Camping!!!
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- Doolores
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Re: Camping!!!
Le panneau qui s'ouvre pour entrer la moto
sert aussi de terrasse, comme un "sun deck" disons
et lorsque le paysage est magnifique comme par exemple
a Ste-Anne des Monts.
on verra la mer, directement dans notre salon.
sert aussi de terrasse, comme un "sun deck" disons
et lorsque le paysage est magnifique comme par exemple
a Ste-Anne des Monts.
on verra la mer, directement dans notre salon.
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Là forcez vs un peu j'ai hâte:
Je concentre mes pensées positives
afin que Doolores gagne le gros lot à la loto
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- Myna
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Re: Camping!!!
Moins de 6 mois pour la prochaine saison de camping
L'expérience est cette chose merveilleuse qui vous permet de reconnaître une erreur quand vous la faites à nouveau.
Re: Camping!!!
J'adore le camping.
Je faisais de camping sauvage dans le parc Algonquin en Ontario.
Un sac à dos, un canot pour sel bagage.
Presque tous les jours je me déplaçait en canot et il faillait trouver un nouveau site en fin de journée pour le dodo.
Fallait se débrouiller pendant 10 jours pour la bouffe car les boîtes de conserve et les bouteilles sont interdites dans le parc.
Évidemment, pas de frigo ou de cooler.
Pas d'internet ou de GPS non plus.
Que l'eau, les étoiles et les huards.
Si j'ai le temps et si vous intéresse, je vous mets des photos.
Je faisais de camping sauvage dans le parc Algonquin en Ontario.
Un sac à dos, un canot pour sel bagage.
Presque tous les jours je me déplaçait en canot et il faillait trouver un nouveau site en fin de journée pour le dodo.
Fallait se débrouiller pendant 10 jours pour la bouffe car les boîtes de conserve et les bouteilles sont interdites dans le parc.
Évidemment, pas de frigo ou de cooler.
Pas d'internet ou de GPS non plus.
Que l'eau, les étoiles et les huards.
Si j'ai le temps et si vous intéresse, je vous mets des photos.
- Myna
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Re: Camping!!!
Wow c'est magnifique Jazz !!!
Nous on fait du camping en famille avec nos filles .. en tente a terre :-) Mais l'an passé nous avons acheté une Tente-roulotte .. ce que personnellement je regrette .. même si je ne l'ai pas essayé encore .. mais bon j'aimais la simplicité de la tente
Nous on fait du camping en famille avec nos filles .. en tente a terre :-) Mais l'an passé nous avons acheté une Tente-roulotte .. ce que personnellement je regrette .. même si je ne l'ai pas essayé encore .. mais bon j'aimais la simplicité de la tente
L'expérience est cette chose merveilleuse qui vous permet de reconnaître une erreur quand vous la faites à nouveau.
Re: Camping!!!
Yep! Pas de motoneiges dans les environs.Myna a écrit :Wow c'est magnifique Jazz !!!
Si vous vous déplacer souvent, vous allez apprécier.Myna a écrit :Wow c'est magnifique Jazz !!!
Nous on fait du camping en famille avec nos filles .. en tente a terre :-) Mais l'an passé nous avons acheté une Tente-roulotte .. ce que personnellement je regrette .. même si je ne l'ai pas essayé encore .. mais bon j'aimais la simplicité de la tente
Pour ramasser, c'est vite fait. Surtout avec des enfants.
- Myna
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Re: Camping!!!
Normalement .. du moins jusqu'à maintenant .. quand on va camper .. on reste sur place 15 jours ..
Mais bon je te dirai ca cette été .. si je regrette vraiment
Mais bon je te dirai ca cette été .. si je regrette vraiment
L'expérience est cette chose merveilleuse qui vous permet de reconnaître une erreur quand vous la faites à nouveau.
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Re: Camping!!!
Le canot...quelle plaie!
Tu perds ton temps à pagayer et pagayer.
Pas de stabilité
Pas de confort
Faut aimer la misère!
Vive un bon vieux speed boat avec un V8 accouplé à une turbine Berkley.
Sans silencieux ,bien sûr!
Tu perds ton temps à pagayer et pagayer.
Pas de stabilité
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Faut aimer la misère!
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Sans silencieux ,bien sûr!
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Re: Camping!!!
Voici le nouveau joujou que j'utiliserai pour me promener dans les parcs cet été!
Un peu bruyant,je vous l'accorde!
