SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Récapitulatif par ordre alphabétique page 1
Maqueda
Maqueda est une ville espagnole située à 80 kilomètres de Madrid et à 45 kilomètres de Tolède.
Située au sein de la communauté autonome Castille-La Manche et la province de Tolède, Maqueda appartient à la comarque de Torrijos. La ville est principalement connue pour son château, le Castillo de la Vela, remarquablement bien conservé.
Le terme "Maqueda" vient de la racine mkd et du terme arabe Maqqada, signifiant "stable", "ferme", ou "solide".
D'autres spécialistes croient que le nom dérive de la racine kyd et du terme arabe Makîda, signifiant "stratégiquement situé" or "place forte"
Le castillo de la vela, aussi connu sous le nom de castillo de Maqueda est situé dans les faubourgs de la ville. Tout d'abord d'architecture maure, le château fut reconstruit et agrandi durant le XVème siècle. Il fut par la suite nationalisé, et devint un poste de la Garde civile et son classement futur.
Le château est de forme rectangulaire et se situe à deux altitudes différentes. La protection du château est assurée par des murs de 3,5 mètres d'épaisseur, des douves des deux côtés, et un nombre de tours circulaires. Si l'on peut librement visiter l'extérieur du château, l'intérieur proprement dit est privé.
Le château fut déclaré monument artistique et historique en date du 3 juin 1931
Michel N°4360
Maqueda
Maqueda est une ville espagnole située à 80 kilomètres de Madrid et à 45 kilomètres de Tolède.
Située au sein de la communauté autonome Castille-La Manche et la province de Tolède, Maqueda appartient à la comarque de Torrijos. La ville est principalement connue pour son château, le Castillo de la Vela, remarquablement bien conservé.
Le terme "Maqueda" vient de la racine mkd et du terme arabe Maqqada, signifiant "stable", "ferme", ou "solide".
D'autres spécialistes croient que le nom dérive de la racine kyd et du terme arabe Makîda, signifiant "stratégiquement situé" or "place forte"
Le castillo de la vela, aussi connu sous le nom de castillo de Maqueda est situé dans les faubourgs de la ville. Tout d'abord d'architecture maure, le château fut reconstruit et agrandi durant le XVème siècle. Il fut par la suite nationalisé, et devint un poste de la Garde civile et son classement futur.
Le château est de forme rectangulaire et se situe à deux altitudes différentes. La protection du château est assurée par des murs de 3,5 mètres d'épaisseur, des douves des deux côtés, et un nombre de tours circulaires. Si l'on peut librement visiter l'extérieur du château, l'intérieur proprement dit est privé.
Le château fut déclaré monument artistique et historique en date du 3 juin 1931
Michel N°4360
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
La Calahorra
La Calahorra est une municipalité d'Espagne, située dans la province de Grenade, communauté autonome d'Andalousie.
La ville occupe une vega (plaine irriguée) au pied de la Sierra Nevada. Sur un promontoire se situe le Château de la Calahorra.
Situé sur une butte au-dessus du village, dominant les paysages arides de la Comarque de Guadix, le Chateau de la Calahorra est une ancienne forteresse d'époque musulmane remaniée, entre 1509 et 1512, pour accueillir le marquis Rodrigo Diaz de Vivar y Mendoza, pétri de l'esprit de la Renaissance, et qui aménagea l'intérieur à l'italienne, ce qui en fait l'un des premiers exemple d'architecture renaissance en Espagne.
Michel N°4361
La Calahorra est une municipalité d'Espagne, située dans la province de Grenade, communauté autonome d'Andalousie.
La ville occupe une vega (plaine irriguée) au pied de la Sierra Nevada. Sur un promontoire se situe le Château de la Calahorra.
Situé sur une butte au-dessus du village, dominant les paysages arides de la Comarque de Guadix, le Chateau de la Calahorra est une ancienne forteresse d'époque musulmane remaniée, entre 1509 et 1512, pour accueillir le marquis Rodrigo Diaz de Vivar y Mendoza, pétri de l'esprit de la Renaissance, et qui aménagea l'intérieur à l'italienne, ce qui en fait l'un des premiers exemple d'architecture renaissance en Espagne.
Michel N°4361
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
château d'arevalo
On ne connaît pas très bien les premières années de ce château. Selon les légendes, il était une forteresse carthaginoise, et plus tard le château dans lequel les chrétiens se réfugiaient à l’arrivée des arabes en 711. Le plus primitif est conservé au cœur de la Tour de l'Hommage, qui a été la haute tour des murailles d'Adaja.
L’expansion du Château au milieu du XVIe siècle a été faite en pierre calcaire, avec une forme pentagonale qui demeure jusqu'à aujourd’hui. Au XVIe siècle, des réformes ont été apportées, comme l'embrasure transformée en une forteresse d’artillerie. En 1812, il devenait un patrimoine royal et son enceinte en ruine a commencé à être utilisée comme cimetière jusqu’à la fin du siècle. En plus du cimetière, c'était le service pénitentiaire des illustres personnages de la noblesse castillane. A partir de là, il est plus connu pour ce dernier que pour son importante fonction militaire. Aujourd’hui, il est aménagé pour les réunions et à l’intérieur, se trouve le Musée des céréales. Son aspect est impeccable et tout autour il y a une place publique, récemment rénovée.
Michel N°4448
On ne connaît pas très bien les premières années de ce château. Selon les légendes, il était une forteresse carthaginoise, et plus tard le château dans lequel les chrétiens se réfugiaient à l’arrivée des arabes en 711. Le plus primitif est conservé au cœur de la Tour de l'Hommage, qui a été la haute tour des murailles d'Adaja.
