Fjord du SaguenayDes paysages grandioses d'une exceptionnelle beauté caractérisent le parc du Saguenay. Vous découvrirez la démesure du temps et de l'espace en un lieu où la nature a déployé des forces colossales pour créer un fjord.
L'austérité des paysages du fjord s'adoucit grâce aux havres naturels qui découpent ses côtes. Au rythme des marées, les rives douces des baies et des anses se couvrent et se découvrent. Les baies Éternité, du Moulin à Baude et Sainte-Marguerite s'ouvrent sur les grands espaces marins du fjord du Saguenay et de l'estuaire maritime du Saint-Laurent.
N°1953d (2002)
Le Parc de la Gatineau est un parc fédéral situé dans l'Outaouais, Québec, Canada. D'une superficie de 361,31 km2, il se trouve à l'ouest de la rivière Gatineau sur le territoire de la ville de Gatineau et des municipalités de Chelsea, La Pêche et Pontiac. Fondé en 1938 et administré par la Commission de la capitale nationale du Canada, il est le seul parc fédéral qui n'est pas géré par Parcs Canada. Avec 1,7 million de visiteurs en 2000, il s'agit aussi du parc le plus visité du Québec.
Contrairement aux autres parcs nationaux et provinciaux du Canada, le parc ne possède aucune protection légale ce qui le rend vulnérable à la vente de ses terres par la Commission de la Capitale nationale.
On y retrouve une forêt mixte comprenant l'une des plus grandes variété animale et végétale au Québec, ainsi que des phénomènes naturels exceptionnels. La coupe de bois, la chasse et les activités de type industriel y sont interdites.
Les roches du parc font partie du Bouclier canadien, qui est le noyau stable de l'Amérique du Nord. Le sous-sol est composé en majorité de roches ignées et métamorphiques du Précambrien formées il y a environ un milliard d'année. La roche la plus commune dans le parc est la syénite, une roche ignée intrusive. Le marbre et le gneiss sont aussi commune dans le parc.
L'extrême sud du parc fait partie des basses-terres du Saint-Laurent et est quant à lui composé de calcaire et de dolomie datant de l'Ordovicien, il y a environ 460 millions d'année
La région est fréqenté par les algonquins depuis au moins 5 000 ans. Ils utilisait avant tout le parc pour la chasse et la cueillette. Le premier Européen à voir la région fut l'explorateur français Étienne Brûlé en 1610. Plusieurs autres coureurs des bois suivirent, dont Nicolas Gatineau qui a exploré la région à la recherche de fourrures et donné son nom à la rivière Gatineau.
Les premiers colons furent des loyalistes fuyant les États-Unis, nouvellement devenu indépendant à la fin du XVIIIe siècle. Ces familles donnèrent leurs noms à divers lieu du parc, dont les lacs Pink, Meech, Fortune, Lusk et Mousseau. Les terres était cependant très pauvre et beaucoup sont partis, le peu qui reste travaillant l'hiver comme bucheron. Durant le XIXe siècle, le territoire du parc fut avant tout dédié à l'exploitation forestière et minière. On y vit deux mines de fer, les mines Forsyth et Baldwin. On y exploita aussi le molybdénite, le phosphate et le mica. On y exploita aussi les forêts de Pin blanc qui servirent au mats des navires de la marine britannique
N°1989e (2003)
Les îles de la Madeleine sont un archipel canadien du golfe du Saint-Laurent appartenant au Québec. Leur territoire est le même que celui de l'agglomération des Îles-de-la-Madeleine, regroupement des deux municipalités de l'archipel. Ses habitants sont les Madelinots et les Madeliniennes.
L'archipel est situé environ au centre du golfe du Saint-Laurent, trônant sur les hauts fonds entre la péninsule gaspésienne et l'île du Cap-Breton (Nouvelle-Écosse) et à mi-chemin entre l'Île-du-Prince-Édouard et Terre-Neuve.
