poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
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- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Antilarmes
Stéphane Barbery
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Que fais-tu dans la vie?...je vis
Si d'une discussion pouvait sortir la vérité, on discuterait moins
Jules Renard
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- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Guillaume Apollinaire
calligramme
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- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
La colombe poignardée et le jet d'eau
Guillaume Apollinaire
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- Cynyhia
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
L'indifférence
Source d'angoisses, amour bâni ,
Dont soeur jumelle est "Jalousie" ,
L'indifférence, si elle veut,
Sans un seul mot rend malheureux.
Qand on repousse l'offrande d'amour,
Quand on refuse une amitié,
Quand on s'éloigne pour toujours
De liens , qui auraient pu durer,
L'indifférence est "Bon Aloi"
Mais elle tarit la source en soi.
Qui peut dire n'avoir exprimé
En gâchant une part du sacré,
Indifférence tu me sers bien !...
Indifférence tu brises mes liens !...
Qu'importe... Si l'autre souffre demain !...
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Source d'angoisses, amour bâni ,
Dont soeur jumelle est "Jalousie" ,
L'indifférence, si elle veut,
Sans un seul mot rend malheureux.
Qand on repousse l'offrande d'amour,
Quand on refuse une amitié,
Quand on s'éloigne pour toujours
De liens , qui auraient pu durer,
L'indifférence est "Bon Aloi"
Mais elle tarit la source en soi.
Qui peut dire n'avoir exprimé
En gâchant une part du sacré,
Indifférence tu me sers bien !...
Indifférence tu brises mes liens !...
Qu'importe... Si l'autre souffre demain !...
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Que du bout de mes doigts et la profondeur de mon âme je puisse effleurer les contours de votre coeur
- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Doucement mon âme dérive
Le long de la plage, tranquille
Dans l'eau secrète de mon esprit.
La voix de mon rêve m'étreint,
Des flots surgissent mille diamants
Par la vague qui se meurt sur le sable.
La lune court sur l'horizon;
Larmes de peine, larmes de joie,
Garder le sourire, garder confiance.
Je verrai mon chemin tortueux
Devenir un jour lumière,
Et les roses fleurir sur mon passage.
Le long de la plage, tranquille
Dans l'eau secrète de mon esprit.
La voix de mon rêve m'étreint,
Des flots surgissent mille diamants
Par la vague qui se meurt sur le sable.
La lune court sur l'horizon;
Larmes de peine, larmes de joie,
Garder le sourire, garder confiance.
Je verrai mon chemin tortueux
Devenir un jour lumière,
Et les roses fleurir sur mon passage.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Comme un mirage errant, je flotte et je voyage.
Coloré par l’aurore et le soir tour à tour,
Miroir aérien, je reflète au passage
Les sourires changeants du jour.
Un fleuve me recueille, il m’emporte, et je coule
Comme une veine au coeur des continents profonds.
Sur les longs pays plats ma nappe se déroule,
Ou s’engouffre à travers les monts.
En ton lit mugissant ton amour nous rassemble.
Autour des noirs écueils ou sur le sable fin
Nous allons, confondus, recommencer ensemble
Nos fureurs et nos jeux sans fin.
Mais le soleil, baissant vers toi son oeil splendide,
M’a découvert bientôt dans tes gouffres amers.
Son rayon tout puissant baise mon front limpide :
J’ai repris le chemin des airs !-LOUISE ACKERMANN, LE NUAGE
Coloré par l’aurore et le soir tour à tour,
Miroir aérien, je reflète au passage
Les sourires changeants du jour.
Un fleuve me recueille, il m’emporte, et je coule
Comme une veine au coeur des continents profonds.
Sur les longs pays plats ma nappe se déroule,
Ou s’engouffre à travers les monts.
En ton lit mugissant ton amour nous rassemble.
Autour des noirs écueils ou sur le sable fin
Nous allons, confondus, recommencer ensemble
Nos fureurs et nos jeux sans fin.
Mais le soleil, baissant vers toi son oeil splendide,
M’a découvert bientôt dans tes gouffres amers.
