SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Porte Antigua de BisagraLa Porte Antigua de Bisagra, située dans la ville de Tolède, est aussi connue sous le nom de Porte d’Alphonse VI, puis que, selon la tradition, le roi entra par celle-ci lors de la reconquête de Tolède en 1085. De cette façon elle se différencie aussi de la Porte Nueva de Bisagra, qui se trouve très près.
Elle correspond á un élargissement de l’enceinte muraillée de la ville et est un bon exemple de l’architecture militaire arabe par la bonne idée de la situer avec des fonctions de tour sur l’angle d’entrée de la muraille et protégée de près par une haute tour. Il s’agit u seul reste de muraille arabe conservé.
Elle est de forme rectangulaire avec un arc d’entrée enfilé de quatre arcs rehaussés.
La façade extérieure présente un arc en fer á cheval de style califal encadré par un grand alfiz et traversé par un énorme linteau monolithique dans lequel on voit des influences byzantines. Les pierres de taille en granite mal cadres on fait penser qu’elles correspondaient á des démolitions et á du matériel recyclé de travaux précédents. Sur l’arc, une rangée d’ embrassures servent aussi pour la défense.
Sa partie supérieure, en brique et maçonnerie, est un rajout mudéjar, possiblement du Xème siècle, mais d’autres pensent qu’elle peut appartenir au siècle précédent, en se basant sur la chronique selon laquelle, en 838, on y accrocha la tête de Wali indépendant Hixem el-Atiki. Elle est formée de trois arcs en fer á cheval, e central il est plus haut que les latéraux, une gallérie de défense avec des fenêtres vers l’extérieur et au-dessus un mur de défense avec des créneaux.
Le petit volet de droite, á côté du mur, pouvait servir de passage pour qu’un émissaire puisse entrer et sortit sans avoir besoin d’ouvrir la porte principale.
source: visitezclm.com
N°2068
Elle correspond á un élargissement de l’enceinte muraillée de la ville et est un bon exemple de l’architecture militaire arabe par la bonne idée de la situer avec des fonctions de tour sur l’angle d’entrée de la muraille et protégée de près par une haute tour. Il s’agit u seul reste de muraille arabe conservé.
Elle est de forme rectangulaire avec un arc d’entrée enfilé de quatre arcs rehaussés.
La façade extérieure présente un arc en fer á cheval de style califal encadré par un grand alfiz et traversé par un énorme linteau monolithique dans lequel on voit des influences byzantines. Les pierres de taille en granite mal cadres on fait penser qu’elles correspondaient á des démolitions et á du matériel recyclé de travaux précédents. Sur l’arc, une rangée d’ embrassures servent aussi pour la défense.
Sa partie supérieure, en brique et maçonnerie, est un rajout mudéjar, possiblement du Xème siècle, mais d’autres pensent qu’elle peut appartenir au siècle précédent, en se basant sur la chronique selon laquelle, en 838, on y accrocha la tête de Wali indépendant Hixem el-Atiki. Elle est formée de trois arcs en fer á cheval, e central il est plus haut que les latéraux, une gallérie de défense avec des fenêtres vers l’extérieur et au-dessus un mur de défense avec des créneaux.
Le petit volet de droite, á côté du mur, pouvait servir de passage pour qu’un émissaire puisse entrer et sortit sans avoir besoin d’ouvrir la porte principale.
source: visitezclm.com
N°2068
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le monastère de San Pedro de Cardeña est une abbaye trappiste situé dans Castrillo del Val , Burgos ( Espagne ).
façade principale du monastère.
Le 6 août années 953 ses 200 moines ont été martyrisés par les musulmans , canonisé en 1603 et connu sous le nom de Martyrs Cardeña. Le monastère est populaire avec un grand nombre de fidèles, parmi eux le roi Philippe III d'Espagne et son épouse, la reine Dona Marguerite d'Autriche . Une de ses reliques prisée est la tête de son abbé de St. Stephen, a été emmené au monastère de Celanova .
le monastère
N°2088
Chaque année, le 6 août, l'anniversaire du martyr, la terre du cloître où les martyrs ont été enterrés, a été teintée d'une couleur rougeâtre qui ressemblait à du sang. Le prodige miraculeux, largement connu, est répété jusqu'à la fin du XIVe siècle. L'année 1674 s'est élevé et un nouveau cloître.Enrique Peralta , a commandé une étude, à des médecins et des théologiens.
Cour intérieure
N°2089
Le 1 Février de 1967 un violent incendie détruit les trois quarts du monastère, habité depuis 1942 par l' abbaye trappiste de Notre-Dame des Martyrs.
gisants
N°2090
façade principale du monastère.