Mais avec de bons cache oreilles ce sera pas pire que le bruit d'un hélico!
Évidemment,j'ai enlevé le système d'échappement pour faire plus de bruit.
Ainsi les canots m'entendronts arriver de loin!
Re: Camping!!!
Tu ne sais pas de quoi tu parles.calimero a écrit :Le canot...quelle plaie!
Tu perds ton temps à pagayer et pagayer.
Pas de stabilité
Pas de confort
Faut aimer la misère!
Vive un bon vieux speed boat avec un V8 accouplé à une turbine Berkley.
Sans silencieux ,bien sûr!
Premièrement, on ne pagaye pas avec un canot. On avironne.
Puis ton V8, tu peux le boire!
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Re: Camping!!!
Selon la fédération Québécoise du canot et du Kayak:
Aviron et pagaie
Historique
Il est probable qu’un humain, fatigué de faire avancer son radeau avec les mains, s’est un jour muni d’un bâton pour se propulser en l’appuyant sur le fond. À l’usage, il a remarqué qu’il pouvait aussi l’utiliser en eau profonde, mais que les bâtons plats étaient plus efficaces. D’autres ont perfectionné le modèle en fonction de leur environnement, mais le principe est resté et demeure. En effet, même s’il est peu connu et de moins en moins pratiqué, l’usage de la perche a pendant longtemps permis de monter et descendre des rivières. Au Québec, c’est surtout en Gaspésie que cette technique est encore utilisée, la morphologie des rivières (peu profondes et avec une pente constante) se prêtant bien à cette technique. Les Cris et les Montagnais utilisent encore un aviron, long et étroit, qu’ils utilisent comme une perche ou un aviron selon la profondeur de l’eau et le sens de déplacement (montée ou descente).
Pagaie, aviron, rame : c’est la pagaille !
Comme toute chose, la terminologie évolue. Essayons d’y voir clair. La pagaie est le moyen de propulsion utilisé depuis toujours en kayak. Quand les Européens se sont intéressés à ce moyen de locomotion, ils ont nommé pagaie tout ce qui correspondait à «une rame légère et courte», que ce soit en kayak, canot ou pirogue.
Ici, on utilisait le terme aviron comme en fait foi la célèbre chanson des voyageurs d'antan « C'est l'aviron qui nous mène... ». Aujourd’hui, avec la montée en popularité des sports d’eau vive (canot, kayak, raft), le terme pagaie est de plus en plus utilisé, l’aviron désignant plus particulièrement une pagaie en bois utilisée principalement pour le canotage en eau calme.
La rame est associée à la chaloupe à laquelle elle est fixée à l’aide d’un tolet.
NOTE : dans le texte suivant, le terme pagaie sera utilisé puisqu’il rejoint toutes les disciplines, sauf pour la partie spécifique ou l’on traite des avirons de canot en bois.
L’achat d’une pagaie
A raison de 20 coups par minute en moyenne, un canoteur peut donner plus de 7 000 coups de pagaie dans une journée. Un kayakiste en donnera le double ! C'est dire l'importance d’avoir un outil bien adapté à ses besoins. L'achat d’une pagaie qui ne vous convient pas peut vous faire perdre beaucoup de plaisir, voire provoquer des blessures.
Les premiers points dont il faut tenir compte concernent l’utilisateur : âge, force (physique), expérience, budget.
Ensuite il faut considérer les lieux de pratique (rivière, lac, mer, etc.) et les buts recherchés (promenade, performance, etc.) ainsi que la durée de l’activité.
Dans des conditions aussi différentes, la pagaie idéale n’existe pas et il n’est pas rare de rencontrer des pratiquants qui en possèdent plusieurs modèles.
Si vous ne deviez retenir qu’une chose de ce chapitre, c’est qu’une pagaie se choisit en fonction de la longueur du manche, et non de sa longueur totale.
Certaines pagaies de kayak de mer sont ajustables en longueur, ce qui permet de multiples adaptations.
Pour faire un choix judicieux, il importe de connaître les principales formes de pale et leur utilité spécifique ainsi que la longueur qui vous convient.
Enfin, comme rien ne remplace l’expérience, il est toujours souhaitable d'en essayer plusieurs avant d’acheter. Certaines boutiques en louent, ou vous pouvez en emprunter à vos compagnons de sorties.
Les matériaux (voir détails dans : choix d’embarcation)
Ils déterminent le prix, le poids et la résistance de votre pagaie.
