Qui est ALLAH???
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La ville de La Mecque est interdite aux non musulmans en vertu du principe islamique décidant que les musulmans sont supérieurs aux non musulmans. La ségrégation qui en résulte apparaît, en particulier, dans le réseau autoroutier de La Mecque comme en témoigne cette image : les voies en direction de La Mecque (Makkah) sont accessibles aux seuls musulmans ("Moslems Only") alors que les non musulmans sont dirigés sur une voie distincte ("Non Moslems"). La pureté islamique est sauvegardée : ces saletés d'infidèles n'iront pas souiller le saint lieu.
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http://www.atheisme.org/apartheid-lamecque.html
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LA GUERRE SAINTE
La guerre sainte si souvent invoquée et mise en pratique actuellement ne trouve pas son origine dans la folie de certains cerveaux mais dans le texte fondateur de la religion musulmane. Dès la sourate II, verset 186, l'appel à la guerre exhorte le croyant à l'action: "Combattez dans la voie de Dieu contre ceux qui vous feront la guerre.". Afin d'éviter une trop grande latitude d'interprétation du mot "combattez", le verset suivant se montre très explicite: "Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés. La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage à la guerre.". Le combat vise à l'imposition de la foi par la force (II,189): "Combattez-les jusqu'à ce que vous n'ayez point à craindre la tentation, et que tout culte soit celui du Dieu unique.". Le Coran ne se manifeste pas par un style particulièrement métaphorique mais montre beaucoup de clarté dans ses intentions (II, 190): "Quiconque agira violemment contre vous, agissez de même à son égard ". La justification du meurtre de l'infidèle revient plus loin (II, 214): "La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage ". Enfin, la sourate II se termine sur un cri patriotique (II, 286): "Donne nous la victoire sur les infidèles ".
Habilement, le rédacteur résout le cas des croyants morts au combat en leur délivrant un billet direct pour le paradis (III, 151): "Si vous mourrez ou si vous êtes tués en combattant dans le sentier de Dieu, l'indulgence et la miséricorde de Dieu vous attendent.", et, plus explicitement, (III,163): "Ne croyez pas que ceux qui ont succombé en combattant dans le sentier de Dieu soient morts: ils vivent près de Dieu, et reçoivent de lui leur nourriture ". Ces deux versets faisaient probablement partie du bagage religieux inculqué à ces gamins iraniens envoyés à la boucherie lors de la guerre Iran Irak dans les années 1980. La sourate suivante insiste encore sur ce sens du sacrifice à la gloire de ce Dieu bourreau (IV, 76): "Que ceux qui sacrifient la vie d'ici-bas à la vie future combattent dans la voie de Dieu; qu'ils succombent ou qu'ils soient vainqueurs, nous leur donnerons une récompense généreuse." . Mais avant de mourir, le combattant aura eu l'assurance des faveurs privilégiées dont il bénéficiera par rapport au croyant resté au foyer (IV, 97): "il [Dieu] a destiné aux combattants une récompense plus grande qu'à ceux qui restent dans leurs foyers.".
Comme dans tout système autoritaire où l'obéissance aveugle prime sur le jugement personnel, le croyant doit se soumettre aux ordres, le temps employé dans le Coran étant systématiquement l'impératif (IV, 86): "Combats dans le sentier de Dieu et n'impose des charges difficiles qu'à toi-même. Excite les croyants au combat.". La bestialité coranique répand sa haine sans interruption (IV, 93): "S'ils [les infidèles] ne se mettent pas à l'écart, s'ils ne vous offrent pas la paix et ne s'abstiennent pas de vous combattre, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. ". Le Coran n'est pas avare de termes pour désigner les légions de Dieu en parlant de milice (V, 61): "Ceux qui prennent pour protecteur Dieu, son apôtre, et les croyants sont comme la milice de Dieu; la victoire est à eux." . Aucune accalmie dans la violence des propos répandus, l'issue de la guerre est claire (VIII, 7): "Le Seigneur cependant a voulu prouver la vérité de ses paroles et exterminer jusqu'au dernier des infidèles.". Le mode d'exécution est précisé peu après (VIII, 12): "Abattez leurs têtes et frappez les extrémités de leurs doigts.", avec, plus loin, un autre moyen d'en finir (VIII, 52): "Quel spectacle, lorsque les anges ôtent la vie aux infidèles! ils frappent leurs visages et leurs reins, et leur crient: Allez goûter la peine du feu.". Toutefois, la justification mystique vient pour raffermir le croyant (VIII, 17): "Ce n'est pas vous qui les tuez, c'est Dieu.".
Le discours typiquement militaire de l'exaltation de l'armée à propos de sa supériorité apparaît immanquablement dans cet ouvrage rompu au maniement des masses (VIII, 66): "O prophète! excite les croyants au combat. Vingt braves d'entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n'ont point de sagesse.", mais le verset suivant corrige les estimations à des performances plus modestes (VIII, 67): "Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d'entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides.". La stratégie d'attaque reste néanmoins assez simple (IX, 5): "Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. ". Une fois encore le croyant est rappelé à la déraison (IX,29): "Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont défendu, et à ceux d'entre les hommes qui ne professent pas la vraie religion.".
Le Coran n'échappe pas à des considérations plus économiques (IX,34): "Annonce un châtiment douloureux à ceux qui amassent l'or et l'argent, et ne le dépensent point dans le sentier de Dieu.", mais le croyant n'a pas à craindre le combat gratuit (XXIX, 5): "Quiconque combat pour la foi combat pour son propre avantage.". Au fur et à mesure de la lecture de l'ouvrage, les sourates passent mais la barbarie reste identique (XLVII, 4): "Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu'à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits.". La fin du texte approchant, le général félicite ses soldats (LXI, 4): "Il [Dieu] aime ceux qui combattent en ordre dans son sentier, et qui sont fermes comme un édifice solide". Il rappelle le patriotisme religieux (LXI, 11): "Croyez en Dieu et en son apôtre, combattez dans le sentier de Dieu, faites le sacrifice de vos biens et de vos personnes; cela vous sera plus avantageux si vous le comprenez.", ou encore, finalement, (LXVI, 9): "O Prophète! fais la guerre aux infidèles et aux hypocrites, sois sévère à leur égard. La géhenne [le feu] sera leur demeure. Quel affreux séjour.".