Le 6 août années 953 ses 200 moines ont été martyrisés par les musulmans , canonisé en 1603 et connu sous le nom de Martyrs Cardeña. Le monastère est populaire avec un grand nombre de fidèles, parmi eux le roi Philippe III d'Espagne et son épouse, la reine Dona Marguerite d'Autriche . Une de ses reliques prisée est la tête de son abbé de St. Stephen, a été emmené au monastère de Celanova .
le monastère
N°2088
Chaque année, le 6 août, l'anniversaire du martyr, la terre du cloître où les martyrs ont été enterrés, a été teintée d'une couleur rougeâtre qui ressemblait à du sang. Le prodige miraculeux, largement connu, est répété jusqu'à la fin du XIVe siècle. L'année 1674 s'est élevé et un nouveau cloître.Enrique Peralta , a commandé une étude, à des médecins et des théologiens.
Cour intérieure
N°2089
Le 1 Février de 1967 un violent incendie détruit les trois quarts du monastère, habité depuis 1942 par l' abbaye trappiste de Notre-Dame des Martyrs.
gisants
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Daroca est une commune d’Espagne, dans la province de Saragosse, communauté autonome d'Aragon.
Elle se situe dans la cuenca de Calatayud, dans la dépression de la rivière Jiloca, à 797 mètres d'altitude, entre Saragosse et Teruel, non loin du terroir viticole de Cariñena.
La ville a été celte, puis romaine, puis arabe, puis indépendante, pour enfin devenir espagnole.
D'après certains auteurs, on appelait « Darek » le premier peuplement d'origine celtibérique. Les romains l'appelèrent Agiria », et y construisirent une forteresse pour défendre la vía Laminium qui passe par le centre du village, allant de Saragosse à Valence.
Les arabes la nommèrent « Calat-Darawca » en 862 et la possèdèrent durant 400 ans, jusqu'à ce que Alfonso I el Batallador la conquièrt en 1120. En 1141, il lui accorda ses premiers privilèges. Au XIIe siècle, Raymond Berenger IV lui concéda Fueros y Privilegios (Droits et privilèges) qui la convertirent en capitale de la fameuse Communauté de Daroca, de grande influence sociale et militaire durant tout le Moyen Âge.
Dans la ville coexistèrent trois groupes sociaux : chrétiens, juifs et musulmans, qui profitaient des mêmes fuero y privilegios, mais avec des organisation sociales et ethniques séparées.
Elle a été prise aux Maures en 1123.
Après la mort de Carlos II, Daroca embrassa en 1706 la cause de pretendiente austríaco, l'archiduc Carlos III, contre les intérêts de la France incarnés par le duc d'Anjou, Felipe V. Elle fut enfin soumise au roi, ce qui mit fin à six années d'autonomie municipale.
Durant la Guerre d'Indépendance, les troupes de Napoléon entrèrent dans Daroca en juin 1808. Elles détruisirent quelques bâtisses catholiques et y laissèrent une garnison permanente. Daroca a été libérée en août 1813.
N°2178
Elle se situe dans la cuenca de Calatayud, dans la dépression de la rivière Jiloca, à 797 mètres d'altitude, entre Saragosse et Teruel, non loin du terroir viticole de Cariñena.
La ville a été celte, puis romaine, puis arabe, puis indépendante, pour enfin devenir espagnole.
D'après certains auteurs, on appelait « Darek » le premier peuplement d'origine celtibérique. Les romains l'appelèrent Agiria », et y construisirent une forteresse pour défendre la vía Laminium qui passe par le centre du village, allant de Saragosse à Valence.
Les arabes la nommèrent « Calat-Darawca » en 862 et la possèdèrent durant 400 ans, jusqu'à ce que Alfonso I el Batallador la conquièrt en 1120. En 1141, il lui accorda ses premiers privilèges. Au XIIe siècle, Raymond Berenger IV lui concéda Fueros y Privilegios (Droits et privilèges) qui la convertirent en capitale de la fameuse Communauté de Daroca, de grande influence sociale et militaire durant tout le Moyen Âge.
Dans la ville coexistèrent trois groupes sociaux : chrétiens, juifs et musulmans, qui profitaient des mêmes fuero y privilegios, mais avec des organisation sociales et ethniques séparées.
Elle a été prise aux Maures en 1123.
Après la mort de Carlos II, Daroca embrassa en 1706 la cause de pretendiente austríaco, l'archiduc Carlos III, contre les intérêts de la France incarnés par le duc d'Anjou, Felipe V. Elle fut enfin soumise au roi, ce qui mit fin à six années d'autonomie municipale.
Durant la Guerre d'Indépendance, les troupes de Napoléon entrèrent dans Daroca en juin 1808. Elles détruisirent quelques bâtisses catholiques et y laissèrent une garnison permanente. Daroca a été libérée en août 1813.
N°2178
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
PALAIS DU MARQUIS DE DOS AGUAS (Musée National de Céramique) Valence.
L’Image actuelle du palais est la conséquence de la réforme rococo réalise au XVIII siècle au manoir des Rabassa de Perellós, Marquis de Dos Aguas. La porte principale se trouve sur un côté, et est preside par l’image de la Vierge, de laquelle surgissent deux rivières d’eaux voluptueuses qui simbolisent les rivières Júcar et Túria. Au XIX siècle se sont perdus les fresques de Rovira et on installa des balcons de style français, avec des balustrades ondulantes.
