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Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mer. avr. 25, 2012 5:00 pm
par Giles
saintluc a écrit :Mais alors pourquoi l’émirat mise sur les achats compulsifs plutôt que les placements stratégiques comme le rachat de brevets ?
Parce que les brevets ne sont utiles que dans le cas où on fabrique quelque chose et le Qatar n'a pas d'usines ; je pense aussi que sa population n'est pas attirée par le travail manuel et je suppose que l'émir ne désire pas accueillir de la main-d'œuvre étrangère en grand nombre. Une autre preuve que l'argent ne se mange pas, je dirais.

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mar. mai 01, 2012 12:30 am
par saintluc
Les mauvaises nouvelles s'accumulent
L’Espagne compte désormais près d'un quart de chômeurs, soit 24,44% de la population active - le plus haut niveau depuis 1996. Le taux de chômage est le plus élevé des 17 pays de la zone euro.FOCUS
Par Adeline PERCEPT
http://www.france24.com/fr/20120427-cri ... accumulent

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mer. mai 02, 2012 12:16 am
par saintluc
AFP: 01/05/2012 à 23:42
Etats-Unis: recul de Ford et General Motors, Chrysler bondit et Toyota signe son retourLes deux principaux constructeurs automobiles américains, General Motors (GM) et Ford, ont vu leurs ventes de véhicules reculer en avril aux Etats-Unis, alors que celles de Chrysler et de Toyota se sont envolées, le constructeur japonais confirmant sa santé retrouvée, selon des chiffres publiés mardi.
Les ventes du secteur ont augmenté de 2,3% à 1,18 million de véhicules le mois dernier, soit un niveau de ventes actualisé et corrigé des variations saisonnières de 14,4 millions d'unités contre 13,2 millions un an plus tôt, d'après les chiffres du cabinet spécialisé Autodata.

Le numéro un mondial de l'automobile, l'américain General Motors (GM) a annoncé une baisse de 8,2% de ses ventes de véhicules aux Etats-Unis, à 213.387 unités.

Le responsable des ventes pour les Etats-Unis, Don Johnson, a attribué lors d'une conférence téléphonique ce recul des ventes à une chute dans la catégorie des parcs automobiles à cause d'une comparaison défavorable avec celles de l'an dernier qui "étaient inhabituellement élevées en avril dernier".
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Le constructeur est toutefois optimiste pour les mois à venir: "nous nous attendons à une amélioration graduelle de l'économie" dans les mois à venir, ce qui va "aider plus de consommateurs à tourner la page de la récession (...) et à soutenir les ventes de véhicules pour GM et le secteur tout entier", a commenté Don Johnson.

"Après avoir progressé en 2011, la part de marché de GM est tombée à son plus bas depuis une décennie il y a deux mois", à 18,0%, a fait valoir Michelle Krebs, analyste du site spécialisé Edmunds.com.

Le deuxième constructeur américain, Ford, a de son côté annoncé une baisse de 5% sur un an de ses ventes à 180.350 unités, dont -4,7% pour sa marque éponyme et -13% pour la marque de luxe Lincoln.

Les ventes de Toyota, numéro trois du marché américain, ont bondi de 25,5% sur un an au mois d'avril aux Etats-Unis, à 178.044 unités, dont une hausse de 27% pour la marque éponyme et 12% pour la marque haut de gamme Lexus.

Toyota, qui enregistre la plus forte hausse en avril, poursuit ainsi le rebond engagé depuis plusieurs mois après deux années calamiteuses en 2010 et 2011 en raison de rappels massifs, du tremblement de terre au Japon et des inondations en Thaïlande.

Le bond des ventes en avril a notamment été alimenté par un rattrapage des livraisons aux entreprises et loueurs de voitures, suspendues dans la foulée du tremblement de terre et des inondations.

"Toyota a fait mieux que le reste du secteur", notamment "grâce aux ventes robustes de Camry", la "voiture la plus vendue en Amérique", et de Prius", s'est félicité Bob Carter, directeur général de Toyota aux Etats-Unis, qui s'attend à une bonne tendance des ventes sectorielles dans les mois à venir.

Les dirigeants du groupe nippon tablent par ailleurs sur de "très bonnes perspectives pour Lexus".

Enfin, M. Carter a souligné que le groupe avait retrouvé sa part de marché habituelle aux Etats-Unis, à savoir 15%, ce qui montre selon lui que "Toyota a récupéré et même plus", après ses pertes des deux dernières années.

