chic_marmonneur a écrit :lam129 a écrit :Léo a écrit :
Je n'en reviens pas qu'il y ait du monde qui voit le parti libérale comme étant la seul solution, c'est comme ne pas avoir de conscience ou d'intelligence.
Il y a soit de l'aveuglement volontaire, ou bien pour eux l'intégrité n'est pas importante.
Ce constat est vraiment fascinant.
Il n'y a pas à chercher de midi à quatorze heures, pour ceux qui vote P.L.Q.
Vous allez voir après les élections 99.9% des anglophones auront voté P.L.Q, 60% des ethnies pour le P.L.Q (60% au lieu de 70%, soit une baisse de 10% qui ira pour la C.A.Q) et 20% de francophones riches ou naïf (20% au lieu de 30% soit une baisse de 10% qui ira pour la C.A.Q)
Eux ils s'en foutent de la langue et du made in Québec, par contre dans leur pays natif ils voteraient pour un parti qui ressemble au P.Q, même les anglophones au Canada anglais voteraient à au moins 30-40% à un parti qui ressemble au P.Q. On a qu'a voir ce que les villes à majorité anglophones de l'Île de Montréal qui ont voté massivement pour se désunir de la ville de Montréal. Car au ROC les grandes villes sont toujours unis. Je sais vous allez dire que c'est un fiasco, mais donnez leur le temps de finir par gérer cela et tout le monde va être gagnant à la longue. Dans le privé les petites compagnie ne font pas le poids devant les multinationales, car plus une compagnie est grosse, meilleur est son pouvoir d'achat, meilleur est son coût de production, moins cher est son produit qu'il vends et il y a moins d'employé. C'est ça l'objectif des villes fusionnés.
Mais non les anglophones ne veulent pas se faire gérer par des francophones, ce qui est racistes dans le fond.
Moi quand je vais au Super"C", Métro, Caisse populaire, Banque Nationale, Banque Laurentienne et tous ces entreprises francophones, je voyais surtout une majorité de francophones quand je vivais au West-Island. Même chose pour la culture et le sport. Exemple en dernier avec les Expos les anglophones regardait les Blue Jays et ils disaient que c'était trop loin le stade Olympique et que c'était situé dans un quartier majoritairement francophones.
bonjour l'amour de sa ville ou de sa province, pourtant dans des petites villes ayant le même nombre d'anglophones qu'a Montréal, ils font vivre plusieurs équipes de sport professionnelle dans le ROC et aux U.S.A.
C'est vrai qu'il ont le droit de faire ce qu'ils veulent, mais c'est quand même
fascinant.