N°2181
L’Image actuelle du palais est la conséquence de la réforme rococo réalise au XVIII siècle au manoir des Rabassa de Perellós, Marquis de Dos Aguas. La porte principale se trouve sur un côté, et est preside par l’image de la Vierge, de laquelle surgissent deux rivières d’eaux voluptueuses qui simbolisent les rivières Júcar et Túria. Au XIX siècle se sont perdus les fresques de Rovira et on installa des balcons de style français, avec des balustrades ondulantes.
N°2181
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
noria d’Alcantarilla est une construction chrétienne du XVe siècle. Cependant, Basilio Pavon écrit qu’« à l’instar des grandes roues hydrauliques de Hama et de Hadita, respectivement sur l’Oronte et l’Euphrate, qui seraient des copies plus ou moins fidèles des norias arabes antiques, nos grandes roues trouvées pendant ce siècle sur le cours des fleuves et canaux de la plaine cultivée viendraient de la na’ura islamique ». La noria d’Alcantarilla est l’un des nombreux exemples de norias fluviales qui devaient exister en al-Andalus ; la plupart de celles-ci ont aujourd’hui disparu, certaines à des époques très récentes. Cependant la noria en question n’est pas mue par le courant de quelque fleuve, mais se trouve sur les eaux du grand canal d’irrigation de Barredas.
La roue actuelle est faite de deux couronnes reliées par des pales creuses rectangulaires où se trouvent 72 godets, trois sur chaque pale. Le godet s’ouvre sur le côté externe. 24 rayons renforcent la couronne. La position des traverses créé de chaque côté un double anneau concentrique polygonal. Les 36 pales paraboliques entre les deux anneaux, contre lesquelles pousse le courant de l’eau, permettent au mécanisme de se mouvoir. Celui-ci tourne autour d’un axe horizontal circulaire en fer d’environ 40 cm de diamètre, vers lequel convergent les rayons. Les extrémités de l’axe s’emboîtent dans des réceptacles circulaires en acier, qui eux-mêmes s’emboîtent dans des flancs constitués de puissants murs de brique massifs dotés d’arc brisés, des sommets desquels partent les rigoles dans lesquelles les godets déversent leur contenu. Le lit de l’aqueduc est situé à 7,10 mètres de la surface de l’eau. Les arches de l’arcade qui conduisent l’eau vers le sud sont en plein-cintre, légèrement surbaissées.
C’est en Orient qu’il faut chercher les origines des roues hydrauliques, leur présence en al-Andalus date du IXe ou Xe siècle. Lorsque le volume d’eau du canal d’irrigation n’était pas assez important, il suffisait de construire un barrage au-dessus pour donner plus de force au courant et mouvoir la roue. Certains auteurs comme al-Muqaddasî, aux alentours de l’an 1000, évoquent la présence de nombreuses norias en Iran, sur le fleuve Ahwaz. En al-Andalus on remarque celles qui devaient exister sur le Tage à Tolède et sur le Guadalquivir à Cordoue, qu’on appelle l’Albolafia (encore aujourd’hui il y a un moulin et un barrage). On observe également en Afrique du nord la tradition des roues fluviales. Ainsi, Ibn al-Khatîb, dans sa Ihata, écrit que « la première roue – dawlab- existant à Fez à son époque fut construite par le musulman espagnol Muhammad pour le sultan marînide Abû Yûsuf Ya‘qûb al-Mansûr ; son diamètre était considérable et de nombreux godets l’approvisionnaient ».
N°2298
La région de Murcie se caractérise par la richesse de sa plaine cultivée qui doit beaucoup à l’héritage arabe. Durant le Moyen Âge et même encore aujourd’hui, le paysage de la Péninsule ibérique est parsemé de norias. Selon Pavon Maldonado, l’Espagne musulmane à l’image de l’Espagne médiévale chrétienne présentaient un paysage rural doté de nombreux ouvrages hydrauliques à la fois privés et publiques, alimentant jardins et bains en eau. Al-Jazarî en 1206 dans son Recueil utile de la théorie et de la pratique dans les procédés ingénieux fournit une description ainsi que le procédé de fabrication, alors nouveau, d’une de ces petites norias, dont un exemplaire existe encore à Damas. A l’époque andalouse, nombreux sont les auteurs qui décrivent la région de Murcie avec ses norias : al-Himyarî note que les plaines de Murcie et Lorca possèdent de nombreuses roues ; al-Saqundî vante Murcie pour les nombreux jardins et norias que l’on trouve sur ses fleuves. On connaît également des représentations de noria, comme dans l’ouvrage de Bâyad et Riyâd, rédigé au XIIIe siècle en Andalousie
La roue actuelle est faite de deux couronnes reliées par des pales creuses rectangulaires où se trouvent 72 godets, trois sur chaque pale. Le godet s’ouvre sur le côté externe. 24 rayons renforcent la couronne. La position des traverses créé de chaque côté un double anneau concentrique polygonal. Les 36 pales paraboliques entre les deux anneaux, contre lesquelles pousse le courant de l’eau, permettent au mécanisme de se mouvoir. Celui-ci tourne autour d’un axe horizontal circulaire en fer d’environ 40 cm de diamètre, vers lequel convergent les rayons. Les extrémités de l’axe s’emboîtent dans des réceptacles circulaires en acier, qui eux-mêmes s’emboîtent dans des flancs constitués de puissants murs de brique massifs dotés d’arc brisés, des sommets desquels partent les rigoles dans lesquelles les godets déversent leur contenu. Le lit de l’aqueduc est situé à 7,10 mètres de la surface de l’eau. Les arches de l’arcade qui conduisent l’eau vers le sud sont en plein-cintre, légèrement surbaissées.