Aujourd’hui moins utilisé, le bois reste inégalé par les sensations qu’il procure, particulièrement en eau calme et, ici comme dans d’autres domaines, il aura toujours ses inconditionnels. Bois dur, mou ou lamellé, il y en a pour tous les goûts. Les autres matériaux utilisés ont pour nom : aluminium, plastique, fibre de verre, Kevlar, fibre de carbone. Chacun offre des qualités particulières qui, en étant jumelées, permettent la fabrication de produits très spécifiques, bien adaptés à leur milieu d’utilisation et avec un bon contrôle de la qualité. Le chapitre traitant des matériaux complète cette information.
Le poids deviendra un facteur important après plusieurs heures d’utilisation. C’est d’ailleurs pour le diminuer que les fabricants améliorent sans cesse leurs modes de fabrication. L’équilibre entre le poids du manche et celui de la (des) pale(s) est un point important trop souvent négligé. Les pagaies bon marché faites d’un manche d’aluminium et de pales en plastique sont particulièrement mal équilibrées puisque le poids est concentré dans les pales.
Pour le canot
Tel que mentionné dans la note d’introduction, on parle d’aviron (en bois) pour l’eau calme et de pagaie pour l’eau-vive. Pour le reste, la terminologie est la même.
L’olive et la poignée
L’olive est la partie supérieure de l’aviron. Bien adaptée à votre main, elle vous assurera un bon contrôle tout en vous évitant crampes, ampoules ou glissement. L’olive en T modifié est la plus courante dans les différents types d'aviron. Les formes en poire ou en pommeau, plus rondes et permettant de tourner l’aviron dans la main, se retrouvent sur les avirons « queue de loutre » haut de gamme.
La poignée en forme de T offre l'avantage d’une très bonne prise, c’est pourquoi on l’utilise toujours en eau-vive. La poignée étant rapportée, cela permet de raccourcir le manche si nécessaire. Elle peut être en bois ou en plastique.
Le manche
Il peut être rond ou ovale, de grosseur variant entre 2,5 cm et 3,75 cm (1 po à 1½ po) et surtout bien droit. Sa rigidité est importante. Trop mou, il ne retransmettra à votre canot qu’une partie de vos efforts, trop rigide il provoquera des blessures (tendinites) au niveau des articulations. Les manches en bois offrent habituellement une bonne rigidité. Attention toutefois aux avirons bon marché taillés dans une planche et généralement trop mous.
Les manches à angle sont utilisés pour les courses de marathon et ne sont pas adaptés à la pratique des manœuvres d’eau-vive. Certains canoteurs aiment les utiliser en expédition en eau calme pour couvrir de grandes distances. La pale et le manche forment un angle qui peut aller jusqu’à 15 degrés, ce qui augmente la puissance de propulsion.
Les manches ergonomiques, différents des précédents, sont nouveaux sur le marché. L’exemple le plus connu est celui des pelles à neige, mais certaines pagaies d’eau-vive haut de gamme offrent aussi cette particularité. Réalisés en fibre de carbone, ils offrent l’avantage de la légèreté et de la rigidité de cette fibre sans provoquer de stress aux articulations. Les personnes qui l’utilisent avouent avoir du mal à revenir à l’utilisation d’un manche conventionnel.
La pale :
Les pales sont symétriques et droites, sauf pour certaines pagaies plus performantes qui ont une courbure dans le sens longitudinal (comme une fourchette).
Les formes utilisées en eau profonde
Les pales utilisées en eau profonde (lac ou rivière) sont longues et étroites. Cela permet une entrée dans l’eau plus facile et sans éclaboussure, une répartition plus graduelle de la pression sur la pale, un mouvement long et fluide et un bon contrôle de la direction (coup en J).
Modèle Voyageur
Sa forme générale en V permet une entrée dans l’eau très progressive, une surface d’appui maximum en avant du canoteur et un dégagement arrière très progressif. Il porte très bien son nom et permet de faire de grandes distances avec un minimum de fatigue. Il est facilement reconnaissable à ses arêtes droites qui contrastent avec les autres avirons d’eau profonde.
Le cerisier noir est très populaire pour ce type d'aviron. Son bois très fort permet la fabrication d’une pale mince et un peu flexible, qualités très recherchées par les canoteurs. L’érable est aussi utilisé.
