JEU: FAITES NOUS DECOUVRIR LES SITES A VISITER ...

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saintluc
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#1 Message par saintluc »

Nous descendrons vers USHUAIA (Argentine) en partant de Québec.
1ère partie
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Faites nous découvrir les villes, villages, sites à visiter...
Chacun avance à la suite du post de l'autre.


Trois-Rivières
Fondée en 1634, elle est la deuxième plus ancienne ville du Québec.
es points de repères historiques encore visibles aujourd'hui incluent le monastère des Ursulines et les Forges du Saint-Maurice. La Vieille prison de Trois-Rivières, construite en 1822 est classée monument historique depuis 1978 et peut être visitée.
La croix de l'Année sainte (1950) est située à l'angle des boulevards Laviolette et du Carmel, en face du pavillon Sainte-Marie du Centre hospitalier régional. Le monument érigé par les catholiques trifluviens répondait à la recommandation de l'évêque de Trois-Rivières, Mgr Georges-Léon Pelletier d'ériger une Croix de l'Année sainte dans les villes et paroisses de son diocèse. Le monument fut dévoilé par lui le 10 décembre 1950.
La couronne et la statue Marie Reine du Monde est située dans le rond-point des boulevards de la Commune et Gene-H.-Kruger et des rues Royale et Saint-Olivier. Sur une plaque, est inscrit: "Couronne érigée à l’occasion de l’année mariale 1954. Statue érigée lors du 350e anniversaire de Trois-Rivières et bénie par Sa Sainteté le pape Jean-Paul II à l’occasion de sa visite à Trois-Rivières et à Cap-de-la-Madeleine, le 10 septembre 1984."
La croix de mission 1910 est située à l'intersection des rues Fusey et Saint-Laurent au Cap-de-la-Madeleine. Elle est l'œuvre du sculpteur français Edme Bouchardon (1698-1762). Son christ de fonte fût transporté par les paroissiens après une retraite de huit jours à l'occasion du 1er congrès de tempérance en 1910.
Le calvaire5 de Trois-Rivières-Ouest est situé au 7878, rue Notre-Dame Ouest (entre les rues Demontigny et Jacques-Ferron) dans le secteur de Trois-Rivières-Ouest. Ce calvaire construit en 1820 a été classé monument historique en 1983.
Le Calvaire Raoul-Labonté est situé au 8220, Boulevard des Forges. Il a été construit en 1911. Ce calvaire est répertorié au patrimoine culturel du Québec.
Le Sacré-Cœur est situé à l'angle de la rue Notre-Dame Centre et de la rue des Casernes. Le monument a été érigé à l'endroit où se situait le sanctuaire de l'église paroissiale Immaculée-Conception de Trois-Rivières, détruite par le grand incendie du 22 juin 1908.
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L'arrondissement historique, là où fut fondée la ville, est situé entre les rues des Casernes, Saint-Pierre, Sainte-Cécile et la terrasse Turcotte. Ses limites correspondent en partie à l'ancienne palissade du bourg fortifié au xviie siècle et en partie au projet de palissade dessiné en 1704 par Jacques Levasseur de Néré (1662 ou 1664-1724).
Les Forges du Saint-Maurice, devenues parc historique national du Canada, sont situées au 10000 boulevard des Forges dans le nord de la ville à 20 minutes du centre. Sur une plaque commémorative on peut lire : "Les Forges du Saint-Maurice ont été reconnues site historique par l'American Society for Metals. Créées à la suite d'une requête de François Poulin de Francheville en 1729, elles sont à l'origine de l'industrie sidérurgique canadienne. À la fermeture de l'entreprise en 1883, le haut-fourneau était le plus ancien en Amérique du Nord."
Le sanctuaire Notre Dame du Cap est situé au 626 rue Notre-Dame Est, dans le secteur du Cap-de-la-Madeleine. Dans ce plus grand sanctuaire marial en Amérique du Nord, on y trouve principalement la chapelle votive, la basilique Notre-Dame et le pont des chapelets dans un grand jardin.