C’est en Orient qu’il faut chercher les origines des roues hydrauliques, leur présence en al-Andalus date du IXe ou Xe siècle. Lorsque le volume d’eau du canal d’irrigation n’était pas assez important, il suffisait de construire un barrage au-dessus pour donner plus de force au courant et mouvoir la roue. Certains auteurs comme al-Muqaddasî, aux alentours de l’an 1000, évoquent la présence de nombreuses norias en Iran, sur le fleuve Ahwaz. En al-Andalus on remarque celles qui devaient exister sur le Tage à Tolède et sur le Guadalquivir à Cordoue, qu’on appelle l’Albolafia (encore aujourd’hui il y a un moulin et un barrage). On observe également en Afrique du nord la tradition des roues fluviales. Ainsi, Ibn al-Khatîb, dans sa Ihata, écrit que « la première roue – dawlab- existant à Fez à son époque fut construite par le musulman espagnol Muhammad pour le sultan marînide Abû Yûsuf Ya‘qûb al-Mansûr ; son diamètre était considérable et de nombreux godets l’approvisionnaient ».
N°2298
La région de Murcie se caractérise par la richesse de sa plaine cultivée qui doit beaucoup à l’héritage arabe. Durant le Moyen Âge et même encore aujourd’hui, le paysage de la Péninsule ibérique est parsemé de norias. Selon Pavon Maldonado, l’Espagne musulmane à l’image de l’Espagne médiévale chrétienne présentaient un paysage rural doté de nombreux ouvrages hydrauliques à la fois privés et publiques, alimentant jardins et bains en eau. Al-Jazarî en 1206 dans son Recueil utile de la théorie et de la pratique dans les procédés ingénieux fournit une description ainsi que le procédé de fabrication, alors nouveau, d’une de ces petites norias, dont un exemplaire existe encore à Damas. A l’époque andalouse, nombreux sont les auteurs qui décrivent la région de Murcie avec ses norias : al-Himyarî note que les plaines de Murcie et Lorca possèdent de nombreuses roues ; al-Saqundî vante Murcie pour les nombreux jardins et norias que l’on trouve sur ses fleuves. On connaît également des représentations de noria, comme dans l’ouvrage de Bâyad et Riyâd, rédigé au XIIIe siècle en Andalousie
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
La tour Saint-Martin fut construite durant l’apogée de l’art mudéjar aragonais, à la fin du XIVe siècle. Malgré la conquête précoce du territoire d’Aragon par les chrétiens, de la fin du XIe à la moitié du XIIe siècle, (1096 Huesca, 1118 Saragosse, 1120 Calatayud…), l’art mudéjar y reste très présent. Après l’occupation chrétienne, les premiers édifices construits sur ce territoire étaient fortement influencés par l’art occidental européen, principalement de style roman d’influence française. Néanmoins, après cette première phase c’est l’art mudéjar qui va s’imposer dans la région, en raison d’une part du manque de pierres et d’autre part de l’absence de main d’œuvre sachant tailler la pierre. C’est de l’argile et du plâtre que l’on trouve sur ces terres, qui fournissent le matériau utilisé pour la plupart des constructions mudéjares : la brique, la céramique et le plâtre.
Les éléments ornementaux de l’art mudéjar aragonais trouvent leurs racines dans la tradition hûdide de l’Aljaferia de Saragosse. Les tours, principalement celles de grande taille, reprennent la structure de la Giralda : constituée de deux tours emboîtées séparées par un escalier, la tour intérieure étant divisée en plusieurs pièces. C’est aussi le cas de la tour Saint-Martin, à l’intérieur de laquelle se superposent trois salles couvertes de voûtes nervurées en brique. À ce type de tour correspondent celles de la Madeleine à Saragosse, celle d’Ateca (province de Saragosse), du Salvador (province de Teruel) et de Saint-Martin à Teruel.
Le principal intérêt de la tour Saint-Martin réside autant dans sa structure, semblable à celle des minarets almohades surmontés d’un lanternon, que dans sa décoration de céramique et de briques en relief : grands panneaux d’étoiles à huit branches, frises d’arcs recticurvilignes et d’arcs polylobés.
