité des propos
la prudence et l'objectivité
La diffamation raciste (en «raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée») constitue depuis 1881 un délit pénal passible « d'un emprisonnement de un mois à un an et d'une amende de 1.000 F à 1.000.000 de francs » . Depuis la réforme du Code pénal de 1994, elle est passible d'un an d'emprisonnement ou d'une amende .

La loi de 1881 a été modifiée par la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme , qui punit entre autres l'injure raciste, et introduit à l'art. 24 de la loi de 1881 la disposition suivante:

« Ceux qui, par l'un des moyens énoncés à l'article 23, auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d'un emprisonnement d'un mois à un an et d'une amende de 2.000 F à 300.000 F ou de l'une de ces deux peines seulement. »

La peine prévue est aujourd'hui «d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement» , la peine minimale d'un an ayant été introduite à l'occasion de la réforme du Code pénal en 1992
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Dans sa rédaction résultant d'un décret-loi du 6 mai 1939, l'article 14 de la loi, jusqu'à l'abrogation du décret-loi par le décret n°2004-1044 du 4 octobre 2004, permettait, sous peine de prison et d'amende, l'interdiction par le ministre de l'intérieur de la circulation, de la distribution et de la mise en vente en France des journaux ou écrits rédigés en langue étrangère ainsi que des journaux et écrits de provenance étrangère rédigés en langue française, imprimés à l'étranger ou en France. Dans un avis du 10 janvier 2008, le Conseil d'État a estimé « qu’en abrogeant le décret du 6 mai 1939, le Premier ministre a mis fin à l’application des dispositions issues de ce texte mais n’a pas remis en vigueur les dispositions de l’article 14 de la loi du 29 juillet 1881 dans sa rédaction initiale. »

Le médiateur de la République avait demandé l'abrogation de ces dispositions
CE, 2 novembre 1973, Librairie Maspero, N° 82590: le juge exerce un contrôle de l'erreur manifeste d'appréciation sur les arrêtés d'interdiction.
CE, 9 juillet 1997, N° 151064: le pouvoir exercé par le ministre étant restreint par le respect dû à la liberté de la presse, et son exercice étant contrôlé par le juge, il ne méconnaît pas les articles 10 et 14 de la Convention européenne des droits de l'homme.
CEDH, 17 juillet 2001, Association Ekin c. France, requête n° 39288/98: violation de l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme en raison d'une interdiction prononcée sur le fondement de cet article; plus généralement, la Cour est d'avis que « si la situation très particulière régnant en 1939, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, pouvait justifier un contrôle renforcé des publications étrangères, il apparaît difficilement soutenable qu’un tel régime discriminatoire à l’encontre de ce type de publications soit toujours en vigueur. ».
Cour administrative d'appel de Paris, 22 janvier 2002, Reynouard et Fondation européenne pour le libre examen historique, N°98PA04225 : annulation d'un arrêté d'interdiction, les dispositions de l'article 14 n'étant plus nécessaires au sens de l'article 10 de la Convention européenne des droits de l'homme.
CE, 7 février 2003, n° 243634, GISTI: le Conseil d'État annule le refus implicite du Premier ministre d'abroger le décret-loi du 6 mai 1939 et enjoint au Premier ministre de l'abroger[
CE, 12 janvier 2005, n°261736, GISTI: non-lieu à statuer sur la demande du GISTI de prononcer une astreinte pour assurer l'exécution de l'arrêt du 7 février 2003, le décret de 2004 ayant abrogé le décret-loi de 1939, rendant la requête sans objet.[/url]

Publié : jeu. juil. 29, 2010 12:54 am
par saintluc
Un p'tit coin chez nous
Dentelles de Montmirail (Vaucluse)
Culminant à 743 mètres d’altitude, cette épine dorsale calcaire offre en son sommet une vue imprenable sur les anciennes possessions du Comtat de Venaisson, identifiables grâce à la présence d’une table d’orientation.