Son rayon tout puissant baise mon front limpide :
J’ai repris le chemin des airs !-LOUISE ACKERMANN, LE NUAGE
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Hymne à la beauté
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds.
Baudelaire
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô Beauté ? ton regard infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton oeil le couchant et l'aurore;
Tu répands des parfums comme un soir orageux;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le Destin charmé suit tes jupons comme un chien;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques;
De tes bijoux l'Horreur n'est pas le moins charmant,
Et le Meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : Bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô Beauté, monstre énorme, effrayant, ingénu!
Si ton oeil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un Infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou Sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds.
Baudelaire
Que fais-tu dans la vie?...je vis
Si d'une discussion pouvait sortir la vérité, on discuterait moins
Jules Renard
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- Cynyhia
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Dix huit ans
Tu viens d'avoir 18 ans , tu es si jolie
C'est l'âge le plus merveilleux , crois moi
Ne précipite rien, ne languis pas , vie
Cette belle jeunesse avec tous tes rêves et tous tes émois.
Tu auras peur parfois d'accumuler un retard,
Pour tes études, pour tes pensées, pour tes amours
Tout vient à temps , jeune fille, et le hasard
Fait bien les choses, sans se tromper , jour aprés jour.
Ton prince charmant est sur ta route, n'en doutes pas
Tu le reconnaitras sans avoir à te poser de questions,
Demain, aprés demain ou dans deux ans, tu verras
Tu auras toujours le temps et suivra ton intuition.
Profites de ta liberté, de tes parents,
De tes frères et soeurs, de ta maison
Le temps passe si vite et lorsque tu auras 30 ou 40 ans
Tu diras : "Comme je voudrais retourner à mes 18 ans.
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Tu viens d'avoir 18 ans , tu es si jolie
C'est l'âge le plus merveilleux , crois moi
Ne précipite rien, ne languis pas , vie
Cette belle jeunesse avec tous tes rêves et tous tes émois.
Tu auras peur parfois d'accumuler un retard,
Pour tes études, pour tes pensées, pour tes amours
Tout vient à temps , jeune fille, et le hasard
Fait bien les choses, sans se tromper , jour aprés jour.
Ton prince charmant est sur ta route, n'en doutes pas
Tu le reconnaitras sans avoir à te poser de questions,
Demain, aprés demain ou dans deux ans, tu verras
Tu auras toujours le temps et suivra ton intuition.
Profites de ta liberté, de tes parents,
De tes frères et soeurs, de ta maison
Le temps passe si vite et lorsque tu auras 30 ou 40 ans
Tu diras : "Comme je voudrais retourner à mes 18 ans.
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Un jour le monde devint silencieux ;
les arbres, là-haut, étaient profonds et majestueux,
et nous sentions sous notre peau
le mouvement de la terre.
Tes mains furent douces dans les miennes
et j’ai senti en même temps la gravité et la lumière,
et que tu vivais dans mon cœur.
Tout était vérité sous les arbres,
tout était vérité. Je comprenais
toutes choses comme on comprend
un fruit avec la bouche, une lumière avec les yeux
A. Gamoneda ( Espagne )
les arbres, là-haut, étaient profonds et majestueux,
et nous sentions sous notre peau
le mouvement de la terre.
Tes mains furent douces dans les miennes
et j’ai senti en même temps la gravité et la lumière,
et que tu vivais dans mon cœur.
Tout était vérité sous les arbres,
tout était vérité. Je comprenais
toutes choses comme on comprend
un fruit avec la bouche, une lumière avec les yeux
A. Gamoneda ( Espagne )
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
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- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
c'est beau!
Etranger dans une ville lointaine
Lorsque j’étais petit et beau j’avais la rose pour demeure et les vastes mers pours sources
La rose devint blessure
Et les sources soif
Ai-je beaucoup changé ?
Je n’ai pas beaucoup changé
Lorsque nous reviendrons comme le vent à notre demeure regarde bien mon front tu verras que la rose est devenue palmier tu verras que les sources sont devenues sueurs tu me retrouveras comme j’étais petit et beau.
