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naomi klein : la stratégie du choc
ça me renforce dans mes idées

Je relis Louis Ferdinand Céline

Voyage au bout de la nuit...

L'amour c'est comme l'alcool, plus on est impuissant et saoul, plus on se croit fort et malin et sûr de ses droits.

La mort dans l'âme de Ian Rankin, une nouvelle aventure à Edeimbourg de l'inspecteur écossais John Rebus

InspecteurSpecteur a écrit :Je relis Louis Ferdinand Céline

Voyage au bout de la nuit...

L'amour c'est comme l'alcool, plus on est impuissant et saoul, plus on se croit fort et malin et sûr de ses droits.

tiens je vais prendre celui ci a lire :je connais de réputation quel genre ?

LePrêcheur a écrit :

InspecteurSpecteur a écrit :Je relis Louis Ferdinand Céline

Voyage au bout de la nuit...

L'amour c'est comme l'alcool, plus on est impuissant et saoul, plus on se croit fort et malin et sûr de ses droits.

tiens je vais prendre celui ci a lire :je connais de réputation quel genre ?

J'ai lu ce livre la première fois à 20 ans il y a plus de 20 ans. Un article dans la Presse de Pierre Foglia sur les 10 livres qui l'avait le plus marqué. Céline était dans les 3 première position. Je relis avec intérêt.

Céline raconte une partie de sa vie, début du siècle alors qu'il s'engage dans des épopées dont il est le seul à savoir raconter. Céline était un médecin mais a écrit des chefs d'oeuvres littéraires dont Mort à Crédit qui est aussi fabuleux. Son style est inimitables alors qu'on est en pleine littérature. On relis des phrases plusieurs fois pour être certain d'avoir bien lu.

Les phrases sont courtes, ponctuées d'onomatopées et de dialogues savants. Pendant 10 pages il ne se passe rien mais tout arrive parce qu'on est littéralement dans ses pensées. Par exemple lorsqu'il nous parle des femmes et de l'Art.

Les premiers plans d'un tableau sont toujours répugnants et l'art exige qu'on situe l'intérêt de l'oeuvre dans les lointains, dans l'insaisissable, là où se réfugie le mensonge, ce rêve pris sur le fait et seul amour des hommes.

La femme qui sait tenir compte de notre misérable nature devient aisément notre chérie, notre indispensable et suprême espérance. Nous attendons auprès d'elle, qu'elle nous conserve notre menteuse raison d'être, mais tout en attendant elle peut, dans l'exercice de cette magique fiction, gagner très largement sa vie.

Pour Le Prêcheur...

Céline Voyage au bout de la nuit...

« Allez-vous-en tous ! Allez rejoindre vos régiments ! Et vivement ! qu’il gueulait.
— Où qu’il est le régiment, mon commandant ? qu’on demandait nous...
— Il est à Barbagny.
— Où que c’est Barbagny ?
— C’est par là ! »

Si tu veux entendre Luchini sur Céline, c'est ici...

http://films7.com/videos/celine-voyage- ... it-luchini

centurion a écrit :Je relis La conjuration des imbéciles.

Toujours un plaisir.

J'ai lu 2 fois aussi. C'est absolument génial. Ignatus J.Reilly avec sa grosse moustache est un personnage iconoclaste. Quand je pense que l'auteur s'est suicidé pensant être minable. C'est sa mère qui a trouvé ses romans sous son lit 20 ans après la mort de son fils...

j'ai jamais réussi à le lire le voyage au bout de la nuit de Celine ...
j'ai dut le rependre en main 10 fois au moins, mais à chaque fois, je cale

je sais pas pourquoi, mais je trouve le style trop travaillé, j'ai l'impression qu'il cherche à faire trop populaire, ça manque de naturel

Zooey a écrit :j'ai jamais réussi à le lire le voyage au bout de la nuit de Celine ...
j'ai dut le rependre en main 10 fois au moins, mais à chaque fois, je cale

je sais pas pourquoi, mais je trouve le style trop travaillé, j'ai l'impression qu'il cherche à faire trop populaire, ça manque de naturel

C'est exactement le contraire...

InspecteurSpecteur a écrit :

Zooey a écrit :j'ai jamais réussi à le lire le voyage au bout de la nuit de Celine ...
j'ai dut le rependre en main 10 fois au moins, mais à chaque fois, je cale

je sais pas pourquoi, mais je trouve le style trop travaillé, j'ai l'impression qu'il cherche à faire trop populaire, ça manque de naturel

C'est exactement le contraire...

non, non .... c'est exactement mon avis

grumpy un avis ?

neutre

LePrêcheur a écrit :grumpy un avis ?

Céline un style trop travaillé ?
Après cinq whiskies peut-être.
Ce type avait un talent fou pour parler comme une sentinelle de corps de garde. Donnez-moi Balzac( et son nègre); ça c'est du style !

Céline! et puis quoi encore? San Antonio ou Barbara Cartland ..

merci grumpy
bon hier j'ai pris :
-comment mener les discussions difficiles de stone ,patton et heen
-impuretés de djian
-treize minutes de nicolas rey celui ci j'ai attaqué hier soir il a l'air pas mal
-2 rock'n'folk : putain que c'est nul maintenant