Interrogé sur un possible gain de parts de marché par Toyota aux dépens de GM, M. Johnson a admis qu'il ne faisait "aucun doute que les Japonais sont de retour dans le marché avec de gros stocks". "Et ils sont très offensifs dans le marché des parcs automobiles mais nous allons être nous aussi être compétitifs", a-t-il ajouté.

Chrysler, contrôlé par l'italien Fiat, a lui aussi vu ses ventes progresser fortement (+20%) à 141.165 unités.

Chez les autres constructeurs japonais, Honda a vu ses ventes reculer de 2,2% à 122.012 unités, et Nissan a publié des ventes stables sur un an à 71.329 unités. Les ventes de la Nissan Leaf se sont détériorées à 370 (-35,4%).

En termes de parts de marché, Ford se situait à 15,2%, Chrysler à 11,6%, Honda à 10,3% et Nissan à 6,0%, selon Autodata.

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : jeu. mai 10, 2012 12:52 am
par saintluc
AFP: 09/05/2012 à 23:43
Madrid va nationaliser en partie Bankia, trop exposée au secteur immobilier
Le gouvernement espagnol a annoncé mercredi qu'il "prendra le contrôle" de Bankia, la quatrième banque cotée du pays qui croule sous les actifs immobiliers risqués, avant de dévoiler vendredi une nouvelle réforme du secteur face au regain de tension sur les marchés.
L'opération consiste à transformer en participation la dette de 4,465 milliards d'euros contractée en décembre 2010 envers l'Etat par le premier actionnaire de Bankia, Banco Financiero y de Ahorros (BFA), a indiqué le ministère de l'Economie dans un communiqué.

Ces liquidités avaient été injectées par le fonds d'aide publique au secteur financier (Frob) à travers des prêts à 7,75%, remboursables en cinq ans.

Après l'opération, "le Frob détiendra indirectement 45% du capital de Bankia, c'est à dire qu'il en prendra le contrôle", a précisé le ministère.

Ce dernier a voulu rassurer actionnaires et usagers de la plus grande union de caisses d'épargne espagnoles, affirmant que personne "ne sera lesé par cette décision".

Dès lundi, le ministère de l'Economie avait indiqué que des fonds publics seraient injectés dans Bankia cette semaine afin de l'assainir de ses actifs immobiliers risqués
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Une annonce qui avait provoqué, quelques heures plus tard, la démission du président de Bankia, Rodrigo Rato, ancien ministre de l'Economie et ex-directeur général du FMI. Son remplaçant, José Ignacio Goirigolzarri, ancien directeur général de BBVA, deuxième banque du pays, a été nommé dès mercredi.

Le même jour, le Conseil d'administration de BFA "a sollicité la conversion" en "actions ordinaires" du prêt du Frob auprès de la Banque d'Espagne, a indiqué cette dernière dans un communiqué.

"La nouvelle direction devra présenter dans un délai le plus bref possible un plan renforcé d'assainissement qui situera BFA-Bankia en condition d'affronter son avenir avec une garantie totale" de solvabilité, affirme la Banque d'Espagne.

Bankia est la grande banque espagnole la plus exposée au secteur immobilier: 37,5 milliards d'euros fin 2011, dont 31,8 milliards considérés comme problématiques, car à la valeur incertaine (crédits risquant de ne pas être remboursés, immeubles saisis...).

L'injection de fonds par le gouvernement constituera la huitième intervention publique dans un établissement bancaire en Espagne, depuis l'éclatement de la bulle immobilière en 2008, qui a fortement fragilisé ce secteur.

Le chef du gouvernement, Mariano Rajoy a indiqué lundi qu'il n'hésiterait pas à apporter de nouveaux fonds publics si nécessaire, mais "seulement en dernier recours".

Madrid, qui a déjà prêté au secteur bancaire plus de 15 milliards d'euros, refusait jusque-là de remettre la main à la poche, mais a dû s'y résoudre devant les tensions croissantes sur les marchés.

La nationalisation partielle de Bankia survient ainsi au terme d'une nouvelle journée noire pour la Bourse de Madrid, qui a chuté de 2,77% à 6.812,7 points, son plus bas niveau depuis 2003.

Le regain de tension que connaît l'Espagne s'est traduit mercredi matin par une remontée de son taux d'emprunt à 10 ans au-dessus des 6%, pour la première fois depuis la mi-avril.