Modèle queue de loutre
Si vos connaissances de la faune sont limitées, sachez que cette pale a un peu la forme du riz à long grain. Le bout fin et arrondi de la pale permet une entrée dans l’eau silencieuse. La pale s’élargit ensuite rapidement, procurant une bonne surface d’appui, avant de diminuer dans le dernier ¼ supérieur. Cette forme de pale est particulièrement prisée des amateurs d’eau calme, que ce soit pour l’observation d’animaux, le ballet ou plus simplement des manœuvres coulées et silencieuses.
En général, l'aviron « queue de loutre » est fabriqué en érable ou en cerisier noir. Son manche existe en deux versions : de taille normale pour les expéditions en lac ou court pour travailler près de l'eau, en position solo (seul au centre du canot et à genoux près du plat-bord).
Les formes mixtes
Elles permettent une utilisation en lac ou en rivière mais sont moins performantes que les modèles spécifiques.
Modèle queue de castor
Forme tout usage s’il en est, très répandue avant le développement des pagaies d’eau-vive. Sa forme « en goutte d’eau » permet d’avoir rapidement une bonne prise sur l’eau, même en eau peu profonde. Ce type d'aviron peut être fait d’une seule pièce de bois dur (frêne, érable, merisier, bouleau) ou de bois mou moins résistant mais plus léger.
Modèle coureur de rivière.
Cette pale a la forme d’un rectangle allongé et étroit. Presque aussi longue que les avirons d’eau profonde, elle présente un bout carré, habituellement renforcé de plastique ou de fibre de verre. Ces deux caractéristiques en font un bon compromis pour des expéditions mixtes ou les manœuvres en eau-vive ne sont pas déterminantes. Ce type d’aviron est habituellement fait de bois lamellé.
Les formes d’eau-vive
Elles se caractérisent par un bout large et droit, permettant d’avoir un appui maximum dès l’entrée dans l’eau. Celle-ci étant en mouvement, la qualité de l’appui prime sur la fluidité du geste qui est court et dynamique. La surface de pale est un peu plus grande ou incurvée dans l’axe longitudinal pour augmenter l’efficacité de l’appui. Les matériaux utilisés sont sélectionnés en fonction de leur résistance à l’impact, les matériaux composites se retrouvant dans les avirons haut de gamme.
Modèle en tulipe
La forme générale rappelle un triangle posé sur sa base, mais dont les côtés sont légèrement arrondis (en tulipe). L’efficacité est maximum dès le planté, même si le niveau d’eau est faible. Sa surface permet une utilisation étendue en expédition mixte.
Modèle rectangulaire
L’aspect visuel marqué de ce modèle est sa largeur qui peut varier de 19 à 24 cm. On recherche un contact rapide et dynamique avec l’eau. C’est dans ce même objectif que plusieurs modèles présentent une courbure longitudinale permettant de bonifier l’appui sur l’eau sans augmenter la surface ni le poids. Une nervure centrale plus ou moins prononcée sert de renfort et stabilise l’appui en permettant un écoulement égal de l’eau sur toute la largeur de la pale.
Ces modèles sont très prisés des amateurs d’eau-vive pour qui chaque propulsion peut être déterminante dans la réussite d’une manœuvre. L’efficacité d’une telle pale commande un manche plus rigide, mais aussi une bonne condition physique et une technique appropriée.
La longueur
Étant donné la grande variété de longueurs de pale (entre 43 cm et 74 cm, 17 à 26 po), la seule mesure importante est la longueur du manche. Avec un aviron de bonne longueur, le bras supérieur devrait être étendu au niveau du nez lorsque la pale est entièrement immergée.
Comment trouver la bonne longueur en magasin ?
· Méthode mathématique : longueur du corps (du nez aux fesses) + hauteur du siège ou de la selle – hauteur du fond à la ligne de flottaison (environ 10 cm ou 4 po).
· Méthode physique : à genoux, assis sur un bloc de 15 cm (6 po), la poignée posée à terre, le collet devrait arriver au niveau du nez.
Les amateurs de grandes excursions et les personnes « de petit gabarit » choisiront une longueur plus courte (hauteur de la bouche), alors que les amateurs d’eau-vive prendront la hauteur des yeux comme repère. Les avirons à angle utilisés pour les marathons et les longues distances en eau calme sont encore plus courts (hauteur des épaules).