Le Coran n'est donc qu'un mélange désordonné de haine, de violence, d'appel au meurtre. La structure du texte n'est qu'une inlassable répétition, un déchaînement autoritaire et coléreux où la guerre est définitivement sainte.
La guerre sainte si souvent invoquée et mise en pratique actuellement ne trouve pas son origine dans la folie de certains cerveaux mais dans le texte fondateur de la religion musulmane. Dès la sourate II, verset 186, l'appel à la guerre exhorte le croyant à l'action: "Combattez dans la voie de Dieu contre ceux qui vous feront la guerre.". Afin d'éviter une trop grande latitude d'interprétation du mot "combattez", le verset suivant se montre très explicite: "Tuez-les partout où vous les trouverez, et chassez-les d'où ils vous auront chassés. La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage à la guerre.". Le combat vise à l'imposition de la foi par la force (II,189): "Combattez-les jusqu'à ce que vous n'ayez point à craindre la tentation, et que tout culte soit celui du Dieu unique.". Le Coran ne se manifeste pas par un style particulièrement métaphorique mais montre beaucoup de clarté dans ses intentions (II, 190): "Quiconque agira violemment contre vous, agissez de même à son égard ". La justification du meurtre de l'infidèle revient plus loin (II, 214): "La tentation à l'idolâtrie est pire que le carnage ". Enfin, la sourate II se termine sur un cri patriotique (II, 286): "Donne nous la victoire sur les infidèles ".
Habilement, le rédacteur résout le cas des croyants morts au combat en leur délivrant un billet direct pour le paradis (III, 151): "Si vous mourrez ou si vous êtes tués en combattant dans le sentier de Dieu, l'indulgence et la miséricorde de Dieu vous attendent.", et, plus explicitement, (III,163): "Ne croyez pas que ceux qui ont succombé en combattant dans le sentier de Dieu soient morts: ils vivent près de Dieu, et reçoivent de lui leur nourriture ". Ces deux versets faisaient probablement partie du bagage religieux inculqué à ces gamins iraniens envoyés à la boucherie lors de la guerre Iran Irak dans les années 1980. La sourate suivante insiste encore sur ce sens du sacrifice à la gloire de ce Dieu bourreau (IV, 76): "Que ceux qui sacrifient la vie d'ici-bas à la vie future combattent dans la voie de Dieu; qu'ils succombent ou qu'ils soient vainqueurs, nous leur donnerons une récompense généreuse." . Mais avant de mourir, le combattant aura eu l'assurance des faveurs privilégiées dont il bénéficiera par rapport au croyant resté au foyer (IV, 97): "il [Dieu] a destiné aux combattants une récompense plus grande qu'à ceux qui restent dans leurs foyers.".
Comme dans tout système autoritaire où l'obéissance aveugle prime sur le jugement personnel, le croyant doit se soumettre aux ordres, le temps employé dans le Coran étant systématiquement l'impératif (IV, 86): "Combats dans le sentier de Dieu et n'impose des charges difficiles qu'à toi-même. Excite les croyants au combat.". La bestialité coranique répand sa haine sans interruption (IV, 93): "S'ils [les infidèles] ne se mettent pas à l'écart, s'ils ne vous offrent pas la paix et ne s'abstiennent pas de vous combattre, saisissez-les et mettez-les à mort partout où vous les trouverez. ". Le Coran n'est pas avare de termes pour désigner les légions de Dieu en parlant de milice (V, 61): "Ceux qui prennent pour protecteur Dieu, son apôtre, et les croyants sont comme la milice de Dieu; la victoire est à eux." . Aucune accalmie dans la violence des propos répandus, l'issue de la guerre est claire (VIII, 7): "Le Seigneur cependant a voulu prouver la vérité de ses paroles et exterminer jusqu'au dernier des infidèles.". Le mode d'exécution est précisé peu après (VIII, 12): "Abattez leurs têtes et frappez les extrémités de leurs doigts.", avec, plus loin, un autre moyen d'en finir (VIII, 52): "Quel spectacle, lorsque les anges ôtent la vie aux infidèles! ils frappent leurs visages et leurs reins, et leur crient: Allez goûter la peine du feu.". Toutefois, la justification mystique vient pour raffermir le croyant (VIII, 17): "Ce n'est pas vous qui les tuez, c'est Dieu.".
Le discours typiquement militaire de l'exaltation de l'armée à propos de sa supériorité apparaît immanquablement dans cet ouvrage rompu au maniement des masses (VIII, 66): "O prophète! excite les croyants au combat. Vingt braves d'entre eux terrasseront deux cents infidèles. Cent en mettront mille en fuite, parce que les infidèles n'ont point de sagesse.", mais le verset suivant corrige les estimations à des performances plus modestes (VIII, 67): "Dieu veut alléger votre tâche, car il connaît votre faiblesse. Cent braves d'entre vous vaincront deux cents ennemis, et mille triompheront de deux mille par la permission de Dieu qui est avec les intrépides.". La stratégie d'attaque reste néanmoins assez simple (IX, 5): "Les mois sacrés expirés, tuez les idolâtres partout où vous les trouverez, faites-les prisonniers, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. ". Une fois encore le croyant est rappelé à la déraison (IX,29): "Faites la guerre à ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent point comme défendu ce que Dieu et son apôtre ont défendu, et à ceux d'entre les hommes qui ne professent pas la vraie religion.".
Le Coran n'échappe pas à des considérations plus économiques (IX,34): "Annonce un châtiment douloureux à ceux qui amassent l'or et l'argent, et ne le dépensent point dans le sentier de Dieu.", mais le croyant n'a pas à craindre le combat gratuit (XXIX, 5): "Quiconque combat pour la foi combat pour son propre avantage.". Au fur et à mesure de la lecture de l'ouvrage, les sourates passent mais la barbarie reste identique (XLVII, 4): "Quand vous rencontrerez les infidèles, tuez-les jusqu'à en faire un grand carnage, et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits.". La fin du texte approchant, le général félicite ses soldats (LXI, 4): "Il [Dieu] aime ceux qui combattent en ordre dans son sentier, et qui sont fermes comme un édifice solide". Il rappelle le patriotisme religieux (LXI, 11): "Croyez en Dieu et en son apôtre, combattez dans le sentier de Dieu, faites le sacrifice de vos biens et de vos personnes; cela vous sera plus avantageux si vous le comprenez.", ou encore, finalement, (LXVI, 9): "O Prophète! fais la guerre aux infidèles et aux hypocrites, sois sévère à leur égard. La géhenne [le feu] sera leur demeure. Quel affreux séjour.".