Cette décoration est très fortement influencée par la Giralda de Séville. La tour est donc à mettre en lien avec les minarets almohades comme ceux de la Kutubiyya de Marrakesh ou la tour Hasan de Rabat. L’art almohade et les caractéristiques locales se mêlent, faisant dire à G. Borrás Gualis que « l’aura almohade a agi comme un dynamiseur sur les traditions locales, qui accusaient un retard du point de vue de l’ornement et qui ont alors commencé à se rénover, sans oublier ses propres racines. »
Une des caractéristiques de l’art mudéjar d’Aragon est l’usage de la céramique dans l’architecture. Sur cette tour, des carreaux de revêtements vert et blanc rehaussent les étoiles à huit branches, les plinthes et les fûts des colonnes… L’épais contrefort de pierre du flanc sud-ouest provient de la réparation complexe effectuée par l’architecte Pierres Vedel.
N°2301
Les éléments ornementaux de l’art mudéjar aragonais trouvent leurs racines dans la tradition hûdide de l’Aljaferia de Saragosse. Les tours, principalement celles de grande taille, reprennent la structure de la Giralda : constituée de deux tours emboîtées séparées par un escalier, la tour intérieure étant divisée en plusieurs pièces. C’est aussi le cas de la tour Saint-Martin, à l’intérieur de laquelle se superposent trois salles couvertes de voûtes nervurées en brique. À ce type de tour correspondent celles de la Madeleine à Saragosse, celle d’Ateca (province de Saragosse), du Salvador (province de Teruel) et de Saint-Martin à Teruel.
Le principal intérêt de la tour Saint-Martin réside autant dans sa structure, semblable à celle des minarets almohades surmontés d’un lanternon, que dans sa décoration de céramique et de briques en relief : grands panneaux d’étoiles à huit branches, frises d’arcs recticurvilignes et d’arcs polylobés.
Cette décoration est très fortement influencée par la Giralda de Séville. La tour est donc à mettre en lien avec les minarets almohades comme ceux de la Kutubiyya de Marrakesh ou la tour Hasan de Rabat. L’art almohade et les caractéristiques locales se mêlent, faisant dire à G. Borrás Gualis que « l’aura almohade a agi comme un dynamiseur sur les traditions locales, qui accusaient un retard du point de vue de l’ornement et qui ont alors commencé à se rénover, sans oublier ses propres racines. »
Une des caractéristiques de l’art mudéjar d’Aragon est l’usage de la céramique dans l’architecture. Sur cette tour, des carreaux de revêtements vert et blanc rehaussent les étoiles à huit branches, les plinthes et les fûts des colonnes… L’épais contrefort de pierre du flanc sud-ouest provient de la réparation complexe effectuée par l’architecte Pierres Vedel.
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
L’église Notre Dame des Anges a été commencée à la fin du XVIe siècle.
À l’extérieur, il y a trois tours avec des traits typiques d’une forteresse (avec des ouvertures de défense). Elle a deux entrées, l’une plus petite, orientée au sud et la principale de style Renaissance avec un portail décoré de pièces en fer forgé.
A l’intérieur, il se trouve une nef centrale flanquée de cinq chapelles à chaque bas-côté. Elle est appuyée sur une nervure gothique et, aux clés, il se trouve une image de Notre Dame des Anges, les armoiries des Descatllar, celle de la Catalogne et une référence au château.
Un des éléments artistiques les plus remarquables est le retable de l’Autel, de style baroque de Navarre du XVIIIe siècle.
N°2344
À l’extérieur, il y a trois tours avec des traits typiques d’une forteresse (avec des ouvertures de défense). Elle a deux entrées, l’une plus petite, orientée au sud et la principale de style Renaissance avec un portail décoré de pièces en fer forgé.
A l’intérieur, il se trouve une nef centrale flanquée de cinq chapelles à chaque bas-côté. Elle est appuyée sur une nervure gothique et, aux clés, il se trouve une image de Notre Dame des Anges, les armoiries des Descatllar, celle de la Catalogne et une référence au château.
Un des éléments artistiques les plus remarquables est le retable de l’Autel, de style baroque de Navarre du XVIIIe siècle.
N°2344
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Nerja est une ville du sud de la côte méditerranéenne de l’Espagne. Elle se trouve dans la comarque de La Axarquía, province de Málaga, communauté autonome d’Andalousie. Elle est située à une soixantaine de kilomètres de Málaga.
Nerja a une longue et ancienne histoire, éprouvée par des peintures rupestres découvertes dans la fameuse grotte de Nerja en 1959 qui est de nos jours l'endroit touristique espagnol le plus visité après le Musée du Prado de Madrid et l'Alhambra de Grenade (Espagne).
Sous le règne musulman, le nom était Narixa, qui signifie une "fontaine abondante" et qui est l'origine de l'actuel nom.
Au centre du village, il y a, le Balcon de l'Europe, un mirador qui offre une vue imposante de la mer à ses hôtes. Le nom de "Balcon de l'Europe" a été proposé par le Roi Alphonse XII d'Espagne qui a visité la province et en particulier la ville en 1885 après un séisme désastreux, et qui est resté captivé par la scène qui s'offrait à lui.