L’expansion du Château au milieu du XVIe siècle a été faite en pierre calcaire, avec une forme pentagonale qui demeure jusqu'à aujourd’hui. Au XVIe siècle, des réformes ont été apportées, comme l'embrasure transformée en une forteresse d’artillerie. En 1812, il devenait un patrimoine royal et son enceinte en ruine a commencé à être utilisée comme cimetière jusqu’à la fin du siècle. En plus du cimetière, c'était le service pénitentiaire des illustres personnages de la noblesse castillane. A partir de là, il est plus connu pour ce dernier que pour son importante fonction militaire. Aujourd’hui, il est aménagé pour les réunions et à l’intérieur, se trouve le Musée des céréales. Son aspect est impeccable et tout autour il y a une place publique, récemment rénovée.
Michel N°4448
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Javier
Le château de Javier (en basque Xavier gaztelua) est sis sur une éminence rocheuse de la sierra de Leyre, en Navarre (Espagne), à 52 km à l'est de Pampelune, capitale de Navarre, et 7 km à l'est de Sangüesa. Il a donné naissance à la localité voisine du même nom, Javier. Il est passé dans l’histoire surtout comme lieu de naissance (le 7 avril 1506) du grand apôtre de l’Asie, Saint François-Xavier.
À l’origine, dans les dernières années du Xe siècle, le château n’est qu’une tour de garde construite sur une éminence rocheuse, défendant la vallée supérieure du fleuve Aragon. Les fondations de la tour centrale datent de cette époque.
Le nom Javier provient du basque etxebarri (qui veut dire maison nouvelle), qui dans son évolution phonétique est devenu Javier, la graphie originale restant Xavier.
Au début de XIIe siècle la tour est entourée d’une construction de protection en semi-cercle, permettant également le logement des maîtres du lieu. On peut déjà parler de ‘château’.
Au XIIIe siècle l’ensemble se développe en véritable forteresse. Deux tours sont ajoutées, la tour du ‘Saint Christ’ à l’Ouest et la tour d’Unduès’ à l’Est. Vers le nord un bâtiment polygonal fortifié. Une nouvelle enceinte, plus large entoure par le Sud.
Au XIVe siècle, un palais (le palais neuf), c’est-à-dire une résidence moins spartiate, est construite sur le flanc ouest de la tour du Saint Christ. Le château est complet : il est tel que le connaîtra Saint François-Xavier durant son enfance, au début du XVIe siècle.
Michel N°4449
La forteresse et le bourg de Javier sont gagnés par Sanche VII de Navarre vers l'an 1223. Un noble aragonais les avait donnés comme garantie pour un prêt de 9000 sueldos[1] que lui a fait le monarque navarrais. Le délai étant dépassé sans que le remboursement n’ait été fait, ils deviennent propriété de Sancho. Ce n'est pas la première fois, et ce ne sera pas la dernière, car Sancho VII est un des grands prêteurs de la couronne d'Aragon. Grâce aux prêts non remboursés, il acquiert une série de bourgs et châteaux livrés comme gages qui l'ont aidé à renforcer ses frontières avec l'Aragon : Escó, Peña, Petilla de Aragón, Gallur, Trasmoz, Sádaba, etc.
À la mort de Sanche, en 1236, le château passe entre les mains de Thibaut Ier de Navarre. Une de ses descendantes, se marie avec Martin de Azpilcueta. Plusieurs générations plus tard, Marie de Azpilcueta, la mère de François-Xavier, apporte le château de Javier en dot à mariage avec Juan de Jassu, président du conseil de Navarre.
Lorsque la Navarre est annexée par la Castille en 1512, Michel et Jean de Jassu, frères aînés de François-Xavier, luttent avec Catherine de Foix et Jean d’Albret contre l’armée de Castille. La défaite des Navarrais entraîne la chute du château de Javier. Juan de Jassu meurt en 1515.
La Navarre conquise, et puisque la famille de Juan de Jassu défendait l'indépendance du royaume, le Cardinal Cisneros ordonne la démolition complète du château en 1516. En fait il est redimensionné : de forteresse il devient large résidence seigneuriale. Les fossés sont comblés. Les deux tours de garde sont démolies, de même que les deux portails. Le pont-levis est enlevé et la tour de San Miguel est réduite de moitié.
Le château de Javier (en basque Xavier gaztelua) est sis sur une éminence rocheuse de la sierra de Leyre, en Navarre (Espagne), à 52 km à l'est de Pampelune, capitale de Navarre, et 7 km à l'est de Sangüesa. Il a donné naissance à la localité voisine du même nom, Javier. Il est passé dans l’histoire surtout comme lieu de naissance (le 7 avril 1506) du grand apôtre de l’Asie, Saint François-Xavier.
À l’origine, dans les dernières années du Xe siècle, le château n’est qu’une tour de garde construite sur une éminence rocheuse, défendant la vallée supérieure du fleuve Aragon. Les fondations de la tour centrale datent de cette époque.
Le nom Javier provient du basque etxebarri (qui veut dire maison nouvelle), qui dans son évolution phonétique est devenu Javier, la graphie originale restant Xavier.
Au début de XIIe siècle la tour est entourée d’une construction de protection en semi-cercle, permettant également le logement des maîtres du lieu. On peut déjà parler de ‘château’.
