Inquiète-toi pas maman.

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Si_Alice
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#16 Message par Si_Alice »

Encore un mot, si je le peux sans faire péter les plombs à quiconque:

J'suis une emmerdeuse, je sais, j'suis une maman. :ahah :love
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Fleurdelys
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#17 Message par Fleurdelys »

Si_Alice a écrit :Cependant, il faut aussi voir la réalité en face et faire des choix, les meilleurs pour soi-même autant que possible et pas seulement pour le jour même mais pour l'avenir.
Alice, je comprends ce que tu dis. Et je ne dis pas que la pression forte ou pas que les parents exercent sur leur(s) enfant(s) est mauvaise. Comme j’ai voulu (en d’autres termes) le dire, c’est une manière pour eux de nous motiver, de nous permettre de nous réaliser, d’utiliser tout notre potentiel, toutes nos capacités.

Et je dirais que tous les parents qui disent qu’ils ne mettent pas la pression d’une manière ou d’une autre à leur(s) enfant(s) sont des menteurs ! Aucun parent ne souhaite le médiocre pour son enfant. Tout parent veut forcément ce qu’il y a de mieux pour son enfant, en dehors sans doute des mauvais parents…

Ils souhaitent toujours au fond d’eux-mêmes que la vie de leur(s) enfant(s) soit meilleure que la leur ou au moins équivalente, mais jamais moindre. C’est naturel.

Mais, la où se trouve la pression invisible et inconsciente pour le parent, mais audible pour un enfant, un adolescent, un jeune adulte, c’est qu’ils déterminent ce qui est meilleur ou équivalent à leur vie, à travers leur regard à eux. C’est normal, mais ce n’est pas notre regard à nous, enfant.

Par exemples,

Si un parent est cadre supérieur et que son enfant veut devenir ouvrier… il est clair qu’il aura dû mal a fait avaler ce choix à son parent et même à son entourage.

Si un parent est ouvrier, au fond de lui-même, il aura toujours envie que son enfant soit plus qu’un ouvrier et si cet enfant devient ouvrier, ce n’est peut-être pas une déception, mais ce n’est pas non plus une joie (faut être honnête) pour le parent.

Et c’est ainsi dans tous les aspects de la vie de l’enfant ; ce n’est pas mal en soit, c’est naturel : on souhaite toujours ce qu’il y a de mieux pour ceux qu’on aime, et en particulier pour ses enfants.

Mais c’est une véritable pression. Elle n’est pas volontaire, elle est souvent inconsciente, mais elle existe belle et bien.

Et même celles et ceux qui prétendent ne pas en avoir reçu, se mentent à elles-mêmes ou eux-mêmes sans en avoir conscience. Puisque nos parents veulent toujours ce qu’il y a de mieux pour nous. À moins d’avoir des parents qui se fichent royalement de leur progéniture, nous avons forcément des parents qui veulent toujours ce qu’il y a de mieux pour nous. Qui nous montrent leur joie lorsque nous amenons des bonnes notes, lorsque nous accomplissons bien une tache. Lorsque nous avons de bonnes fréquentations, lorsque des gens parlent de nous en bien…

Et cette joie, naturelle, nous nous pouvons la percevoir comme une pression : et si nous avions amené une mauvaise note, il aurait donc été déçu ? Et si on parlait de nous en mal, ne le décevrions-nous pas ? Ainsi de suite.

Et cette pression est forcément nécessaire, souhaitable, mais elle peut s’avérer très lourde à porter, quand soi-même on n’a pas d’ambition particulière.

Je te prends un exemple concret, le mien.

Sans me vanter, j’ai toujours été une très bonne élève sans le moindre problème de discipline, et avec une facilité, que mes enseignants trouvaient parfois déconcertante, pour comprendre, apprendre, raisonner… Dans certaines matières (comme l’histoire-géo, le français, la philo…), il suffisait aussi que je sois attentive au cours et je le connaissais, je pouvais en reparler la semaine suivante, sans réviser mes notes. Durant toute ma scolarité, je n’ai jamais eu une seule note dans les matières importantes en dessous de la moyenne.

