EPHEMERIDE: La boite à clous. Ici on trouve de tout.
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Tes dernière images page.7 (le dauphin)Saint-Luc sont vraiment trop drôle et accompagné du commentaire j'en pleurais de rire quand je les ai vues
Dernière modification par Liz.22 le jeu. juin 17, 2010 11:25 am, modifié 2 fois.
Les vrais amis viennent dans les bons moments quand on les appelle
et dans les mauvais moments, ils viennent d'eux-mêmes.
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- saintluc
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Un petit sourire pour continuer la journée
http://www.youtube.com/watch?v=_lhK52sPW5o
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Bon, les ami(e)s c'est l'heure de l'apéro
http://www.youtube.com/watch?v=C_Yb2JzU5Og Euh...Ptite chanson sympathique!! [/url]
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bon après midi ici et très bonne soirée et nuit chez moi
Allez, c'est l'heure
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Ils sont tous là?
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Allez, tous à la télé pour France Mexique
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à demain [/url]
Allez, c'est l'heure
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Ils sont tous là?
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Allez, tous à la télé pour France Mexique
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Bonjour à toustes,
Bin, nous nous sommes fait tailler un sacré costume par le Mexique
Joueurs trop payés hi! hi!
Pi aujourd'hui c'est l'anniversaire de "la pelle du 18 juin" ensuite viendra la fête des "anciens combattus"
1204
18 juin
La Normandie redevient française
Philippe Auguste, roi de France, vainc à Rouen le souverain anglais Jean sans Terre et peut ainsi prendre possession de la Normandie. Dès 1202, Philippe Auguste avait confisqué les terres de Jean, ce qui avait donné naissance à ce sobriquet peu flatteur. Le roi de France avait frappé un grand coup en prenant le célèbre Château Gaillard construit par Richard Cœur de Lion. Philippe Auguste s’emparera ensuite par les armes de l’Anjou et de la Touraine.
Voir aussi : Dossier histoire du duché de Normandie - Normandie - Philippe Auguste - Histoire de Rouen - Jean sans Terre - Histoire du Moyen-Âge
1812
18 juin
Guerre entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne
Le président des Etats-Unis James Madison déclare la guerre à la Grande-Bretagne au nom de la défense du principe de liberté des mers. La marine anglaise, sous prétexte de combattre l'Empire napoléonien, entrave le commerce américain. C'est la première fois que le Congrès américain vote une déclaration de guerre. Les combats auront lieu sur la mer et les Grands Lacs. La paix sera signée en décembre 1814.
Voir aussi : Histoire des Guerres
1815
18 juin
"Waterloo, morne plaine..."
Les troupes britanniques de Wellington et les troupes prussiennes de Blücher remportent une victoire décisive sur l'armée de Napoléon Ier à Waterloo au sud de Bruxelles. L'Empereur fatigué multiplie les erreurs tactiques. Cette défaite provoquera la chute de l'Empire napoléonien. Louis XVIII, qui avait fuit Paris lors du retour de Napoléon de l'île d'Elbe, reprendra le trône.
Voir aussi : Bataille - Napoléon - Dossier histoire de la Restauration - Dossier histoire des grandes batailles - Elbe - Histoire de l'Empire
1936
18 juin
Purges staliniennes : les procès de Moscou
Evénements symboliques des grandes purges staliniennes des années 1930, les procès de Moscou s’ouvre en URSS. Véritable mise en scène destinée à attiser la peur du complot, cette suite de procès permet de décimer l’avant-garde révolutionnaire de 1917. Presque tous les proches de Lénine seront exécutés à partir d’aveux irréalistes prononcés par les accusés. Lors du premier procès, dit des 16, Zinoviev et Kamenev sont deux des accusés. Ils sont censés avoir participé au meurtre de Kirov et à des « actes de sabotages » : le chef d’accusation est « contre-terrorisme trotsky-zinovievien ». Le procès, expéditif, s’achève dès le 24, les 16 accusés sont immédiatement exécutés.
Voir aussi : Dossier histoire de l' URSS - Staline - Histoire de Moscou - Purges - Procès de Moscou - Histoire de la Justice
1940
18 juin
L'appel du 18 juin
Le 18 juin 1940, depuis la BBC à Londres, le général de Gaulle lance un appel aux militaires français alors que le gouvernement Pétain négocie avec l'Allemagne. Son message sera diffusé sur les ondes à 22 h et rediffusée le lendemain à 16 h. Peu écouté sur le moment, il est repris dans les journaux encore libres du sud de la France puis affiché dans les rues de Londres et devient le symbole de la résistance. Réenregistré le 22 juin, le jour même de l'armistice franco-allemand, le texte s'est plusieurs fois transformé. L'appel original a d'ailleurs une tonalité moins guerrière que les versions suivantes, certains dirigeants anglais interdisant au départ à de Gaulle de stigmatiser Pétain. Le 28 juin, de Gaulle sera reconnu par Winston Churchill, comme le chef des Français libres.
Le texte original du 18 juin 1940
Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement.
Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis. Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays.
Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres.
Voir aussi : De Gaulle - Histoire de Londres - 18 juin - Appel - Histoire de la BBC - Histoire de la Deuxième Guerre mondiale
1948
18 juin
Columbia sort le 33 tours
Columbia Broadcasting Systems (CBS) lance le disque longue durée (Long Play) ou 33 tours (33 révolutions par minute). Le microsillon qui peut contenir 20 minutes de musique et permet la diffusion du son en stéréophonie, remplace le 78 tours. Pour le concurrencer, la Radio Corporation of America (RCA) met au point son propre format de disque, plus petit : le 45 tours. Les vinyles seront supplantés par les disques compacts (CD) au début des années 80.