Le pont des chapelets est situé dans le jardin de la basilique Notre-Dame-du-Cap. Il fut construit en 1924 pour commémorer le prodige de la formation d'un pont de glace sur le fleuve en mars 1879.
La Place d'armes est située au cœur de l'arrondissement historique sur la rue des Ursulines. C'est un ancien campement amérindien qui fut concédé par le gouverneur Charles Jacques Huault de Montmagny au chef weskarini (Algonquin) Charles Pachirini en 1648. La place a été classée site historique en 1960.
Le site historique des Récollets-de-Trois-Rivières est situé sur la rue des Ursulines. Les Récollets furent missionnaires, desservants et curés de Trois-Rivières de 1615 à 1634, de 1671 à 1682 et de 1693 à 1776. Plusieurs années avant même la fondation de Trois-Rivières, les Récollets établis à Québec commencèrent à exercer leur apostolat au petit poste de traite situé au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent. On prétend que c'est le père récollet Denys Jamet qui, le 26 juillet 1615, célébra la première messe au lieu dit trois rivières. Jamet était accompagné du père Jean Dolbeau et du frère Pacifique Duplessis (voir monuments aux personnes), apothicaire de formation.
Le cimetère anglican Saint-James est situé à l'angle des rues Saint-François-Xavier et De Tonnancour. Il a été aménagé à partir de 1808 et classé site historique le 13 mars 1962. Il constitue l'un des plus anciens lieux de sépulture anglicans au Québec et au Canada.
Le jardin des Ursulines est situé en face de leur monastère, rue des Ursulines.
Le site historique du Moulin-Seigneurial-de-Tonnancour est situé à Pointe-du-Lac. (voir autres édifices)
Le monastère des Ursulines est situé au 784 rue des Ursulines dans l'arrondissement historique. Sa construction a débuté en 1700. Arrivées en 1697, les Ursulines avaient été envoyées à Trois-Rivières par l'évêque de Québec, Mgr de Saint-Vallier, afin de pourvoir la ville et ses environs d'un établissement scolaire permanent et d'un hôpital pour les pauvres et les soldats, en particulier pour les travailleurs accidentés des Forges du Saint-Maurice. En 1715, la communauté des Ursulines procède aux premiers agrandissements de son monastère par la construction de la chapelle et de l'hôpital.
La chapelle votive de Notre-Dame-du-Cap est située dans le jardin de la basilique Notre-Dame-du-Cap. Construite de 1717 à 1720, elle est devenue un sanctuaire dédié à la Vierge Marie le 22 juin 1888. La petite église de pierre est l’une des plus vieilles églises au Canada.
Chapelle funéraire Montour-Mailhot est située dans les cimetière de la paroisse de Pointe-du-Lac, 11900, Rue Notre-Dame Ouest. Il a été construit entre 1865 et 1870 et déclaré monument historique le 17 septembre 2007.
L'Église Sainte-Cécile est située au cœur des Premiers Quartiers (ou quartiers historiques) de Trois-Rivières, au 568 rue Saint-Paul. Construite en 1913, elle est un élément remarquable du patrimoine historique et identitaire de Trois-Rivières.
L'église St-James (Chapelle du monastère des Récollets) est située au 787-811, rue des Ursulines dans l'arrondissement historique. Sur ce terrain, les récollets érigent entre 1693 et 1703 une église et un couvent de bois. Les deux bâtiments seront reconstruits en pierre, respectivement en 1742 et 1754.
Le mausolée des évêques est situé dans le cimetière St-Michel sur le boulevard des Forges. Il a été cité monument historique le 17 septembre 2007.
Le moulin à vent de Trois-Rivières, édifié en 1781 à proximité du fleuve Saint-Laurent, a été déménagé en 1975 sur le campus de l'Université du Québec à Trois-Rivières, 3351 boulevard des Forges. Il est reconnu parmi les lieux historiques du Canada et a été classé monument historique en 1961.


