poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
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- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Bientôt pointera le jour...
Puis, demain, un autre jour....
Chaque heure le temps s'enfuit,
Chaque jour nouveau, le matin.
Le jour de la naissance
Le jour de la jeunesse
Et le jour de l'offrande
D'une très jolie tendre promesse
Et le temps toujours continu
Et toujours, toujours sans s'arréter
Toutes les secondes perdues
Font bout à bout une éternité
Mais si long quand on est seul...
Mais si court dans la joie...
Mais si doux quand plus seul...
Mais à chaque jour il a sa loi...
Des jours de joie, de grands bonheurs
Comme de longues coulées de miel
Des jours où l'on implore le ciel
Et quand, jour après jour
La vie tranquillement s'écoule et passe
Un mot revient, le mot Amour.
Il a bien marqué sa trace
Lui aussi jour après jour...
Puis, demain, un autre jour....
Chaque heure le temps s'enfuit,
Chaque jour nouveau, le matin.
Le jour de la naissance
Le jour de la jeunesse
Et le jour de l'offrande
D'une très jolie tendre promesse
Et le temps toujours continu
Et toujours, toujours sans s'arréter
Toutes les secondes perdues
Font bout à bout une éternité
Mais si long quand on est seul...
Mais si court dans la joie...
Mais si doux quand plus seul...
Mais à chaque jour il a sa loi...
Des jours de joie, de grands bonheurs
Comme de longues coulées de miel
Des jours où l'on implore le ciel
Et quand, jour après jour
La vie tranquillement s'écoule et passe
Un mot revient, le mot Amour.
Il a bien marqué sa trace
Lui aussi jour après jour...
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Alphonse de Lamartine
- Cynyhia
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
C'est beau Lulu, moi j'adore ce que tu écris c'est un vrai plaisir de te lire
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[url][/url]
Que du bout de mes doigts et la profondeur de mon âme je puisse effleurer les contours de votre coeur
- Cynyhia
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Nuage
Au dessus de vos têtes
Je flotte, libre et léger.
Quand souffle la tempête,
Je m'épanche on ondée.
Je grossis le ruisseau
Dont le sillon caché
Court et déverse l'eau,
Sur plaines fécondées.
Un fleuve me receuille,
Je cours vers l'océan,
Balloté aux écueils
Au coeur des continents,
Où le soleil splendide
De ses rayons puissants,
Chauffe mon corps limpide,
M'emporte triomphant.
Immortelle matière
Et métamorphosé,
Je retoune à l'air
Où jadis j'ai flotté.
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Au dessus de vos têtes
Je flotte, libre et léger.
Quand souffle la tempête,
Je m'épanche on ondée.
Je grossis le ruisseau
Dont le sillon caché
Court et déverse l'eau,
Sur plaines fécondées.
Un fleuve me receuille,
Je cours vers l'océan,
Balloté aux écueils
Au coeur des continents,
Où le soleil splendide
De ses rayons puissants,
Chauffe mon corps limpide,
M'emporte triomphant.
Immortelle matière
Et métamorphosé,
Je retoune à l'air
Où jadis j'ai flotté.
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Que du bout de mes doigts et la profondeur de mon âme je puisse effleurer les contours de votre coeur
- séphie
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Sur le dos d'une mère
L'ébauche d'une enfance sitôt brisée de souffrances
trop forcée d'exils et de famine
Ici , à ton âge des légions d'obèses repues de gadgets
vomissent leurs droits et les chiens de leur pays
sont mieux nourris que toi
Comment croire à ces mots qu'ils frappent sur
leur monnaie tant leur indiffère la mort de ton sourire ?
Pioche vite la terre retrouvée
Femme du Mozambique
Avant de sentir au bas de ton dos de mère
La froidure de son absence
Benoît-Léon Rebichet
L'ébauche d'une enfance sitôt brisée de souffrances
trop forcée d'exils et de famine
Ici , à ton âge des légions d'obèses repues de gadgets
vomissent leurs droits et les chiens de leur pays
sont mieux nourris que toi
Comment croire à ces mots qu'ils frappent sur
leur monnaie tant leur indiffère la mort de ton sourire ?
Pioche vite la terre retrouvée
Femme du Mozambique
Avant de sentir au bas de ton dos de mère
La froidure de son absence
Benoît-Léon Rebichet
Rien ne console parce que rien ne remplace...