Voir aussi : Disque - 33 tours - Histoire de la CBS - Histoire de la Chanson
1953
18 juin
Proclamation de la république d’Égypte
A la suite d'un coup d'Etat de l'organisation clandestine des "officiers libres" qui a renversé le roi Farouk un an plus tôt, la république est proclamée en Egypte. Le général Mohamed Néguib occupe les fonctions de Président de la République. Mais en désaccord avec le lieutenant-colonel Gamal Abdel Nasser, il est démis en novembre 1954. Nasser reçoit alors les pleins pouvoirs. Il mettra fin à la présence britannique en Egypte (qui a commencée en 1882) par le traité d'évacuation de la zone du canal de Suez, en juin 1956.
Voir aussi : Indépendance - Dossier histoire de l' Egypte : la république - Nasser - Histoire de la Décolonisation
1979
18 juin
Signatures des accords SALT II
Après les accords de Vladivostok en 1974 et SALT I en 1972, les négociations sur la limitation des moyens armés entre les deux protagonistes de la Guerre Froide se poursuivent. Ainsi, avec SALT II, Américains et Soviétiques définissent pour la première fois un nombre maximum précis de bombardiers et de lance-missiles tolérés, en impliquant la destruction du surnombre. Toutefois le traité n’entrera jamais en vigueur.
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1204
18 juin
La Normandie redevient française
Philippe Auguste, roi de France, vainc à Rouen le souverain anglais Jean sans Terre et peut ainsi prendre possession de la Normandie. Dès 1202, Philippe Auguste avait confisqué les terres de Jean, ce qui avait donné naissance à ce sobriquet peu flatteur. Le roi de France avait frappé un grand coup en prenant le célèbre Château Gaillard construit par Richard Cœur de Lion. Philippe Auguste s’emparera ensuite par les armes de l’Anjou et de la Touraine.
Voir aussi : Dossier histoire du duché de Normandie - Normandie - Philippe Auguste - Histoire de Rouen - Jean sans Terre - Histoire du Moyen-Âge
1812
18 juin
Guerre entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne
Le président des Etats-Unis James Madison déclare la guerre à la Grande-Bretagne au nom de la défense du principe de liberté des mers. La marine anglaise, sous prétexte de combattre l'Empire napoléonien, entrave le commerce américain. C'est la première fois que le Congrès américain vote une déclaration de guerre. Les combats auront lieu sur la mer et les Grands Lacs. La paix sera signée en décembre 1814.
Voir aussi : Histoire des Guerres
1815
18 juin
"Waterloo, morne plaine..."
Les troupes britanniques de Wellington et les troupes prussiennes de Blücher remportent une victoire décisive sur l'armée de Napoléon Ier à Waterloo au sud de Bruxelles. L'Empereur fatigué multiplie les erreurs tactiques. Cette défaite provoquera la chute de l'Empire napoléonien. Louis XVIII, qui avait fuit Paris lors du retour de Napoléon de l'île d'Elbe, reprendra le trône.
Voir aussi : Bataille - Napoléon - Dossier histoire de la Restauration - Dossier histoire des grandes batailles - Elbe - Histoire de l'Empire
1936
18 juin
Purges staliniennes : les procès de Moscou
Evénements symboliques des grandes purges staliniennes des années 1930, les procès de Moscou s’ouvre en URSS. Véritable mise en scène destinée à attiser la peur du complot, cette suite de procès permet de décimer l’avant-garde révolutionnaire de 1917. Presque tous les proches de Lénine seront exécutés à partir d’aveux irréalistes prononcés par les accusés. Lors du premier procès, dit des 16, Zinoviev et Kamenev sont deux des accusés. Ils sont censés avoir participé au meurtre de Kirov et à des « actes de sabotages » : le chef d’accusation est « contre-terrorisme trotsky-zinovievien ». Le procès, expéditif, s’achève dès le 24, les 16 accusés sont immédiatement exécutés.
Voir aussi : Dossier histoire de l' URSS - Staline - Histoire de Moscou - Purges - Procès de Moscou - Histoire de la Justice
1940
18 juin
L'appel du 18 juin
Le 18 juin 1940, depuis la BBC à Londres, le général de Gaulle lance un appel aux militaires français alors que le gouvernement Pétain négocie avec l'Allemagne. Son message sera diffusé sur les ondes à 22 h et rediffusée le lendemain à 16 h. Peu écouté sur le moment, il est repris dans les journaux encore libres du sud de la France puis affiché dans les rues de Londres et devient le symbole de la résistance. Réenregistré le 22 juin, le jour même de l'armistice franco-allemand, le texte s'est plusieurs fois transformé. L'appel original a d'ailleurs une tonalité moins guerrière que les versions suivantes, certains dirigeants anglais interdisant au départ à de Gaulle de stigmatiser Pétain. Le 28 juin, de Gaulle sera reconnu par Winston Churchill, comme le chef des Français libres.
Le texte original du 18 juin 1940
Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises, ont formé un gouvernement.
Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis. Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays.
Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres.
Voir aussi : De Gaulle - Histoire de Londres - 18 juin - Appel - Histoire de la BBC - Histoire de la Deuxième Guerre mondiale
1948
18 juin
Columbia sort le 33 tours
Columbia Broadcasting Systems (CBS) lance le disque longue durée (Long Play) ou 33 tours (33 révolutions par minute). Le microsillon qui peut contenir 20 minutes de musique et permet la diffusion du son en stéréophonie, remplace le 78 tours. Pour le concurrencer, la Radio Corporation of America (RCA) met au point son propre format de disque, plus petit : le 45 tours. Les vinyles seront supplantés par les disques compacts (CD) au début des années 80.
Voir aussi : Disque - 33 tours - Histoire de la CBS - Histoire de la Chanson
1953
18 juin
Proclamation de la république d’Égypte
A la suite d'un coup d'Etat de l'organisation clandestine des "officiers libres" qui a renversé le roi Farouk un an plus tôt, la république est proclamée en Egypte. Le général Mohamed Néguib occupe les fonctions de Président de la République. Mais en désaccord avec le lieutenant-colonel Gamal Abdel Nasser, il est démis en novembre 1954. Nasser reçoit alors les pleins pouvoirs. Il mettra fin à la présence britannique en Egypte (qui a commencée en 1882) par le traité d'évacuation de la zone du canal de Suez, en juin 1956.
