alekssandra a écrit :Un sujet de ''La place publique'' m'a amené à me questionner sur la place que prend la superficialité au sein de la société.
En commençant, je tiens à souligner à ceux qui pourraient me dire ''Oui, mais, les exceptions, elles?''... Je le sais bien que des exceptions, il y en a mais, comme l'exception confirme la règle comme le dit si bien le dicton.
Vous savez, je dis ceci parce que je suis amené à vivre cette situation personnellement. Comme quelques uns ici le savent déja, j'ai récemment eu une grande perte de poids. Soudainement, les gens (et particulièrement, la gente masculine) me remarque plus et, surtout, m'ignore moins. Comme si, en étant grosse, j'étais lépreuse ou qu'à mon contact, on aurait pu contracté un virus.
Ridicule...
Je suis, présentement, pourtant la même. J'ai la même personnalité, la même culture, le même humour, excepté que la taille de mon pantalon a changé. C'est si important que ça ?
Mais bon, je parle de poids, mais il n'y a pas que ça que le supperficiel typique a en horreur: les gens dits ''moins beaux'', les ''rejets'', ceux qui ne sont pas à la toute dernière mode,... et j'en passe plusieurs autres.
Qu'est-ce qui fait en sorte que nous, humain, avons tant besoin de s'identifier à ce qui est ''beau'' ? Pourquoi est-ce qu'on ressent ce besoin de frapper sur ce qui est plus faible ?
J'ai des amis de toutes les sortes, pas que des ''beaux'', des ''drôles'', des ''parfaits'',... j'ai des ami(e)s, des êtres humains et je les aime ainsi.
Peut-être que c'est mon esprit d'ancienne rejet qui m'amène à penser ainsi, mais ça me désole parfois de voir ce qu'est maintenant rendu notre société.
Qu'en pensez-vous ?
chez la animaux le " beau , enfin ,suivant les codes de chaque espèce "attire , le fort aussi
nous ne sommes pas différents
le beau et le fort ,pour les chances de survie de l'espèce ...
nous avons tout de même gardé nos instincts de primates
même s'ils sont codifiés de manière différente