L’utilisation d’un manche trop long amène la main supérieure à pousser vers le haut plutôt que vers l'avant, ce qui augmente considérablement la fatigue et peut créer des blessures. Les pagaies ayant une poignée rapportée peuvent être raccourcies au besoin.
Les adeptes du solo d’eau calme prendront un manche plus court de telle façon que l’olive soit vis-à-vis de l’épaule (voir modèle queue de loutre).
Attention : les fabricants indiquent la longueur totale de leurs produits. Il est donc capital de refaire l’exercice pour chaque modèle de pale.
L’entretien
Seul le bois requiert un entretien régulier, les autres matériaux étant souvent difficiles ou impossibles à réparer. Le revêtement plastique de certains manches d’aluminium doit parfois être remplacé par du ruban gommé (Duck Tape).
L'entretien d’un aviron de bois est souvent proportionnel à la valeur sentimentale que vous lui accordez. Avec un minimum de soins et d’entretien il peut durer plus de dix ans. Ce n'est ni une pelle, ni une canne. Que ce soit une extrémité ou l'autre, la partie qui touchera le sol sera endommagée.
Lorsque l'aviron ne sert pas, il doit être suspendu par la poignée dans un endroit pas trop sec pour éviter qu’il ne se torde. Pour la même raison, il faut éviter de le laisser exposé aux rayons du soleil.
Lorsque l'aviron montre des signes d'usure au col, il faut poncer cette partie et l'enduire de deux ou trois couches de Varathane. Certains renforcent cet endroit en entourant le manche d’une fine cordelette posée très serré puis vernie.
Une détérioration du bout de la pale nécessite plus d'attention. Si le bois commence à se fendre, un renfort en fibre de verre est nécessaire. Poncez le bout et percez de petits trous pour permettre une meilleure adhérence de l’embout protecteur.
Le temps mis à l'entretien de l'aviron ne fait qu'augmenter sa valeur. Un bon aviron doit être aussi agréable à utiliser qu'à contempler.
Pour le kayak
Aviron et pagaie
Historique
Il est probable qu’un humain, fatigué de faire avancer son radeau avec les mains, s’est un jour muni d’un bâton pour se propulser en l’appuyant sur le fond. À l’usage, il a remarqué qu’il pouvait aussi l’utiliser en eau profonde, mais que les bâtons plats étaient plus efficaces. D’autres ont perfectionné le modèle en fonction de leur environnement, mais le principe est resté et demeure. En effet, même s’il est peu connu et de moins en moins pratiqué, l’usage de la perche a pendant longtemps permis de monter et descendre des rivières. Au Québec, c’est surtout en Gaspésie que cette technique est encore utilisée, la morphologie des rivières (peu profondes et avec une pente constante) se prêtant bien à cette technique. Les Cris et les Montagnais utilisent encore un aviron, long et étroit, qu’ils utilisent comme une perche ou un aviron selon la profondeur de l’eau et le sens de déplacement (montée ou descente).
Pagaie, aviron, rame : c’est la pagaille !
Comme toute chose, la terminologie évolue. Essayons d’y voir clair. La pagaie est le moyen de propulsion utilisé depuis toujours en kayak. Quand les Européens se sont intéressés à ce moyen de locomotion, ils ont nommé pagaie tout ce qui correspondait à «une rame légère et courte», que ce soit en kayak, canot ou pirogue.
Ici, on utilisait le terme aviron comme en fait foi la célèbre chanson des voyageurs d'antan « C'est l'aviron qui nous mène... ». Aujourd’hui, avec la montée en popularité des sports d’eau vive (canot, kayak, raft), le terme pagaie est de plus en plus utilisé, l’aviron désignant plus particulièrement une pagaie en bois utilisée principalement pour le canotage en eau calme.
La rame est associée à la chaloupe à laquelle elle est fixée à l’aide d’un tolet.
NOTE : dans le texte suivant, le terme pagaie sera utilisé puisqu’il rejoint toutes les disciplines, sauf pour la partie spécifique ou l’on traite des avirons de canot en bois.
L’achat d’une pagaie
A raison de 20 coups par minute en moyenne, un canoteur peut donner plus de 7 000 coups de pagaie dans une journée. Un kayakiste en donnera le double ! C'est dire l'importance d’avoir un outil bien adapté à ses besoins. L'achat d’une pagaie qui ne vous convient pas peut vous faire perdre beaucoup de plaisir, voire provoquer des blessures.
Les premiers points dont il faut tenir compte concernent l’utilisateur : âge, force (physique), expérience, budget.