Des inquiétudes nourries par les doutes des investisseurs sur la valeur des actifs immobiliers accumulés par les banques pendant la bulle.

Pour tenter de les rassurer, le gouvernement approuvera vendredi une nouvelle réforme afin de séparer la partie immobilière des bilans des banques et leur imposera de nouvelles provisions pour se protéger de leur exposition au secteur immobilier sinistré.

"Il y aura de nouvelles provisions", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère de l'Economie.

Selon le quotidien économique Cinco Dias, celles-ci devraient atteindre environ 35 milliards d'euros.

Ce chiffre d'ajouterait aux 53,8 milliards déjà imposés au secteur depuis une précédente réforme annoncée en février.

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : sam. mai 12, 2012 12:04 am
par saintluc
AFP: 11/05/2012 à 23:17
Energie: feu vert de Bruxelles à la prise de contrôle d'Edison par EDF
La Commission européenne a annoncé vendredi avoir donné son feu vert à la prise de contrôle du groupe italien Edison par EDF, une opération stratégique pour le géant français de l'électricité.
Gardienne de la concurrence en Europe, "la Commission européenne a autorisé l'acquisition d'Edison par EDF en se fondant sur les règles européennes en matière de fusions", indique un communiqué. "L'opération a été examinée via une procédure simplifiée", a précisé l'exécutif européen.

"Cette décision lève la condition suspensive de la réalisation de cette opération liée à l'obtention de l'autorisation des autorités de concurrence compétentes", a déclaré de son côté vendredi soir EDF dans un bref communiqué prenant acte de l'autorisation d'acquisition "sans conditions" de Bruxelles.

La prise de contrôle d'Edison est un projet stratégique important pour EDF, qui veut faire du groupe italien son pôle de développement dans le domaine du gaz, une source d'énergie dont la demande est promise à un bel avenir.

Ce dossier a par le passé subi d'innombrables rebondissements et plusieurs tentatives avortées d'EDF pour s'assurer le contrôle d'Edison, depuis son entrée dans son tour de table en 20O1.
Ainsi, au printemps 2011, le gouvernement italien avait fait capoter une précédente démarche du français pour s'emparer d'Edison.

Puis, fin décembre, les coactionnaires de la société avaient fait voler en éclats un accord de partage des actifs d'Edison avec EDF, et bataillé pour obtenir la totalité d'Edipower en échange de la montée du français au capital du groupe italien.

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : dim. juin 03, 2012 12:35 am
par saintluc
La Grèce va-t-elle sortir de la zone euro ?
Cette semaine, la Grèce a une nouvelle fois chahuté les marchés. Après l'échec de la formation d'une coalition gouvernementale, les grecs ont décidé d'organiser de nouvelles élections législatives le 17 juin. Dans un entretien à France 24, Christine Lagarde estime que le scénario "d'une sortie ordonnée" était une option possible, même si cette option était coûteuse. LA SEMAINE DE L'ECO Pour en parler, Stéphanie Antoine reçoit :



•Daniel Cohen, professeur d'économie à l'école normale supérieure
•Jacques Sapir, économiste, directeur d'études à l'EHESS
•Jacques Rupnik, historien et politologue, directeur de recherche à sciences-po
•Alexia Kefalas, correspondante France 24 à Athènes

http://www.france24.com/fr/20120518-201 ... -zone-euro

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : lun. juil. 02, 2012 12:25 am
par saintluc
Rigueur de gauche ?
Après la lune de miel des mesures populaires, Jean Marc Ayrault est entré dans le dur : le salut ne viendra pas seulement de la hausse des impôts, le Premier ministre s'attaquera aux dépenses, avec un gel des dépenses de l'État.
LE DUEL DE L’ÉCONOMIE

http://www.france24.com/fr/20120627-201 ... -de-gauche

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mar. juil. 03, 2012 12:09 am
par saintluc
Zone euro : le saut fédéral ?
L'Europe va-t-elle faire un saut fédéral ? Le sommet européen aboutit à une feuille de route visant à créer une supervision des banques. Les allemands sont-ils plus fédéralistes que les français ? De quoi parle-t-on lorsqu'on évoque le fédéralisme ? LA SEMAINE DE L'ECO
Pour en parler, Stéphanie Antoine reçoit :