Le Coran n'est donc qu'un mélange désordonné de haine, de violence, d'appel au meurtre. La structure du texte n'est qu'une inlassable répétition, un déchaînement autoritaire et coléreux où la guerre est définitivement sainte.
LA FEMME OBJET
La condition féminine fait partie des plus grands scandales générés par le Coran. La hiérarchie entre femmes et hommes doit obéir à la règle machiste fort répandue (II, 228): "Les maris sont supérieurs à leurs femmes". La femme idéale est plus proche de l'esclave soumis que d'une personne apte à décider de sa vie (IV, 38): "Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises.". Ou encore, sur la servitude à laquelle la femme est assignée (VII, 188): "C'est lui qui vous a créés tous d'un seul homme, qui en a produit son épouse afin qu'il habitât avec elle, elle porta d'abord un fardeau léger et marchait sans peine.".
La femme est une possession du mâle dont il peut disposer comme bon lui semble, tant en ce qui concerne l'épouse (II, 223): "Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous l'entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété.", que les filles (II, 220): "Ne donnez point vos filles aux idolâtres tant qu'ils n'auront pas cru.". Et comme tout bien de consommation est jeté lorsqu'il n'a plus les faveurs de l'utilisateur, la femme peut être répudiée avec facilité et la procédure est précisée en (II, 229 à 233) et (LXV, 1 à 4). Le mépris dans lequel sont tenues les femmes éclate dans l'équivalence "1 homme = 2 femmes" lors du besoin de témoins dans le règlement d'un litige en (II, 282): "Appelez deux témoins choisis parmi vous; si vous ne trouvez pas deux hommes, appelez-en un seul et deux femmes parmi les personnes habiles à témoigner; afin que, si l'une oublie, l'autre puisse rappeler le fait.". Cette même inégalité de traitement prévaut aussi dans les droits de succession (IV, 12): "Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s'il n'y a que des filles, et qu'elles soient plus de deux, elles auront les deux tiers de la succession; s'il n'y en a qu'une seule, elle recevra la moitié.", ainsi que (IV, 175). La primauté de l'homme provient de son apparition première (III, 193): "Les femmes sont issues des hommes.", et (IV, 1): "O hommes! craignez votre seigneur qui vous a créés tous d'un seul homme; de l'homme il forma sa compagne.". La polygamie est officiellement acceptée en (IV, 3): "Si vous craignez d'être injustes envers les orphelins, n'épousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu.", et Mahomet montre l'exemple (XXXIII, 6): "Le prophète aime les croyants plus qu'ils ne s'aiment eux-mêmes; ses femmes sont leurs mères." et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47): "O prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cœur au Prophète, si le Prophète veut l'épouser.".
Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme - femme mais prévoit aussi la réprimande violente et l'exprime avec la plus grande clarté (IV, 38): "Vous [les hommes] réprimanderez celles dont vous avez à craindre l'inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand.". Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne survit que par la terreur qu'il inspire aux unes et par l'attribution d'une supériorité factice à des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19): "Si vos femmes commettent l'action infâme (l'adultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusqu'à ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut.". La mort pour les femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, n'envisage pas le cas de l'homme adultère. Autre exemple d'infidélité conjugale à la charge des épouses en (LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination masculine. Appeler à la mort de l'autre, de celui qui est différent, n'est pas la marque d'une réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les théologiens.
La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas d'une conversation avec les femmes de Mahomet (XXXIII, 51): "Si vous avez quelque demande à faire à ses femmes, faites-la à travers un voile; c'est ainsi que vos cœurs et les leurs se conserveront en pureté.". De même en (XXXIII, 57): "O prophète! prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d'abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes.". Remarquer que le port du voile par les hommes aurait le même effet "protecteur", mais cette suggestion n'est probablement que blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins n'a pas à espérer d'émancipation au paradis (XXXVII, 52): "Auprès d'eux [les justes au paradis] seront des femmes au regard modeste, et leurs égales en âge.". Enfin, les femmes ne sont que marchandise dont la valeur dépend de leur soumission à l'islam (LX, 10).
Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de l'homme. Elle peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante, elle est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer d'elle comme il l'entend et user de la force à son encontre. L'adultère semble être une exclusivité féminine, le mâle n'étant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont l'objet. On ne peut que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes préhistoriques. L'Iran l'a rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican). Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers: foulard qui se limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au silence la moitié de leur population.
La condition féminine fait partie des plus grands scandales générés par le Coran. La hiérarchie entre femmes et hommes doit obéir à la règle machiste fort répandue (II, 228): "Les maris sont supérieurs à leurs femmes". La femme idéale est plus proche de l'esclave soumis que d'une personne apte à décider de sa vie (IV, 38): "Les hommes sont supérieurs aux femmes à cause des qualités par lesquelles Dieu a élevé ceux-là au dessus de celles-ci, et parce que les hommes emploient leurs biens pour doter les femmes. Les femmes vertueuses sont obéissantes et soumises.". Ou encore, sur la servitude à laquelle la femme est assignée (VII, 188): "C'est lui qui vous a créés tous d'un seul homme, qui en a produit son épouse afin qu'il habitât avec elle, elle porta d'abord un fardeau léger et marchait sans peine.".