Ensuite il faut considérer les lieux de pratique (rivière, lac, mer, etc.) et les buts recherchés (promenade, performance, etc.) ainsi que la durée de l’activité.
Dans des conditions aussi différentes, la pagaie idéale n’existe pas et il n’est pas rare de rencontrer des pratiquants qui en possèdent plusieurs modèles.
Si vous ne deviez retenir qu’une chose de ce chapitre, c’est qu’une pagaie se choisit en fonction de la longueur du manche, et non de sa longueur totale.
Certaines pagaies de kayak de mer sont ajustables en longueur, ce qui permet de multiples adaptations.
Pour faire un choix judicieux, il importe de connaître les principales formes de pale et leur utilité spécifique ainsi que la longueur qui vous convient.
Enfin, comme rien ne remplace l’expérience, il est toujours souhaitable d'en essayer plusieurs avant d’acheter. Certaines boutiques en louent, ou vous pouvez en emprunter à vos compagnons de sorties.
Les matériaux (voir détails dans : choix d’embarcation)
Ils déterminent le prix, le poids et la résistance de votre pagaie.
Aujourd’hui moins utilisé, le bois reste inégalé par les sensations qu’il procure, particulièrement en eau calme et, ici comme dans d’autres domaines, il aura toujours ses inconditionnels. Bois dur, mou ou lamellé, il y en a pour tous les goûts. Les autres matériaux utilisés ont pour nom : aluminium, plastique, fibre de verre, Kevlar, fibre de carbone. Chacun offre des qualités particulières qui, en étant jumelées, permettent la fabrication de produits très spécifiques, bien adaptés à leur milieu d’utilisation et avec un bon contrôle de la qualité. Le chapitre traitant des matériaux complète cette information.
Le poids deviendra un facteur important après plusieurs heures d’utilisation. C’est d’ailleurs pour le diminuer que les fabricants améliorent sans cesse leurs modes de fabrication. L’équilibre entre le poids du manche et celui de la (des) pale(s) est un point important trop souvent négligé. Les pagaies bon marché faites d’un manche d’aluminium et de pales en plastique sont particulièrement mal équilibrées puisque le poids est concentré dans les pales.
Pour le canot
Tel que mentionné dans la note d’introduction, on parle d’aviron (en bois) pour l’eau calme et de pagaie pour l’eau-vive. Pour le reste, la terminologie est la même.
L’olive et la poignée
L’olive est la partie supérieure de l’aviron. Bien adaptée à votre main, elle vous assurera un bon contrôle tout en vous évitant crampes, ampoules ou glissement. L’olive en T modifié est la plus courante dans les différents types d'aviron. Les formes en poire ou en pommeau, plus rondes et permettant de tourner l’aviron dans la main, se retrouvent sur les avirons « queue de loutre » haut de gamme.
La poignée en forme de T offre l'avantage d’une très bonne prise, c’est pourquoi on l’utilise toujours en eau-vive. La poignée étant rapportée, cela permet de raccourcir le manche si nécessaire. Elle peut être en bois ou en plastique.
Le manche
Il peut être rond ou ovale, de grosseur variant entre 2,5 cm et 3,75 cm (1 po à 1½ po) et surtout bien droit. Sa rigidité est importante. Trop mou, il ne retransmettra à votre canot qu’une partie de vos efforts, trop rigide il provoquera des blessures (tendinites) au niveau des articulations. Les manches en bois offrent habituellement une bonne rigidité. Attention toutefois aux avirons bon marché taillés dans une planche et généralement trop mous.
Les manches à angle sont utilisés pour les courses de marathon et ne sont pas adaptés à la pratique des manœuvres d’eau-vive. Certains canoteurs aiment les utiliser en expédition en eau calme pour couvrir de grandes distances. La pale et le manche forment un angle qui peut aller jusqu’à 15 degrés, ce qui augmente la puissance de propulsion.
Les manches ergonomiques, différents des précédents, sont nouveaux sur le marché. L’exemple le plus connu est celui des pelles à neige, mais certaines pagaies d’eau-vive haut de gamme offrent aussi cette particularité. Réalisés en fibre de carbone, ils offrent l’avantage de la légèreté et de la rigidité de cette fibre sans provoquer de stress aux articulations. Les personnes qui l’utilisent avouent avoir du mal à revenir à l’utilisation d’un manche conventionnel.