Nerja a quelques plages, entre lesquelles il faut remarquer celles de Burriana, Calahonda, Le Salon, La Torrecilla et le Playazo, avec un environnement qui n'a pas subi encore les conséquences de l'urbanisation incontrôlée du littoral malaguène. Nerja possède un climat doux toute l'année, qui permet la culture de fruits subtropicaux comme le cherimoya ou l'Avocat (fruit).
N°2449
Le balcon de l’Europe baptisé par Alfonso XII en 1885 lors d'une visite de cette ville.
Nerja a une longue et ancienne histoire, éprouvée par des peintures rupestres découvertes dans la fameuse grotte de Nerja en 1959 qui est de nos jours l'endroit touristique espagnol le plus visité après le Musée du Prado de Madrid et l'Alhambra de Grenade (Espagne).
Sous le règne musulman, le nom était Narixa, qui signifie une "fontaine abondante" et qui est l'origine de l'actuel nom.
Au centre du village, il y a, le Balcon de l'Europe, un mirador qui offre une vue imposante de la mer à ses hôtes. Le nom de "Balcon de l'Europe" a été proposé par le Roi Alphonse XII d'Espagne qui a visité la province et en particulier la ville en 1885 après un séisme désastreux, et qui est resté captivé par la scène qui s'offrait à lui.
Nerja a quelques plages, entre lesquelles il faut remarquer celles de Burriana, Calahonda, Le Salon, La Torrecilla et le Playazo, avec un environnement qui n'a pas subi encore les conséquences de l'urbanisation incontrôlée du littoral malaguène. Nerja possède un climat doux toute l'année, qui permet la culture de fruits subtropicaux comme le cherimoya ou l'Avocat (fruit).
N°2449
Le balcon de l’Europe baptisé par Alfonso XII en 1885 lors d'une visite de cette ville.
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Les habitants de Calella situent son centre historique entre le lit de la rivière de Calella et le passage Anselm Clavé, qui longe la façade de la ville, devant la plage Gran. Calella (La Costa de Calella, à ne pas confondre avec Calella de Palafrugell) a vu le jour à partir d’un marché du XIVème siècle qui fonctionnait comme aire du château de Montpalau. Le phare de Calella - Capum Asperum, 'capaspre' -, situé sur la longue plage qui se prolonge sans interruption jusqu’à El Tordera, se dresse sur l’emplacement de l’ancienne tour de guet de Capaspre datant de 1859 qui, pendant la guerre civile espagnole, fut annexée par une batterie d’artillerie ; plus tard, elle fut bombardée.
La vieille ville est bien conservée à proximité de l’église de Santa María – néoclassique, datant du XVIIIème siècle, avec son parvis baroque et une représentation du buste des douze apôtres (œuvre de Jean de Tours). Quelques-uns de ses édifices datent de bien avant, comme la maison Sivilla – datant du XVIème siècle – et celle de Los Salvadors – datant du XIVème siècle -. Nous trouvons aussi la chapelle avec les deux patrons de la ville (Saint Quirze et Sainte Julita), ainsi que les tours (tourelles à étage carré qui étaient utilisées pour la transmission de messages au moyen de signaux de lumière) dédiées au télégraphe optique (1850) dans la zone du phare.
N°2466
La vieille ville est bien conservée à proximité de l’église de Santa María – néoclassique, datant du XVIIIème siècle, avec son parvis baroque et une représentation du buste des douze apôtres (œuvre de Jean de Tours). Quelques-uns de ses édifices datent de bien avant, comme la maison Sivilla – datant du XVIème siècle – et celle de Los Salvadors – datant du XIVème siècle -. Nous trouvons aussi la chapelle avec les deux patrons de la ville (Saint Quirze et Sainte Julita), ainsi que les tours (tourelles à étage carré qui étaient utilisées pour la transmission de messages au moyen de signaux de lumière) dédiées au télégraphe optique (1850) dans la zone du phare.
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Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Eglise de Santa-Marina d'Ozo. Pontevedra
Pas d'info sur cette église. Si quelqu'un en trouve qu'il me donne le lien, merci
N°2514
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le monastère de Sant Joan de les Abadesses a été fondé au IXe par le légendaire Wilfred le Poilu (fondateur de Ripoll, aussi).
Une communauté de moniales bénédictines s'y installe. La première abbesse est Emma, fille du fondateur. Au XIe, la communauté est supprimée, remplacée au XIIe par des chanoines réguliers suivant la règle de saint Augustin. Au XVIe, les chanoines sont sécularisés et l'église devient collégiale. Au XIXe, l'église est reléguée au modeste rang de paroissiale
N°2515
Une communauté de moniales bénédictines s'y installe. La première abbesse est Emma, fille du fondateur. Au XIe, la communauté est supprimée, remplacée au XIIe par des chanoines réguliers suivant la règle de saint Augustin. Au XVIe, les chanoines sont sécularisés et l'église devient collégiale. Au XIXe, l'église est reléguée au modeste rang de paroissiale
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le Peñón de Ifach (catalan : Penyal d'Ifac) est une énorme masse calcaire dominant la ville de Calpe, aux flancs escarpés se jetant dans la mer Méditerranée depuis ses 332 mètres de hauteur maximale et rejoignant la terre par un isthme détritique. Depuis l'ouverture en 1918 d'un tunnel d'une cinquantaine de mètres traversant une de ses parois par la face Nord-Est, on peut remonter par un sentier au sommet du Peñón.