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Le moulin seigneurial de Tonnancour est situé au 11930, rue Notre-Dame Ouest, secteur Pointe-du-Lac . Il fut construit sous l'égide des Godefroy de Tonnancour entre 1765 et 1784 et classé bien culturel en 1975. Le moulin et son site sont reconnus parmi les lieux historiques du Canada.
L'édifice Lampron est situé à l'angle des rues Bellefeuille et Ste-Marguerite. Il a été construit par la ville en 1916 et cité monument historique le 7 juin 2004 pour son état de conservation et son intérêt architectural.

La fête de la St-Jean-Baptiste est célébrée depuis les premiers jours d'existence de la ville. La Relation des Jésuites de 1636 signale d'ailleurs que la Saint-Jean-Baptiste a été fêtée à Trois-Rivières avec un grand feu et des réjouissances.
La légende du mur du pendu a pour origine l'époque où l'ancien couvent des Récollets de Trois-Rivières servait de prison. Un Amérindien du nom de Noël Plaçoa fut condamné à mort pour meurtre. Plaçoa protesta vainement de son innocence et fut pendu publiquement au mur latéral nord-est vers 1790. Mais, juste avant d'être exécuté, il clama: "Grand Esprit! Tu sais que je ne suis pas coupable. Et pour le prouver, le mur de pierre de cet édifice ne tiendra jamais". Depuis cette époque on entendrait plusieurs fois par année, très tôt le matin, l'esprit de Noël Plaçoa crier à tue-tête ses complaintes, avec assez de frayeur pour faire hurler les chiens du quartier.


J'ai commencé l'itinéraire, c'est à vous maintenant
;) :))
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
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#2 Message par saintluc »

Je fais un peu avancer...

Le refuge d'oiseaux de Nicolet est une aire protégée du Canada située au Québec et l'un des 28 refuges d'oiseaux migrateurs de cette province. Ce refuge protège une halte migratoire pour le canard et la bernache du Canada et aussi une aire de nidification de la sauvagine. Elle est située à quelques kilomètres à l'ouest de Nicolet sur la rive sud du lac Saint-Pierre.
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Le refuge d'oiseaux est située à l'ouest de Nicolet, sur la rive sud du lac Saint-Pierre jusqu'au village de Baie-du-Febvre. Il comprend aussi quelques îles du delta de la Nicolet. Le site est considéré comme une aire centrale de la réserve de la biosphère du Lac-Saint-Pierre en 2000 en , comme Site Ramsar en 1998 et comme Zone importante pour la conservation des oiseaux (ZICO).
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Le site est située dans la ville de Nicolet et la municipalité de Baie-du-Febvre, tout deux située dans la municipalité régionale de comté (MRC) de Nicolet-Yamaska et la région du Centre-du-Québec.
Le site est de basse altitude et est inondé à tous les printemps. La végétation passe du milieu aquatique, à un marais de Scirpe fluviatile (bolboschoenus fluviatile), à un marécage, à une forêt et finalement des champs abandonnés.
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La Défense nationale a fait l'acquisition du site dans les années 1950. Le site fut reconnu comme aire de repos en 1969 et comme refuge en 1982
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#3 Message par saintluc »

Le fort Niagara est une fortification du XVIIe siècle construite à l'origine pour défendre les intérêts de la Nouvelle-France en Amérique du Nord. Il se situe près de Youngstown dans l'État de New York sur la rive droite de la Niagara à son embouchure dans le lac Ontario. La première structure, appelée Fort Conti, fut bâtie en 1678 par René Robert Cavelier de La Salle.
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Parti du fort Frontenac avec une trentaine d'hommes, dont le récollet Louis Hennegin, que le sieur de La Salle fit construire le fort Conti et un brigantin, le Griffon, et c'est le 7 août 1679 que le petit navire s'éloigna de Niagara en direction de Michillimakinac, où il arriva 20 jours plus tard.