La plus grande tragédie de la vie n'est pas que les hommes périssent,
mais qu'ils cessent d'aimer.
W. Somerset Maugham
La plus grande tragédie de la vie n'est pas que les hommes périssent,
mais qu'ils cessent d'aimer.
W. Somerset Maugham
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
La chambre, par Ilarie Voronca.
À Colomba.
Je vais te parler des chambres où nous avons vécu.....
Chambre, je n’ai été en toi que quelques heures
Mais toi, tu resteras, toute ma vie, en moi,
Certes, nous sommes comme ces boissons qui gardent
Longtemps le goût de terre de la cruche qui les a contenues.
Les visages d’aucuns sont comme les cartes
Où se lit le dessin des chambres qu’ils habitent.
Il y a des chambres trop larges comme des pardessus d’emprunt
Il y a des chambres où l’âme doit se voûter comme un dos.
Il y a des chambres si aérées, si claires
Que rien ne les sépare des montagnes qui les entourent.
La forêt, les étoiles s’approchent des fenêtres,
On prend le thé avec des amis sur la terrasse.
Il y a la chambre où est enfermée ton enfance
Elle se méfie, elle ne te reconnaît plus très bien,
Il y a la chambre où ton père a été malade
Trois mois il a attendu la mort, et elle est venue.
J’ai passé à travers beaucoup de chambres
En les quittant je paraissais le même, mais les murs,
Les miroirs fumeux, les objets q’enchaînait l’ombre
Gardaient, chaque fois, mon visage secret.
Ceci était ma chair et ceci fut mon sang
Versé de verre en verre, distribué à table,
Parfois je me surprends au milieu d’une chambre
Faisant le pas, le geste tenant d’une autre chambre.
Il y avait une porte ici? Il n’y en a plus.
Et la fenêtre où est-elle donc? Il y avait
Un aboiement comme un linge à sécher dans la cour,
De l’autre côté du mur, une voix animée.
Mais ce n’est peut-êre partout qu’une même chambre
Que l’on porte avec soi et qui s’adapte aux murs,
Dans les palaces, ou dans une mansarde, ou au fond d’une cave,
Elle sort de nous et recouvre tout de son étoffe.
Chambre qui donnait vers une cour sombre,
Chambre où résonne encore la voix de l’ami,
Lui, il est déjà moins qu’une ombre,
Mais sa toux, sans poitrine, s’affole en cette chambre.
J’ai connu aussi la chambre au retour de voyage
Et cette odeur de cuire et de départs,
La chambre entourée d’orages,
Et envahie par la mer de toutes parts,
Il y a vraiment des chambres qui ne veulent pas de vous,
Qui vous vont mal, qui vous tolèrent à peine,
Il y en a d’autres où l’on se sent à l’aise,
Le cœur tranquille, un livre ouvert sur les genoux.
Car il faut que l’on se mêle à la chambre,
Que l’on se perde en elle comme en un nuage,
Qu’il y ait entre vous et elle un courant continu,
Que l’on s’aime et que l’on se ressemble,
Alors l’âme déploie, confiante, sa lumière,
La chambre devient vaste ou étroite, selon votre désir,
Les murs sont affectueux et au-dessus du lit
Le plafond tend les toiles d’un sommeil paisible.
1939
http://dormirajamais.org/chambre/
À Colomba.
Je vais te parler des chambres où nous avons vécu.....
Chambre, je n’ai été en toi que quelques heures
Mais toi, tu resteras, toute ma vie, en moi,
Certes, nous sommes comme ces boissons qui gardent
Longtemps le goût de terre de la cruche qui les a contenues.
Les visages d’aucuns sont comme les cartes
Où se lit le dessin des chambres qu’ils habitent.
Il y a des chambres trop larges comme des pardessus d’emprunt
Il y a des chambres où l’âme doit se voûter comme un dos.
Il y a des chambres si aérées, si claires
Que rien ne les sépare des montagnes qui les entourent.
La forêt, les étoiles s’approchent des fenêtres,
On prend le thé avec des amis sur la terrasse.
Il y a la chambre où est enfermée ton enfance
Elle se méfie, elle ne te reconnaît plus très bien,
Il y a la chambre où ton père a été malade
Trois mois il a attendu la mort, et elle est venue.
J’ai passé à travers beaucoup de chambres
En les quittant je paraissais le même, mais les murs,
Les miroirs fumeux, les objets q’enchaînait l’ombre
Gardaient, chaque fois, mon visage secret.