Voir aussi : Indépendance - Dossier histoire de l' Egypte : la république - Nasser - Histoire de la Décolonisation
1979
18 juin
Signatures des accords SALT II
Après les accords de Vladivostok en 1974 et SALT I en 1972, les négociations sur la limitation des moyens armés entre les deux protagonistes de la Guerre Froide se poursuivent. Ainsi, avec SALT II, Américains et Soviétiques définissent pour la première fois un nombre maximum précis de bombardiers et de lance-missiles tolérés, en impliquant la destruction du surnombre. Toutefois le traité n’entrera jamais en vigueur.
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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La bataille de Waterloo s'est déroulée le 18 juin 1815. Elle s'est terminée par la victoire décisive de deux armées : celle des alliés composée principalement de Britanniques, d'Allemands (contingents du Hanovre, du Brunswick, du Nassau) et de Néerlandais (Belgo-hollandais), commandée par le duc de Wellington, et celle des Prussiens, commandée par le maréchal Blücher ; toutes deux opposées à l'armée française dite Armée du Nord emmenée par l'empereur Napoléon Ier.
La commune de Waterloo se situe à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, en Belgique. Toutefois, les combats n'eurent pas lieu à Waterloo mais un peu plus au sud, sur le territoire des communes actuelles de Lasne et de Braine-l'Alleud. La bataille a souvent été appelée en France « bataille de Mont Saint-Jean », lieu plus précis de l'engagement effectif[1]. En Allemagne, elle est appelée « bataille de la Belle-Alliance ».
Cette bataille est la dernière à laquelle prit part directement Napoléon Bonaparte, qui avait repris le contrôle de la France durant la période dite des Cent-Jours. Malgré son désir de poursuivre la lutte avec de nouvelles forces qui se reconstituaient, il dut, par manque de soutien politique, abdiquer quatre jours après son retour à Paris.
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En mars 1815, une nouvelle coalition se constitue au Congrès de Vienne pour combattre Napoléon, qui a quitté l'île d'Elbe. Louis XVIII a fui à Gand. L'armée des alliés de Wellington et l'armée prussienne de Blücher arrivent les premières en Belgique.
Napoléon préfère ne pas attendre l'offensive des Alliés et se lance à l'attaque, espérant séparer Wellington et Blücher et les battre en détail.
Repoussant les Prussiens, il franchit la Sambre à Charleroi le 15 juin mais ne peut empêcher un ralliement partiel des unités alliées.
Le 16 juin, les troupes françaises sont, le même jour, opposées à des unités de Wellington aux Quatre-Bras (une dizaine de kilomètres au sud du champ de bataille de Waterloo) et à trois des quatre corps prussiens à Ligny (une dizaine de kilomètres au sud-est des Quatre-Bras).
Le commandement de l'aile gauche française (1er et 2e Corps) est confié au maréchal Ney avec la mission de s'emparer des Quatre-Bras. Ney perd beaucoup de temps, ce qui permet l'arrivée de renforts alliés.
Avec les 3e et 4e Corps, Napoléon parvient à fixer les Prussiens à Ligny. Il veut saisir l'occasion pour les neutraliser définitivement. Pour cela, il ordonne au 1er Corps (réserve de Ney) de venir couper les arrières prussiens, quitte à retarder la prise des Quatre-Bras. Mal ou non informé de cette décision de l'Empereur, Ney rappelle cette unité qui fera donc un aller-retour inutile, privant ainsi Napoléon d'une victoire décisive sur les Prussiens.
L'armée de Blücher perd 12 000 hommes à Ligny. Les pertes françaises s'élèvent à environ 7 000. Le vieux maréchal de 73 ans, dont le cheval a été tué, échappe de peu à la capture mais son brillant chef d'état-major, Gneisenau, organise un repli remarquable sur Wavre sauvegardant la possibilité de rejoindre Wellington. L'armée prussienne est battue mais pas vaincue, elle a sauvé l'essentiel de son artillerie et surtout conservé son esprit combatif. Napoléon, au contraire, surestime les effets de ce qui n'est qu'un succès tactique, pense les Prussiens hors de combat et en retraite vers Namur et Liège. Ce n'est que le lendemain, le 17, que Napoléon confie le commandement de son aile droite (34 000 hommes) au maréchal Grouchy avec mission de poursuivre les Prussiens.
Informé de la défaite des Prussiens, Wellington fait replier ses unités des Quatre-Bras sur la position reconnue de Mont Saint-Jean où Blücher a promis de le rejoindre. Le mouvement se fait discrètement, couvert par la cavalerie. Ney ne s'en aperçoit que le 17 après-midi alors que l'orage transforme le terrain en bourbier.
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L'armée de Wellington, appelée « Armée des Alliés », comprend, à Waterloo, 68 000 hommes répartis comme suit : 25 000 Britanniques, 17 000 Belgo-Hollandais, 10 000 Hanovriens, 7 000 Brunswickois, 6 000 hommes de la King's German Legion et 3 000 Nassauviens.
Wellington a déployé son armée sur le plateau de Mont-Saint-Jean, face au sud, de part et d'autre de l'axe Charleroi-Bruxelles. Par mesure de protection et de surprise, la plupart des unités sont sur la contre-pente mais le dispositif est précédé, d'ouest en est, par trois points d'appui constitués de grosses fermes barricadées et défendues : Hougoumont, La Haye Sainte et Papelotte.
Le matin du 18 juin, l'armée de Napoléon (71 600 hommes) prend position à environ un kilomètre au sud du plateau avec :
à l'ouest de la route, le IIe Corps de Reille (20 000 hommes) précédant le IIIe Corps de cavalerie de Kellermann (3 400 cavaliers) et la division de cavalerie de la Garde de Guyot (2 100 cavaliers) ;
à l'est de la route, le Ier corps de Drouet d'Erlon (20 000 hommes) précédant le IVe Corps de cavalerie de Milhaud (2 700 cavaliers) et la division de cavalerie de la Garde de Lefèbvre-Desnouettes (2 000 cavaliers).
en arrière, le VIe Corps de Lobau (10 000 hommes), les divisions de cavalerie de Domon et de Subervie (chacune 1 200 cavaliers) et trois divisions d'infanterie de la Garde (9 000 hommes).