Tout le monde (professeurs comme mes parents et même le reste de ma famille) m’imaginait poursuivre de longues études, faire une brillante carrière dans un métier en vue socialement…

Hors, moi, je n’ai jamais été une fille ambitieuse : je souhaitais simplement faire un travail qui me plait et qui me permette de me nourrir, de me loger et de me vêtir. Et donc je me suis tournée vers l’esthétique cosmétique en alternance (en BTS – j’ai obtenu mon diplôme l’année dernière…). Et bien mon choix a été la douche froide aussi bien pour mes professeurs que pour mes parents, comme si je gâchais mon avenir, ma vie…

En toute honnêteté, je ne peux pas dire que mes parents m’ont dit que je les déçois ou que je gâche ma vie … mais je ne peux pas dire qu’ils étaient heureux de mon choix. Ou qu’ils ont trouvé mon choix (que je ne regrette pas) judicieux.

Et je pense ne pas être la seule dans ce genre de situation dans tous les domaines, en dehors même de la scolarité ou du monde du travail… Et c’est certainement naturel. Mais c’est une pression véritable, nécessaire sans doute, mais véritable.
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#18 Message par Fleurdelys »

Torlo a écrit :
Fleurdelys a écrit :C'est vrai qu'on n'aime pas décevoir les gens qu'on aime et quelque part l'amour c'est aussi perdre donc un peu de liberté, puisqu'on tient compte du fait de ne pas décevoir l'autre.
Ne serait-ce pas un amour égoïste ? S'il existe une telle notion de déception entre deux personnes, ne serait-ce pas parce qu'un des deux ou même les deux "possède" l'autre ? Il est certainement possible de faire sentir l'autre complètement libre dans ses choix (et non pas comme allusion, mais comme sincérité). « Je suis conscient que l'autre me doit rien... » Que c'est beau à entendre... Détaché pour ne pas posséder, mais cependant attaché par le coeur, rien d'autre.
L’amour n’est-il pas nécessairement un peu égoïste ? Je veux dire, lorsqu’on aime ne souhaite-t-on pas (même tout au fond de soi, même si on ne se l’avoue pas) que la personne objet de notre amour, nous aime en retour ? Lorsqu’on dit à quelqu’un « je t’aime », n’attendons-nous pas (même sans vraiment en avoir conscience) qu’il nous dise « moi aussi, je t’aime » ? Et s’il n’y a pas ce retour, ne sommes-nous pas (au fond de nous, même si on ne se l’avoue pas), un peu déçu ?

Parfois, nous nous mettons la pression tout seul. Ce n’est pas nécessairement la personne objet de notre amour (mère, père, enfant, conjoint, ami…) qui nous met cette envie de ne pas la décevoir. Mais nous-mêmes, nous ne souhaitons pas décevoir une personne qu’on aime et là, il n’y a rien d’égoïste.

Par contre, si l’amour est conditionné par le fait de ne pas décevoir -si quelqu’un qu’on aime ne réagit pas comme on s’y attendait et que l’on ressent une déception telle que cela diminue notre affection -, alors c’est que notre affection n’était pas aussi profonde et vraie qu’on voulait se le dire. Et là, pour moi, oui, il s’agit d’un amour égoïste. Tout à fait.

Par contre que la personne qui sait qu’on l’aime n’ait pas envie de décevoir cette personne, ce n’est pas égoïste au contraire, c’est de la générosité.

Mais l’amour ne devrait effectivement, je suis totalement d’accord avec toi, jamais posséder, mais être l’attachement du cœur. L’amour est un cadeau, un don de soi. Mais ce n’est pas une possession.
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#19 Message par Fleurdelys »

poussiere d'étoiles a écrit :Vivre et laissé vivre s'il choisit de faire musicien au lieu de médecin ou avocat c son choix pas le nôtre
Je suis d'accord avec toi, évidemment.

Mais ça me fait rire... tu as choisi des métiers considérés comme prestigieux d'une façon ou d'une autre... tu n'as pas dit par exemple s'il choisit d'être éboueur...