Ceci était ma chair et ceci fut mon sang
Versé de verre en verre, distribué à table,
Parfois je me surprends au milieu d’une chambre
Faisant le pas, le geste tenant d’une autre chambre.
Il y avait une porte ici? Il n’y en a plus.
Et la fenêtre où est-elle donc? Il y avait
Un aboiement comme un linge à sécher dans la cour,
De l’autre côté du mur, une voix animée.
Mais ce n’est peut-êre partout qu’une même chambre
Que l’on porte avec soi et qui s’adapte aux murs,
Dans les palaces, ou dans une mansarde, ou au fond d’une cave,
Elle sort de nous et recouvre tout de son étoffe.
Chambre qui donnait vers une cour sombre,
Chambre où résonne encore la voix de l’ami,
Lui, il est déjà moins qu’une ombre,
Mais sa toux, sans poitrine, s’affole en cette chambre.
J’ai connu aussi la chambre au retour de voyage
Et cette odeur de cuire et de départs,
La chambre entourée d’orages,
Et envahie par la mer de toutes parts,
Il y a vraiment des chambres qui ne veulent pas de vous,
Qui vous vont mal, qui vous tolèrent à peine,
Il y en a d’autres où l’on se sent à l’aise,
Le cœur tranquille, un livre ouvert sur les genoux.
Car il faut que l’on se mêle à la chambre,
Que l’on se perde en elle comme en un nuage,
Qu’il y ait entre vous et elle un courant continu,
Que l’on s’aime et que l’on se ressemble,
Alors l’âme déploie, confiante, sa lumière,
La chambre devient vaste ou étroite, selon votre désir,
Les murs sont affectueux et au-dessus du lit
Le plafond tend les toiles d’un sommeil paisible.
1939
http://dormirajamais.org/chambre/
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
- pépita
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Je ne suis pas douée pour les poèmes, mais vous, par contre, vous êtes génials, on ne se lasse pas de vous lire, bravo. Merci.
"Si l'on te frappe sur la joue gauche, ignore ce que tu fais de ta main droite..."
"Tout le monde veut sauver la planète, mais personne ne veut sortir la poubelle"
"Tout le monde veut sauver la planète, mais personne ne veut sortir la poubelle"
- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Merci pour le compliment
Bin, heu? Je vais aller en chercher au fond de ma besace, des anciens que j'ai en réserve.
Les fées sont passées
Ignorent le berceau
De ces enfants sortis
Du grenier de la terre
Le lait qu'ils ont reçu
Tiendrait en un seau
Où croupirait une eau
Aux reflets de misère.
-----------------------------------------
Premiers pas hésitants
Dans les caniveaux
Sur la pauvreté
Les pieds nus font des bonds
De maigres mains blessées
Puisent le misérable bravo
Au coeurs de parents figés
Dans peau de moribond
-----------------------------------------------
L'enfer trône tranquille
Sur des villages d'Afrique
Il est puissant et les pluies
Ne feront pas de fric
Pour le déloger
Et montrer à tous ces enfants
L'espoir qui éloigne
Du cimetière des éléphants
--------------------------------------
Toutes les plaies d'Egypte tombent sur toi Afrique
Plus une nouvelle: Le SIDA
Bin, heu? Je vais aller en chercher au fond de ma besace, des anciens que j'ai en réserve.
Les fées sont passées
Ignorent le berceau
De ces enfants sortis
Du grenier de la terre
Le lait qu'ils ont reçu
Tiendrait en un seau
Où croupirait une eau
Aux reflets de misère.
-----------------------------------------
Premiers pas hésitants
Dans les caniveaux
Sur la pauvreté
Les pieds nus font des bonds
De maigres mains blessées
Puisent le misérable bravo
Au coeurs de parents figés
Dans peau de moribond
-----------------------------------------------
L'enfer trône tranquille
Sur des villages d'Afrique
Il est puissant et les pluies
Ne feront pas de fric
Pour le déloger
Et montrer à tous ces enfants
L'espoir qui éloigne
Du cimetière des éléphants
--------------------------------------
Toutes les plaies d'Egypte tombent sur toi Afrique
Plus une nouvelle: Le SIDA
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Ne faut pas faire que le quai Gambetta
Dans notre port, il n'y a pas que ça?
Il faut visiter la maison du général St Martin
Libérateur du Chili, du Pérou. Un général argentin,
Exilé dans notre ville, il y décéda.