Aujourd’hui, ses pentes douces sont essentiellement couvertes de vignobles dont certains très célèbres (Beaumes-de-Venise, Gigondas…) n’attendent plus qu’une visite.

Issues du choc titanesque, il y a des lustres, entre le colosse pyrénéen et son jeune rival alpin, les dentelles crénelées de Montmirail offrent de nombreux sentiers de randonnées, ainsi que des falaises abruptes pouvant parfois atteindre 100 mètres qui font la joie des amateurs expérimentés de varappe.
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 2:07 am
par saintluc
http://www.youtube.com/watch?v=CXKQlCQKtIg Ry Cooder - Down In Mississippi
http://www.youtube.com/watch?v=x4KmbUCwkyE Ry Cooder - Vigilante Man (live)
http://www.youtube.com/watch?v=pRAg7ixYaeE Ry Cooder - The Very Thing That Makes Her Rich
http://www.youtube.com/watch?v=fvNolohTBj8 Ry Cooder - Just A Little Bit
http://www.youtube.com/watch?v=28jlr_8NJx4 JLHOOKER & RY COODER ; Crawlin' King Snake '93
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 2:23 am
par saintluc
Souvenirs...
http://www.youtube.com/watch?v=GOZfweTEJAo Hawklords - Psi Power
http://www.youtube.com/watch?v=6e4WLdLNajs Spandau Ballet - True
http://www.youtube.com/watch?v=jMqVrUSz62o Easy Rider - Steppenwolf - The Pusher
http://www.youtube.com/watch?v=pVFx3vaHxGk Television - Marquee Moon (1977)
http://www.youtube.com/watch?v=NG8o65bF_AE Desparado (Live) (The Eagles)

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Publié : jeu. juil. 29, 2010 9:29 am
par saintluc
Le p'tit doc du jour
Reportage 1.2 Iran, frontiére de la drogue
Placé sur la route de l’opium, entre les champs de pavot d’Afghanistan et le marché européen de l’héroïne, l’Iran mène sur son flanc oriental une véritable guerre contre les trafiquants. Frontière trop vaste, dispositif perméable et profits démesurés du trafic rendent quasi vaine cette tentative d’endiguement, et la toxicomanie prend de l’ampleur dans le pays. directement concernés - la drogue finit sur les marchés européens -, les pays occidentaux n’apportent qu’une aide réduite. Or ce fléau ne pourra être éradiqué que si l’on offre une autre source de revenus aux paysans locaux en finançant des projets de développement et des cultures de substitution.
http://www.dailymotion.com/video/x5tiqw ... -la-d_news
http://www.dailymotion.com/video/x5tizb ... de-la_news
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 11:55 am
par saintluc
Un spécial Greg Laswell
http://www.youtube.com/watch?v=pEFxfVyz4Uc Greg Laswell - Comes and Goes
http://www.youtube.com/watch?v=B7Y5tn1i0_k Greg Laswell - And Then You
http://www.youtube.com/watch?v=TLoaxozKs5o Greg Laswell- Come Undone
http://www.youtube.com/watch?v=R7HmZ5T28wo 524 Off I Go - Greg Laswell + Lyrics. Greys Anatomy Finale
http://www.youtube.com/watch?v=FJiN70-NfEE Greg Laswell - Sing, Theresa Says
[url][img]http://3.bp.blogspot.com/_Fm6Wa10czhc/ShdreoNXDwI/AAAAAAAAFbo/Ye2cq8H3uQI/s400/W_Greg_Laswell_1_282082[1].jpg[/img][/url]Image
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 12:17 pm
par saintluc
Merdum, j'ai oublié le blues aujourd'hui :red
http://www.youtube.com/watch?v=Dd8bGMnid_M Mississippi Fred McDowell (1904-1972) - What's the Matter Now?

http://www.youtube.com/watch?v=IR0weJrAPl0 Fred McDowell - Shake Em On Down


http://www.youtube.com/watch?v=hMAlK-0DVlc Mississippi Fred McDowell - Untitled Live Blues Song
http://www.youtube.com/watch?v=O9xjUZJWHOg Mississippi Fred McDowell - Highway 61
http://www.youtube.com/watch?v=i0i8GJxdyrQ Mississippi Fred McDowell - BLUES MAKER (1969) pt.1
http://www.youtube.com/watch?v=UeAAMmk83Fc Mississippi Fred McDowell - BLUES MAKER (1969) pt.2
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 12:38 pm
par Juliette D.
saintluc62 a écrit :Un spécial Greg Laswell

Tiens...
Alors celle-là:
http://www.youtube.com/watch?v=WjK6wNIWzts

How the day sounds.