La pale :
Les pales sont symétriques et droites, sauf pour certaines pagaies plus performantes qui ont une courbure dans le sens longitudinal (comme une fourchette).
Les formes utilisées en eau profonde
Les pales utilisées en eau profonde (lac ou rivière) sont longues et étroites. Cela permet une entrée dans l’eau plus facile et sans éclaboussure, une répartition plus graduelle de la pression sur la pale, un mouvement long et fluide et un bon contrôle de la direction (coup en J).
Modèle Voyageur
Sa forme générale en V permet une entrée dans l’eau très progressive, une surface d’appui maximum en avant du canoteur et un dégagement arrière très progressif. Il porte très bien son nom et permet de faire de grandes distances avec un minimum de fatigue. Il est facilement reconnaissable à ses arêtes droites qui contrastent avec les autres avirons d’eau profonde.
Le cerisier noir est très populaire pour ce type d'aviron. Son bois très fort permet la fabrication d’une pale mince et un peu flexible, qualités très recherchées par les canoteurs. L’érable est aussi utilisé.
Modèle queue de loutre
Si vos connaissances de la faune sont limitées, sachez que cette pale a un peu la forme du riz à long grain. Le bout fin et arrondi de la pale permet une entrée dans l’eau silencieuse. La pale s’élargit ensuite rapidement, procurant une bonne surface d’appui, avant de diminuer dans le dernier ¼ supérieur. Cette forme de pale est particulièrement prisée des amateurs d’eau calme, que ce soit pour l’observation d’animaux, le ballet ou plus simplement des manœuvres coulées et silencieuses.
En général, l'aviron « queue de loutre » est fabriqué en érable ou en cerisier noir. Son manche existe en deux versions : de taille normale pour les expéditions en lac ou court pour travailler près de l'eau, en position solo (seul au centre du canot et à genoux près du plat-bord).
Les formes mixtes
Elles permettent une utilisation en lac ou en rivière mais sont moins performantes que les modèles spécifiques.
Modèle queue de castor
Forme tout usage s’il en est, très répandue avant le développement des pagaies d’eau-vive. Sa forme « en goutte d’eau » permet d’avoir rapidement une bonne prise sur l’eau, même en eau peu profonde. Ce type d'aviron peut être fait d’une seule pièce de bois dur (frêne, érable, merisier, bouleau) ou de bois mou moins résistant mais plus léger.
Modèle coureur de rivière.
Cette pale a la forme d’un rectangle allongé et étroit. Presque aussi longue que les avirons d’eau profonde, elle présente un bout carré, habituellement renforcé de plastique ou de fibre de verre. Ces deux caractéristiques en font un bon compromis pour des expéditions mixtes ou les manœuvres en eau-vive ne sont pas déterminantes. Ce type d’aviron est habituellement fait de bois lamellé.
Les formes d’eau-vive
Elles se caractérisent par un bout large et droit, permettant d’avoir un appui maximum dès l’entrée dans l’eau. Celle-ci étant en mouvement, la qualité de l’appui prime sur la fluidité du geste qui est court et dynamique. La surface de pale est un peu plus grande ou incurvée dans l’axe longitudinal pour augmenter l’efficacité de l’appui. Les matériaux utilisés sont sélectionnés en fonction de leur résistance à l’impact, les matériaux composites se retrouvant dans les avirons haut de gamme.
Modèle en tulipe
La forme générale rappelle un triangle posé sur sa base, mais dont les côtés sont légèrement arrondis (en tulipe). L’efficacité est maximum dès le planté, même si le niveau d’eau est faible. Sa surface permet une utilisation étendue en expédition mixte.
Modèle rectangulaire
L’aspect visuel marqué de ce modèle est sa largeur qui peut varier de 19 à 24 cm. On recherche un contact rapide et dynamique avec l’eau. C’est dans ce même objectif que plusieurs modèles présentent une courbure longitudinale permettant de bonifier l’appui sur l’eau sans augmenter la surface ni le poids. Une nervure centrale plus ou moins prononcée sert de renfort et stabilise l’appui en permettant un écoulement égal de l’eau sur toute la largeur de la pale.
Ces modèles sont très prisés des amateurs d’eau-vive pour qui chaque propulsion peut être déterminante dans la réussite d’une manœuvre. L’efficacité d’une telle pale commande un manche plus rigide, mais aussi une bonne condition physique et une technique appropriée.
