Publié : sam. sept. 05, 2009 12:02 am
Si vis pacem, para bellum.
Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.Mark a écrit :Si vis pacem, para bellum.
virtuose a écrit :Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.Mark a écrit :Si vis pacem, para bellum.
La bonne nouvelle c'est que tout ceci va changer. BientôtPAROLIER a écrit :virtuose a écrit :Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.Mark a écrit :Si vis pacem, para bellum.
En cas de victoire sur un adversaire,
l'adversaire préparera une revanche avec la génération future.
Lisez l'histoire : dans les années 1800 Napoléon était le Maitre de l'Europe,
en 1870 nous avons perdu la guerre contre les Allemands,
nous avons préparé notre revanche :
en conséquence nous avons gagné la guerre suivante en 1918.
Les Allemands à leur tour ont préparé leur revanche et ont gagné la guerre de 1940 ...
Ainsi va l'histoire des peuples et des guerres une victoire :
sans concession, sans mansuétude et sans bienveillance :
entraine une réaction de revanche par le perdant qui se sent humilié.
Une mauvaise nouvelle : hélas rien ne changera ...virtuose a écrit :La bonne nouvelle c'est que tout ceci va changer. BientôtPAROLIER a écrit :virtuose a écrit :Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.Mark a écrit :Si vis pacem, para bellum.
En cas de victoire sur un adversaire,
l'adversaire préparera une revanche avec la génération future.
Lisez l'histoire : dans les années 1800 Napoléon était le Maitre de l'Europe,
en 1870 nous avons perdu la guerre contre les Allemands,
nous avons préparé notre revanche :
en conséquence nous avons gagné la guerre suivante en 1918.
Les Allemands à leur tour ont préparé leur revanche et ont gagné la guerre de 1940 ...
Ainsi va l'histoire des peuples et des guerres une victoire :
sans concession, sans mansuétude et sans bienveillance :
entraine une réaction de revanche par le perdant qui se sent humilié.
Il n'y a pas de changement durable. Il n'y a que le changement perpétuel.PAROLIER a écrit :Une mauvaise nouvelle : hélas rien ne changera ...virtuose a écrit :La bonne nouvelle c'est que tout ceci va changer. BientôtPAROLIER a écrit :virtuose a écrit :Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.Mark a écrit :Si vis pacem, para bellum.
En cas de victoire sur un adversaire,
l'adversaire préparera une revanche avec la génération future.
Lisez l'histoire : dans les années 1800 Napoléon était le Maitre de l'Europe,
en 1870 nous avons perdu la guerre contre les Allemands,
nous avons préparé notre revanche :
en conséquence nous avons gagné la guerre suivante en 1918.
Les Allemands à leur tour ont préparé leur revanche et ont gagné la guerre de 1940 ...
Ainsi va l'histoire des peuples et des guerres une victoire :
sans concession, sans mansuétude et sans bienveillance :
entraine une réaction de revanche par le perdant qui se sent humilié.
il faudrait transformer ou remplacer,
pour un changement durable, le coeur des hommes et des femmes ...
il n'y a rien de nouveau sous le soleil ...
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Cela ne veut vraiment rien dire !!!virtuose a écrit :Il n'y a pas de changement durable. Il n'y a que le changement perpétuel.PAROLIER a écrit :Une mauvaise nouvelle : hélas rien ne changera ...virtuose a écrit :La bonne nouvelle c'est que tout ceci va changer. BientôtPAROLIER a écrit :virtuose a écrit : Cette maxime toute romaine est peu philosophique, et le bon abbé de Saint-Pierre ne l'aurait certainement pas prise pour épigraphe. Il est paradoxal de dire que les gros bataillons assurent la paix. Les peuples sont de grands enfants. Quand on a de si belles armes, il se trouve toujours des fous qui brûlent de les essayer.
En cas de victoire sur un adversaire,
l'adversaire préparera une revanche avec la génération future.
Lisez l'histoire : dans les années 1800 Napoléon était le Maitre de l'Europe,
en 1870 nous avons perdu la guerre contre les Allemands,
nous avons préparé notre revanche :
en conséquence nous avons gagné la guerre suivante en 1918.
Les Allemands à leur tour ont préparé leur revanche et ont gagné la guerre de 1940 ...
Ainsi va l'histoire des peuples et des guerres une victoire :
sans concession, sans mansuétude et sans bienveillance :
entraine une réaction de revanche par le perdant qui se sent humilié.
il faudrait transformer ou remplacer,
pour un changement durable, le coeur des hommes et des femmes ...
il n'y a rien de nouveau sous le soleil ...
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Ce ne sont que des jeux de mots...virtuose a écrit :C'est très clair il me semble. Il n'y qu'une seule chose qui ne change pas et c'est le changement.