Dans les environs, on remarque les marais salants de Calpe qui s'étendaient du temps des grecs depuis le rocher jusqu'au montagnes les plus proches selon Jessen. L'étang est devenu un marais salant abandonné au XVIIème siècle et récupéré depuis.
Avec ses 45 hectares, le parc naturel del Peñón de Ifach est l'un des plus petits en Europe. Cependant, ses caractéristiques bioclimatiques, la nature de ses sols basiques, sa situation et son orientation confèrent une grande singularité à sa faune et sa flore.
Il est le parc naturel le plus visité de la Communauté de Valence (Espagne) avec plus de cent mille visiteurs par an. C'est également un site d'escalade mondialement réputé.
Sur le Peñón de Ifach se sont établis différentes populations depuis les temps les plus reculés. Au pied du massif, sur le versant occidental, s'est établie une population ibérique entre les IVème et IIIème siècles avant Jésus-Christ.
À l'époque romaine, les habitants sont descendus sur l'isthme reliant le rocher au continent. Des restes de céramiques et des pièces de monnaie qui ont été retrouvées permettent d'affirmer que les versants du rocher ont été habités pendant le Moyen Âge. Les attaques des navigateurs par la mer ont cependant obligé les habitants du Peñón à descendre jusqu'au village de Calpe et à créer un système de surveillance pour prévenir des incursions pirates.
Le Peñón de Ifach a appartenu à la commune de Calpe jusqu'en 1862, année où il est devenu une propriété privée. Après avoir appartenu à de nombreux propriétaires, il a été racheté par le Gouvernement de Valence, avant d'être classé Parc naturel en 1987
Le Peñón regroupe différentes communautés végétales. Sur les grandes parois de roches se développe une végétation rupicole spécialisée dans la colonisation des crevasses, des fissures et des saillies où s'accumulent un peu de terre. On observe également de nombreux endémismes qui font partie de cette végétation, tels que le Silène d'Ifach, espèce rare de thym quasiment disparue, le teucrium d'Ifach, la scabieuse rupestre ou la violette des rochers.
Sur les niveaux moyen et haut du versant septentrional se développe une végétation arbustive de bordure, comme le palmier nain ou le genévrier rouge. Cette communauté arbustive se compose également d'alaterne ou de raisin de mer. Elle est intéressante à observer car isolée dans le Peñón, à l'abri de l'invasion de quercus (chêne vert, chêne, etc.).
Sur la partie basse du versant septentrional, on retrouve d'autres espèces arbustives telles que le chèvrefeuille, l'asperge sauvage, le genévrier, la garance, le jasmin de montagne ainsi que des palmiers nains.
À la base du Peñón, une végétation nitrophile se développe et on trouve également des restes de culture de caroubiers ou d'amandiers.
N°2521
Dans les environs, on remarque les marais salants de Calpe qui s'étendaient du temps des grecs depuis le rocher jusqu'au montagnes les plus proches selon Jessen. L'étang est devenu un marais salant abandonné au XVIIème siècle et récupéré depuis.
Avec ses 45 hectares, le parc naturel del Peñón de Ifach est l'un des plus petits en Europe. Cependant, ses caractéristiques bioclimatiques, la nature de ses sols basiques, sa situation et son orientation confèrent une grande singularité à sa faune et sa flore.
Il est le parc naturel le plus visité de la Communauté de Valence (Espagne) avec plus de cent mille visiteurs par an. C'est également un site d'escalade mondialement réputé.
Sur le Peñón de Ifach se sont établis différentes populations depuis les temps les plus reculés. Au pied du massif, sur le versant occidental, s'est établie une population ibérique entre les IVème et IIIème siècles avant Jésus-Christ.
À l'époque romaine, les habitants sont descendus sur l'isthme reliant le rocher au continent. Des restes de céramiques et des pièces de monnaie qui ont été retrouvées permettent d'affirmer que les versants du rocher ont été habités pendant le Moyen Âge. Les attaques des navigateurs par la mer ont cependant obligé les habitants du Peñón à descendre jusqu'au village de Calpe et à créer un système de surveillance pour prévenir des incursions pirates.
Le Peñón de Ifach a appartenu à la commune de Calpe jusqu'en 1862, année où il est devenu une propriété privée. Après avoir appartenu à de nombreux propriétaires, il a été racheté par le Gouvernement de Valence, avant d'être classé Parc naturel en 1987
Le Peñón regroupe différentes communautés végétales. Sur les grandes parois de roches se développe une végétation rupicole spécialisée dans la colonisation des crevasses, des fissures et des saillies où s'accumulent un peu de terre. On observe également de nombreux endémismes qui font partie de cette végétation, tels que le Silène d'Ifach, espèce rare de thym quasiment disparue, le teucrium d'Ifach, la scabieuse rupestre ou la violette des rochers.
