D'après moi il le surnommait ainsi, parce qu'il ne souriait pas ou pas beaucoup.
Il faudrait que je demande à des Sherbrookois qui en savent un peu plus sur lui.
Voici ce que disais la plaque à son propos.
Et il y a trois personnage haut en couleur à Sherbrooke, que je vais essayer d'avoir en photo.
Madame Bou (que je n'ai jamais vu)
C’est la plus populaire d’entre toutes. Quand elle passe à côté de vous, soyez prêts à lui dire « Bouh! » à votre tour. Ça la fera bien rire. Au début, la légende voulait qu’elle soit itinérante. Mais lors de ma dernière visite, je l’ai aperçue dans un pickup neuf. J’imagine que le business de la surprise, ça fonctionne bien.
Robe Orange (Je l'ai vu mais il n'est pas parlable, il ma regardé comme un extra terrestre quand je lui ai dit bonjour.
Les gens s’amusent aussi à le surnommer « Le Krishna ». On ne sait pas en quoi il croit, mais sa foi est grande, puisque non seulement sa robe est orange, mais le reste de ses vêtements aussi.
L’homme taï-chi / Mr. Spacewalker / M. Slow-mo (Lui il ma jasé ça pendant un bon 30 minutes et il s'est inspiré de la N.A.S.A pour faire son space walk. Dans le fond ce qu'il fait, c'est qu'il arrête de marcher aux intersections la plupart du temps et il fait des mouvements genre Taï-Chi comme un héron)
Au coin King et Grandes-Fourches, la lumière est quand même longue. Tellement que l’homme taï-chi a le temps de traverser. Il prend le temps de savourer chacun des mouvements de son corps, bercé par la musique de son fidèle lecteur cassette.
Et d'autres endroits intéressant que je devrai prendre en photo:
4. LE COIN DU CUL COUPÉ
Aux limites de la ville de Sherbrooke se trouve Ascot Corner. Oui, oui, comme dans Ass Cut Corner. C’est ça qui est ça.
LOUIS LUNCHEONETTE, le restaurant le plus mythique de la ville, j'en connais trois, c'est très propre, excellent service et les employés sont très disciplinés, pour un restaurant minute c'est très surprenant et c'est toujours plein à l'heure des repas.
JEAN (JOHN JAMES) CHAREST
Avant d’être le premier ministre contesté (hypocrite) qu’on connaît aujourd’hui, Jean Charest a été président de son école secondaire, la polyvalente Montcalm.
Selon les dires de ses collègues de classe, même à l’époque, il avait tendance à revenir sur l’ensemble de ses décisions.