Numériquement, Napoléon n'a qu'une très légère supériorité en hommes mais son artillerie est beaucoup plus nombreuse.
Le plan de Napoléon est de mener l'attaque principale à l'est et au centre en y incluant la ferme de la Haye Sainte (centre du dispositif allié). Il fait déployer 80 canons (appelés la grande batterie) devant le Ier Corps.
Afin d'attirer les réserves de Wellington vers l'ouest, il charge d'abord le IIe Corps de lancer, avec uniquement la division Jérôme (commandée par le frère de l'Empereur), une attaque de diversion à l'ouest, sur la ferme Hougoumont.
Il a plu toute la nuit; le terrain est détrempé. La mise en place de l'artillerie, dans la boue, est difficile. Le début de l'attaque est retardé. Par la suite, l'efficacité des tirs est réduite (les boulets s'enfoncent dans la terre au lieu de rebondir par ricochets). La progression de l’infanterie et de la cavalerie n'est guère aisée.
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À 11h30, à l'ouest, démarre l'attaque de diversion menée par le Prince Jérôme contre le château-ferme de Hougoumont. Le Prince s'acharne et, malgré le renfort d'une brigade voisine, toutes les attaques françaises sont repoussées. À 13h30, quelques hommes parviennent à pénétrer par une brèche ouverte à coups de hache dans une porte ; ils sont tous massacrés sauf un jeune tambour. Hougoumont devient, durant toute la journée, une bataille dans la bataille mobilisant inutilement 8 000 hommes du côté français contre seulement 2 000 du côté allié.
À 13h00, à l'est, les quatre-vingts canons de la grande batterie déployés sur 1 400 mètres ouvrent le feu. À 13h30, le 1er Corps d'Erlon démarre la progression avec ses quatre divisions d'infanterie. Chaque division a un front d'environ 140 mètres (180 hommes) et une profondeur de 24 rangs. À l'ouest du dispositif d'Erlon, la division commandée par Quiot (en l'absence d'Allix) est chargée de prendre la Haye Sainte. Elle est flanquée d'une brigade de cuirassiers du Corps Milhaud (deux, selon certaines sources qui citent les brigades Travers et Dubois).
La Haye Sainte est fermement défendue par le bataillon du major George Baring de la King's German Legion. À l'est de la ferme, le général britannique Picton (qui y sera tué) mène une contre-attaque avec des régiments d'infanterie écossais. Wellington charge le commandant de sa cavalerie, Lord Uxbridge, de faire contre-attaquer les brigades de cavalerie lourde Sommerset et Ponsonby (dont les célèbres Scots Greys). Les Français, surpris en plein déploiement, sont sévèrement étrillés et se replient en désordre, subissant de lourdes pertes. Dans leur élan, les deux brigades de cavalerie britanniques vont même jusqu'à attaquer la grande batterie mais elles se font alors décimer par la cavalerie française restée en arrière et sont mises définitivement hors combat.
Malgré les déboires de la cavalerie lourde britannique et la mort du très compétent Picton, c'est un nouveau succès défensif pour l'armée de Wellington.
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À 15h00, après réorganisation du 1er Corps et nouveau tir de préparation de la grande batterie, une nouvelle attaque est menée pour s'emparer du verrou que constitue la Haye Sainte. Suite à la canonnade, Wellington fait replier son centre. Ney croit à un repli général. D'initiative, il entraîne tous les cuirassiers de Milhaud suivis par la division de cavalerie de Lefèbvre-Desnouettes dans des charges à l'ouest de La Haye Sainte, là où l'infanterie alliée est toujours intacte. C'est le fameux affrontement de la cavalerie française et des carrés d'infanterie britannique. C'est aussi l'épisode (exagéré par Victor Hugo dans Les Misérables) du chemin creux.
Napoléon estime l'action prématurée mais, à 17h00, vu la situation, envoie, en renfort, le corps de cavalerie de Kellermann et la division de cavalerie de Guyot. Avec la cavalerie déjà engagée, cela fait un total de plus de 10 000 cavaliers français.
Entre-temps, de 14 à 16 heures, Napoléon a dû déployer sur son flanc est les divisions de cavalerie Domon et Subervie et le VIe Corps de Lobau afin de faire face à l'arrivée inopinée de l'avant-garde prussienne. Comme Napoléon a négligé ou ignoré le risque d'une intervention prussienne, les premiers éléments du IVème Corps de Blücher ont pu déboucher du défilé de la Lasnes et occuper le bois de Paris sans aucune opposition. Quant à Grouchy, Napoléon lui aurait fait envoyer un courrier à lui ordonnant de se rapprocher. Les heures d'envoi, de réception et l'interprétation du message font l'objet de discussions entre historiens. Le maréchal Soult, chef d'état-major à Waterloo, chargé de transmettre et de faire exécuter les ordres de l'Empereur, n'avait pas, dans cette fonction, la rigueur et l'efficacité de Berthier. Il est de toute façon trop tard pour que Grouchy puisse intervenir sur le champ de bataille. A 16h30, le IVème Corps prussien attaque vers Plancenoit. Napoléon est face à une menace mortelle de débordement sur son flanc droit.
Sur le front principal (devant l'actuel Lion de Waterloo élevé à l'endroit où le prince héritier des Pays-Bas fut blessé), la bataille continue à faire rage. Lors de chaque charge française, les artilleurs britanniques se replient dans les carrés. Les canons alliés, placés en avant, ne sont ni encloués (enfoncement d'un clou dans la lumière de la pièce rendant sa mise à feu impossible) ni emportés si bien qu'ils redeviennent utilisables avant chaque nouvelle charge. Il y en a plus d'une dizaine et Ney a cinq chevaux tués sous lui. Erreur tactique, la cavalerie française n'est pas suivie d'infanterie et le IIe Corps de Reille (moins la division Jérôme engagée à Hougoumont) n'attaque qu'à 18h30. À ce moment, la Haye Sainte tombe enfin aux mains des Français. Ney fait avancer des canons qui prennent d'enfilade les positions britanniques. La situation des Alliés est critique. Ney demande des renforts pour en finir mais vu la menace prussienne, Napoléon refuse.