Au XIIIe siècle l’ensemble se développe en véritable forteresse. Deux tours sont ajoutées, la tour du ‘Saint Christ’ à l’Ouest et la tour d’Unduès’ à l’Est. Vers le nord un bâtiment polygonal fortifié. Une nouvelle enceinte, plus large entoure par le Sud.
Au XIVe siècle, un palais (le palais neuf), c’est-à-dire une résidence moins spartiate, est construite sur le flanc ouest de la tour du Saint Christ. Le château est complet : il est tel que le connaîtra Saint François-Xavier durant son enfance, au début du XVIe siècle.
Michel N°4449
La forteresse et le bourg de Javier sont gagnés par Sanche VII de Navarre vers l'an 1223. Un noble aragonais les avait donnés comme garantie pour un prêt de 9000 sueldos[1] que lui a fait le monarque navarrais. Le délai étant dépassé sans que le remboursement n’ait été fait, ils deviennent propriété de Sancho. Ce n'est pas la première fois, et ce ne sera pas la dernière, car Sancho VII est un des grands prêteurs de la couronne d'Aragon. Grâce aux prêts non remboursés, il acquiert une série de bourgs et châteaux livrés comme gages qui l'ont aidé à renforcer ses frontières avec l'Aragon : Escó, Peña, Petilla de Aragón, Gallur, Trasmoz, Sádaba, etc.
À la mort de Sanche, en 1236, le château passe entre les mains de Thibaut Ier de Navarre. Une de ses descendantes, se marie avec Martin de Azpilcueta. Plusieurs générations plus tard, Marie de Azpilcueta, la mère de François-Xavier, apporte le château de Javier en dot à mariage avec Juan de Jassu, président du conseil de Navarre.
Lorsque la Navarre est annexée par la Castille en 1512, Michel et Jean de Jassu, frères aînés de François-Xavier, luttent avec Catherine de Foix et Jean d’Albret contre l’armée de Castille. La défaite des Navarrais entraîne la chute du château de Javier. Juan de Jassu meurt en 1515.
La Navarre conquise, et puisque la famille de Juan de Jassu défendait l'indépendance du royaume, le Cardinal Cisneros ordonne la démolition complète du château en 1516. En fait il est redimensionné : de forteresse il devient large résidence seigneuriale. Les fossés sont comblés. Les deux tours de garde sont démolies, de même que les deux portails. Le pont-levis est enlevé et la tour de San Miguel est réduite de moitié.
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Grand place de Salamanque
C'est une des places les plus belles d'Espagne. De style baroque elle fut construite selon le plan d'Alberto Churriguera. Au nord de la place, se dresse l'hôtel de ville, également baroque, avec cinq arcs de granit et un campanile flanqué de quatre figures allégoriques. Sur sa façade, nous pourrons admirer, entre autres, les médaillons de Charles I, Alphonse XI, Ferdinand VI, Cervantes ou Sainte Thérèse. Les façades des édifices de la place ont trois étages, avec une arcade en plein cintre au premier étage et une balustrade au dernier. De nos jours, c'est l'un des points les plus animés et les plus fréquentés de Salamanque.
Michel N°3751 - N°3752
Michel N°3753 - N°3754
C'est une des places les plus belles d'Espagne. De style baroque elle fut construite selon le plan d'Alberto Churriguera. Au nord de la place, se dresse l'hôtel de ville, également baroque, avec cinq arcs de granit et un campanile flanqué de quatre figures allégoriques. Sur sa façade, nous pourrons admirer, entre autres, les médaillons de Charles I, Alphonse XI, Ferdinand VI, Cervantes ou Sainte Thérèse. Les façades des édifices de la place ont trois étages, avec une arcade en plein cintre au premier étage et une balustrade au dernier. De nos jours, c'est l'un des points les plus animés et les plus fréquentés de Salamanque.
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Sant Cugat del Vallès (en catalán Sant Cugat del Vallès) est une ville située dans le comarque de Vallès Occidental, province de Barcelone, Catalogne
Commune située dans l'Àrea Metropolitana de Barcelona à environ 20 km de Barcelone, entre la sierra de Collserola et la Sierra de Galliners.
Le monastère de Sant Cugat, ancienne abbaye bénédictine qui a donné son nom à la localité, fut fondé au XIe siècle sur les lieux du martyre de saint Cucufa, ou Cucufat, évêque de Barcelone sous Dioclétien en l'an 303.
Michel N°3738
Commune située dans l'Àrea Metropolitana de Barcelona à environ 20 km de Barcelone, entre la sierra de Collserola et la Sierra de Galliners.
Le monastère de Sant Cugat, ancienne abbaye bénédictine qui a donné son nom à la localité, fut fondé au XIe siècle sur les lieux du martyre de saint Cucufa, ou Cucufat, évêque de Barcelone sous Dioclétien en l'an 303.
Michel N°3738
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Parc naturel du Cap de Gata-Níjar
À la fois maritime et terrestre, ce parc allie paysages isolés et plages sauvages, au Sud de la chaîne volcanique du cap de Gata, dans la province d'Almería. Successions de falaises abruptes, de plages et de criques, cette région désertique ne voit pousser que des agaves et des figuiers de Barbarie. C'est une région de rêve pour les amateurs de plongée qui y découvriront de beaux fonds sous-marin. Le centre d'accueil du parc se trouve près du phare du Cabo de Gata.