Publié : jeu. juil. 29, 2010 12:58 pm
par saintluc
Juliette D. a écrit :
saintluc62 a écrit :Un spécial Greg Laswell

Tiens...
Alors celle-là:
http://www.youtube.com/watch?v=WjK6wNIWzts

How the day sounds.
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Publié : jeu. juil. 29, 2010 11:53 pm
par saintluc
Bonjour à toustes


1792
30 juillet
Les Marseillais entrent à Paris en chantant
Les volontaires Marseillais de l'armée révolutionnaire entrent à Paris en chantant le "Chant de guerre pour l'armée du Rhin". La chanson, vite rebaptisée "Marseillaise", a été composée par l'officier Claude Joseph Rouget de Lisle quelques mois plus tôt. Son succès sera tel, qu'elle sera agréée par le ministère de la guerre et deviendra "chant national" en 1795. Elle sera proclamée hymne national de la République française en 1879.
Voir aussi : Histoire de Paris - Histoire de la Marseillaise - Rouget de Lisle - Histoire de la Révolution



1898
30 juillet
Invention des Corn Flakes
Le docteur John Harvey Kellogg et son frère Will Keith Kellogg mettent au point les Corn Flakes, au sanatorium de Battle Creek (Michigan). Ils cuisent des grains de blé, les passent au rouleau pour obtenir des pétales et les grillent ensuite. Les Corn Flakes deviendront un des aliments les plus populaires du petit déjeuner aux Etats-Unis et dans le monde entier.
Voir aussi : Corn flakes - Kellogg - Histoire de l'Alimentation



1903
30 juillet
Division du Parti ouvrier en Russie
Au second congrès du Parti social-démocrate russe (PSDR) à Bruxelles, une violente polémique éclate entre les léninistes qui veulent imposer un parti révolutionnaire très centralisé et les partisans de l'organisation de masse. Le parti se scinde alors en deux, avec d'un côté les bolcheviks ("majoritaires" en russe) et de l'autre les mencheviks ("minoritaires" en russe). Le renversement du tsar demeure leur but commun.
Voir aussi : Histoire du Parti Communiste - Lénine - Tsar - Bolcheviks - Histoire des Partis



1928
30 juillet
Apparition de l'athlétisme féminin
Amsterdam voit se dérouler la première épreuve d’athlétisme féminin de l’histoire des Jeux Olympiques. Il s’agit des éliminatoires du 100 mètres. Au programme de ces Olympiades pour les dames : 100 mètres, 800 mètres, 4x100 mètres, saut en longueur et disque.
Voir aussi : Première - Histoire d'Amsterdam - Femmes - Histoire des Jeux Olympiques



1930
30 juillet
L'Uruguay remporte la première Coupe du monde
Lors de la finale de la première Coupe du monde de football à Montevideo, l'Uruguay bat l'Argentine par 4 buts à 2. La France terminera à la troisième place. L'équipe de l'Uruguay, qui joue à domicile, remporte tous ses matchs. L'Italie en 1938 puis le Brésil en 1970 et 2002 remporteront aussi la Coupe du monde sans perdre un seul match.
Voir aussi : Dossier histoire de la Coupe du monde - Histoire du Football



1948
30 juillet
Introduction du starting-bloc
Les premières épreuves de qualification du 100 mètres des Jeux Olympiques de Londres voient apparaître le starting-bloc, dispositif qui facilite le départ dans les épreuves d’athlétisme sur piste. Il est alors utilisé pour le 100 mètres et le 400 mètres.
Voir aussi : Histoire de Londres - Histoire des Jeux Olympiques d'été - 100 mètres - Histoire de l'Athlétisme