Suite à une grande campagne militaire au pays des Tsonnontouans ou nommé aussi Sénécas (Iroquois), l'armée française, accompagnée de miliciens, au nombre de 2200 hommes, abandonnent le 25 juillet 1687 le fortin situé sur le lac Ontario au bord de la rivière des Sables (Genesse). Le petit fort est brûlé et l'armée du gouverneur Denonville quitte le pays dévasté des Tsonnontouans. Le 26 juillet la flottille hisse les voiles pour cette fois en longeant la rive ouest et nord du lac Ontario. Le 30 juillet l'armée arrive à l'embouchure de la rivière Niagara. Denonville choisit l'emplacement du fort à construire au bord du lac, sur une éminence escarpée.

Deux grandes barques de provisions arrivent du Fort Frontenac. Il y a même des bestiaux,... et les pioches, les pelles, les scies, les haches et autres outils nécessaires pour la construction du fort. Pendant ce moment de dépit pour les troupes, plusieurs officiers avec leurs escortes en profitent pour remonter les 25 kilomètres de la rivières Niagara pour admirer ses fameuses chutes, «cette effroyable cataracte» selon le baron Lahontan, «le plus grand sault qui soit au monde» selon La Salle.

Le 31 juillet 1687, le gouverneur de Nouvelle-France, le marquis de Denonville, fait ériger un nouveau fort sur cet emplacement. Baptisé Fort Denonville. Denonville désigne le commandant du Fort Niagara qui est le chevalier Pierre de Troyes et nomme le capitaine Raymond Blaise des Bergères, ayant avec lui sa chienne «Vingt-Sols», pour commander la garnison. Ce fort, ils le construiront selon les plans conçus et dessinés par l'ingénieur militaire du Roi, Robert de Villeneuve.

L'hiver de 1687-1688 fut vécu tragiquement au Fort Niagara. Le scorbut s'étant déclaré parmi la garnison, presque tous les hommes y succombèrent, dont le chevalier de Troyes le 8 mai 1688. Seuls 12 soldats et leur officier le capitaine Des Bergères, survécurent. Il devint le nouveau commandant du fort, mais pas pour longtemps.

Le fort ne durera que jusqu'en août 1689, lorsqu'il est abandonné, puis brûlé par les Sénécas ou par le commandant des Bergères (selon d'autres sources). Car Denonville ordonna le démantèlement du fort pour favoriser les négociations de paix avec le gouverneur de New York, Dongan. Le commandant du fort, des Bergères, rentre à Montréal avec sa garnison et son chien «Niagara».

En 1726, un nouveau fort est construit sur le même emplacement, malicieusement nommé poste de traite afin d'apaiser les Hodenosaunee, ou Iroquois. Toujours en 1726, il est remplacé par une bâtisse en pierre baptisée "La Maison de la Paix". Son nom courant de "Château français" ne sera pas usité avant le XIXe siècle. De plus, un magasin à deux étages nommé «Maison à Machicoulis» fut construit par l'ingénieur français Gaspard-Joseph Chaussegros de Lery. Précisons que trois ans auparavant, les Tsonnontouans n'étaient pas opposés à ce que le poste de traite fut transformé en un fort assez vaste pour abriter 300 soldats. Toujours est-il qu'il fut un important poste militaire et de traite qui contrôlait la route vers la vallée de l'Ohio.

Chabert de Joncaire est le nouveau commandant en 1726 au fort Niagara.

Le fort sera agrandi jusqu'à sa taille actuelle en 1755 en raison de la guerre de Sept Ans, appelée aussi la guerre franco-indienne, entre la France et la Grande-Bretagne.