•François Rachline, professeur d'économie à l'Institut d'études politiques de Paris et conseiller spécial du président du Conseil économique, social et environnemental (CESE)
•Jean-Dominique Giuliani, président de la fondation Robert Schuman
•Guillaume Duval, rédacteur en chef du magazine « Alternatives économiques »
•Ulrike Koltermann, journaliste indépendante, ancienne chef de bureau Paris chez Deutsche Presse-Agentur (DPA)

http://www.france24.com/fr/20120629-201 ... ut-federal

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : ven. juil. 13, 2012 12:16 am
par saintluc
Conférence sociale : les mesures en douceur du gouvernement
François Hollande a plaidé pour un compromis positif devant 300 représentants du patronat et des organisations syndicales. Ils étaient réunis pendant deux jours non pas à l'Elysée mais au Palais de Iena, au Conseil Economique, Social et Environnemental. LE DUEL DE L’ÉCONOMIE Changement de style, de méthode. Pas d'annonces à court terme mais un agenda à cinq ans. Pour Jean-François Copé, "cette conférence, c'est du cinéma". Le secrétaire général de l'UMP s'étonne à son tour, comme François Fillon lundi, qu' "on nous anonce des réformes, mais pas avant un an alors qu'il y a urgence" .


http://www.france24.com/fr/20120711-201 ... duel-leco-

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : sam. juil. 14, 2012 12:21 am
par saintluc
Mondialisation déloyale : faut-il sortir les griffes?
La mondialisation est-elle déloyale ? Il y a encore quelques années, seuls les pays du Sud répondaient par l’affirmative à cette question. Dorénavant, les pays riches aussi pensent qu’il y a des fourbes et des hypocrites dans le commerce mondial. Quand Air France annonce qu’elle va acheter des avions Boeing, une soixantaine de députés français crie au scandale. Le journal de l'intelligence économique d'ALi Laïdi a enquêté sur le protectionnisme et le nationalisme économique.INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE
Par Ali LAIDI / Kim VO DINH 3 avril 2012, Seattle. Air France prend livraison de son 60ème Boeing 777-300. Nous sommes invités à célébrer l’arrivée de cet avion qui volera sur la ligne caraïbes/océan indien.

Le projet, vieux de deux ans, prévoyait un changement de cabines afin de redynamiser l'image ternie sur cette ligne vers les îles. Volontairement, il n’a pas été question de Première classe, mais plutôt d’une classe affaires encore plus confortable et surtout d'une cabine Alizé, entre affaires et éco, dotée de sièges plus grands… Enfin, un écran individuel dernière génération pour tous ! Une manière pour Air France de répondre à une concurrence qui lui ronge des parts de marché sur cette ligne convoitée.

Pour les autres lignes, Air France/KLM a acheté 25 exemplaires du nouveau jet de Boeing, le 787 Dreamliner… C’est dans le plus grand bâtiment du monde, sur les chaînes de montage de l’usine d’Everett, près de Seattle, que seront construits ces avions.
S’il s’agit d’une bonne nouvelle pour le géant américain, l’enthousiasme est moindre du coté de certains députés français, furieux qu’Air France n’achète pas uniquement européen.

Pas question pour autant que la compagnie française fasse faux bond à un fidèle partenaire. Car Air France et Boeing, c’est une vieille histoire. Les deux groupes entretiennent des relations historiques, des avions Douglas aux derniers 787. Pas de nationalisme économique donc, ni de malaise à choisir l’entreprise américaine… Et puis, de part et d’autres, on insiste sur le fait qu’une partie des avions est fabriquée en Europe !
Comme pour la fabrication du 787 où l’on parle même de la « Boeing French Team »! Nous nous sommes rendus à la Dreamliner Gallery, un endroit exclusivement destiné à ce dernier né de Boeing. Ici, George Maffeo, le Vice-président de la Gestion des fournisseurs de Boeing, nous énonce les différents partenaires français et rappelle : « En France, je pense que c'est environ 12 000 employés au total. Cela représente des opportunités de près de 4 milliards de dollars annuel ».

S’il apparaît difficile de résister à 4 milliards de dollars, le représentant de Boeing a une autre explication. Si Air France a choisi ses avions c’est parce que ce sont les meilleurs. Performants, confortables, plus légers et surtout, plus économes en carburant que n’importe quel autre avion du marché.

Finalement, pour ne pas faire trop de vague, Air France a coupé la poire en deux. Ses clients voyageront aussi bien sur Boeing que sur Airbus… La guerre économique ne passera pas dans le ciel français.


