poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
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- Anne Onyme
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Les vrais bonheurs
J'ai toujours pensé que la beauté du monde était destinée à nous faire oublier la brièveté tragique de nos vies...nous ne savons plus voir a quel point notre terre est belle... par exemple en nous livrant en brefs éclairs ces promesses d'éternité qui jaillissent d'un miroitement de feuilles de trembles dans le soleil, d'un tapis de coquelicots ondulant dans le velours des blés, d'une épaule de forêt appuyée contre le bleu du ciel, ou de la danse des flocons de neige papillonnant dans la nuit.
Claude Signol
J'ai toujours pensé que la beauté du monde était destinée à nous faire oublier la brièveté tragique de nos vies...nous ne savons plus voir a quel point notre terre est belle... par exemple en nous livrant en brefs éclairs ces promesses d'éternité qui jaillissent d'un miroitement de feuilles de trembles dans le soleil, d'un tapis de coquelicots ondulant dans le velours des blés, d'une épaule de forêt appuyée contre le bleu du ciel, ou de la danse des flocons de neige papillonnant dans la nuit.
Claude Signol
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Les fleurs du printemps sont les rêves de l'hiver racontés le matin a la table des anges....
K. Gibran
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Je me heurte parfois à une telle incompréhension de la part de
mes contemporains qu’un épouvantable doute m’étreint: suis-je bien de
cette planète ? Et si oui, cela ne prouve-t-il pas qu’eux sont d’ailleurs ?
P. Desproges -Chronique de la haine ordinaire
mes contemporains qu’un épouvantable doute m’étreint: suis-je bien de
cette planète ? Et si oui, cela ne prouve-t-il pas qu’eux sont d’ailleurs ?
P. Desproges -Chronique de la haine ordinaire
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Luka (Luka*)
Je m'appelle Luka
Je vis au second étage
Je vis au-dessus de toi
Oui je pense que tu m'as déjà vu auparavant
Si tu entends quelque chose tard dans la nuit
Un certain désordre un certain combat
Surtout ne me demande pas ce que c'était (x3)
Je pense que c'est parce que je suis maladroit
J'essaye de ne pas parler trop fort
Peut être que c'est parce que je suis fou
J'essaye de ne pas agir trop fièrement
Ils frappent seulement jusqu'à ce que tu pleures
Et ensuite tu ne poses plus de questions
Tu n'essaies simplement plus de discuter (x3)
Oui je pense que ça va aller
Je me suis encore cogné contre la porte
Du moins, si tu demandes c'est ce que je dirai
Et ce ne sont pas tes affaires de toute façon
Je devine que j'aimerais être seul
Sans rien de cassé, rien de jeté
Seulement ne me demande pas comment je me sens (x3)
*Pour cette chanson, Suzanne s'est mise à la place d'un enfant battu.
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
la solitude n'est plus une maladie honteuse
Les dingues et les paumés jouent avec leurs manies
dans leurs chambres blindées leurs fleurs sont carnivores
et quand leurs monstres crient trop près de la sortie
ils accouchent de scorpions et pleurent des mandragores
et leurs aéroports se transforment en bunkers
à quatre heures du matin derrière un téléphone
quand leur voix qui s'appellent se changent en révolvers
et s'invitent à calter en se gueulant come on
Les dingues et les paumés se cherchent sous la pluie
et se font boire le sang de leurs visions perdues
et dans leur yeux-mescal masquant leur nostalgie
ils voient se dérouler la fin d'une inconnue
ils voient des rois-fantômes sur des flippers en ruine
crachant l'amour-folie de leurs nuits-métropoles
ils croient voir venir dieu ils relisent Hölderlin
et retombent dans leurs bras glacés de baby-doll
Les dingues et les paumés se trainent chez les Borgia
suivis d'un viel écho jouant du rock'n roll
puis s'enfoncent comme des rats dans leurs banlieues by night
essayant d'accrocher un regard à leur khôl
et lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé
ils tournent dans un cachot avec la gueule en moins
et sont comme les joueurs courant décapités
ramasser leurs jetons chez les dealers du coin
Les dingues et les paumés s'arrachent leur placenta
et se greffent un pavé à la place du cerveau
puis s'offrent des mygales au bout d'un bazooka
en se faisant danser jusqu'au dernier mambo
ce sont des loups frileux au bras d'une autre mort
piétinant dans la boue les dernières fleurs du mal
ils ont cru s'enivrer des chants de maldoror
et maintenant ils s'écroulent dans leur ombre animale
Les dingues et les paumés sacrifient Don Quichotte
sur l'autel enfumé de leurs fibres nerveuses
puis ils disent à leurs reines en riant du boycott