Comme quoi, qu'on le veuille ou nous, qu'on veuille se l'avouer ou non, on veut toujours ce qu'il y a de mieux pour ses enfants... et dans nos sociétés occidentales, ce qu'il y a de mieux, ce ne sont pas les métiers manuels...
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#20 Message par Si_Alice »

Hors, moi, je n’ai jamais été une fille ambitieuse : je souhaitais simplement faire un travail qui me plait et qui me permette de me nourrir, de me loger et de me vêtir. Et donc je me suis tournée vers l’esthétique cosmétique en alternance (en BTS – j’ai obtenu mon diplôme l’année dernière…). Et bien mon choix a été la douche froide aussi bien pour mes professeurs que pour mes parents, comme si je gâchais mon avenir, ma vie…
Fleurdelys
Je comprends pour la "douche froide" et j'espère que tes parents ont compris maintenant que tu as su choisir pour toi-même. Pour moi, il est là l'essentiel, dans le "faire un travail" qui nous plait. C'est drôle, parce que j'ai fait de longues études et à chaque fois que j'allais faire un saut chez mes parents, qui vivaient au loin, mon père me demandait toujours si j'étais encore à l'école et il disait ne pas comprendre ce que je faisais là et aussi longtemps. :ahah ;)

J'aurais aimé que mes enfants fassent des études supérieures comme moi et comme leur père. Ils ont décidé tous les deux de faire autrement. Je suis un peu déçue, c'est certain, et je travaille jour après jour au lâcher-prise, car leur situation, par moments, m'inquiète. J'ai évolué dans l'idée que l'éducation assure un avenir meilleur. J'y crois encore même si on parle maintenant beaucoup de décrochage scolaire et que je suis un peu confuse face au système d'éducation actuel. Les temps changent, les jeunes changent...

Enfin, je sais qu'il existe des parents très contrôlants et exigeants. J'ai eu déjà à calmer et à rassurer des élèves aux prises avec l'angoisse de décevoir leurs parents et j'ai conseillé à certains d'envisager une route différente de celle des études supérieures.

Merci pour ta belle et longue réponse à mes commentaires. :)
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#21 Message par killerguitar »

leolo a écrit :
killerguitar a écrit :Emmerde les s'ils sont déçus. :roll
Pour créer plus de distance.
Exactement. Tu crées plus de distance, ils se foutent de toi, et tu fais la belle vie. C'est quand même mieux qu'avoir des parents qui t'achalent jusqu'à 23 ans si tu ne te rends pas aussi loin qu'ils le voulaient dans tes études.
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.

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#22 Message par Si_Alice »

killerguitar a écrit :
leolo a écrit :
killerguitar a écrit :Emmerde les s'ils sont déçus. :roll
Pour créer plus de distance.
Exactement. Tu crées plus de distance, ils se foutent de toi, et tu fais la belle vie...
Vivement le jour où je rentrerai à l'hospice des vieillards afin de ne plus lire ni entendre les balivernes de ces garnements! :angry ;)
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#23 Message par Torlo »

Je peux dire que mon cas te ressemble drôlement Fleurdelys, cependant dans mon cas, c'est qu'il n'y a rien qui m'intéresse suffisament pour étudier.
J'aimerais bien être facteur, mais d'ici là (très difficile d'être embauché) je finirai peut-être justement éboueur... :ahah
Je déteste tellement l'école présentement que je ne me vois pas aller étudier sans autre motivation que financière ou pour assurer une certaine stabilité dans ma vie.

C'est la raison pour laquelle l'idée de la déception de mes parents est lourde. Ils ne peuvent pas se dire que du moins je fais quelque chose que j'aime. (je ne fais pas non plus quelque chose que je n'aime pas)
Mais on accorde trop d'importance au travail. On ne peut pas juger du bonheur d'une personne par son travail. C'est notre vision de la vie qui est la variable importante dans la notion du bonheur. Celle-là, on est la seule personne à la connaître. Mes parents ont de la difficultés à concevoir cela. C'est plutôt « Tu n'as pas peur de trouver ta vie lassante à la longue sans ambition ? » Non !

Mes journées sont embellies par un ami, par le sport, par ces discussions, par la bonne bouffe, la musique, la lecture... Évidemment, quelque fois, je perds intérêt à tout, mais je crois que cela ne pourra jamais être définitif; c'est le cycle du bonheur.
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#24 Message par killerguitar »

Mais tu es majeur, non? Tu peux vivre de ce que tu veux, manger ce que tu veux, habiter là où tu le veux, aller là où tu le veux, boire ce que tu veux, regarder ce que tu veux, fourrer avec qui tu veux, sans avoir tes parents dans la tête.
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.