1963
30 juillet
L'espion Kim Philby passe en URSS
L'officier britannique Kim Philby, qui se révèle être un agent double, s'enfuit en Union soviétique. Espion au service des communistes depuis 1934, il était parvenu à infiltrer les plus hauts niveaux du contre-espionnage britannique. Mort en 1988, il sera enterré dans le carré des généraux du KGB, dans un cimetière de Moscou.
Voir aussi : Dossier histoire de l' URSS - Espion - Histoire de la Guerre froide



1966
30 juillet
But imaginaire au pays du football
Londres accueille la finale qui restera dans les mémoires à cause du but le plus controversé de l’histoire de la Coupe du monde. La patrie du ballon rond joue son honneur face à la RFA dans l’Empire Stadium mais le temps réglementaire s’achève sur un nul, deux partout. Au début des prolongations, à la 100ème minute, Hurst frappe le ballon qui vient heurter la transversale avant de rebondir à proximité de la ligne de but et d’être évacué en corner. Pour l’arbitre, et après consultation de son juge de touche, le but est inscrit. Mais il est l’un des seuls convaincus et la vidéo montrera plus tard que le ballon n’avait pas passé la ligne. L’Allemagne digère mal cette décision mais Hurst décide finalement de mettre tout le monde d’accord en inscrivant un second but dix minutes plus tard…
Voir aussi : Dossier histoire de la Coupe du monde - Histoire de Londres - Histoire de la RFA - Histoire du Football



2006
30 juillet
Bombardement de Cana
L’armée israélienne et le Hezbollah s’affrontent depuis plusieurs jours déjà lorsque des avions israéliens bombardent la ville de Cana. Le but du raid est d’anéantir l’une des bases du Hezbollah. Mais un immeuble de civils est touché et s’effondre, faisant plusieurs dizaines de victimes, dont des enfants. Alors que les souvenirs du bombardement de Cana de 1996 sont encore vifs, la communauté internationale est totalement scandalisée par l’événement.
Voir aussi : Dossier histoire de l' Etat d'Israël - Hezbollah - Cana - Conflit israélo-libanais - Histoire des Guerres



2006
30 juillet
Elections en République démocratique du Congo
La population de la République démocratique du Congo (RDC) vote pour élire son président de la République. Ce sont les premières élections démocratiques qui ont lieu sur le territoire depuis plus de quarante ans. La Constitution de la RDC a déjà été promulguée en février. L’événement constitue en fait la suite logique de la volonté de transition mise en place en 2003 et visant à mettre fin à des années de guerres civiles et de massacres entre ethnies. Le premier tour oppose Joseph Kabila, président sortant, à Jean-Pierre Bemba, son vice-président. C’est le premier qui remporte la majorité au second tour, le 29 octobre. La Commission électorale indépendante publiera les résultats le 16 novembre et la Cour suprême de justice les confirmera à la fin du mois de novembre.
Voir aussi : Kabila - Histoire des Elections

http://www.linternaute.com/histoire/jou ... ndex.shtml

Publié : ven. juil. 30, 2010 12:03 am
par saintluc
Harold Adrian Russel Philby, plus connu sous le nom de Kim Philby (1er janvier 1912 - 11 mai 1988), fut un agent double britannique, membre des services secrets britanniques, le MI6, et espion à la solde du KGB au profit duquel il trahissait le premier.
Philby était le fils d’un homme de génie, St. John Philby (1885-1960) orientaliste de tout premier ordre, diplomate et... déjà espion, qui fut le grand rival du colonel T. E. Lawrence, avant de devenir « l’inventeur » d’Ibn-Séoud, le fondateur de l'Arabie saoudite, puis son éminence grise. La personnalité hors du commun du père a certainement profondément joué dans les choix de son fils Kim. Issu de la Gentry, il est élevé comme son père à la Westminster Public School. Il entre en 1929 au Trinity College de Cambridge, il y étudie l’économie et l’histoire. Il y rencontre ses futurs collègues dans l’espionnage, le Groupe de Cambridge ou Magnificent Five (Donald Maclean, Guy Burgess, Anthony Blunt et John Cairncross) qui deviendront complices de sa trahison.