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La commune de Waterloo se situe à une vingtaine de kilomètres au sud de Bruxelles, en Belgique. Toutefois, les combats n'eurent pas lieu à Waterloo mais un peu plus au sud, sur le territoire des communes actuelles de Lasne et de Braine-l'Alleud. La bataille a souvent été appelée en France « bataille de Mont Saint-Jean », lieu plus précis de l'engagement effectif[1]. En Allemagne, elle est appelée « bataille de la Belle-Alliance ».
Cette bataille est la dernière à laquelle prit part directement Napoléon Bonaparte, qui avait repris le contrôle de la France durant la période dite des Cent-Jours. Malgré son désir de poursuivre la lutte avec de nouvelles forces qui se reconstituaient, il dut, par manque de soutien politique, abdiquer quatre jours après son retour à Paris.
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En mars 1815, une nouvelle coalition se constitue au Congrès de Vienne pour combattre Napoléon, qui a quitté l'île d'Elbe. Louis XVIII a fui à Gand. L'armée des alliés de Wellington et l'armée prussienne de Blücher arrivent les premières en Belgique.
Napoléon préfère ne pas attendre l'offensive des Alliés et se lance à l'attaque, espérant séparer Wellington et Blücher et les battre en détail.
Repoussant les Prussiens, il franchit la Sambre à Charleroi le 15 juin mais ne peut empêcher un ralliement partiel des unités alliées.
Le 16 juin, les troupes françaises sont, le même jour, opposées à des unités de Wellington aux Quatre-Bras (une dizaine de kilomètres au sud du champ de bataille de Waterloo) et à trois des quatre corps prussiens à Ligny (une dizaine de kilomètres au sud-est des Quatre-Bras).
Le commandement de l'aile gauche française (1er et 2e Corps) est confié au maréchal Ney avec la mission de s'emparer des Quatre-Bras. Ney perd beaucoup de temps, ce qui permet l'arrivée de renforts alliés.
Avec les 3e et 4e Corps, Napoléon parvient à fixer les Prussiens à Ligny. Il veut saisir l'occasion pour les neutraliser définitivement. Pour cela, il ordonne au 1er Corps (réserve de Ney) de venir couper les arrières prussiens, quitte à retarder la prise des Quatre-Bras. Mal ou non informé de cette décision de l'Empereur, Ney rappelle cette unité qui fera donc un aller-retour inutile, privant ainsi Napoléon d'une victoire décisive sur les Prussiens.
L'armée de Blücher perd 12 000 hommes à Ligny. Les pertes françaises s'élèvent à environ 7 000. Le vieux maréchal de 73 ans, dont le cheval a été tué, échappe de peu à la capture mais son brillant chef d'état-major, Gneisenau, organise un repli remarquable sur Wavre sauvegardant la possibilité de rejoindre Wellington. L'armée prussienne est battue mais pas vaincue, elle a sauvé l'essentiel de son artillerie et surtout conservé son esprit combatif. Napoléon, au contraire, surestime les effets de ce qui n'est qu'un succès tactique, pense les Prussiens hors de combat et en retraite vers Namur et Liège. Ce n'est que le lendemain, le 17, que Napoléon confie le commandement de son aile droite (34 000 hommes) au maréchal Grouchy avec mission de poursuivre les Prussiens.
Informé de la défaite des Prussiens, Wellington fait replier ses unités des Quatre-Bras sur la position reconnue de Mont Saint-Jean où Blücher a promis de le rejoindre. Le mouvement se fait discrètement, couvert par la cavalerie. Ney ne s'en aperçoit que le 17 après-midi alors que l'orage transforme le terrain en bourbier.
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L'armée de Wellington, appelée « Armée des Alliés », comprend, à Waterloo, 68 000 hommes répartis comme suit : 25 000 Britanniques, 17 000 Belgo-Hollandais, 10 000 Hanovriens, 7 000 Brunswickois, 6 000 hommes de la King's German Legion et 3 000 Nassauviens.
Wellington a déployé son armée sur le plateau de Mont-Saint-Jean, face au sud, de part et d'autre de l'axe Charleroi-Bruxelles. Par mesure de protection et de surprise, la plupart des unités sont sur la contre-pente mais le dispositif est précédé, d'ouest en est, par trois points d'appui constitués de grosses fermes barricadées et défendues : Hougoumont, La Haye Sainte et Papelotte.
Le matin du 18 juin, l'armée de Napoléon (71 600 hommes) prend position à environ un kilomètre au sud du plateau avec :
à l'ouest de la route, le IIe Corps de Reille (20 000 hommes) précédant le IIIe Corps de cavalerie de Kellermann (3 400 cavaliers) et la division de cavalerie de la Garde de Guyot (2 100 cavaliers) ;
à l'est de la route, le Ier corps de Drouet d'Erlon (20 000 hommes) précédant le IVe Corps de cavalerie de Milhaud (2 700 cavaliers) et la division de cavalerie de la Garde de Lefèbvre-Desnouettes (2 000 cavaliers).
en arrière, le VIe Corps de Lobau (10 000 hommes), les divisions de cavalerie de Domon et de Subervie (chacune 1 200 cavaliers) et trois divisions d'infanterie de la Garde (9 000 hommes).
Numériquement, Napoléon n'a qu'une très légère supériorité en hommes mais son artillerie est beaucoup plus nombreuse.
Le plan de Napoléon est de mener l'attaque principale à l'est et au centre en y incluant la ferme de la Haye Sainte (centre du dispositif allié). Il fait déployer 80 canons (appelés la grande batterie) devant le Ier Corps.