La femme est une possession du mâle dont il peut disposer comme bon lui semble, tant en ce qui concerne l'épouse (II, 223): "Les femmes sont votre champ. Cultivez-le de la manière que vous l'entendrez, ayant fait auparavant quelque acte de piété.", que les filles (II, 220): "Ne donnez point vos filles aux idolâtres tant qu'ils n'auront pas cru.". Et comme tout bien de consommation est jeté lorsqu'il n'a plus les faveurs de l'utilisateur, la femme peut être répudiée avec facilité et la procédure est précisée en (II, 229 à 233) et (LXV, 1 à 4). Le mépris dans lequel sont tenues les femmes éclate dans l'équivalence "1 homme = 2 femmes" lors du besoin de témoins dans le règlement d'un litige en (II, 282): "Appelez deux témoins choisis parmi vous; si vous ne trouvez pas deux hommes, appelez-en un seul et deux femmes parmi les personnes habiles à témoigner; afin que, si l'une oublie, l'autre puisse rappeler le fait.". Cette même inégalité de traitement prévaut aussi dans les droits de succession (IV, 12): "Dieu vous commande, dans le partage de vos biens entre vos enfants, de donner au fils mâle la portion de deux filles; s'il n'y a que des filles, et qu'elles soient plus de deux, elles auront les deux tiers de la succession; s'il n'y en a qu'une seule, elle recevra la moitié.", ainsi que (IV, 175). La primauté de l'homme provient de son apparition première (III, 193): "Les femmes sont issues des hommes.", et (IV, 1): "O hommes! craignez votre seigneur qui vous a créés tous d'un seul homme; de l'homme il forma sa compagne.". La polygamie est officiellement acceptée en (IV, 3): "Si vous craignez d'être injustes envers les orphelins, n'épousez que peu de femmes, deux, trois ou quatre parmi celles qui vous auront plu.", et Mahomet montre l'exemple (XXXIII, 6): "Le prophète aime les croyants plus qu'ils ne s'aiment eux-mêmes; ses femmes sont leurs mères." et (XXXIII, 27) ainsi que (XXXIII, 47): "O prophète! il t'est permis d'épouser les femmes que tu auras dotées, les captives que Dieu a fait tomber entre tes mains, les filles de tes oncles et de tes tantes maternels et paternels qui ont pris la fuite avec toi, et toute femme fidèle qui livrera son cœur au Prophète, si le Prophète veut l'épouser.".
Le machisme musulman ne se limite pas à établir une supériorité homme - femme mais prévoit aussi la réprimande violente et l'exprime avec la plus grande clarté (IV, 38): "Vous [les hommes] réprimanderez celles dont vous avez à craindre l'inobéissance; vous les relèguerez dans des lits à part, vous les battrez; mais aussitôt qu'elles vous obéissent, ne leur cherchez point querelle. Dieu est élevé et grand.". Le Coran montre ici son vrai visage de religion rétrograde et agressive, qui ne survit que par la terreur qu'il inspire aux unes et par l'attribution d'une supériorité factice à des hommes dépourvus de raison. De même en (IV, 19): "Si vos femmes commettent l'action infâme (l'adultère), appelez quatre témoins. Si leurs témoignages se réunissent contre elles, enfermez-les dans des maisons jusqu'à ce que la mort les visite ou que Dieu leur procure un moyen de salut.". La mort pour les femmes adultères, seul remède pour un islam brutal qui, par contre, n'envisage pas le cas de l'homme adultère. Autre exemple d'infidélité conjugale à la charge des épouses en (LXVI, 10), avec toujours la mort comme issue pour une religion de la domination masculine. Appeler à la mort de l'autre, de celui qui est différent, n'est pas la marque d'une réflexion particulièrement élaborée comme voudraient nous en persuader les théologiens.
La psychose musulmane sur la nocivité de toute forme de coquetterie féminine trouve son origine en (XXIV, 31) et a, depuis, donné lieu à une généralisation délirante. Le point culminant en est le port du voile, prescrit dans le cas d'une conversation avec les femmes de Mahomet (XXXIII, 51): "Si vous avez quelque demande à faire à ses femmes, faites-la à travers un voile; c'est ainsi que vos cœurs et les leurs se conserveront en pureté.". De même en (XXXIII, 57): "O prophète! prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d'abaisser un voile sur leur visage. Il sera la marque de leur vertu et un frein contre les propos des hommes.". Remarquer que le port du voile par les hommes aurait le même effet "protecteur", mais cette suggestion n'est probablement que blasphème. La femme soumise et devant fuir les regards masculins n'a pas à espérer d'émancipation au paradis (XXXVII, 52): "Auprès d'eux [les justes au paradis] seront des femmes au regard modeste, et leurs égales en âge.". Enfin, les femmes ne sont que marchandise dont la valeur dépend de leur soumission à l'islam (LX, 10).
Le Coran réduit donc la femme au rang de spectatrice et domestique de l'homme. Elle peut être échangée ou rejetée comme pour tout produit de consommation courante, elle est à la charge du mari au même titre que le bétail. Le maître peut disposer d'elle comme il l'entend et user de la force à son encontre. L'adultère semble être une exclusivité féminine, le mâle n'étant pas redevable envers son sujet. Parler ici de misogynie est trop faible pour exprimer le mépris et la soumission dont les femmes sont l'objet. On ne peut que constater que le monde musulman actuel est resté fidèle à ces préceptes préhistoriques. L'Iran l'a rappelé en 1995 à la conférence de Pékin sur la condition féminine (même attitude inacceptable de la part du Vatican). Le port du voile, commandé par le Coran, est adopté à des degrés divers: foulard qui se limite à la couverture de la chevelure, tissu qui ne laisse que les yeux comme unique appel au secours, grilles infligées par les Talibans, ou encore couverture complète du visage. Officiellement un rempart contre les regards masculins déplacés, ce voile protège plus efficacement les sociétés musulmanes contre leur propre barbarie en soumettant au silence la moitié de leur population.
LE SORT RÉSERVÉ AUX INFIDÈLES
Principale cible du volumineux ouvrage, l'infidèle recèle tous les vices habituellement attribués à l'ennemi: il est faux, sournois, moqueur, méprisant, agressif et guerrier, et naturellement adhère à d'autres mythes ou à aucun, c'est à dire qu'il n'admet pas l'autorité d'Allah. Accablé de tant de maux, la mort par voie divine ou de la main des musulmans apparaît comme une issue plus sûre que la conversion qui peut n'être qu'une simulation tant l'incroyant est habile à la trahison. Le terme d'infidèle désigne tous les non musulmans, qu'ils soient juifs, chrétiens, polythéistes ou non croyants. Et la méfiance est requise envers les convertis.