Le territoire, anciennement très boisé, est maintenant l'objet de reboisement continu et est recouvert de forêts à près de 25 %. Il est aussi très dunaire, offrant près de 300 km de plages. Au sud de l'archipel se trouvent deux îles très différentes l'une de l'autre : l'île du Havre Aubert est la plus grande, la plus boisée et est habitée par des francophones. La seconde, l'île d'Entrée, habitée par des anglophones, est une petite île non reliée par les dunes, dominée par la plus haute colline (Big Hill) de l'archipel et dotée de quelques arbres seulement, réunis en un petit boisé.
Les îles de l'archipel sont principalement reliées par quatre longues dunes et deux ponts :
L'île du Havre Aubert,
L'île de la Grande Entrée,
L'île du Havre aux Maisons,
L'île du Cap aux Meules,
L'île aux Loups (où se trouve la localité de Pointe-aux-Loups),
la Grosse Île et
La Pointe de l'Est.
L'archipel comprend aussi, détachés du groupe principal,
L'île d'Entrée,
L'île Brion,
Le Rocher aux Oiseaux,
L'île du Corps-Mort
Le territoire de l'archipel est divisé en deux municipalités, soit Les Îles-de-la-Madeleine qui regroupe la grande majorité du territoire et de la population, et Grosse-Île, qui est redevenue une municipalité distincte le 1er janvier 2006.
Les habitants vivent à l'heure normale de l'Atlantique (HNA), comme ceux de l'extrême est de la basse Côte-Nord, c'est-à-dire une heure plus tard que dans le reste du Québec, qui vit à l'heure normale de l'Est (HNE). 713 naufrages ont été comptabilisés sur ces îles, dus à de fortes tempêtes, ce qui donne aux Îles-de-la-Madeleine le triste titre de plus grand cimetière marin en Amérique du Nord. Le dernier naufrage à ce jour est celui du Nadine, qui coula le 16 décembre 1990, à quelques kilomètres des côtes.
L'archipel des Îles-de-la-Madeleine est sur le site d'une mer datant de l'époque où les continents étaient réunis (pangée). La mer était alors vis-à-vis l'équateur et elle s'est asséchée laissant une épaisse couche de sel, sur laquelle s'est ensuite entassée une succession de sédiments de roches volcaniques. La compression des nouvelles couches les a rendues plus denses que le sel qui les précédait et ce dernier a tendance à remonter sous formes de bulles, ou colonnes, qu'on appelle dômes salins ou diapirs. Plusieurs diapirs de sel entourent l'archipel et trois gros diapirs supportent les îles : vis-à-vis l'île du Havre Aubert, l'île du Cap aux Meules et Grosse-Île, où la mine Seleine exploite le sel pour le déglaçage des routes. Ce phénomène de diapirs déformant les couches géologiques supérieures est appelé relèvement isostatique et est dû aux pressions lithostatiques de ces couches.
Une bonne partie du territoire est de formation dunaire, où l'ammophile joue un rôle important dans la fixation du sol. Les nombreuses et colorées falaises nous montrent aussi différentes structures. Par exemple, lorsqu'elles sont rouges et sculptées en grottes, ce sont des formations sableuses, dont l'effritement fournit les dunes en sable. On y voit aussi des siltites, des argiles, du grès, de l'albâtre, diverses roches volcaniques et du gypse, présent aussi sous forme de diapirs.
Plusieurs espèces de phoques côtoient les îles, comme le phoque gris ou le phoque commun; le phoque du Groenland et le phoque à capuchon sont deux espèces qui viennent mettre bas en hiver sur les eaux du golfe Saint-Laurent. La faune du golfe contient également quelques rorquals et dauphins.
L'archipel compte peu de mammifères terrestres, comparativement aux autres régions du Québec. Les principales espèces indigènes tels que le renard roux, la souris sylvestre, le rat surmulot et le campagnol des champs. Tout semble indiquer qu'il y a aussi des coyotes, du moins sur l'île du Havre Aubert.