Afin d'attirer les réserves de Wellington vers l'ouest, il charge d'abord le IIe Corps de lancer, avec uniquement la division Jérôme (commandée par le frère de l'Empereur), une attaque de diversion à l'ouest, sur la ferme Hougoumont.
Il a plu toute la nuit; le terrain est détrempé. La mise en place de l'artillerie, dans la boue, est difficile. Le début de l'attaque est retardé. Par la suite, l'efficacité des tirs est réduite (les boulets s'enfoncent dans la terre au lieu de rebondir par ricochets). La progression de l’infanterie et de la cavalerie n'est guère aisée.
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À 11h30, à l'ouest, démarre l'attaque de diversion menée par le Prince Jérôme contre le château-ferme de Hougoumont. Le Prince s'acharne et, malgré le renfort d'une brigade voisine, toutes les attaques françaises sont repoussées. À 13h30, quelques hommes parviennent à pénétrer par une brèche ouverte à coups de hache dans une porte ; ils sont tous massacrés sauf un jeune tambour. Hougoumont devient, durant toute la journée, une bataille dans la bataille mobilisant inutilement 8 000 hommes du côté français contre seulement 2 000 du côté allié.
À 13h00, à l'est, les quatre-vingts canons de la grande batterie déployés sur 1 400 mètres ouvrent le feu. À 13h30, le 1er Corps d'Erlon démarre la progression avec ses quatre divisions d'infanterie. Chaque division a un front d'environ 140 mètres (180 hommes) et une profondeur de 24 rangs. À l'ouest du dispositif d'Erlon, la division commandée par Quiot (en l'absence d'Allix) est chargée de prendre la Haye Sainte. Elle est flanquée d'une brigade de cuirassiers du Corps Milhaud (deux, selon certaines sources qui citent les brigades Travers et Dubois).
La Haye Sainte est fermement défendue par le bataillon du major George Baring de la King's German Legion. À l'est de la ferme, le général britannique Picton (qui y sera tué) mène une contre-attaque avec des régiments d'infanterie écossais. Wellington charge le commandant de sa cavalerie, Lord Uxbridge, de faire contre-attaquer les brigades de cavalerie lourde Sommerset et Ponsonby (dont les célèbres Scots Greys). Les Français, surpris en plein déploiement, sont sévèrement étrillés et se replient en désordre, subissant de lourdes pertes. Dans leur élan, les deux brigades de cavalerie britanniques vont même jusqu'à attaquer la grande batterie mais elles se font alors décimer par la cavalerie française restée en arrière et sont mises définitivement hors combat.
Malgré les déboires de la cavalerie lourde britannique et la mort du très compétent Picton, c'est un nouveau succès défensif pour l'armée de Wellington.
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À 15h00, après réorganisation du 1er Corps et nouveau tir de préparation de la grande batterie, une nouvelle attaque est menée pour s'emparer du verrou que constitue la Haye Sainte. Suite à la canonnade, Wellington fait replier son centre. Ney croit à un repli général. D'initiative, il entraîne tous les cuirassiers de Milhaud suivis par la division de cavalerie de Lefèbvre-Desnouettes dans des charges à l'ouest de La Haye Sainte, là où l'infanterie alliée est toujours intacte. C'est le fameux affrontement de la cavalerie française et des carrés d'infanterie britannique. C'est aussi l'épisode (exagéré par Victor Hugo dans Les Misérables) du chemin creux.
Napoléon estime l'action prématurée mais, à 17h00, vu la situation, envoie, en renfort, le corps de cavalerie de Kellermann et la division de cavalerie de Guyot. Avec la cavalerie déjà engagée, cela fait un total de plus de 10 000 cavaliers français.
Entre-temps, de 14 à 16 heures, Napoléon a dû déployer sur son flanc est les divisions de cavalerie Domon et Subervie et le VIe Corps de Lobau afin de faire face à l'arrivée inopinée de l'avant-garde prussienne. Comme Napoléon a négligé ou ignoré le risque d'une intervention prussienne, les premiers éléments du IVème Corps de Blücher ont pu déboucher du défilé de la Lasnes et occuper le bois de Paris sans aucune opposition. Quant à Grouchy, Napoléon lui aurait fait envoyer un courrier à lui ordonnant de se rapprocher. Les heures d'envoi, de réception et l'interprétation du message font l'objet de discussions entre historiens. Le maréchal Soult, chef d'état-major à Waterloo, chargé de transmettre et de faire exécuter les ordres de l'Empereur, n'avait pas, dans cette fonction, la rigueur et l'efficacité de Berthier. Il est de toute façon trop tard pour que Grouchy puisse intervenir sur le champ de bataille. A 16h30, le IVème Corps prussien attaque vers Plancenoit. Napoléon est face à une menace mortelle de débordement sur son flanc droit.
Sur le front principal (devant l'actuel Lion de Waterloo élevé à l'endroit où le prince héritier des Pays-Bas fut blessé), la bataille continue à faire rage. Lors de chaque charge française, les artilleurs britanniques se replient dans les carrés. Les canons alliés, placés en avant, ne sont ni encloués (enfoncement d'un clou dans la lumière de la pièce rendant sa mise à feu impossible) ni emportés si bien qu'ils redeviennent utilisables avant chaque nouvelle charge. Il y en a plus d'une dizaine et Ney a cinq chevaux tués sous lui. Erreur tactique, la cavalerie française n'est pas suivie d'infanterie et le IIe Corps de Reille (moins la division Jérôme engagée à Hougoumont) n'attaque qu'à 18h30. À ce moment, la Haye Sainte tombe enfin aux mains des Français. Ney fait avancer des canons qui prennent d'enfilade les positions britanniques. La situation des Alliés est critique. Ney demande des renforts pour en finir mais vu la menace prussienne, Napoléon refuse.