La sourate II est un flot de haine qui se déverse sur les infidèles, annonçant leur noyade et submergeant leurs cités. L'incroyance est un handicap (II, 9): "Une infirmité siège dans leurs cœurs, et Dieu ne fera que l'accroître; un châtiment douloureux leur est réservé, parce qu'ils ont traité les prophètes de menteurs.", et il se soigne par le feu (II, 22): "redoutez le feu préparé pour les infidèles, le feu dont les hommes et les pierres seront l'aliment.", et (II, 37): "Mais ceux qui ne croiront pas, qui traiteront nos signes de mensonge, seront livrés au feu éternel.". Voir aussi les versets 83 et 84. La conversion de l'infidèle n'est pas une priorité, son salut est inutile aux yeux de Dieu (II, 92): "Celui qui sera l'ennemi du Seigneur, de ses anges, de ses envoyés, de Gabriel et de Michel, aura Dieu pour ennemi, car Dieu hait les infidèles.", et toute intention salvatrice de Dieu n'est que stratagème morbide (II, 120): "Alors Abraham dit à Dieu: Seigneur, accorde à cette contrée la sécurité et la nourriture de tes fruits à ceux qui croiront en Dieu et au jour dernier. Je l'accorderai aux infidèles aussi, mais ils n'en jouiront qu'un espace de temps borné ensuite je les refoulerai vers le châtiment du feu. Quelle affreuse route que la leur!". On notera que ce Dieu présente la même fausseté que celle affublée aux incroyants desquels il est supposé se distinguer. Le Coran n'en est pas a une contradiction près. Les fidèles sont appelés à joindre leur malédiction des incroyants à celle de leur Dieu (II, 154): "Que ceux qui dérobent à la connaissance des autres les miracles et la vraie direction après que nous les avons fait connaître dans le livre (le Pentateuque) soient maudits de Dieu et de tous ceux qui savent maudire.", et (II, 156): "Ceux qui mourront infidèles seront frappés de la malédiction de Dieu, des anges et de tous les hommes.". Et pour que les choses soient claires (II, 255): "Les infidèles sont les méchants". La haine divine est rappelée un peu plus loin (II, 277): "Dieu hait tout homme infidèle et pervers.". Si Dieu déverse sa haine, la sentence peut et doit être appliquée par les fidèles eux-mêmes (V, 37): "vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la croix; vous leur couperez les mains et les pieds alternés; ils seront chassés de leur pays.". Autre supplice en (X, 4): "Ceux qui ne croient pas auront pour breuvage l'eau bouillante et un châtiment douloureux pour prix de leur incrédulité.".
La cécité du traducteur se heurte au bon sens issu de la simple lecture du Coran en (X, 28): "Ceux qui feront le mal, leur rétribution sera pareille mal; l'ignominie les couvrira (et il n'y aura point de protecteur contre Dieu), et leurs visages seront noirs comme un lambeau de nuit épaisse. Ils habiteront le feu et y demeureront éternellement.". Le traducteur, Kasimirski, y voit le signe de la bonté coranique dans une note de bas de page (page 170): "Ce n'est pas le seul passage du Coran où pour mettre en relief la bonté de Dieu, les récompenses des justes seront plus généreuses que ne seront sévères les châtiments des méchants.". Devant un tel détournement du sens du texte, les extrémistes voient leurs agissements justifiés par cette caution littéraire. Cette même bonté divine dispose de moyens d'expressions variés tels que l'engloutissement, la tempête de sable et le vent, comme il est rappelé en (XVII, 70 et 71). Mais les supplices plus classiques restent d'usage (XVIII, 28): "Quant à nous, nous avons préparé pour les impies le feu, qui les entourera de ses parois. Quand ils imploreront du secours, on leur donnera de l'eau ardente comme le métal fondu, qui leur brûlera la figure.", et (XXII, 20): "les vêtements des infidèles seront taillés de feu, et l'eau bouillante sera versée sur leur têtes.", ou encore (XXIII, 105): "Le feu consumera leurs visages, et ils tordront leurs lèvres.", ainsi que (XLIV, 47 et 48). L'incroyance est une maladie comme il est précisé en (XVIII, 79): "Quant au jeune homme, ses parents étaient croyants, et nous avons craint qu'il ne les infectât de sa perversité et de son incrédulité.". Cette infection ne peut être guérie que par la menace de malheurs plus grands encore (XXXIV, 9): "Si nous voulions, nous pourrions les faire engloutir par la terre entrouverte, ou faire tomber sur leur têtes un fragment du ciel. Dans ceci il y a un signe pour tout serviteur capable de se convertir.", et de même en (XXXIX, 18): "Au-dessus de leur têtes brûlera une masse de feu, et une masse de feu sous leur pieds. Voici de quoi Dieu intimide ses serviteurs: Croyez-moi donc, ô mes serviteurs!". Une tare accusée en outre d'agressivité (XLIII, 79): "Si les infidèles tendent des pièges, nous leur en tendront aussi.".
L'absurdité de la doctrine musulmane est manifeste lorsque le constat d'échec est dressé par le Coran lui-même en (XXXVI, 6 à 9): "Peu leur importe si tu les avertis ou non; ils ne croiront pas.". Le Coran gratifie le lecteur du déversement de sa haine viscérale pour l'incroyant en (LVI, 40 à 61) s'enfonçant encore un peu plus dans la boue de sa morale discriminatrice. Une idéologie qui se résume dans une compilation de menaces, interdictions, discriminations, accompagnée de la surveillance inquisitoriale de ses propres adeptes, signe là sa propre défaite, son inaptitude à proposer une philosophie cohérente et porteuse d'espoir. Le bétail difficile à garder dans les cloîtres de la foi voit la moindre incartade immanquablement punie (LIX, 4): "Le Seigneur punit sévèrement ceux qui s'écartent de sa religion.", pour maintenir le croyant dans le droit chemin de la prière (LXXI, 29): "Seigneur, pardonne-moi, ainsi qu'à mes enfants, aux fidèles qui entreront dans ma maison, aux hommes, aux femmes qui croient, et extermine les méchants.".
La violence et l'intimidation ne sont pas les seuls moyens de soumettre ou punir l'incroyant, le Coran adopte aussi celui de la mise en scène de l'infidèle face à sa propre mort en pronostiquant son repentir. Stratégie facile qui ne repose, comme toujours, que sur un fictif jugement dernier, partie de l'imaginaire populaire. Ainsi (II, 160): "Oh! que les impies reconnaîtront au moment du châtiment qu'il n'y a d'autre puissance que celle de Dieu.", et (II, 162): "C'est ainsi que Dieu les fera voir leurs œuvres. Ils pousseront des soupirs de regrets, mais ils ne sortiront point du feu.". De façon plus directe, et pour éviter de laborieuses réflexions, (XV, 2): "Le jour viendra où les infidèles préfèreraient avoir été musulmans.". Le Coran choisit aussi, contrairement à son habitude, de donner la parole à l'accusé, (XXIII, 100): "L'impie, au moment de la mort, s'écrie: Seigneur, fais-moi retourner sur la terre.", ainsi que (XXV, 29 et 30): "Alors le méchant mordra le revers de sa main et dira: Plût à Dieu que j'eusse suivi le sentier avec l'Apôtre. Malheur à moi! Plût à Dieu que je n'eusse pas pris un tel pour patron!". Pour une fiction plus convaincante, le Coran glisse vers le drame qui rive le spectateur sur son siège (XXXV, 34): "Ils [les incroyants] crieront du fond de l'enfer: Seigneur! fais-nous sortir d'ici; nous pratiqueront la vertu autrement que nous ne l'avions fait auparavant.", mais la sanction divine tombe, impitoyable, (XXXV, 35): "Subissez donc votre peine; il n'y a point de protecteur pour les méchants.". Et les repentances de dernière minute ne seront d'aucune utilité à l'incroyant (XL, 84 et 85): "Quand ils [les infidèles] virent nos vengeances, ils s'écrièrent: Voici, nous avons cru en Dieu, et nous ne croyons plus aux divinités que nous lui associions. Mais la croyance ne leur servit plus à rien au moment où ils voyaient s'accomplir notre vengeance. C'est la coutume de Dieu qui s'était déjà autrefois exercée contre ses serviteurs, et les infidèles périrent.".