Quand tu prépares ton petit déjeuner, pense aux autres.
N’oublie pas le grain aux colombes.
Quand tu mènes tes guerres,
Pense aux autres.
N’oublie pas ceux qui réclament la paix
Quand tu règles la facture d’eau
Pense aux autres
Qui tètent les nuages
Quand tu rentres à la maison, ta maison,
N’oublie pas les peuples des tentes.
Mahmoud Darwich
Etranger dans une ville lointaine
Lorsque j’étais petit et beau j’avais la rose pour demeure et les vastes mers pours sources
La rose devint blessure
Et les sources soif
Ai-je beaucoup changé ?
Je n’ai pas beaucoup changé
Lorsque nous reviendrons comme le vent à notre demeure regarde bien mon front tu verras que la rose est devenue palmier tu verras que les sources sont devenues sueurs tu me retrouveras comme j’étais petit et beau.
Quand tu prépares ton petit déjeuner, pense aux autres.
N’oublie pas le grain aux colombes.
Quand tu mènes tes guerres,
Pense aux autres.
N’oublie pas ceux qui réclament la paix
Quand tu règles la facture d’eau
Pense aux autres
Qui tètent les nuages
Quand tu rentres à la maison, ta maison,
N’oublie pas les peuples des tentes.
Mahmoud Darwich
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Si d'une discussion pouvait sortir la vérité, on discuterait moins
Jules Renard
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
“il pensa que toute existence individuelle est peut-être illusoire, que la mort et la vie de l’individu ne signifient rien, que n’existe que le grand courant qui s’écoule …”
“ ses yeux errèrent dans l’espace, vers le bout du chemin et l’ombre noire du bois. Et il perçut la musique du cosmos, l’harmonie merveilleuse et terrible de tout.”
"Il avait presque les larmes aux yeux. Si le jeune vendeur de miel avait dit de belles phrases, elles n’étaient rien comparées à ce qu’elle disait en se contentant d’exister.”
extrait de La beauté du monde
Hector Tizon
“ ses yeux errèrent dans l’espace, vers le bout du chemin et l’ombre noire du bois. Et il perçut la musique du cosmos, l’harmonie merveilleuse et terrible de tout.”
"Il avait presque les larmes aux yeux. Si le jeune vendeur de miel avait dit de belles phrases, elles n’étaient rien comparées à ce qu’elle disait en se contentant d’exister.”
extrait de La beauté du monde
Hector Tizon
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Jules Renard
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- caminde
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Trainspotting
Choisissez la vie.
Choisissez un travail.
Choisissez une famille.
Choisissez une putain de grosse télé, choisissez des machines à laver, des voitures, des lecteurs de CD et des ouvre-boîtes électriques. Choisissez la santé, peu de cholestérol, et une mutuelle.
Choisissez des prêts à taux fixe.
Choisissez votre première maison.
Choisissez vos amis.
Choisissez vos survêtements et les bagages qui vont avec.
Choisissez un salon à crédit et ses couleurs en option.
Choisissez le bricolage et de vous demander ce que vous foutez là un dimanche matin.
Choisissez de vous affaler sur un canapé en regardant des jeux lobotomisants et débilitants, en enfournant dans votre bouche de la nourriture de merde.
Choisissez de vous pisser dessus à la toute fin, de passer vos derniers instants dans un hospice pourri, rien de plus qu'une honte pour l'égoïste progéniture ravagée que vous avez pondue pour vous remplacer.
Choisissez votre futur.
Choisissez la vie.
Choisissez la vie.
Choisissez un travail.
Choisissez une famille.
Choisissez une putain de grosse télé, choisissez des machines à laver, des voitures, des lecteurs de CD et des ouvre-boîtes électriques. Choisissez la santé, peu de cholestérol, et une mutuelle.
Choisissez des prêts à taux fixe.
Choisissez votre première maison.
Choisissez vos amis.
Choisissez vos survêtements et les bagages qui vont avec.
Choisissez un salon à crédit et ses couleurs en option.