Le capitaine-ingénieur Pierre Pouchot, avec le régiment du Béarn, est envoyé en 1755 à fort Niagara. En octobre 1757, on lui retire son commandement. En mars 1759, on le retrouve encore une fois pour commander le fort. Il nous a laissé un mémoire sur cette guerre désastreuse pour la France.

En juillet 1759, le fort est cédé aux Britanniques après un siège et la terrible bataille de La Belle-Famille.

En effet, l'attaque réussie du fort Niagara fut un engagement militaire d'importance pour l'Irlandais d'origine le commandant Johnson. Sous la conduite de John Prideaux, les Britanniques, ayant échappé à la vigilance de la garnison du commandant Pierre Pouchot, concentrèrent autour du fort, au début juillet une force armée composée d'environ 3 300 réguliers et de provinciaux, Johnson, commandant en second, était responsable d'un contingent de quelque 940 Amérindiens. Après moins de deux semaines de siège, Prideaux fut tué et Johnson devint le nouveau commandant.
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Le fort est resté entre les mains des Britanniques pour les prochains trente-sept ans.

Au cours de la guerre d'Indépendance américaine, le Fort Niagara sert de principal dépôt de ravitaillement et de base loyaliste pour les troupes britanniques dans l'État de New York. Les Rangers de John Butler (un milicien conservateur dans le commandement de l'armée britannique) et leurs alliés les Sénécas, y faisaient des incursions sur les voies de ravitaillement des troupes rebelles. Le lieutenant-colonel William Stacy, un officier de haut rang de l'Armée continentale, fut capturé lors de l'attaque de Cherry Valley dans l'État de New York, par les Rangers de Butler. Il fut détenu en captivité au Fort Niagara au cours de l'été 1779.

Niagara est devenu tristement célèbre pour la boisson, la bagarre, la prostitution et la tricherie. Des tavernes, des magasins et des bordels ont germés sur «le fond», des rives du bord de l'eau, au-dessous de la forteresse.

Bien que le Fort Niagara fût cédé aux États-Unis après le traité de Versailles qui mit fin à la guerre d'Indépendance américaine en 1783, la région reste effectivement sous contrôle britannique pendant treize ans. C'est seulement après la signature du traité de Jay que les forces américaines occupent le fort en 1796. Dans l'intervalle, les Loyalistes qui fuient la persécution dans les nouveaux États-Unis ont reçu des terres, généralement de 200 acres par habitant dans le Haut-Canada (et dans les cantons de l'Est au Québec) et certaines personnes furent soutenues dans les premières années, en partie avec l'aide des magasins de l'armée du fort.

Lors de la guerre Américano-britannique de 1812, le fort est toujours lieu stratégique pour les Anglais. Ainsi les Britanniques capturent le fort durant la nuit du 19 décembre 1813. Les forces britanniques ont renoncé aux États-Unis avec le traité de Gand. Il appartient aux États-Unis depuis.
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À partir du traité de Gand, le 24 décembre 1814, il est occupé par l'US Army jusqu'à sa désaffectation en 1963. Fort Niagara a servi à l'entraînement des troupes lors de la guerre hispano-américaine et de la Première Guerre mondiale et a été transformé en camp de prisonniers pendant la Seconde Guerre mondiale.
Fort Niagara a été rénové et est maintenant un parc et un musée.
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Re: JEU: FAITES NOUS DECOUVRIR LES SITES A VISITER ...

#4 Message par Viking »

j'apprécie l'itinéraire que tu nous fais visiter, j'ai toujours projeté d'aller au Canada un jour mais maintenant c'est trot tard d'où mon intéret prononcé pour tout ce qui me fait visiter ce beau pays... :thumb
J'irai revoir ma Normandie.....
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Re: JEU: FAITES NOUS DECOUVRIR LES SITES A VISITER ...

#5 Message par Viking »

je vous propose la visite de la Normandie et pour celà, je commence par poser une carte géographique pour vous annoncer sa couleur :thumb

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