Sur les niveaux moyen et haut du versant septentrional se développe une végétation arbustive de bordure, comme le palmier nain ou le genévrier rouge. Cette communauté arbustive se compose également d'alaterne ou de raisin de mer. Elle est intéressante à observer car isolée dans le Peñón, à l'abri de l'invasion de quercus (chêne vert, chêne, etc.).
Sur la partie basse du versant septentrional, on retrouve d'autres espèces arbustives telles que le chèvrefeuille, l'asperge sauvage, le genévrier, la garance, le jasmin de montagne ainsi que des palmiers nains.
À la base du Peñón, une végétation nitrophile se développe et on trouve également des restes de culture de caroubiers ou d'amandiers.
N°2521
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le Palacio de Soñanes est abrité dans un ancien palais, construit au XVIIIe siècle dans le style Baroque, en plein cœur de la superbe campagne de la vallée de Carriedo, dans la région verdoyante de la Cantabrie.
Le Palacio de Soñanes a été construit en 1719 par une famille noble de la région. L'édifice a conservé une grande partie de sa maçonnerie d'origine qui apporte un charme supplémentaire à cet hôtel de luxe. Un charmant escalier Renaissance placé en plein cœur de l'hôtel vous permet d'accéder aux étages.
Le magnifique restaurant à la carte de l'hôtel, Iniro, vous propose de délicieuses spécialités locales et des plats plus modernes que vous accompagnerez d'un des 175 crus abrités dans la cave à vin de l'hôtel.
La décoration des chambres reflètent l'élégance traditionnelle du palais. Les tissus d'excellente facture se marient merveilleusement avec les superbes tapis et le luxueux mobilier d'époque. Le Palacio de Soñanes constitue un pied-à-terre idéal pour une escapade romantique.
N°2522
Le Palacio de Soñanes a été construit en 1719 par une famille noble de la région. L'édifice a conservé une grande partie de sa maçonnerie d'origine qui apporte un charme supplémentaire à cet hôtel de luxe. Un charmant escalier Renaissance placé en plein cœur de l'hôtel vous permet d'accéder aux étages.
Le magnifique restaurant à la carte de l'hôtel, Iniro, vous propose de délicieuses spécialités locales et des plats plus modernes que vous accompagnerez d'un des 175 crus abrités dans la cave à vin de l'hôtel.
La décoration des chambres reflètent l'élégance traditionnelle du palais. Les tissus d'excellente facture se marient merveilleusement avec les superbes tapis et le luxueux mobilier d'époque. Le Palacio de Soñanes constitue un pied-à-terre idéal pour une escapade romantique.
N°2522
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qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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Re: SITES ET MONUMENTS D'ESPAGNE (philatélie)
Le Patio de l'Infante, construit durant la moitié du XVIe siècle faisait partie du palais que le banquier et commerçant Gabriel Zaporta possédait rue San Jorge. Sa stucture était celle des patios aragonais de style Renaissance, mais avec un décor novateur qui en fait un monument exceptionnel
L'iconographie complexe qu'il renferme reflète la culture humaniste de l'époque et a fait l'objet de bien des interprétations, en rapport avec la personne de l'empereur Charles Quint et de Zaporta et son épouse Sabina Santángel. On a donné au patio le nom de « Patio de l'Infante », en l'honneur de Teresa de Vallabriga, épouse de l'infant don Luis, frère du roi Charles III.
A la fin du XIXe siècle, l'édifice se trouvait dans un état d'abandon. Après plusieurs incendies, il est démoli en 1903. Il n'en reste que le patio et le portail, achetés par un antiquaire français, ils sont transportés à Paris où ils resteront pendant plus de cinquante ans. En 1957, Ibercaja les récupère pour la ville et, en 1980, ils sont installés dans l'édifice abritant son siège
N°2681
Points intéressants
Portail, patio. Peintures de Goya
Style artistique: Renaissance
L' usage actuel
Espace Goya d' Ibercaja
Date: XVIe siècle
Source: Zaragoza Turismo
L'iconographie complexe qu'il renferme reflète la culture humaniste de l'époque et a fait l'objet de bien des interprétations, en rapport avec la personne de l'empereur Charles Quint et de Zaporta et son épouse Sabina Santángel. On a donné au patio le nom de « Patio de l'Infante », en l'honneur de Teresa de Vallabriga, épouse de l'infant don Luis, frère du roi Charles III.
A la fin du XIXe siècle, l'édifice se trouvait dans un état d'abandon. Après plusieurs incendies, il est démoli en 1903. Il n'en reste que le patio et le portail, achetés par un antiquaire français, ils sont transportés à Paris où ils resteront pendant plus de cinquante ans. En 1957, Ibercaja les récupère pour la ville et, en 1980, ils sont installés dans l'édifice abritant son siège
N°2681
Points intéressants
Portail, patio. Peintures de Goya
Style artistique: Renaissance
L' usage actuel
Espace Goya d' Ibercaja
Date: XVIe siècle
Source: Zaragoza Turismo
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
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