Michel N°3730
À la fois maritime et terrestre, ce parc allie paysages isolés et plages sauvages, au Sud de la chaîne volcanique du cap de Gata, dans la province d'Almería. Successions de falaises abruptes, de plages et de criques, cette région désertique ne voit pousser que des agaves et des figuiers de Barbarie. C'est une région de rêve pour les amateurs de plongée qui y découvriront de beaux fonds sous-marin. Le centre d'accueil du parc se trouve près du phare du Cabo de Gata.
Michel N°3730
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Aranjuez est une ville d'Espagne, située à 44 km au sud de Madrid sur la rive gauche du Tage.
Cette ville (connue pour sa culture de la fraise et de l'asperge) est propice à l'agriculture par sa bonne terre et son irrigation assurée par 2 fleuves, le Tage et le Jarama. Sur l'un d'eux est construit un petit port fluvial. Le climat est méditerranéen à influence continentale, donc peu humide, pouvant être froid en hiver et très chaud en été. Les habitations de ses 50 000 habitants sont limitées à 2 étages. La structure de la ville est carrée et date de Charles III.
Les principaux lieux à visiter sont :
les arènes, remarquablement conservées
le Palais Royal d'Aranjuez, construit sur l'ordre de Philippe II, de 1561 à 1778.
Aranjuez est célébrée par un concerto pour guitare et orchestre : le concerto d'Aranjuez, composé par Joaquín Rodrigo
Michel N°3784
Cette ville (connue pour sa culture de la fraise et de l'asperge) est propice à l'agriculture par sa bonne terre et son irrigation assurée par 2 fleuves, le Tage et le Jarama. Sur l'un d'eux est construit un petit port fluvial. Le climat est méditerranéen à influence continentale, donc peu humide, pouvant être froid en hiver et très chaud en été. Les habitations de ses 50 000 habitants sont limitées à 2 étages. La structure de la ville est carrée et date de Charles III.
Les principaux lieux à visiter sont :
les arènes, remarquablement conservées
le Palais Royal d'Aranjuez, construit sur l'ordre de Philippe II, de 1561 à 1778.
Aranjuez est célébrée par un concerto pour guitare et orchestre : le concerto d'Aranjuez, composé par Joaquín Rodrigo
Michel N°3784
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Ribeira Sacra:Gorges du Sil
Sans aller jusque là, il est clair que cette région méconnue de Galice (car sans doute trop loin de la côte si touristique) propose des décors somptueux ! Petite description : au nord-est de Ourense, au coeur de la Galice, le Sil se jète dans le Rio Miño, principal cours d’eau de Galice. Avant de rejoindre le Rio Miño, le Sil a creusé des gorges (voire des canyons) magnifiques d’une profondeur étourdissante (avec des dénivelés jusqu’à 500 mètres). Les pentes ne sont pas totalement verticales, et sont légèrement inclinées, ce qui a permis d’y installer des terrasses et d’y cultiver la vigne. Et ce paysage se répète sur des kilomètres et des kilomètres ! La beauté du site provient pour beaucoup de la somptueuse couleur du Sil, entre le vert et le bleu. Les vignes cultivées sur ces pentes donnent le Ribeira Sacra, l’un des meilleurs vins blancs d’Espagne.
source: terresceltes
Michel N°3729
Sans aller jusque là, il est clair que cette région méconnue de Galice (car sans doute trop loin de la côte si touristique) propose des décors somptueux ! Petite description : au nord-est de Ourense, au coeur de la Galice, le Sil se jète dans le Rio Miño, principal cours d’eau de Galice. Avant de rejoindre le Rio Miño, le Sil a creusé des gorges (voire des canyons) magnifiques d’une profondeur étourdissante (avec des dénivelés jusqu’à 500 mètres). Les pentes ne sont pas totalement verticales, et sont légèrement inclinées, ce qui a permis d’y installer des terrasses et d’y cultiver la vigne. Et ce paysage se répète sur des kilomètres et des kilomètres ! La beauté du site provient pour beaucoup de la somptueuse couleur du Sil, entre le vert et le bleu. Les vignes cultivées sur ces pentes donnent le Ribeira Sacra, l’un des meilleurs vins blancs d’Espagne.
source: terresceltes
Michel N°3729
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Alcoy (officiellement Alcoi en Catalan-valencien) est une ville espagnole, capitale de la comarque de l'Alcoià (dans le nord de la province d'Alicante).
Alcoy est une ville avec une importante tradition industrielle, particulièrement centrée sur l'industrie textile. C'est dans cette ville que s'est produite la première contestation ouvrière en Espagne. La langue dominante officielle est le catalan-valencien.
A proximité de la Sarga existent des abris avec des peintures rupestres préhistoriques où l'on trouve des scènes de chasse, ainsi qu'un ensemble de motifs figuratifs et schématiques qui complètent la séquence pictographique post-paléolithique de la Méditerranée péninsulaire (Ve-IIIe millénaire avant J.C.). D'autres restes de l'époque Néolithique et de l'âge des Métaux, témoignent de l'occupation préhistorique du territoire municipal.
Le peuplement durant l'époque ibérique (ive ‑ iiie siècle av. J.-C.), dans les zones de la Serreta et el Puig, constitue un exemple unique de l'urbanisme ibérique.
Les restes de la romanisation, bien que rares, ont été trouvés dans de petits noyaux de peuplement (aujourd'hui appelés en espagnol : alquerías), dont les toponymes persistent actuellement (Uixola, Benisaidó, Polop, Barxell, etc.), qui dépendaient - entre les xe et xiiie siècles - de la fortification de el Castellar.