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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SUITE
Sur le flanc est, sous la pression des Prussiens du IVème Corps (Bülow), le corps de Lobau débordé a dû se replier. Plancenoit tombe aux mains des Prussiens vers 18h00. La division de la Jeune Garde commandée par Duhesme est envoyée pour reprendre le village, ce qu'elle réussit à faire mais un nouvel assaut des Prussiens les en chasse. Renforcés par deux bataillons de la Vieille Garde, les Français parviennent cependant à déloger l'ennemi à la baïonnette peu après 19h00. Le flanc droit de l'Armée impériale est momentanément stabilisé mais Napoléon a dû utiliser une partie de ses réserves.
Protégé à l'est par l'arrivée des Prussiens du Ier Corps (Von Zieten), Wellington peut récupérer des unités pour renforcer son centre. Aussi, à 19h30, quand Napoléon fait donner la Garde sur les positions alliées, il est trop tard. Les grenadiers de Friant et les chasseurs à pied de Morant (dont fait partie le célèbre général Cambronne) ne peuvent rien contre la conjugaison de l'artillerie, de l'infanterie et de la cavalerie de Wellington. La Garde impériale recule, ce qui jette le désarroi dans le reste de l’armée française.
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A la vue de la Garde en retraite, certaines unités françaises commencent à se débander. Les Prussiens de Von Zieten (Ier Corps) accentuent leur pression sur la Papelotte mais, surtout, les renforts continuels que reçoit le IVeme Corps prussien lui permettent de conquérir définitivement Plancenoit et de menacer directement les arrières de Napoléon. La panique gagne l'ensemble du front français et la déroute s'amplifie. Wellington lance l'ensemble de l'armée alliée en avant. Toute résistance organisée cesse. Hormis quelques rares bataillons de la Garde, l'Armée du Nord s'enfuit dans le plus complet désordre, abandonnant l'essentiel de ses bagages et de son artillerie. Vers 22h00, Wellington et Blücher se rencontrent. La légende veut que se soit à la ferme de la Belle-Alliance (nom prédestiné dû au mariage d'un valet de ferme avec sa riche patronne devenue veuve). Plus vraisemblablement, cette rencontre a eu lieu au sud, à l'approche de Genappe. Napoléon a fui, échappant de peu aux avant-gardes prussiennes. Wellington, dont les troupes sont épuisées, laisse aux Prussiens la tâche de poursuivre. Wellington rentre à son QG, y rédige son rapport et donne à la bataille le nom de l'endroit où il se trouve : Waterloo.
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Les principales causes de la défaite française sont les suivantes :
Du côté français :
Sous-estimation par Napoléon de la cohésion des troupes alliées et prussiennes et mauvaise perception des résultats, non décisifs, de la bataille de Ligny.
Mauvaises transmissions et ambiguïté des ordres : à Ney (1er Corps à Ligny), à Grouchy bloqué à Wavre : l'important n'était pas que Grouchy rejoigne Waterloo mais qu'il empêche les Prussiens d'y arriver.
Engagements tardifs le 16 juin aux Quatre-Bras et à Ligny et le 18 juin à Waterloo où la bataille aurait pu commencer plus tôt (l'état du terrain n'a pas contrecarré les mouvements prussiens !) et où la Garde aurait pu « donner » lorsque Ney demandait des renforts pour l'estocade.
Manque de coordination des armes : Jérome attaque Hougoumont sans préparation d'artillerie ; Ney lance des charges de cavalerie en oubliant son infanterie ; la Garde « donne » sans appui d'artillerie et quand il n'y a plus de cavalerie.
Mauvais choix du lieu des dernières attaques : Ney lance ses charges de cavalerie à l'ouest de la Haye Sainte où la position alliée est la plus solide alors que l'infanterie n'y a même pas été fragilisée ; la Garde attaque à l'ouest (emmenée par Ney) plutôt qu'à la Haye Sainte.
Détail non négligeable : les canons alliés capturés sont laissés intacts, permettant à chaque fois aux artilleurs de Wellington de les réutiliser.
Du côté allié et prussien :
Cohésion meilleure que ce qu'on pouvait attendre de l'armée de Wellington, pourtant composée de troupes de multiple provenance.
Connaissance du terrain par Wellington qui avait repéré les lieux un an avant et a décidé du lieu de bataille.
Sang-froid et ténacité des troupes alliées dont très peu d'éléments se débanderont malgré les attaques répétées des Français.
Combativité et allant des troupes prussiennes jamais découragées par les revers initiaux.
Décision de Gneisenau après Ligny de retraiter vers Wavre et donc de rester potentiellement en contact avec Wellington.
Energie de Blücher qui pousse ses troupes en avant et les lance sur les Français alors qu'elles ne se sont pas encore regroupées. Son activité jusqu'à la nuit tombée transformera la défaite française en désastre irréparable.
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Sur le flanc est, sous la pression des Prussiens du IVème Corps (Bülow), le corps de Lobau débordé a dû se replier. Plancenoit tombe aux mains des Prussiens vers 18h00. La division de la Jeune Garde commandée par Duhesme est envoyée pour reprendre le village, ce qu'elle réussit à faire mais un nouvel assaut des Prussiens les en chasse. Renforcés par deux bataillons de la Vieille Garde, les Français parviennent cependant à déloger l'ennemi à la baïonnette peu après 19h00. Le flanc droit de l'Armée impériale est momentanément stabilisé mais Napoléon a dû utiliser une partie de ses réserves.
Protégé à l'est par l'arrivée des Prussiens du Ier Corps (Von Zieten), Wellington peut récupérer des unités pour renforcer son centre. Aussi, à 19h30, quand Napoléon fait donner la Garde sur les positions alliées, il est trop tard. Les grenadiers de Friant et les chasseurs à pied de Morant (dont fait partie le célèbre général Cambronne) ne peuvent rien contre la conjugaison de l'artillerie, de l'infanterie et de la cavalerie de Wellington. La Garde impériale recule, ce qui jette le désarroi dans le reste de l’armée française.