Des intellectuels comme George Bernard Shaw ou George Orwell, à l'époque très favorables au communisme, ont eu une influence très forte sur toute cette génération.

Il est remarqué en 1930 par l'un de ses professeurs, communiste, à Cambridge, Maurice Dobb. Celui-ci l'aiguille vers le GPU (services secrets soviétiques) pour lequel il accepte de travailler.
[url]ImageEn 1934, le GPU l'envoie en Autriche alors sous régime fascisant, pour tester son attachement à « la patrie des travailleurs ». A l’occasion de ce voyage à Vienne il se marie avec Litzi Kohlmann, née Friedmann.

De même que le père de Kim s’était converti à l’islam pour suivre Ibn-Séoud, le fils se convertit au marxisme pour combattre le fascisme. Son officier traitant lui demande de se constituer une couverture politique de droite en 1936, en représentant le Times de Londres en Espagne pendant la guerre civile. Il y est blessé et décoré par Franco lui-même.

En 1940, il intègre le MI6, le service de renseignement britannique, plus connu sous le nom d'Intelligence Service. En 1944, il est affecté à la tête de la toute nouvelle section IX, chargée de lutter contre le communisme : il transmet des informations confidentielles aux Soviétiques qui permettent d’écraser une insurrection anti-communiste en Albanie. Plusieurs agents britanniques, en plus de résistants albanais, disparaissent dans l’opération et Philby n’en éprouvera jamais le moindre remords ; il se contentera de déclarer qu’ils savaient les risques qu’ils prenaient.
Philby est affecté à Washington en 1949 et y retrouve McLean et Burgess, diplomates. Les Américains les soupçonnent d’avoir transmis aux Soviétiques des informations confidentielles sur le programme nucléaire militaire et de leur avoir dénoncé les opérations de déstabilisation de l'Albanie, menées par la CIA et le MI6 (projet Valuable) entre 1949 et 1951. McLean et Burgess font défection en 1951, probablement informés par Philby, et les soupçons de la CIA commencent à se porter sur Philby lui-même. Écarté de son poste, il fait l’objet d’une enquête approfondie et est blanchi par Harold Macmillan, Secrétaire au Foreign Office, devant les Communes en octobre 1955.

Selon la CIA, Philby aurait informé les Soviétiques que le stock de bombes atomiques était épuisé et que les Américains avaient du mal à en reconstruire, notamment à cause de la dispersion des équipes de scientifiques du Projet Manhattan. Cette information aurait incité Staline à provoquer deux crises majeures, le Blocus de Berlin (1948/49) et la guerre de Corée (juin 1950).

Au cours d’une conférence de presse célèbre, il dément avec beaucoup d'aplomb, « les rumeurs grotesques » de sa trahison. Cependant, les Américains confirment leurs accusations et Philby est, peut-être, protégé par l’Establishment britannique à cause de ses origines sociales, de la notoriété de son père, etc.

John Bruce Lockhart le remplace à son poste et tente de renouer des relations de confiance entre les services spéciaux britanniques et américains.
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Définitivement exclu du MI6, Philby s’installe à Beyrouth comme correspondant de l’Observer puis de The Economist. Il y couvre la crise de Suez en octobre-novembre 1956. Il y continue de jouer les espions en free-lance pour l'Intelligence Service qui n'a cependant plus aucune illusion sur lui. Un agent britannique, venu de Londres, tente même d'obtenir une confession de lui, sans succès.
En janvier 1963, il passe définitivement en Union soviétique, probablement avec l'accord tacite du gouvernement britannique[réf. nécessaire], pour éviter un procès à scandale. Jusqu’à sa mort, il fera l’objet de tous les honneurs de la part du régime soviétique (décoration, appartement de fonction, datcha), tout en restant la coqueluche des médias anglo-saxons. Il tentera de se justifier par un livre, My Silent War (Ma guerre silencieuse), publié en 1968. Sa femme américaine, née Eleanor Brewer, quitte Moscou pour les Etats-Unis en 1965 et il devient le compagnon de la femme de Mc Lean, née Melinda Marling. Il la quitte pour une Russe plus jeune, Rufina Poukhova, qu'il épouse en 1971.