La naissance du noyau urbain remonte à l'année 1256 et résulte du désir de coloniser et rendre sûre la frontière méridionale du Royaume de Valence, après la conquête chrétienne conduite par Jacques Ier d'Aragon. Les dernières révoltes du chef arabe Al-Azraq, en 1276, furent finalement étouffées. Al-Azraq mourut alors qu'il assiégeait Alcoy. Le pouvoir chrétien sur l'actuelle province d'Alicante fut définitivement établi.
En 1291 le roi Jacques II d'Aragon a fait donation de la ville à l'amiral Roger de Lauria, la ville ne retrouvant le pouvoir des rois qu'en 1430. Cette année là, à la suite du soulèvement du seigneur d'Alcoy d'alors, Federico de Aragón, Comte de Luna, la villa passa sous le pouvoir royal, et depuis 1447 le roi Alphonse le Magnanime lui confirma le privilège d'avoir une représentation aux Cortes valenciennes.
Durant la Guerre de Succession (1705-1707) les alcoyanos défendirent la cause de l'Archiduc Charles, à la suite de quoi, la ville dut subir un siège et des attaques. Elle dut accepter l'abolition des privilèges locaux; elle dut payer des amendes, etc.. tout cela entraina une diminution de sa population et de sa richesse. Quelques années plus tard le roi Philippe V lui accorda la suppression des charges et donna des privilèges à la Real Fábrica de Paños.
Michel N°3807
Un chapitre important de son histoire se joua durant la Révolution Cantonale en 1873. Le maire républicain, Agustí Albors, surnommé Pelletes, ordonna d'ouvrir le feu sur les ouvriers fabriles qui se concentraient devant la mairie pendant une grève. Ceux-ci, rendus furieux, prirent d'assaut l'édifice, tuant le maire et mutilant son cadavre. Alcoy se déclara indépendant et fut gouverné par un Comité de Salut Public entre le 9 et le 13 juillet, jusqu'à l'arrivée des troupes fédérales. Cet épisode est connu sous le nom de Revolució del Petroli.
Durant la Guerre Civile Espagnole, la cité est devenue une place forte de l'anarcho-syndicalisme, en devenant le siège de la AIT.
Il faut souligner que ses fêtes de Moros i cristians (Maures et chrétiens) sont les plus importantes et les plus anciennes dans toute la Communauté Valencienne.
Alcoy est une ville avec une importante tradition industrielle, particulièrement centrée sur l'industrie textile. C'est dans cette ville que s'est produite la première contestation ouvrière en Espagne. La langue dominante officielle est le catalan-valencien.
A proximité de la Sarga existent des abris avec des peintures rupestres préhistoriques où l'on trouve des scènes de chasse, ainsi qu'un ensemble de motifs figuratifs et schématiques qui complètent la séquence pictographique post-paléolithique de la Méditerranée péninsulaire (Ve-IIIe millénaire avant J.C.). D'autres restes de l'époque Néolithique et de l'âge des Métaux, témoignent de l'occupation préhistorique du territoire municipal.
Le peuplement durant l'époque ibérique (ive ‑ iiie siècle av. J.-C.), dans les zones de la Serreta et el Puig, constitue un exemple unique de l'urbanisme ibérique.
Les restes de la romanisation, bien que rares, ont été trouvés dans de petits noyaux de peuplement (aujourd'hui appelés en espagnol : alquerías), dont les toponymes persistent actuellement (Uixola, Benisaidó, Polop, Barxell, etc.), qui dépendaient - entre les xe et xiiie siècles - de la fortification de el Castellar.
La naissance du noyau urbain remonte à l'année 1256 et résulte du désir de coloniser et rendre sûre la frontière méridionale du Royaume de Valence, après la conquête chrétienne conduite par Jacques Ier d'Aragon. Les dernières révoltes du chef arabe Al-Azraq, en 1276, furent finalement étouffées. Al-Azraq mourut alors qu'il assiégeait Alcoy. Le pouvoir chrétien sur l'actuelle province d'Alicante fut définitivement établi.
En 1291 le roi Jacques II d'Aragon a fait donation de la ville à l'amiral Roger de Lauria, la ville ne retrouvant le pouvoir des rois qu'en 1430. Cette année là, à la suite du soulèvement du seigneur d'Alcoy d'alors, Federico de Aragón, Comte de Luna, la villa passa sous le pouvoir royal, et depuis 1447 le roi Alphonse le Magnanime lui confirma le privilège d'avoir une représentation aux Cortes valenciennes.
Durant la Guerre de Succession (1705-1707) les alcoyanos défendirent la cause de l'Archiduc Charles, à la suite de quoi, la ville dut subir un siège et des attaques. Elle dut accepter l'abolition des privilèges locaux; elle dut payer des amendes, etc.. tout cela entraina une diminution de sa population et de sa richesse. Quelques années plus tard le roi Philippe V lui accorda la suppression des charges et donna des privilèges à la Real Fábrica de Paños.
Michel N°3807
Un chapitre important de son histoire se joua durant la Révolution Cantonale en 1873. Le maire républicain, Agustí Albors, surnommé Pelletes, ordonna d'ouvrir le feu sur les ouvriers fabriles qui se concentraient devant la mairie pendant une grève. Ceux-ci, rendus furieux, prirent d'assaut l'édifice, tuant le maire et mutilant son cadavre. Alcoy se déclara indépendant et fut gouverné par un Comité de Salut Public entre le 9 et le 13 juillet, jusqu'à l'arrivée des troupes fédérales. Cet épisode est connu sous le nom de Revolució del Petroli.
