Clochette1978 a écrit :Cessez donc, je vous en conjure, cessez de vouloir
troubler un coeur à qui la tranquillité est si nécessaire ; ne
me forcez pas à regretter de vous avoir connu.
ça sonne un peu comme un roman harlequin, c'est ça?
Là forcez vs un peu j'ai hâte: Je concentre mes pensées positives
afin que Doolores gagne le gros lot à la loto
Clochette1978 a écrit :Cessez donc, je vous en conjure, cessez de vouloir
troubler un coeur à qui la tranquillité est si nécessaire ; ne
me forcez pas à regretter de vous avoir connu.
ça sonne un peu comme un roman harlequin, c'est ça?
Pour Eisenstein, on peut dire qu'à la limite le réel n'a aucun intérêt en dehors du sens qu'on lui donne, de la lecture qu'on en fait; le cinéma, dès lors, est conçu comme un instrument (parmi d'autres) de cette lecture : le film n'a pas à charge de reproduire ''le réel'' sans intervenir sur lui, mais au contraire de refléter ce réel en donnant en même temps un certain jugement idéologique sur lui (en tenant un discours idéologique).
J'aurais bien voulu répondre, mais il n'y a que trois phrases à la page 56 du livre que j'ai en ce moment. =D.
Je vais donc écrire la 2e phrase de la page 57. Il est hors de question que j'écrive la dernière phrase de la page 56, qui prend une demie page à elle seule.
Assurément, n'y a-t-il pas d'autre fondement à apporter à une telle métaphysique [des moeurs] que la Critique d'une raison pure pratique, tout comme, pour la métaphysique, la Critique de la raison pure spéculative que j'ai déjà publié sert de fondement.
- C'est drôle que tout le monde soit à la recherche du bonheur, mais pourtant, il y a jamais personne qui aie dit : C'est beau, je l'ai trouvé, j'ai fini. - Bernard Philie L'Heureux
- On peut déduire n'importe quoi à partir du faux. - Bertrand Russell