Principale cible du volumineux ouvrage, l'infidèle recèle tous les vices habituellement attribués à l'ennemi: il est faux, sournois, moqueur, méprisant, agressif et guerrier, et naturellement adhère à d'autres mythes ou à aucun, c'est à dire qu'il n'admet pas l'autorité d'Allah. Accablé de tant de maux, la mort par voie divine ou de la main des musulmans apparaît comme une issue plus sûre que la conversion qui peut n'être qu'une simulation tant l'incroyant est habile à la trahison. Le terme d'infidèle désigne tous les non musulmans, qu'ils soient juifs, chrétiens, polythéistes ou non croyants. Et la méfiance est requise envers les convertis.
La sourate II est un flot de haine qui se déverse sur les infidèles, annonçant leur noyade et submergeant leurs cités. L'incroyance est un handicap (II, 9): "Une infirmité siège dans leurs cœurs, et Dieu ne fera que l'accroître; un châtiment douloureux leur est réservé, parce qu'ils ont traité les prophètes de menteurs.", et il se soigne par le feu (II, 22): "redoutez le feu préparé pour les infidèles, le feu dont les hommes et les pierres seront l'aliment.", et (II, 37): "Mais ceux qui ne croiront pas, qui traiteront nos signes de mensonge, seront livrés au feu éternel.". Voir aussi les versets 83 et 84. La conversion de l'infidèle n'est pas une priorité, son salut est inutile aux yeux de Dieu (II, 92): "Celui qui sera l'ennemi du Seigneur, de ses anges, de ses envoyés, de Gabriel et de Michel, aura Dieu pour ennemi, car Dieu hait les infidèles.", et toute intention salvatrice de Dieu n'est que stratagème morbide (II, 120): "Alors Abraham dit à Dieu: Seigneur, accorde à cette contrée la sécurité et la nourriture de tes fruits à ceux qui croiront en Dieu et au jour dernier. Je l'accorderai aux infidèles aussi, mais ils n'en jouiront qu'un espace de temps borné ensuite je les refoulerai vers le châtiment du feu. Quelle affreuse route que la leur!". On notera que ce Dieu présente la même fausseté que celle affublée aux incroyants desquels il est supposé se distinguer. Le Coran n'en est pas a une contradiction près. Les fidèles sont appelés à joindre leur malédiction des incroyants à celle de leur Dieu (II, 154): "Que ceux qui dérobent à la connaissance des autres les miracles et la vraie direction après que nous les avons fait connaître dans le livre (le Pentateuque) soient maudits de Dieu et de tous ceux qui savent maudire.", et (II, 156): "Ceux qui mourront infidèles seront frappés de la malédiction de Dieu, des anges et de tous les hommes.". Et pour que les choses soient claires (II, 255): "Les infidèles sont les méchants". La haine divine est rappelée un peu plus loin (II, 277): "Dieu hait tout homme infidèle et pervers.". Si Dieu déverse sa haine, la sentence peut et doit être appliquée par les fidèles eux-mêmes (V, 37): "vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la croix; vous leur couperez les mains et les pieds alternés; ils seront chassés de leur pays.". Autre supplice en (X, 4): "Ceux qui ne croient pas auront pour breuvage l'eau bouillante et un châtiment douloureux pour prix de leur incrédulité.".
La cécité du traducteur se heurte au bon sens issu de la simple lecture du Coran en (X, 28): "Ceux qui feront le mal, leur rétribution sera pareille mal; l'ignominie les couvrira (et il n'y aura point de protecteur contre Dieu), et leurs visages seront noirs comme un lambeau de nuit épaisse. Ils habiteront le feu et y demeureront éternellement.". Le traducteur, Kasimirski, y voit le signe de la bonté coranique dans une note de bas de page (page 170): "Ce n'est pas le seul passage du Coran où pour mettre en relief la bonté de Dieu, les récompenses des justes seront plus généreuses que ne seront sévères les châtiments des méchants.". Devant un tel détournement du sens du texte, les extrémistes voient leurs agissements justifiés par cette caution littéraire. Cette même bonté divine dispose de moyens d'expressions variés tels que l'engloutissement, la tempête de sable et le vent, comme il est rappelé en (XVII, 70 et 71). Mais les supplices plus classiques restent d'usage (XVIII, 28): "Quant à nous, nous avons préparé pour les impies le feu, qui les entourera de ses parois. Quand ils imploreront du secours, on leur donnera de l'eau ardente comme le métal fondu, qui leur brûlera la figure.", et (XXII, 20): "les vêtements des infidèles seront taillés de feu, et l'eau bouillante sera versée sur leur têtes.", ou encore (XXIII, 105): "Le feu consumera leurs visages, et ils tordront leurs lèvres.", ainsi que (XLIV, 47 et 48). L'incroyance est une maladie comme il est précisé en (XVIII, 79): "Quant au jeune homme, ses parents étaient croyants, et nous avons craint qu'il ne les infectât de sa perversité et de son incrédulité.". Cette infection ne peut être guérie que par la menace de malheurs plus grands encore (XXXIV, 9): "Si nous voulions, nous pourrions les faire engloutir par la terre entrouverte, ou faire tomber sur leur têtes un fragment du ciel. Dans ceci il y a un signe pour tout serviteur capable de se convertir.", et de même en (XXXIX, 18): "Au-dessus de leur têtes brûlera une masse de feu, et une masse de feu sous leur pieds. Voici de quoi Dieu intimide ses serviteurs: Croyez-moi donc, ô mes serviteurs!". Une tare accusée en outre d'agressivité (XLIII, 79): "Si les infidèles tendent des pièges, nous leur en tendront aussi.".