Reportage: http://www.france24.com/fr/20120707-201 ... igence-eco

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : dim. juil. 15, 2012 7:33 am
par MPQ
L'individualisme régionalisme comme le nationalisme et l'internationalisme les trois sont incontournables et doivent être bien équilibrés 1/3 1/3 1/3

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : jeu. juil. 19, 2012 12:08 am
par saintluc
De PSA aux Scandales à la city : quel rôle doit jouer l'Etat ?
Au menu de ce dernier numéro avant l'été : le plan social choc de PSA et les scandales financiers de la city. A la rentrée, faut-il s'attendre à des plans sociaux en série et de nouvelles fraudes bancaires ? Que peut et que doit faire l'Etat ? LE DUEL DE L’ÉCONOMIE


http://www.france24.com/fr/20120718-le- ... e-de-letat

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : jeu. juil. 19, 2012 6:46 am
par MPQ
Jamais aucune Nation au monde va livrer ses pouvoirs à des fonctionnaires fédéralistes qui ne représentent qu'eux mêmes . l'Union Européenne n'est pas du tout du fédéralisme menteur colonial royaliste à la Canadian

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mar. juil. 24, 2012 12:09 am
par saintluc
AFP: 24/07/2012 à 00:03
Crise de la dette: Moody's place Allemagne, Pays-Bas et Luxembourg sous perspective négative
L'agence d'évaluation financière Moody's a abaissé lundi de "stable" à "négative" la perspective pour l'Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg, trois pays notés "triple A", en raison de "l'incertitude croissante" sur l'issue de la crise de la dette en zone euro.
L'agence a également indiqué lundi qu'elle réexaminerait "à la fin du troisième trimestre" le triple Aaa accordé à la France et l'Autriche, deux autres pays de la zone euro qu'elle avait déjà placés sous perspective négative en février.

Concrètement, le placement sous perspective négative signifie que l'agence n'exclut pas un abaissement de la note souveraine en cas de dégradation de la situation.

Dans son communiqué, l'agence justifie sa décision concernant l'Allemagne, les Pays-Bas et le Luxembourg par "la probabilité de plus en plus forte d'une sortie de la Grèce de l'euro" et l'"impact" d'un tel événement sur des Etats-membres de la zone euro, notamment les plus solides.

"Même si un tel événement est évité, il existe une probabilité de plus en plus forte qu'une aide à d'autres Etats de la zone euro, notamment l'Espagne et l'Italie, soit requise", ajoute Moody's, précisant que ce "fardeau" devrait peser plus "lourdement" sur les Etats considérés comme les plus solvables de la zone euro.

Le ministère allemand des Finances a aussitôt réagi à cette annonce en assurant que l'Allemagne, première économie en Europe, continuerait d'être l'"ancre de stabilité dans la zone euro".

"L'Allemagne va tout faire avec ses partenaires pour surmonter le plus rapidement possible la crise de la dette européenne", a ajouté le ministère dans son communiqué.

La dette de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg jouit auprès de Moody's du fameux triple Aaa, la meilleure note possible, censé refléter la confiance des investisseurs dans la solvabilité de ces pays et leur assurer le paiement de très faibles taux d'intérêts.

Au total, six pays de la zone euro bénéficient encore de cette note chez Moody's mais seule la Finlande jouit encore d'une "perspective stable", que l'agence a confirmée lundi en soulignant la faible exposition de son économie et de son système bancaire aux vicissitudes européennes.

Mi-juillet, Moody's avait dégradé de deux crans, de A3 à Baa2, la note de solvabilité de l'Italie, évoquant déjà un risque de "contagion" de la crise de la zone euro, et suscitant de nombreuses protestations au sein de l'Union européenne.

La dégradation des notes souveraines n'est pas toujours suivie d'effets sur les marchés.

En août 2011, l'agence Standard and Poor's, l'une des trois à dominer le marché mondial de la notation, avait retiré son triple A aux Etats-Unis qui empruntent pourtant aujourd'hui à des taux historiquement bas sur les marchés financiers.

Re: INFOS EN VRAC...

Publié : mar. juil. 24, 2012 10:12 am
par Léo
Moody's et les autres agences de cotation qui viennent des États-Unis, depuis qu'ils ont menti sur la dernière crise financière Américaine, je les regarde de travers. Et en plus cela ne m'étonnerais pas qu'elle fasse des déclarations pour mettre les autres pays vers la faillite.