Les quais, la criée, la jetée, oui, c'est là...
Nos grands hommes: Scientifique,écrivains,
Peintre, beaucoup de nos contemporains.
Lesage et son "Diable boiteux"
Mathieu, promoteur de l'abstraction lyrique...
Promenades dans la vieille ville pour les amoureux...
Sainte Beuve, ses poèmes et ses critiques,
Ses liaisons tourmentées avec la femme d'Hugo.
La légion d'honneur, ce qui y a de plus beau,
Epinglée la première fois dans notre port.
La ville actuellement manque de ressort...
Au fait, vous connaissez Auguste Mariette?
Oui, égyptologue mort au Caire.
Il découvrit le serapeum de Memphis
et fut directeur général des fouilles en Egypte.
Tellement de choses à découvrir dans notre port?
Ce port, bien sur c'est Boulogne/Mer
Dans notre port, il n'y a pas que ça?
Il faut visiter la maison du général St Martin
Libérateur du Chili, du Pérou. Un général argentin,
Exilé dans notre ville, il y décéda.
Les quais, la criée, la jetée, oui, c'est là...
Nos grands hommes: Scientifique,écrivains,
Peintre, beaucoup de nos contemporains.
Lesage et son "Diable boiteux"
Mathieu, promoteur de l'abstraction lyrique...
Promenades dans la vieille ville pour les amoureux...
Sainte Beuve, ses poèmes et ses critiques,
Ses liaisons tourmentées avec la femme d'Hugo.
La légion d'honneur, ce qui y a de plus beau,
Epinglée la première fois dans notre port.
La ville actuellement manque de ressort...
Au fait, vous connaissez Auguste Mariette?
Oui, égyptologue mort au Caire.
Il découvrit le serapeum de Memphis
et fut directeur général des fouilles en Egypte.
Tellement de choses à découvrir dans notre port?
Ce port, bien sur c'est Boulogne/Mer
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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- Inscription : mer. juin 16, 2010 5:37 am
- Localisation : la et la-bas...Roumanie
Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
.......................poésie trouvée
http://www.takatrouver.net/poesie/index.php?id=369
POISSON D'AVRIL
Un poisson d'avril
Est venu me raconter
Qu'on lui avait pris
Sa jolie corde à sauter
C'était un cheval
Qui l'emportait sur son coeur
Le long du canal
Où valsaient les remorqueurs
Et alors un serpent
S'est offert comme remplaçant
Le poisson très content
Est parti à travers champs
Il saute si haut
Qu'il s'est envolé dans l'air
Il saute si haut
Qu'il est retombé dans l'eau.
Boris Vian
http://www.takatrouver.net/poesie/index.php?id=369
POISSON D'AVRIL
Un poisson d'avril
Est venu me raconter
Qu'on lui avait pris
Sa jolie corde à sauter
C'était un cheval
Qui l'emportait sur son coeur
Le long du canal
Où valsaient les remorqueurs
Et alors un serpent
S'est offert comme remplaçant
Le poisson très content
Est parti à travers champs
Il saute si haut
Qu'il s'est envolé dans l'air
Il saute si haut
Qu'il est retombé dans l'eau.
Boris Vian
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
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- Cynyhia
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- Inscription : lun. juin 28, 2010 11:31 am
- Localisation : Lyon France
Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Le zenith
L'amour est un lagon où tout doit être clair
L'amour est une lagune où ne se plongent
Que sensibilité, sensualité et respect.
L'amour est une barre de corail
Au delà de laquelle se perdent les ruptures.
L'amour est un élixir vers lequel
Deux êtres sont aspirés sous un ciel d'azur
L'amour est le zénith de la vie
[url][/url]
L'amour est un lagon où tout doit être clair
L'amour est une lagune où ne se plongent
Que sensibilité, sensualité et respect.
L'amour est une barre de corail
Au delà de laquelle se perdent les ruptures.
L'amour est un élixir vers lequel
Deux êtres sont aspirés sous un ciel d'azur
L'amour est le zénith de la vie
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Que du bout de mes doigts et la profondeur de mon âme je puisse effleurer les contours de votre coeur
- Doolores
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Chienne de vie
Vie sans douceur
La douleur
est comme une corde
Elle étouffe le coeur
Puis ce sont les jours
Où tous les souvenirs
ressemblent à un lac bien amer...