L'absurdité de la doctrine musulmane est manifeste lorsque le constat d'échec est dressé par le Coran lui-même en (XXXVI, 6 à 9): "Peu leur importe si tu les avertis ou non; ils ne croiront pas.". Le Coran gratifie le lecteur du déversement de sa haine viscérale pour l'incroyant en (LVI, 40 à 61) s'enfonçant encore un peu plus dans la boue de sa morale discriminatrice. Une idéologie qui se résume dans une compilation de menaces, interdictions, discriminations, accompagnée de la surveillance inquisitoriale de ses propres adeptes, signe là sa propre défaite, son inaptitude à proposer une philosophie cohérente et porteuse d'espoir. Le bétail difficile à garder dans les cloîtres de la foi voit la moindre incartade immanquablement punie (LIX, 4): "Le Seigneur punit sévèrement ceux qui s'écartent de sa religion.", pour maintenir le croyant dans le droit chemin de la prière (LXXI, 29): "Seigneur, pardonne-moi, ainsi qu'à mes enfants, aux fidèles qui entreront dans ma maison, aux hommes, aux femmes qui croient, et extermine les méchants.".
La violence et l'intimidation ne sont pas les seuls moyens de soumettre ou punir l'incroyant, le Coran adopte aussi celui de la mise en scène de l'infidèle face à sa propre mort en pronostiquant son repentir. Stratégie facile qui ne repose, comme toujours, que sur un fictif jugement dernier, partie de l'imaginaire populaire. Ainsi (II, 160): "Oh! que les impies reconnaîtront au moment du châtiment qu'il n'y a d'autre puissance que celle de Dieu.", et (II, 162): "C'est ainsi que Dieu les fera voir leurs œuvres. Ils pousseront des soupirs de regrets, mais ils ne sortiront point du feu.". De façon plus directe, et pour éviter de laborieuses réflexions, (XV, 2): "Le jour viendra où les infidèles préfèreraient avoir été musulmans.". Le Coran choisit aussi, contrairement à son habitude, de donner la parole à l'accusé, (XXIII, 100): "L'impie, au moment de la mort, s'écrie: Seigneur, fais-moi retourner sur la terre.", ainsi que (XXV, 29 et 30): "Alors le méchant mordra le revers de sa main et dira: Plût à Dieu que j'eusse suivi le sentier avec l'Apôtre. Malheur à moi! Plût à Dieu que je n'eusse pas pris un tel pour patron!". Pour une fiction plus convaincante, le Coran glisse vers le drame qui rive le spectateur sur son siège (XXXV, 34): "Ils [les incroyants] crieront du fond de l'enfer: Seigneur! fais-nous sortir d'ici; nous pratiqueront la vertu autrement que nous ne l'avions fait auparavant.", mais la sanction divine tombe, impitoyable, (XXXV, 35): "Subissez donc votre peine; il n'y a point de protecteur pour les méchants.". Et les repentances de dernière minute ne seront d'aucune utilité à l'incroyant (XL, 84 et 85): "Quand ils [les infidèles] virent nos vengeances, ils s'écrièrent: Voici, nous avons cru en Dieu, et nous ne croyons plus aux divinités que nous lui associions. Mais la croyance ne leur servit plus à rien au moment où ils voyaient s'accomplir notre vengeance. C'est la coutume de Dieu qui s'était déjà autrefois exercée contre ses serviteurs, et les infidèles périrent.".
L'inextricable problème de la retranscription du Coran
Il est bien connu que le Coran est la parole incréée de "Dieu", parole littérale et absolue. Aucune des imperfections de retranscription observées avec la Bible ne sont présentes dans le Coran, ce livre si parfait et si complet. C'est du moins la conception simpliste dont beaucoup de croyants sont convaincus. Les pierres de la lapidation sauront faire taire les sceptiques.
Pourtant, des philologues comme Gerd Puin ou Christoph Luxenberg ont beaucoup travaillé sur les versions les plus anciennes du Coran et le résultat est impressionnant : le texte actuel n'est qu'une mauvaise retranscription à partir de l'arabe ancien qui pouvait être sujet à des ambiguïtés.
Dans un article paru le 5 mai 2003 dans Le Monde, Roger-Pol Droit évoque les travaux de Christoph Luxenberg sur la langue utilisée dans la Coran. S'il est bien acquis (pour les intellectuels, l'avis des croyants soumis n'ayant aucun intérêt) que le Coran fut écrit pour la première fois en arabe, il importe de prendre en considération le fait que la symbolisation des voyelles par des points situés au-dessus ou au-dessous des consonnes n'est apparu que beaucoup plus tard. Et le résultat de la nouvelle lecture du Coran par le philologue allemand ouvre une véritable révolution. Par exemple, le verset qui promet pléthore de vierges aux heureux locataires du paradis n'indiquerait en fait que des "fruits blancs comme le cristal" au lieu des "vierges aux grands yeux" ! On imagine la déconvenue des kamikazes islamistes qui protègent leur sexe en prévision de l'ascension divine et qui ne se verront remettre que quelques raisins au lieu des soixante-dix vierges attendues...
Il est bien connu que le Coran est la parole incréée de "Dieu", parole littérale et absolue. Aucune des imperfections de retranscription observées avec la Bible ne sont présentes dans le Coran, ce livre si parfait et si complet. C'est du moins la conception simpliste dont beaucoup de croyants sont convaincus. Les pierres de la lapidation sauront faire taire les sceptiques.
Pourtant, des philologues comme Gerd Puin ou Christoph Luxenberg ont beaucoup travaillé sur les versions les plus anciennes du Coran et le résultat est impressionnant : le texte actuel n'est qu'une mauvaise retranscription à partir de l'arabe ancien qui pouvait être sujet à des ambiguïtés.