Philby reste le plus emblématique de tous les transfuges de la Guerre froide : sa morgue toute britannique, son snobisme, les responsabilités qu’il exerça et les dégâts considérables qu’il provoqua le démarquaient des autres. Il ne sombra pas, à l'inverse de Donald Maclean et Guy Burgess eux aussi hébergés par l'URSS, dans un alcoolisme désespéré.

En 1986, sentant sa fin prochaine, Philby accepta une interview de la BBC au cours de laquelle il fit le bilan de sa vie : il rappelle que sa conversion au marxisme est due à l'influence du corps professoral, il justifie son choix à cause de la montée du nazisme, choix partagé par Burguess et par McLean. Il y précise qu'il n'y avait pas de cellules communistes organisées par le GPU à Cambridge dans les années 1930.

Le journaliste lui montre que la fin de vie de Burguess et McLean, qui ont sombré dans l'alcoolisme et la dépression à Moscou à cause de leur déception sur la nature du régime soviétique, n'est pas vraiment un exemple. Philby répond, avec orgueil, qu'il assume ses choix jusqu'au bout.

Mort d'une crise cardiaque, Kim Philby est enterré à Moscou, au cimetière de Kountsevo
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1912 : naît à Ambala, aux Indes, éduqué à Westminster
1929 : entre au Trinity College à Cambridge, devient trésorier de la Cambridge socialist society, repéré par son professeur d'économie Maurice Dobb
1930 : voyage à Paris
1934 : approché par Arnold Deutsch agent du NKVD, nom de code Soenchen, Tom. Il épouse en février Alice Friedmann (1910-1991), née Kohlmann (surnommée Litzi), communiste autrichienne d'origine juive hongroise, rencontrée à Vienne en 1933.
mai 1934 : revient en Angleterre
1936 : rencontre le représentant de Franco à Londres, part à Madrid comme correspondant du Times
1939 : recruté par Guy Burgess au MI6 et devient expert de la propagande nazie
juillet 1940 : il passe au SOE section contre-espionnage
1941 : il se met en ménage avec Aileen Furse, fille d'un capitaine de régiment de la Royal Horse Artillery, alors qu'il n'est pas encore divorcé. Elle lui donnera trois fils et deux filles et meurt en 1957.
1944 : nommé directeur de la section anti-soviétique
1945 : prévient Moscou que Constantin Volkov fait défection
1946 : Divorce en décembre de Litzi Kohlmann et épouse quelques jours plus tard Aileen Furse qui lui avait déjà donné ses premiers enfants.
1949 : officier de liaison auprès de la CIA à Washington
1950 : il est informé des déchiffrements de Venona
1951 : expulsé des États-Unis, mis à la retraite par le MI6
1956-1963 : correspondant de The Economist à Beyrouth, il y épouse une Américaine Eleanor Brewer en 1959.
janvier 1963 :promet de se confesser mais s'enfuit en URSS avant
1965 : son épouse Eleanor le quitte et retourne aux Etats-Unis. Elle fait paraître un livre de Mémoires peu avant de mourir en 1968
1966 : il se met en ménage avec Melinda McLean, mais elle quitte la Russie avec ses enfants lorsqu'il choisit de vivre avec Rufina Poukhova.
1971 : il épouse Rufina Ivanovna Poukhova, née en 1932, auteur d'un livre sur Philby en 2000
mai 1988 : décède d'une crise cardiaque
juillet 1994 : sa veuve russe vend aux enchères ses archives à Londres[/url]