(Joul)
Vie sans douceur
La douleur
est comme une corde
Elle étouffe le coeur
Puis ce sont les jours
Où tous les souvenirs
ressemblent à un lac bien amer...
(Joul)
Là forcez vs un peu j'ai hâte:
Je concentre mes pensées positives
afin que Doolores gagne le gros lot à la loto
Je concentre mes pensées positives
afin que Doolores gagne le gros lot à la loto
- Cynyhia
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Le chemin
Je suis sur un chemin plein de fleurs
Des violettes, des jonquilles, des myosotis
Je hume cette délicieuse odeur
Qui m'enivre et me ravie .
Tiens sur ce petit chemin ,
Je laisse une trace de mes pas
Indélibile est mon destin
Le chemin ne s'efface pas
[url][/url]
Je suis sur un chemin plein de fleurs
Des violettes, des jonquilles, des myosotis
Je hume cette délicieuse odeur
Qui m'enivre et me ravie .
Tiens sur ce petit chemin ,
Je laisse une trace de mes pas
Indélibile est mon destin
Le chemin ne s'efface pas
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Que du bout de mes doigts et la profondeur de mon âme je puisse effleurer les contours de votre coeur
- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Je ne sais plus si je l'ai déja posté?
Admire ce jour, car il est la vie,
La vie mème de la vie,
Tout est là, dans sa courte durée;
Toute la réalité, la vérité de l'existence,
La félicité de la croissance,
La splendeur de l'action
La gloire et la puissance...
Hier? Eh bien, hier n'est qu'un rêve
Et demain n'est qu'une vision,
Mais aujourd'hui bien vécu,
Fait qu'hier est un rêve de bonheur,
Fait que chaque demain, une vision d'espoir,
Je vis donc ce jour avec confiance...
Quand je traverse cette paresse, cette lassitude
Je ne sors pas du chemin...
Mon enthousiasme reviendra si je reste sur le chemin,
Et toujours me souvenir pourquoi je suis sur le chemin...
La vie est comme un bateau:
Par moment, sans vent il faut ramer.
Par moment, par le courant tu te laisses porter.
Mes décisions m'appartiennent,
Elles sont le reflet de mes aspirations,
En aucun cas elles ne doivent être
Le reflet des désirs des autres...
Demain, pas de poèmes, trop de bruit...
Un petit dejeuner et un fruit
Ballade voir les dégats de la nuit
dans les odeurs de pétrole et de suie...
Admire ce jour, car il est la vie,
La vie mème de la vie,
Tout est là, dans sa courte durée;
Toute la réalité, la vérité de l'existence,
La félicité de la croissance,
La splendeur de l'action
La gloire et la puissance...
Hier? Eh bien, hier n'est qu'un rêve
Et demain n'est qu'une vision,
Mais aujourd'hui bien vécu,
Fait qu'hier est un rêve de bonheur,
Fait que chaque demain, une vision d'espoir,
Je vis donc ce jour avec confiance...
Quand je traverse cette paresse, cette lassitude
Je ne sors pas du chemin...
Mon enthousiasme reviendra si je reste sur le chemin,
Et toujours me souvenir pourquoi je suis sur le chemin...
La vie est comme un bateau:
Par moment, sans vent il faut ramer.
Par moment, par le courant tu te laisses porter.
Mes décisions m'appartiennent,
Elles sont le reflet de mes aspirations,
En aucun cas elles ne doivent être
Le reflet des désirs des autres...
Demain, pas de poèmes, trop de bruit...
Un petit dejeuner et un fruit
Ballade voir les dégats de la nuit
dans les odeurs de pétrole et de suie...
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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- saintluc
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- Inscription : mar. juin 08, 2010 12:00 pm
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Noir le deuil, le désespoir
Quand la vie part comme la clarté du soir
Et que mon âme se perd dans d'horribles couloirs
Cherchant la bonne issue, il faut y croire...
Ira-t-elle au mouroir, fin de l'histoire?
Enfermé ici, baignant dans l'illusoire?
Trop souvent carressant ces exécutoires,
Ce ne sont que mauvaises échappatoires.
Un jour... Un soir... Couloirs...Même trajectoire
J'ai eu la chance de te voir...
D'un coup, d'un seul, l'espoir,
Le gris, le blanc remplacent le noir...
J'espère longtemps pouvoir, près de toi m'assoir
Partager toutes nos joies, tous nos déboires,
C'est un de mes plus grand espoir...