Dans un article paru le 5 mai 2003 dans Le Monde, Roger-Pol Droit évoque les travaux de Christoph Luxenberg sur la langue utilisée dans la Coran. S'il est bien acquis (pour les intellectuels, l'avis des croyants soumis n'ayant aucun intérêt) que le Coran fut écrit pour la première fois en arabe, il importe de prendre en considération le fait que la symbolisation des voyelles par des points situés au-dessus ou au-dessous des consonnes n'est apparu que beaucoup plus tard. Et le résultat de la nouvelle lecture du Coran par le philologue allemand ouvre une véritable révolution. Par exemple, le verset qui promet pléthore de vierges aux heureux locataires du paradis n'indiquerait en fait que des "fruits blancs comme le cristal" au lieu des "vierges aux grands yeux" ! On imagine la déconvenue des kamikazes islamistes qui protègent leur sexe en prévision de l'ascension divine et qui ne se verront remettre que quelques raisins au lieu des soixante-dix vierges attendues...
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Dis t'as fini ? !leolo a écrit :L'inextricable problème de la retranscription du Coran
Il est bien connu que le Coran est la parole incréée de "Dieu", parole littérale et absolue. Aucune des imperfections de retranscription observées avec la Bible ne sont présentes dans le Coran, ce livre si parfait et si complet. C'est du moins la conception simpliste dont beaucoup de croyants sont convaincus. Les pierres de la lapidation sauront faire taire les sceptiques.
Pourtant, des philologues comme Gerd Puin ou Christoph Luxenberg ont beaucoup travaillé sur les versions les plus anciennes du Coran et le résultat est impressionnant : le texte actuel n'est qu'une mauvaise retranscription à partir de l'arabe ancien qui pouvait être sujet à des ambiguïtés.
Dans un article paru le 5 mai 2003 dans Le Monde, Roger-Pol Droit évoque les travaux de Christoph Luxenberg sur la langue utilisée dans la Coran. S'il est bien acquis (pour les intellectuels, l'avis des croyants soumis n'ayant aucun intérêt) que le Coran fut écrit pour la première fois en arabe, il importe de prendre en considération le fait que la symbolisation des voyelles par des points situés au-dessus ou au-dessous des consonnes n'est apparu que beaucoup plus tard. Et le résultat de la nouvelle lecture du Coran par le philologue allemand ouvre une véritable révolution. Par exemple, le verset qui promet pléthore de vierges aux heureux locataires du paradis n'indiquerait en fait que des "fruits blancs comme le cristal" au lieu des "vierges aux grands yeux" ! On imagine la déconvenue des kamikazes islamistes qui protègent leur sexe en prévision de l'ascension divine et qui ne se verront remettre que quelques raisins au lieu des soixante-dix vierges attendues...
[i]" L'absence de l'imperfection au coeur de la perfection rend la perfection imparfaite". [/i]
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Il ne vous reste que la Mecque !!leolo a écrit :La ville de La Mecque est interdite aux non musulmans en vertu du principe islamique décidant que les musulmans sont supérieurs aux non musulmans. La ségrégation qui en résulte apparaît, en particulier, dans le réseau autoroutier de La Mecque comme en témoigne cette image : les voies en direction de La Mecque (Makkah) sont accessibles aux seuls musulmans ("Moslems Only") alors que les non musulmans sont dirigés sur une voie distincte ("Non Moslems"). La pureté islamique est sauvegardée : ces saletés d'infidèles n'iront pas souiller le saint lieu.
Pour voir l'image
http://www.atheisme.org/apartheid-lamecque.html
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Je crois à chaque mot écrit dans le Coran et à chaque phrase dite par le Prophète ! Et j'adore ma religion , et je suis si heureuse d'avoir choisi ce mode de vie ! Et l'histoire de la violence dans le Coran devient lassante ...Savannah a écrit :Lamia tu y crois toi ?
C est ca qui est important !
[i]" L'absence de l'imperfection au coeur de la perfection rend la perfection imparfaite". [/i]
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Voila !lamia a écrit :Je crois à chaque mot écrit dans le Coran et à chaque phrase dite par le Prophète ! Et j'adore ma religion , et je suis si heureuse d'avoir choisi ce mode de vie ! Et l'histoire de la violence dans le Coran devient lassante ...Savannah a écrit :Lamia tu y crois toi ?
C est ca qui est important !
Et puis c est ton mode de vie et ca se respecte ca.
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Enfin quelqu'un qui comprend !Savannah a écrit :Voila !lamia a écrit :Je crois à chaque mot écrit dans le Coran et à chaque phrase dite par le Prophète ! Et j'adore ma religion , et je suis si heureuse d'avoir choisi ce mode de vie ! Et l'histoire de la violence dans le Coran devient lassante ...Savannah a écrit :Lamia tu y crois toi ?
C est ca qui est important !
Et puis c est ton mode de vie et ca se respecte ca.

[i]" L'absence de l'imperfection au coeur de la perfection rend la perfection imparfaite". [/i]
Lamia je ne dis pas que tu es une mauvaise personne. Et j'ai rencontré beaucoup de bon musulmans et le contraire aussi. J'ai déjà voyagé 9 mois dans des pays musulmans.lamia a écrit :Oui c'est ça , il ne fait que répéter ce qu'on dit toujours de l'Islam ... -_-"du guesclin a écrit :Nardine ! Se pourrait-il que Leolo soit dans le vrai ?
Si toi tu as aucun doute et de perplexité sur l'Islam, tant mieux pour toi, mais moi j'ai de la difficulté à lire ceci:
" Le messager d’Allah a dit :
- Que la malédiction d’Allah soit sur le voleur qui a volé un œuf et que sa main soit coupée, ainsi que sur celui qui vole une corde et que sa main soit coupée. " (récit d’Abu Huraira, Muslim XVII 4185)
" L’envoyé d’Allah a dit :
- Quand un homme célibataire commet l’adultère avec une femme célibataire, ils recevront cent coups de fouet et seront bannis un an. Dans le cas où ils sont mariés, il recevront cent coups de fouet et seront lapidés à mort. " (récit de Ubada b. as Samit, Muslim XVII 4191)
Et que l'on me démontre que c'est bien, j’ai le droit de dire que je ne suis pas d’accord et que je n'ai pas à honorer cela.
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C est un plaisir !lamia a écrit :Enfin quelqu'un qui comprend !Savannah a écrit :Voila !lamia a écrit :Je crois à chaque mot écrit dans le Coran et à chaque phrase dite par le Prophète ! Et j'adore ma religion , et je suis si heureuse d'avoir choisi ce mode de vie ! Et l'histoire de la violence dans le Coran devient lassante ...Savannah a écrit :Lamia tu y crois toi ?
C est ca qui est important !
Et puis c est ton mode de vie et ca se respecte ca.Mercii
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