Durant la Guerre Civile Espagnole, la cité est devenue une place forte de l'anarcho-syndicalisme, en devenant le siège de la AIT.
Il faut souligner que ses fêtes de Moros i cristians (Maures et chrétiens) sont les plus importantes et les plus anciennes dans toute la Communauté Valencienne.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
La Seu Vella
La visite de l'ensemble monumental du plateau de la Seu Vella, édifice qui fait partie du Musée d'Histoire de Catalogne, vous permettra d'apprécier les magnifiques vues de la ville qui sont offertes par la jetée de la Llengua de Serp (langue du serpent) ou le Bastion de la Reine.
Vous pouvez accéder à la Seu Vella en voiture ou à pied depuis la rue Sant Martí en entrant dans l'enceinte murée par la Porte du Lion, depuis la place Sant Joan, en ascenseur, par le Portail de Saint André, ou en empruntant la ligne de bus urbains 12 qui circule du lundi au samedi de 7h30 à 21h00.
La Seu Vella –également connue sous le nom de «château de Lleida»– est sans nul doute le monument emblématique de la ville de Lleida.
Cette superbe cathédrale se dresse sur une colline d’où la vue s’étend sur la ville, mais aussi sur une grande partie de la plaine du canton du Segrià. Commencée en 1203, sous la conduite du maître d’oeuvre Pere de Coma, la construction de la cathédrale n’aboutira qu’en 1431 avec l’achèvement du clocher, après plus de deux siècles de travaux. Selon les historiens, une mosquée s’élevait autrefois sur l’emplacement actuel de la Seu Vella.
Ce vaste chantier commença avec la construction du temple, dédié à sainte Marie et organisé selon un plan basical en croix latine à trois nefs, qui fut consacré au culte en 1278. L’intérieur se distingue par la sculpture de ses nefs, où se font sentir les influences toscane, toulousaine et provençale des différents ateliers qui ont travaillé sur le chantier au long du XIIIe siècle. On peut également y apprécier des restes de peinture murale correspondant à l’époque gothique.
Après la consécration du temple dans le dernier tiers du XIIIe siècle, les travaux se poursuivirent sans relâche jusqu’à l’achèvement du cloître au XIVe siècle. Le XIVe siècle vit également le début des travaux de construction du clocher, qui se prolongèrent jusqu’en 1431.
La canonja
L’accès à l’ancienne cathédrale (la Seu Vella) s’effectue à travers la Canonja, nom qui a été donné à l’ensemble des bâtiments ccueillant les chanoines qui constituaient le chapitre de la cathédrale. Nous sommes devant différents bâtiments qui furent construits de la seconde moitié du XIIe siècle au XVIe siècle, dont ont été récupérés des vestiges de l’église primitive de Santa Maria l’Ancienne, différentes chapelles, la Pia Almoïna, la salle capitulaire, les Archives, le Décanat ou la Maison de la Voûte.
Les portes
En plus que la porte de la Canonja, il y a d'autres portes avec une grande valeur monumentale comme celle de l'Anunciata (XIII), la Porte des "Fillols" (XIII-XIV), celle de Sant Berenguer (XII), celle des Apòstols (XIV-XV); ou les trois portes du cloître (XIII), des clairs exposant de l'École de Lleida.
Michel N°3863
Le cloître
Il date du XIVe siècle. Il est bâti sur un plan rectangulaire et il se trouve dans la partie ouest. Ses nefs forment cinq travées voûtées d’ogive percées de grandes fenêtres aux élégants remplages, qui, étant donné qu’il s’agit d’un cloître ouvert, offrent des vues magnifiques.
Le château de la Suda
Dernière résidence du calife de Córdoba, lieu de naissance de la Couronne d'Aragon ou témoignage du serment d'allégeance des nobles catalans et aragonais à l'Enfant Jaume (Jacques I le Conquérant). Ce sont les faits historiques les plus remarquables que le Château de la Suda ou Châteu du Roi a vécu dans les murs au cours de son existence.
La visite de l'ensemble monumental du plateau de la Seu Vella, édifice qui fait partie du Musée d'Histoire de Catalogne, vous permettra d'apprécier les magnifiques vues de la ville qui sont offertes par la jetée de la Llengua de Serp (langue du serpent) ou le Bastion de la Reine.
Vous pouvez accéder à la Seu Vella en voiture ou à pied depuis la rue Sant Martí en entrant dans l'enceinte murée par la Porte du Lion, depuis la place Sant Joan, en ascenseur, par le Portail de Saint André, ou en empruntant la ligne de bus urbains 12 qui circule du lundi au samedi de 7h30 à 21h00.
La Seu Vella –également connue sous le nom de «château de Lleida»– est sans nul doute le monument emblématique de la ville de Lleida.
Cette superbe cathédrale se dresse sur une colline d’où la vue s’étend sur la ville, mais aussi sur une grande partie de la plaine du canton du Segrià. Commencée en 1203, sous la conduite du maître d’oeuvre Pere de Coma, la construction de la cathédrale n’aboutira qu’en 1431 avec l’achèvement du clocher, après plus de deux siècles de travaux. Selon les historiens, une mosquée s’élevait autrefois sur l’emplacement actuel de la Seu Vella.
Ce vaste chantier commença avec la construction du temple, dédié à sainte Marie et organisé selon un plan basical en croix latine à trois nefs, qui fut consacré au culte en 1278. L’intérieur se distingue par la sculpture de ses nefs, où se font sentir les influences toscane, toulousaine et provençale des différents ateliers qui ont travaillé sur le chantier au long du XIIIe siècle. On peut également y apprécier des restes de peinture murale correspondant à l’époque gothique.