S'il m'était donné un absolu pouvoir
Je remplirai ta vie comme le bonheur d'une belle histoire,
Que ce lien qui nous unit ne soit pas transitoire?
Jamais d'adieux, toujours des au revoir...
Comment ferai-je pour te voir?
Moi qui ne parle qu'à mon miroir?
Mais, tiens, doucement vient le soir...
Poursuivre ma métamorphose dans le noir
Vers le blanc, par le gris et l'ivoire....
Quand la vie part comme la clarté du soir
Et que mon âme se perd dans d'horribles couloirs
Cherchant la bonne issue, il faut y croire...
Ira-t-elle au mouroir, fin de l'histoire?
Enfermé ici, baignant dans l'illusoire?
Trop souvent carressant ces exécutoires,
Ce ne sont que mauvaises échappatoires.
Un jour... Un soir... Couloirs...Même trajectoire
J'ai eu la chance de te voir...
D'un coup, d'un seul, l'espoir,
Le gris, le blanc remplacent le noir...
J'espère longtemps pouvoir, près de toi m'assoir
Partager toutes nos joies, tous nos déboires,
C'est un de mes plus grand espoir...
S'il m'était donné un absolu pouvoir
Je remplirai ta vie comme le bonheur d'une belle histoire,
Que ce lien qui nous unit ne soit pas transitoire?
Jamais d'adieux, toujours des au revoir...
Comment ferai-je pour te voir?
Moi qui ne parle qu'à mon miroir?
Mais, tiens, doucement vient le soir...
Poursuivre ma métamorphose dans le noir
Vers le blanc, par le gris et l'ivoire....
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- Inscription : mer. juin 16, 2010 5:37 am
- Localisation : la et la-bas...Roumanie
Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
DERRIÈRE LE CHAMP DE L’IMPOSSIBLE
Tu enracineras la corne
Au cœur de l'incertitude
Pour entendre le futur
Derrière le champ de l’impossible,
Puis tu t’élèveras dans l'Univers
Et
Avec des prières passionnées,
Tu mettras à nu mon âme
Et, entre deux feux,
Tu commenceras ton jeu amoureux.
Trois nuits de suite,
Enterrés sous un tertre d’émotions,
Nous nous étreindrons
Et ne nous quitterons plus.
L'avenir est loin,
L’un l’autre, nous nous reconnaîtrons
Dans le miroir de la vie,
Et nous nous embrasserons
Avec amour
Suspendus entre deux ciels.
DRAPÉE DANS UNE TUNIQUE D’ANGE
Drapée dans une tunique d'ange,
Tu m’as parlé
De beauté cachée,
De ton amour
Qui ne peut être exprimé
Dans les limites du langage.
Couchée dans mon cœur,
Tu me regardes
Et fais sortir,
Une à une,
Les étoiles qui brillent dans mes yeux,
Tandis que tes yeux
Epousent
Ton si beau sourire
Et laissent loin tes larmes maintenant oubliées.
...trouvees sur net:Poésies traduites et adaptées par Athanase Vantchev de Thracy, révision par Marc Galan
Tu enracineras la corne
Au cœur de l'incertitude
Pour entendre le futur
Derrière le champ de l’impossible,
Puis tu t’élèveras dans l'Univers
Et
Avec des prières passionnées,
Tu mettras à nu mon âme
Et, entre deux feux,
Tu commenceras ton jeu amoureux.
Trois nuits de suite,
Enterrés sous un tertre d’émotions,
Nous nous étreindrons
Et ne nous quitterons plus.
L'avenir est loin,
L’un l’autre, nous nous reconnaîtrons
Dans le miroir de la vie,
Et nous nous embrasserons
Avec amour
Suspendus entre deux ciels.
DRAPÉE DANS UNE TUNIQUE D’ANGE
Drapée dans une tunique d'ange,
Tu m’as parlé
De beauté cachée,
De ton amour
Qui ne peut être exprimé
Dans les limites du langage.
Couchée dans mon cœur,
Tu me regardes
Et fais sortir,
Une à une,
Les étoiles qui brillent dans mes yeux,
Tandis que tes yeux
Epousent
Ton si beau sourire
Et laissent loin tes larmes maintenant oubliées.
...trouvees sur net:Poésies traduites et adaptées par Athanase Vantchev de Thracy, révision par Marc Galan
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
....qui s'aiment, se taquinent...parfois