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BAFABOY
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Sujet du message: Les étudiants Québécois et la loi Charest. Publié: Mer Sep 19, 2012 11:48 am |
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Gérald Fillion s'entretient avec Stephen Jarislowsky. Le milliardaire montréalais Stephen Jarislowsky affirme que les étudiants du Québec devraient s'estimer chanceux de pouvoir bénéficier d'une éducation supérieure à faible coût au lieu de s'opposer à la hausse des droits de scolarité.
En entrevue avec Gérald Fillion, le célèbre investisseur a dit ne pas comprendre la position de ceux qui contestent la décision du gouvernement Charest. « Les étudiants n'ont jamais payé d'impôts sur le revenu parce qu'ils n'ont pas de revenu. Ils sentent que c'est leur droit d'obtenir une éducation universitaire sans payer un sou. Ce n'était pas comme ça dans mon temps », a-t-il fait valoir.
M. Jarislowsky souligne que beaucoup de parents américains sont prêts à payer des dizaines de milliers de dollars pour offrir une éducation postsecondaire à leurs enfants. Selon lui, si les droits de scolarité étaient plus élevés au Québec, les étudiants n'auraient pas déclenché de grève. « Si ça coûtait 40 000 $ comme aux États-Unis, papa dirait : "Toi, tu vas à l'école demain matin, moi, je paie 40 000 $ pour te donner une éducation." »
Le financier ne souhaite pas que les Québécois aient à payer aussi cher que les Américains pour pouvoir étudier, mais croit qu'ils devraient faire preuve de reconnaissance.
« On devrait quand même comprendre que si on reçoit un cadeau qui est à 85 % payé par les contribuables, c'est un cadeau. On devrait dire merci au lieu de sortir dans la rue. » — Stephen Jarislowsky M. Jarislowsky prône par ailleurs le relèvement de l'âge de la retraite. Il soutient que lorsqu'il a été fixé à 65 ans, les gens mouraient deux ou trois ans plus tard. « Aujourd'hui, une personne de 65 ans [...] peut vivre jusqu'à 90 ans. C'est impossible de payer des rentes pendant une période de 25 ans à des gens qui, comme les professeurs du secondaire, n'ont travaillé que 30 ans ».
À son avis, l'âge de la retraite au Canada devrait atteindre 70 ans, soit 10 ans de moins que l'espérance de vie de la population canadie
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Léo
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Sujet du message: Re: Les étudiants Québécois et la loi Charest. Publié: Mer Sep 19, 2012 6:27 pm |
niveau4 |
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Inscrit le: Dim Avr 03, 2011 12:57 am Posts: 3669
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Il y en a qui ne font que cela se comparer aux U.S.A et le ROC, comme s'il n'y avait que c'est deux pays dans le monde, même si les U.S.A furent de vrai cancre économiquement dernièrement et qu'ils ont fait chier bien du monde avec leur tour de passe-passe de SUBPRIME et ils sont loin d'être sorti du trou les Américains.
Les Américains n'impressionnent presque plus personne depuis Bush, ce n'est presque plus un exemple à suivre.
C'est compréhensible avec une banque fédérale qui appartient à la privée et qui se base sur de l'argent comme si elle était imprimée dans un sous-sol de faux moyenneur. En plus d'avoir les agences de cotation comme Standard and Poor, qui a dit que les subprime était bon.
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BAFABOY
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Sujet du message: Re: Les étudiants Québécois et la loi Charest. Publié: Ven Sep 28, 2012 6:33 pm |
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La pyramide de Maslow La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains.
Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait.
Nous proposons une nouvelle approche de ce modèle en : reprenant les 5 catégories de Maslow, brisant cette vision hiérarchique (aujourd’hui contestée), introduisant un nouveau besoin, déduit de notre modélisation.
Les besoins humains selon Maslow :
Les besoins physiologiques sont directement liés à la survie des individus ou de l’espèce. Ce sont typiquement des besoins concrets (faim, soif, sexualité,...).
Le besoin de sécurité consiste à se protéger contre les différents dangers qui nous menacent. Il s’agit donc d’un besoin de conservation d’un existant, d’un acquis. Il s’inscrit dans une dimension temporelle.
Le besoin d’appartenance révèle la dimension sociale de l’individu qui a besoin de se sentir accepté par les groupes dans lesquels il vit (famille, travail, association, ...). L’individu se définissant par rapport à ses relations, ce besoin appartient au pôle « relationnel » de l’axe ontologique.
Le besoin d’estime prolonge le besoin d’appartenance. L’individu souhaite être reconnu en tant qu’entité propre au sein des groupes auxquels il appartient.
Le besoin de s’accomplir est selon Maslow le sommet des aspirations humaines. Il vise à sortir d’une condition purement matérielle pour atteindre l’épanouissement. Nous le considérons donc comme antagoniste aux besoins physiologiques.
Notre modélisation révèle un sixième besoin :
Le besoin d’éternité, d’immortalité ou tout simplement de temps, n’est pas décrit par Maslow. C’est pourtant un besoin de plus en plus exprimé dans notre société. Commercialement, il se traduit par l’attirance envers les produits promettant le rajeunissement ou de gagner du temps.
On constate que bien souvent, cette sixième dimension est occultée. Nous y voyons 3 raisons principales : elle n’a pas encore d’existence elle nous projette dans l’incertain puisque de multiples futurs sont possibles elle nous conduit à considérer notre propre fin
Cela explique qu’elle soit passée sous silence, sans doute inconsciemment, dans de nombreuses situations.
On constatera qu’aucune hiérarchie entre ces six besoins n’apparaît dans notre représentation. Cela nous abstrait des critiques portées au modèle d’origine.
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