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#25 Message par Hyppolite20093 »

Je l'ai déjà dit mais je me permets de le répéter car il y a un nouvelle génération de forumeurs qui est récente dont Torlo !

Le rôle ou fonction des parents se divisent dans le temps en 3 phases:

1. Materner lorsque l'enfant est bébé ou très jeune. C'est à dire prodiguer les soins nécessaires et le protéger.
2. Contrôler lorsque le jeune en prend de la graine et veut s'imposer dans son espace. Le jeune a besoin qu'on lui indique les limites admissibles dans une société civilisée qui est régie par le droit. N'en déplaise à son refus de l'autorité.
3. Conseiller lorsque l'adolescent ou le jeune adulte a besoin de références de ses aînés pour prendre des décisions sur ces choix d'études supérieures ou ses choix de carrière ou ses choix de conjoints de vie !
L'enfant aura toujours besoin de s'avoir à quel enseigne sont ses parents. Il prendra ses décisions en connaissance de cause !
Des fois, plus ça change plus c'est pareil.
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
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#26 Message par killerguitar »

Oui, mais à 20 quelques années, il ne doit pas se priver de ce qu'il aime et veut faire parce que papa et maman ne sont pas contents.
Je suis un homme d'un autre siècle. Je chauffe au bois, j'écris à la main, avec une plume. Je me bats pour la liberté sous toutes ses formes : la mienne, celle de mon peuple, celle de tous les peuples. Bref, je suis un primitif égaré.

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#27 Message par Hyppolite20093 »

Si_Alice a écrit :
Au fond d'eux-même (je dirais les personnes marginales), elles sont libérées lorsque leurs parents trépassent.
C'est pas sympa pour les parents, mais je peux comprendre. D'autant plus que c'est facile de mettre la faute sur les parents. J'ai un fils très marginal. Il a voulu sa liberté, il l'a. J'ai mis juste assez de pression pour qu'il comprenne. À lui maintenant de trouver sa voie sans moi...et je ne suis pas trépassée. ;)

J'étais libre d'aller ou pas à l'école après le secondaire. J'ai choisi d'y aller, probablement parce que j'aimais ça. Aujourd'hui, les jeunes n'ont plus vraiment le choix d'entreprendre des études supérieures. Elles sont devenues la suite logique après le secondaire. Ce qui n'est pas toujours un avantage pour les enseignants qui les voient trainer sur les bancs d'école à se poigner l'beigne par écoeurantite aigüe. La morale de cette histoire est qu'il n'y a pas de morale. Il y a des choix à assumer.

Tu as tout à fait raison, au bout du compte, tout est une question de choix personnel qu'il faut assumer. A cet effet, si tu aimes la lecture je te suggère :
Cabié, M-C, Isebaert, L. Pour une thérapie brève, Erès, 1997.
Des fois, plus ça change plus c'est pareil.
Quand on ne sait pas où on va, on va nul part.
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#28 Message par Fanfare »

Moi ma maman sait toujours ou je suis et elle est satisfaite de moi.

Si vous voulez des conseils, je vous dis MP.
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#29 Message par séphie »

ma maman s'en est allée le 20 février dernier à 3 h du matin...je suis submergée par le chagrin... je donnerais tout pour qu'elle soit toujours là à me pousser vers l'avant...l'entendre me dire "mon enfant" avec toute l'affection du monde ...et tant d'autres choses encore !!!Dieu , qu'elle me manque ma maman!!!
Rien ne console parce que rien ne remplace...
La plus grande tragédie de la vie n'est pas que les hommes périssent,
mais qu'ils cessent d'aimer.
W. Somerset Maugham
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#30 Message par Si_Alice »

séphie a écrit :ma maman s'en est allée le 20 février dernier à 3 h du matin...je suis submergée par le chagrin... je donnerais tout pour qu'elle soit toujours là à me pousser vers l'avant...l'entendre me dire "mon enfant" avec toute l'affection du monde ...et tant d'autres choses encore !!!Dieu , qu'elle me manque ma maman!!!
Oh! :snif

Je t'offre mes sympathies séphie... et un petit câlin virtuel pour te réchauffer le cœur. :bye
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