la solitude n'est plus une maladie honteuse
reprends tes walkyries pour tes vaiseurs maso
mon cheval écorché m'appelle au fond d'un bar
et cet ange qui me gueule viens chez moi mon salaud
m'invite à faire danser l'aiguille de mon radar
Les dingues et les paumés jouent avec leurs manies
dans leurs chambres blindées leurs fleurs sont carnivores
et quand leurs monstres crient trop près de la sortie
ils accouchent de scorpions et pleurent des mandragores
et leurs aéroports se transforment en bunkers
à quatre heures du matin derrière un téléphone
quand leur voix qui s'appellent se changent en révolvers
et s'invitent à calter en se gueulant come on
Les dingues et les paumés se cherchent sous la pluie
et se font boire le sang de leurs visions perdues
et dans leur yeux-mescal masquant leur nostalgie
ils voient se dérouler la fin d'une inconnue
ils voient des rois-fantômes sur des flippers en ruine
crachant l'amour-folie de leurs nuits-métropoles
ils croient voir venir dieu ils relisent Hölderlin
et retombent dans leurs bras glacés de baby-doll
Les dingues et les paumés se trainent chez les Borgia
suivis d'un viel écho jouant du rock'n roll
puis s'enfoncent comme des rats dans leurs banlieues by night
essayant d'accrocher un regard à leur khôl
et lorsque leurs tumbas jouent à guichet fermé
ils tournent dans un cachot avec la gueule en moins
et sont comme les joueurs courant décapités
ramasser leurs jetons chez les dealers du coin
Les dingues et les paumés s'arrachent leur placenta
et se greffent un pavé à la place du cerveau
puis s'offrent des mygales au bout d'un bazooka
en se faisant danser jusqu'au dernier mambo
ce sont des loups frileux au bras d'une autre mort
piétinant dans la boue les dernières fleurs du mal
ils ont cru s'enivrer des chants de maldoror
et maintenant ils s'écroulent dans leur ombre animale
Les dingues et les paumés sacrifient Don Quichotte
sur l'autel enfumé de leurs fibres nerveuses
puis ils disent à leurs reines en riant du boycott
la solitude n'est plus une maladie honteuse
reprends tes walkyries pour tes vaiseurs maso
mon cheval écorché m'appelle au fond d'un bar
et cet ange qui me gueule viens chez moi mon salaud
m'invite à faire danser l'aiguille de mon radar
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Pauvre petite fille sans nourrice,
Arrachée du soleil,
Il pleut toujours sur ta valise
Et t'as mal aux oreilles.
Tu zones toujours entre deux durs,
Entre deux SOS.
Tu veux jouer ton aventure
Mais t'en crèves au réveil...
Tu fais semblant de rien,
Tu craques ta mélanco
De 4 à 5 heures du matin
Au fond des caboulots
Et tu remontes à contrecoeur.
L'escalier de service.
Tu voudrais qu'y ait des ascenseurs
Au fond des précipices.
Oh ! Mais laisse allumé, bébé.
Y a personne au contrôle
Et les dieux du radar sont tous out
Et toussent et se touchent et se poussent
Et se foutent et se broutent.
Oh ! mais laisse allumé, bébé
Y a personne au contrôle
Et les dieux du radar sont tous out
Et toussent et se touchent et se poussent
Et se foutent et se mouchent
Dans la soute à cartouches...
Maintenant du m'offres tes carences.
Tu cherches un préambule,
Quelque chose qui nous foute en transe,
Qui fasse mousser nos bulles
Mais si t'as peur de nos silences,
Reprends ta latitude.
Il est minuit sur ma fréquence
Et j'ai mal aux globules.
Oh ! Mais laisse allumé, bébé.
Y a personne au contrôle
Et les dieux du radar sont tous out
Et toussent et se touchent et se poussent
Et se foutent et se broutent.
Oh ! mais laisse allumé, bébé
Y a personne au contrôle
Et les dieux du radar sont tous out
Et toussent et se touchent et se poussent
Et se foutent et se mouchent
Dans la soute à cartouches...
Liberté
- Anne Onyme
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
JE SUIS FATIGUÉE
Je suis fatiguée de souffrir,
Je suis fatiguée de ne pas pouvoir dormir,
Je suis fatiguée de réfléchir,
Bref, je suis fatiguée de vivre.
Je suis fatiguée de sourire,
Je suis fatiguée d'écrire,
Je suis fatiguée de rire,
Je suis fatiguée de courir.
Je suis fatiguée de patauger dans l'intolérance,
Je suis fatiguée d'attendre la fonte des neiges,
Je suis fatiguée de nager dans une mer de guerre,
Je suis fatiguée de naviguer sur un fleuve de haine,
Je suis fatiguée de traverser des ponts,
Sans voir de baleines.
Je suis fatiguée de voyager,
De courir d'une place à l'autre,
Toujours plus vite, toujours plus loin,
Je suis fatiguer de franchir sans cesse des frontières,
Je suis fatiguée de côtoyer la misère,
Je suis fatiguée de respier l'air vicié des grandes entreprises.
Je suis fatiguée qu'on surveille tout ce que je dis,
Je suis fatiguée qu'on s'inquiète toujours de moi,
Je suis si fatiguée, j'ai le goût de sauter par-dessus la haie.