La longueur
Étant donné la grande variété de longueurs de pale (entre 43 cm et 74 cm, 17 à 26 po), la seule mesure importante est la longueur du manche. Avec un aviron de bonne longueur, le bras supérieur devrait être étendu au niveau du nez lorsque la pale est entièrement immergée.
Comment trouver la bonne longueur en magasin ?
· Méthode mathématique : longueur du corps (du nez aux fesses) + hauteur du siège ou de la selle – hauteur du fond à la ligne de flottaison (environ 10 cm ou 4 po).
· Méthode physique : à genoux, assis sur un bloc de 15 cm (6 po), la poignée posée à terre, le collet devrait arriver au niveau du nez.
Les amateurs de grandes excursions et les personnes « de petit gabarit » choisiront une longueur plus courte (hauteur de la bouche), alors que les amateurs d’eau-vive prendront la hauteur des yeux comme repère. Les avirons à angle utilisés pour les marathons et les longues distances en eau calme sont encore plus courts (hauteur des épaules).
L’utilisation d’un manche trop long amène la main supérieure à pousser vers le haut plutôt que vers l'avant, ce qui augmente considérablement la fatigue et peut créer des blessures. Les pagaies ayant une poignée rapportée peuvent être raccourcies au besoin.
Les adeptes du solo d’eau calme prendront un manche plus court de telle façon que l’olive soit vis-à-vis de l’épaule (voir modèle queue de loutre).
Attention : les fabricants indiquent la longueur totale de leurs produits. Il est donc capital de refaire l’exercice pour chaque modèle de pale.
L’entretien
Seul le bois requiert un entretien régulier, les autres matériaux étant souvent difficiles ou impossibles à réparer. Le revêtement plastique de certains manches d’aluminium doit parfois être remplacé par du ruban gommé (Duck Tape).
L'entretien d’un aviron de bois est souvent proportionnel à la valeur sentimentale que vous lui accordez. Avec un minimum de soins et d’entretien il peut durer plus de dix ans. Ce n'est ni une pelle, ni une canne. Que ce soit une extrémité ou l'autre, la partie qui touchera le sol sera endommagée.
Lorsque l'aviron ne sert pas, il doit être suspendu par la poignée dans un endroit pas trop sec pour éviter qu’il ne se torde. Pour la même raison, il faut éviter de le laisser exposé aux rayons du soleil.
Lorsque l'aviron montre des signes d'usure au col, il faut poncer cette partie et l'enduire de deux ou trois couches de Varathane. Certains renforcent cet endroit en entourant le manche d’une fine cordelette posée très serré puis vernie.
Une détérioration du bout de la pale nécessite plus d'attention. Si le bois commence à se fendre, un renfort en fibre de verre est nécessaire. Poncez le bout et percez de petits trous pour permettre une meilleure adhérence de l’embout protecteur.
Le temps mis à l'entretien de l'aviron ne fait qu'augmenter sa valeur. Un bon aviron doit être aussi agréable à utiliser qu'à contempler.
Pour le kayak
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Re: Camping!!!
Ainsi donc,je ne fais pas erreur d'utiliser le terme:Paguaie...
- saintluc
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Re: Camping!!!
pas gai? faut sourire vraiment mauvais
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
Re: Camping!!!
Si les avirons sont maintenant des pagaies, c'est comme les Mercedes, les VU ou les camions qui sont tous des moyens de transport.Ici, on utilisait le terme aviron comme en fait foi la célèbre chanson des voyageurs d'antan « C'est l'aviron qui nous mène... ». Aujourd’hui, avec la montée en popularité des sports d’eau vive (canot, kayak, raft), le terme pagaie est de plus en plus utilisé, l’aviron désignant plus particulièrement une pagaie en bois utilisée principalement pour le canotage en eau calme.
Je suis un vendeur de moyen de transport! (Je vends des avions mais vous êtes sensé le deviner).
Je cuisine des pâtés. (Des pâté de quoi? Des pâtés de foie? Des pâté de saumon?)
T'avais raison mais t'avais pas raison.
Le papa dit à son fil: va chercher les pagaies.
Le fils rapporte les pagaies.
Le père dit: pas ces pagaies là, on va en chaloupe aujourd'hui.
Le fils: alors tu aurais du me demander de rapporter les rames!
Et tu imagines deux personnes avironnant en canot avec des pagaies à kayak?
Pas évident de faire un tournant en J!
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Re: Camping!!!
Trop fière...