Choisissez le bricolage et de vous demander ce que vous foutez là un dimanche matin.
Choisissez de vous affaler sur un canapé en regardant des jeux lobotomisants et débilitants, en enfournant dans votre bouche de la nourriture de merde.
Choisissez de vous pisser dessus à la toute fin, de passer vos derniers instants dans un hospice pourri, rien de plus qu'une honte pour l'égoïste progéniture ravagée que vous avez pondue pour vous remplacer.
Choisissez votre futur.
Choisissez la vie.
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Je l'avais en poster au dessus de mon lit dans ma petite chambre d'étudiante^^ C'est marrant de revoir ça.
C'était rien mais c'était pas rien.
(Un poète)
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- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Poésie sans paroles
http://www.youtube.com/watch?v=m2LeNBY_5gk Tempête sur la pointe de Bretagne
Je vais vous raconter les étoiles,
Je vais enlever doucement le voile.
Elles sont tellement belles...
Féérie des yeux, irréelles...
J'ai voulu attraper une étoile filante;
Au début, elle était très méfiante.
J'ai attendu longuement son passage,
Sauté prestement sur un nuage,
Puis saisi ses cheveux,
Au fond de moi, j'ai formulé un voeux.
J'ai trouvé ton sourire de sirène,
Loin du bruit et des sirènes;
Je regarde sur l'océan les mouettes,
Dans lumière et joie faire la fête...
Au coeur de l'été je me transpose,
Chaleur de deux corps qui se reposent;
S'enfoncer dans des draps de flanelle,
Rêve. Soleil, miel, choses naturelles et belles.
Mon esprit repart au fond de la lagune
Dans une douce et profonde amertume,
Mon monde où les anges cotoient les démons,
Ne plus savoir et perdre la raison...
Il neige des plumes de coton,
Il pleut des larmes de compassion...
Dans mes yeux, toutes mes aventures...
Je tombe comme un fruit mûr!
Dans mes yeux le ciel et la mer s'influencent,
Y lire les contrées oubliées, l'errance;
Dans mes yeux se retrouvent toutes les rosées,
Les embruns de ma vie, accumulés...
Par un heureux hasard,
J'ai croisé ton regard;
Il coule comme la sève,
Me fait vivre... Mais je rêve ?
http://www.youtube.com/watch?v=m2LeNBY_5gk Tempête sur la pointe de Bretagne
Je vais vous raconter les étoiles,
Je vais enlever doucement le voile.
Elles sont tellement belles...
Féérie des yeux, irréelles...
J'ai voulu attraper une étoile filante;
Au début, elle était très méfiante.
J'ai attendu longuement son passage,
Sauté prestement sur un nuage,
Puis saisi ses cheveux,
Au fond de moi, j'ai formulé un voeux.
J'ai trouvé ton sourire de sirène,
Loin du bruit et des sirènes;
Je regarde sur l'océan les mouettes,
Dans lumière et joie faire la fête...
Au coeur de l'été je me transpose,
Chaleur de deux corps qui se reposent;
S'enfoncer dans des draps de flanelle,
Rêve. Soleil, miel, choses naturelles et belles.
Mon esprit repart au fond de la lagune
Dans une douce et profonde amertume,
Mon monde où les anges cotoient les démons,
Ne plus savoir et perdre la raison...
Il neige des plumes de coton,
Il pleut des larmes de compassion...
Dans mes yeux, toutes mes aventures...
Je tombe comme un fruit mûr!
Dans mes yeux le ciel et la mer s'influencent,
Y lire les contrées oubliées, l'errance;
Dans mes yeux se retrouvent toutes les rosées,
Les embruns de ma vie, accumulés...
Par un heureux hasard,
J'ai croisé ton regard;
Il coule comme la sève,
Me fait vivre... Mais je rêve ?
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
saintluc a écrit :Poésie sans paroles
http://www.youtube.com/watch?v=m2LeNBY_5gk Tempête sur la pointe de Bretagne
poésie sans paroles
http://www.youtube.com/watch?v=aT3n1vj6sJg? Les oiseaux en vol
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