L'écureuil roux a été introduit sur l'archipel à la fin des années 1970 et s'y est très bien adapté. Une étude de densité de population a révélé qu'une densité d'écureuils plus élevée qu'ailleurs au kilomètre carré, cela est dû en grande partie à la quasi absence de prédateurs. Notez que cette espèce se retrouve seulement sur les îles de Havre-Aubert, Cap-aux-Meules et Havre-aux-Maisons. Le lièvre d'Amérique était présent sur les îles dans le passé et la population a été décimée. En 1994, un projet de réintroduction du lièvre a eu lieu sur l'île du Havre Aubert. Aujourd'hui, on retrouve ce dernier sur cette île et sur l'île du Cap aux Meules, et la population se porte bien. Par le passé, un élevage de vison d'Amérique a eu cours sur l'île du Havre Aubert. Quelques individus se sont échappés de leur lieu de captivité et on retrouve maintenant une petite population dans les étangs bordant la lagune du Havre-aux-Basques.
Les Îles-de-la-Madeleine furent initialement appelé par le peuple Micmac "Memquit", puis furent rebaptisées les "Araynes" par Jacques Cartier, puis les Îles Madeleine, et finalement, les Îles-de-la-Madeleine, par François Doublet de Honfleur (concessionnaire des Îles), en l'honneur de sa femme, Madeleine Fontaine.
N°1990d (2003)
L'Oratoire Saint-Joseph est un sanctuaire religieux d'importance de Montréal (Québec). Cet établissement catholique est situé au 3800, Chemin Queen-Mary (quartier Côte-des-Neiges de l'arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce), sur le flanc nord-ouest du Mont Royal. L'élément principal du site est la basilique catholique. Structure unique, les dimensions de la basilique et de son dôme sont impressionnantes. Le dôme a 60 m de hauteur interne et 39 m de diamètre et sa croix, point culminant de Montréal, atteint 293 m.. Dans les jardins de l'Oratoire, on peut suivre un chemin de croix grandeur nature, inauguré en 1951, peuplé de sculptures représentant la Passion du Christ.
Inauguré en 1904 à l'initiative du Frère André, les travaux de l'ensemble du lieu se terminèrent en 1967.
Le tout domine la ville de son imposante silhouette. Le dôme peut être vu de plusieurs endroits dans la ville et même de l'extérieur de l'ile. Il est le troisième plus grand au monde après celui de la basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro et de la basilique Saint-Pierre de Rome.
C'est le lieu de pèlerinage le plus important dédié à Saint-Joseph à travers le monde. Il attire environ deux millions de visiteurs chaque année, provenant de toutes les parties du monde. C'est aussi la plus grande église du Québec et du Canada. L'oratoire a fêté, en 2004, son 100e anniversaire.
L'Oratoire Saint-Joseph a été reconnu comme un lieu historique national du Canada le 3 mai 2004
N°2020 (2004)
Festival International de Jazz de Montréal
N°2021 (2004)
Traversée internationale du lac St-Jean
N°2022 (2004)
Mont-Saint-Hilaire
N°2079 (2004)
Pont Jacques-Cartier, Québec
N°2100 (2005)
LE QUEBEC PAR SES TIMBRES
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Re: LE QUEBEC PAR SES TIMBRES
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: LE QUEBEC PAR SES TIMBRES
Le village de Cap-des-Rosiers est situé sur le littoral de la pointe Forillon, non loin au nord de Gaspé, située entre les localités de L'Anse-au-Griffon et de Cap-aux-Os. C'est aujourd'hui une porte d'entrée du Parc national Forillon, en Gaspésie.
Le lieu est fréquenté depuis le XVIIe siècle par des pêcheurs.
1632 : son nom apparaît pour la première fois sous la forme de Cap Rozier sur la carte de Samuel de Champlain.
1759 : les Français y aperçurent la flotte du général James Wolfe, se dirigeant vers Québec, où il vaincra le marquis de Montcalm.
1847 : les gens de la place sont témoins du pire naufrage de leur histoire, celui du Carrick, où périrent plus de 130 immigrants irlandais. Les survivants s'installèrent dans la région.