Après la consécration du temple dans le dernier tiers du XIIIe siècle, les travaux se poursuivirent sans relâche jusqu’à l’achèvement du cloître au XIVe siècle. Le XIVe siècle vit également le début des travaux de construction du clocher, qui se prolongèrent jusqu’en 1431.
La canonja
L’accès à l’ancienne cathédrale (la Seu Vella) s’effectue à travers la Canonja, nom qui a été donné à l’ensemble des bâtiments ccueillant les chanoines qui constituaient le chapitre de la cathédrale. Nous sommes devant différents bâtiments qui furent construits de la seconde moitié du XIIe siècle au XVIe siècle, dont ont été récupérés des vestiges de l’église primitive de Santa Maria l’Ancienne, différentes chapelles, la Pia Almoïna, la salle capitulaire, les Archives, le Décanat ou la Maison de la Voûte.
Les portes
En plus que la porte de la Canonja, il y a d'autres portes avec une grande valeur monumentale comme celle de l'Anunciata (XIII), la Porte des "Fillols" (XIII-XIV), celle de Sant Berenguer (XII), celle des Apòstols (XIV-XV); ou les trois portes du cloître (XIII), des clairs exposant de l'École de Lleida.
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Le cloître
Il date du XIVe siècle. Il est bâti sur un plan rectangulaire et il se trouve dans la partie ouest. Ses nefs forment cinq travées voûtées d’ogive percées de grandes fenêtres aux élégants remplages, qui, étant donné qu’il s’agit d’un cloître ouvert, offrent des vues magnifiques.
Le château de la Suda
Dernière résidence du calife de Córdoba, lieu de naissance de la Couronne d'Aragon ou témoignage du serment d'allégeance des nobles catalans et aragonais à l'Enfant Jaume (Jacques I le Conquérant). Ce sont les faits historiques les plus remarquables que le Château de la Suda ou Châteu du Roi a vécu dans les murs au cours de son existence.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le théâtre romain de Caesaraugusta est un théâtre de l'époque romaine construit dans la première moitié du ie siècle (sous le gouvernement de Tibère et de Claude) à Caesaraugusta (aujourd'hui Saragosse). Il avait une capacité d'environ 6 000 spectateurs et servit de modèle pour le théâtre de Marcellus à Rome. Il a été utilisé jusqu'au iiie siècle, où les matériaux furent réutilisés pour construire des murs et d'autres bâtiments. En 1974, des recherches archéologiques ont mis au jour le théâtre, et aujourd'hui ses restes peuvent être visités au Musée du Théâtre de Caesaraugusta. Le 8 octobre 2001, il fut déclaré Bien de Interés Cultural dans la catégorie monument.
La construction du théâtre romain de Caesaraugusta a commencé au début du ie siècle, à l'époque du règne de l'empereur romain Tibère, et la construction fut achevée sous le règne de l'empereur Claude, au milieu du ie siècle. Sa superficie était de 7 000 mètres carrés (106 mètres de diamètre) et avait la capacité d'accueillir environ 6 000 spectateurs, ce qui en faisait l'un des plus grands de l'Hispanie romaine.
Contrairement à d'autres théâtres que les variations du terrain utilisé, le bâtiment a été construit sur terrain plat en utilisant la technique opus caementicium, à l'imitation du théâtre de Marcellus à Rome, avec une structure d'anneaux concentriques et des parois radiales entre eux, disposés comme une cavea ou en terrasses et qui étaient couverts de dalles de marbre, comme l'orchestra.
La façade a été décorée avec des blocs d' opus quadratum, disposant d'une hauteur extérieure de trois étages et d'une vingtaine de mètres. Il y avait un accès unique et indépendant depuis la porte principale de la façade jusqu'à l'orchestra de tracée perpendiculaire aux tables ou scena et qui parcourait dans un axe le théâtre pour l'usage des autorités, qui accédaient ainsi directement aux sièges qui leurs étaient réservés le demi-cercle orchestral. Cet accès exclusif peut aussi être observé aussi dans les théâtres d'Augusta Taurinorum ou de Minturnae - mais il s'agit d'un cas unique en Hispanie romaine - et qui est peut être dû à la variété des spectacles, pas seulement dramatiques, qui y étaient représentés.
Michel N°3841
a décadence du théâtre a commencé au iiie siècle, le moment où les pierres ont été prises pour reconstruire les murailles et d'autres constructions, en laissant seulement le béton romain de la structure, qui peut être vue actuellement.
Avec le temps il finit par être redécouvert d'autres constructions notamment à la fin des années soixante-dix du xxe siècle, années au cours desquels le site fut à nouveau mis en lumière. Après la redécouverte du site, il a été aménagé pour être visité, en hébergeant un musée qui montre et qui explique les découvertes archéologiques.
Grâce à des passerelles, les visiteurs peuvent voir les vestiges des gradins et de la scène qui sont protégés par un grand toit translucide en polycarbonate. A côté des vestiges archéologiques, un bâtiment a été réhabilité pour abriter le Centre d'interprétation, qui initie les visiteurs à l'histoire du théâtre et au genre dramatique, à la vie sociale et politique de l'époque.
La construction du théâtre romain de Caesaraugusta a commencé au début du ie siècle, à l'époque du règne de l'empereur romain Tibère, et la construction fut achevée sous le règne de l'empereur Claude, au milieu du ie siècle. Sa superficie était de 7 000 mètres carrés (106 mètres de diamètre) et avait la capacité d'accueillir environ 6 000 spectateurs, ce qui en faisait l'un des plus grands de l'Hispanie romaine.