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A la vue de la Garde en retraite, certaines unités françaises commencent à se débander. Les Prussiens de Von Zieten (Ier Corps) accentuent leur pression sur la Papelotte mais, surtout, les renforts continuels que reçoit le IVeme Corps prussien lui permettent de conquérir définitivement Plancenoit et de menacer directement les arrières de Napoléon. La panique gagne l'ensemble du front français et la déroute s'amplifie. Wellington lance l'ensemble de l'armée alliée en avant. Toute résistance organisée cesse. Hormis quelques rares bataillons de la Garde, l'Armée du Nord s'enfuit dans le plus complet désordre, abandonnant l'essentiel de ses bagages et de son artillerie. Vers 22h00, Wellington et Blücher se rencontrent. La légende veut que se soit à la ferme de la Belle-Alliance (nom prédestiné dû au mariage d'un valet de ferme avec sa riche patronne devenue veuve). Plus vraisemblablement, cette rencontre a eu lieu au sud, à l'approche de Genappe. Napoléon a fui, échappant de peu aux avant-gardes prussiennes. Wellington, dont les troupes sont épuisées, laisse aux Prussiens la tâche de poursuivre. Wellington rentre à son QG, y rédige son rapport et donne à la bataille le nom de l'endroit où il se trouve : Waterloo.
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Les principales causes de la défaite française sont les suivantes :
Du côté français :
Sous-estimation par Napoléon de la cohésion des troupes alliées et prussiennes et mauvaise perception des résultats, non décisifs, de la bataille de Ligny.
Mauvaises transmissions et ambiguïté des ordres : à Ney (1er Corps à Ligny), à Grouchy bloqué à Wavre : l'important n'était pas que Grouchy rejoigne Waterloo mais qu'il empêche les Prussiens d'y arriver.
Engagements tardifs le 16 juin aux Quatre-Bras et à Ligny et le 18 juin à Waterloo où la bataille aurait pu commencer plus tôt (l'état du terrain n'a pas contrecarré les mouvements prussiens !) et où la Garde aurait pu « donner » lorsque Ney demandait des renforts pour l'estocade.
Manque de coordination des armes : Jérome attaque Hougoumont sans préparation d'artillerie ; Ney lance des charges de cavalerie en oubliant son infanterie ; la Garde « donne » sans appui d'artillerie et quand il n'y a plus de cavalerie.
Mauvais choix du lieu des dernières attaques : Ney lance ses charges de cavalerie à l'ouest de la Haye Sainte où la position alliée est la plus solide alors que l'infanterie n'y a même pas été fragilisée ; la Garde attaque à l'ouest (emmenée par Ney) plutôt qu'à la Haye Sainte.
Détail non négligeable : les canons alliés capturés sont laissés intacts, permettant à chaque fois aux artilleurs de Wellington de les réutiliser.
Du côté allié et prussien :
Cohésion meilleure que ce qu'on pouvait attendre de l'armée de Wellington, pourtant composée de troupes de multiple provenance.
Connaissance du terrain par Wellington qui avait repéré les lieux un an avant et a décidé du lieu de bataille.
Sang-froid et ténacité des troupes alliées dont très peu d'éléments se débanderont malgré les attaques répétées des Français.
Combativité et allant des troupes prussiennes jamais découragées par les revers initiaux.
Décision de Gneisenau après Ligny de retraiter vers Wavre et donc de rester potentiellement en contact avec Wellington.
Energie de Blücher qui pousse ses troupes en avant et les lance sur les Français alors qu'elles ne se sont pas encore regroupées. Son activité jusqu'à la nuit tombée transformera la défaite française en désastre irréparable.
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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bonjour Liz, ou plutôt : bonne nuit
Le petit doc du jour
http://www.tagtele.com/videos/voir/38522
La vie en corée du nord (Documentaire)
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Le petit doc du jour
http://www.tagtele.com/videos/voir/38522
La vie en corée du nord (Documentaire)
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Bon, je post tout en vrac car bientôt le départ jusqu'à lundi. Vous aurez de la lecture, des docs, de la musique etc......
http://www.youtube.com/watch?v=xhtG5YrQ-lY Sweet Emma "I Ain't Gonna Give Nobody None Of My Jellyroll"
[url]
http://www.udenap.org/castor/2009_12_21 ... barret.jpg Lightnin' hopkins - lonesome road
[/url]
http://www.youtube.com/watch?v=9-UhqU9bEsw Oliver N'GOMA : Ngé
[url]
http://www.youtube.com/watch?v=XEGim_DsqJs Taj Mahal - Linda Lu (bluesman)
http://www.youtube.com/watch?v=LjpIijRirUs Taj Mahal - Queen Bee
http://www.youtube.com/watch?v=DpPXgjsjgAw Taj Mahal - Senor Blues
http://www.youtube.com/watch?v=7ToTDjrupjk Taj Mahal - Squat That Rabbit
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http://www.youtube.com/watch?v=xhtG5YrQ-lY Sweet Emma "I Ain't Gonna Give Nobody None Of My Jellyroll"
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http://www.udenap.org/castor/2009_12_21 ... barret.jpg Lightnin' hopkins - lonesome road
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http://www.youtube.com/watch?v=XEGim_DsqJs Taj Mahal - Linda Lu (bluesman)
http://www.youtube.com/watch?v=LjpIijRirUs Taj Mahal - Queen Bee
http://www.youtube.com/watch?v=DpPXgjsjgAw Taj Mahal - Senor Blues
http://www.youtube.com/watch?v=7ToTDjrupjk Taj Mahal - Squat That Rabbit
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Bon, je pourrai vous parler de Moliere....
Mais vous connaissez toustes "Les fous rires de Scapin"
Ou vous parler de Freud et de Sally Bido?
Pfffff, vous parler de notre société?
De l'alcoolisme dont le premier motif est la boisson.
Non, je vais vous faire rire, et que vous chantiez toustes
http://www.youtube.com/watch?v=3iis5wgRJdA De profundis morpionibus
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Mais vous connaissez toustes "Les fous rires de Scapin"
Ou vous parler de Freud et de Sally Bido?
Pfffff, vous parler de notre société?
De l'alcoolisme dont le premier motif est la boisson.
Non, je vais vous faire rire, et que vous chantiez toustes
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