1858 : on construisit le Phare de Cap-des-Rosiers, d'une hauteur de 37 mètres, qui demeure encore le plus haut du Canada.
1970 : le gouvernement du Québec, à la suite d'une entente avec le gouvernement fédéral pour la création du Parc national Forillon, exproprie des terres habitées depuis des générations par des pêcheurs surexploités et les cède au pouvoir d'Ottawa. en contravention des principes établis, quelques années plus tôt, par la commission Doyon sur l'intégrité du territoire québécois.
1971 : le village est rattaché à la ville de Gaspé.
N° (2006)
Le lieu est fréquenté depuis le XVIIe siècle par des pêcheurs.
1632 : son nom apparaît pour la première fois sous la forme de Cap Rozier sur la carte de Samuel de Champlain.
1759 : les Français y aperçurent la flotte du général James Wolfe, se dirigeant vers Québec, où il vaincra le marquis de Montcalm.
1847 : les gens de la place sont témoins du pire naufrage de leur histoire, celui du Carrick, où périrent plus de 130 immigrants irlandais. Les survivants s'installèrent dans la région.
1858 : on construisit le Phare de Cap-des-Rosiers, d'une hauteur de 37 mètres, qui demeure encore le plus haut du Canada.
1970 : le gouvernement du Québec, à la suite d'une entente avec le gouvernement fédéral pour la création du Parc national Forillon, exproprie des terres habitées depuis des générations par des pêcheurs surexploités et les cède au pouvoir d'Ottawa. en contravention des principes établis, quelques années plus tôt, par la commission Doyon sur l'intégrité du territoire québécois.
1971 : le village est rattaché à la ville de Gaspé.
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Re: LE QUEBEC PAR SES TIMBRES
Le Moulin Cornell est un moulin à farine, un moulin à eau, situé à Stanbridge East, dans la région touristique de la Montérégie. Construit en 1830[1] par un loyaliste d'origine allemande Zébulon Cornell, il est l'un des derniers moulins à eau du Québec au Canada. Il est le plus ancien des moulins encore existants dans les Cantons-de-l'Est. Il a cessé de moudre la farine en 1963. Il est occupé depuis 1964 par le Musée Missisquoi, propriété de la Société d'histoire de Missisquoi.
Nom du bâtiment : Moulin à eau Cornell
Cours d'eau : Rivières aux Brochets
Adresse civique : 2, rue River
Municipalité : Stanbridge East
Propriété : Société d'histoire de Missisquoi
Date de construction : 1830
Nom du constructeur : Zébulon Cornell
Nom du propriétaire initial : Zébulon Cornell
Évolution du bâtiment :
1914 : Construction par Matthew Cornell du barrage en ciment
Propriétaires et meuniers :
La famille Cornell pendant trois générations
1914 : Matthew Cornell
Depuis 1964 : Société d'histoire de Missisquoi
Transformations majeures :
1964 : Le moulin devient le Musée Missisquoi, inauguré le 17 juillet 1964. Il présente l'immigration des loyalistes et l'histoire du comté de Missisquoi, depuis le début de sa colonisation en 1794.
N°
BF N°
Nom du bâtiment : Moulin à eau Cornell
Cours d'eau : Rivières aux Brochets
Adresse civique : 2, rue River
Municipalité : Stanbridge East
Propriété : Société d'histoire de Missisquoi
Date de construction : 1830
Nom du constructeur : Zébulon Cornell
Nom du propriétaire initial : Zébulon Cornell
Évolution du bâtiment :
1914 : Construction par Matthew Cornell du barrage en ciment
Propriétaires et meuniers :
La famille Cornell pendant trois générations
1914 : Matthew Cornell
Depuis 1964 : Société d'histoire de Missisquoi
Transformations majeures :
1964 : Le moulin devient le Musée Missisquoi, inauguré le 17 juillet 1964. Il présente l'immigration des loyalistes et l'histoire du comté de Missisquoi, depuis le début de sa colonisation en 1794.
N°
BF N°
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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