Contrairement à d'autres théâtres que les variations du terrain utilisé, le bâtiment a été construit sur terrain plat en utilisant la technique opus caementicium, à l'imitation du théâtre de Marcellus à Rome, avec une structure d'anneaux concentriques et des parois radiales entre eux, disposés comme une cavea ou en terrasses et qui étaient couverts de dalles de marbre, comme l'orchestra.
La façade a été décorée avec des blocs d' opus quadratum, disposant d'une hauteur extérieure de trois étages et d'une vingtaine de mètres. Il y avait un accès unique et indépendant depuis la porte principale de la façade jusqu'à l'orchestra de tracée perpendiculaire aux tables ou scena et qui parcourait dans un axe le théâtre pour l'usage des autorités, qui accédaient ainsi directement aux sièges qui leurs étaient réservés le demi-cercle orchestral. Cet accès exclusif peut aussi être observé aussi dans les théâtres d'Augusta Taurinorum ou de Minturnae - mais il s'agit d'un cas unique en Hispanie romaine - et qui est peut être dû à la variété des spectacles, pas seulement dramatiques, qui y étaient représentés.
Michel N°3841
a décadence du théâtre a commencé au iiie siècle, le moment où les pierres ont été prises pour reconstruire les murailles et d'autres constructions, en laissant seulement le béton romain de la structure, qui peut être vue actuellement.
Avec le temps il finit par être redécouvert d'autres constructions notamment à la fin des années soixante-dix du xxe siècle, années au cours desquels le site fut à nouveau mis en lumière. Après la redécouverte du site, il a été aménagé pour être visité, en hébergeant un musée qui montre et qui explique les découvertes archéologiques.
Grâce à des passerelles, les visiteurs peuvent voir les vestiges des gradins et de la scène qui sont protégés par un grand toit translucide en polycarbonate. A côté des vestiges archéologiques, un bâtiment a été réhabilité pour abriter le Centre d'interprétation, qui initie les visiteurs à l'histoire du théâtre et au genre dramatique, à la vie sociale et politique de l'époque.
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Alphonse de Lamartine
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Monastère Santa María de Carracedo
Ce monastère bénédictin fondé par Bermude II « le Goutteux » en l’an 990 jouissait d’un grand pouvoir politique, religieux et économique, et exerçait sa juridiction sur d’autres monastères en Galice, en Asturies et à León. Restauré au XIIe siècle, il montre un succession de différents styles d’architecture : le roman de transition de l’église primitive de 1138, le gothique du Mirador de la Reina et la Renaissance qui transparaît dans le cloître, le réfectoire et la sacristie.
Source: spain.info
Michel N°3935
Ce monastère bénédictin fondé par Bermude II « le Goutteux » en l’an 990 jouissait d’un grand pouvoir politique, religieux et économique, et exerçait sa juridiction sur d’autres monastères en Galice, en Asturies et à León. Restauré au XIIe siècle, il montre un succession de différents styles d’architecture : le roman de transition de l’église primitive de 1138, le gothique du Mirador de la Reina et la Renaissance qui transparaît dans le cloître, le réfectoire et la sacristie.
Source: spain.info
Michel N°3935
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Parc naturel du Delta de l'Ebre
Avec ses 320 km2 et ses 300 espèces d'oiseaux, ce parc est une halte privilégiée pour les migrateurs. Certaines zones sauvages (dunes, marécages, lagunes) ont été classées au parc naturel en 1993 et 1986. Suivant les saisons, le paysage et les couleurs du delta se modifient grâce à la multitude des rizières.
L 'activité majeure reste l'observation des oiseaux grâce aux nombreux miradors. Possibilité de faire de charmantes balades pour découvrir les différentes facettes de ce delta, notamment les dunes, les marécages, les plages, les lagunes, mais aussi les villages environnants de Tortosa et Miravet.
source: easyvoyage
Michel N°3997
Avec ses 320 km2 et ses 300 espèces d'oiseaux, ce parc est une halte privilégiée pour les migrateurs. Certaines zones sauvages (dunes, marécages, lagunes) ont été classées au parc naturel en 1993 et 1986. Suivant les saisons, le paysage et les couleurs du delta se modifient grâce à la multitude des rizières.
L 'activité majeure reste l'observation des oiseaux grâce aux nombreux miradors. Possibilité de faire de charmantes balades pour découvrir les différentes facettes de ce delta, notamment les dunes, les marécages, les plages, les lagunes, mais aussi les villages environnants de Tortosa et Miravet.
source: easyvoyage
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Les "orgues" de Montoro (Teruel)
Los "órganos" de Montoro (Province de Teruel) résultent de la déformation des couches calcaires du Crétacé par la surrection de la Chaîne Ibérique (NE. de l´Espagne) à l´Ère Tertiaire. Le pli synclinal constitué prend la forme d´une paroi verticale. Le fleuve Guadalope a creusé son lit perpendiculairement au pli synclinal.
Michel N°3897
Los "órganos" de Montoro (Province de Teruel) résultent de la déformation des couches calcaires du Crétacé par la surrection de la Chaîne Ibérique (NE. de l´Espagne) à l´Ère Tertiaire. Le pli synclinal constitué prend la forme d´une paroi verticale. Le fleuve Guadalope a creusé son lit perpendiculairement au pli synclinal.
Michel N°3897
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