Je suis fatiguée d'attendre pendant de longues heures dans une file longue comme mon bras,
Je suis fatiguée de toujours me battre pour obtenir ce que je veux.
Je suis fatiguée de perdre chaque jour mes illusions,
Je suis fatiguée de perdre du temps en de futiles précisions,
Je suis fatiguée d'être pauvre,
Je suis fatiguée de la production à outrance, d'une économie qui oublie de partager avec les plus démunis,
Je suis fatiguée d'être pauvre,
De toujours budgéter pour arriver à la fin du mois,
Je suis fatiguée de refouler mes émotions,
Je suis fatiguée d'assécher mes larmes.
Bref je suis fatiguée.
Je ne veux plus qu'oublier,
Je veux être oubliée.
Anonyme
Je suis fatiguée de souffrir,
Je suis fatiguée de ne pas pouvoir dormir,
Je suis fatiguée de réfléchir,
Bref, je suis fatiguée de vivre.
Je suis fatiguée de sourire,
Je suis fatiguée d'écrire,
Je suis fatiguée de rire,
Je suis fatiguée de courir.
Je suis fatiguée de patauger dans l'intolérance,
Je suis fatiguée d'attendre la fonte des neiges,
Je suis fatiguée de nager dans une mer de guerre,
Je suis fatiguée de naviguer sur un fleuve de haine,
Je suis fatiguée de traverser des ponts,
Sans voir de baleines.
Je suis fatiguée de voyager,
De courir d'une place à l'autre,
Toujours plus vite, toujours plus loin,
Je suis fatiguer de franchir sans cesse des frontières,
Je suis fatiguée de côtoyer la misère,
Je suis fatiguée de respier l'air vicié des grandes entreprises.
Je suis fatiguée qu'on surveille tout ce que je dis,
Je suis fatiguée qu'on s'inquiète toujours de moi,
Je suis si fatiguée, j'ai le goût de sauter par-dessus la haie.
Je suis fatiguée d'attendre pendant de longues heures dans une file longue comme mon bras,
Je suis fatiguée de toujours me battre pour obtenir ce que je veux.
Je suis fatiguée de perdre chaque jour mes illusions,
Je suis fatiguée de perdre du temps en de futiles précisions,
Je suis fatiguée d'être pauvre,
Je suis fatiguée de la production à outrance, d'une économie qui oublie de partager avec les plus démunis,
Je suis fatiguée d'être pauvre,
De toujours budgéter pour arriver à la fin du mois,
Je suis fatiguée de refouler mes émotions,
Je suis fatiguée d'assécher mes larmes.
Bref je suis fatiguée.
Je ne veux plus qu'oublier,
Je veux être oubliée.
Anonyme
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
je me lève jour après jour
c'est un jour ordinaire
j'en connais déjà le cours
le poids d'un parcours nécessaire
que je dois faire
parce qu'on n'a jamais le choix
de ses murs de sa terre
qui nous enferment à l'étroit
l'étroit d'une grandeur solitaire
mais pour quoi faire ?
être à la hauteur
de ce qu'on vous demande
ce que les autres attendent
surmonter sa peur
d'être à la hauteur
du commun des mortels
pour chaque jour répondre à l'appel
et avoir à cœur
d'être à la hauteur
c'est un devoir quotidien
un costume qu'il faut mettre
pour un rôle qui mène à rien
mais faut-il vraiment s'y soumettre
jusqu'à la fin
pour être à la hauteur
de ce qu'on vous demande
ce que les autres attendent
et surmonter sa peur
d'être à la hauteur
du commun des mortels
pour chaque jour répondre à l'appel
et avoir à coeur
d'être à la hauteur
d'être à la hauteur
être à la hauteur
sans jamais en descendre
et ne pas se défendre
de vouloir en vainqueur
être à la hauteur
autrement que mortel
enfin ne plus répondre à l'appel
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur
à la hauteur
à la hauteur
être à la hauteur
autrement que mortel
enfin ne plus répondre à l'appel
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur
à la hauteur
ne plus avoir peur
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur...
c'est un jour ordinaire
j'en connais déjà le cours
le poids d'un parcours nécessaire
que je dois faire
parce qu'on n'a jamais le choix
de ses murs de sa terre
qui nous enferment à l'étroit
l'étroit d'une grandeur solitaire
mais pour quoi faire ?
être à la hauteur
de ce qu'on vous demande
ce que les autres attendent
surmonter sa peur
d'être à la hauteur
du commun des mortels
pour chaque jour répondre à l'appel
et avoir à cœur
d'être à la hauteur
c'est un devoir quotidien
un costume qu'il faut mettre
pour un rôle qui mène à rien
mais faut-il vraiment s'y soumettre
jusqu'à la fin
pour être à la hauteur
de ce qu'on vous demande
ce que les autres attendent
et surmonter sa peur
d'être à la hauteur
du commun des mortels
pour chaque jour répondre à l'appel
et avoir à coeur
d'être à la hauteur
d'être à la hauteur
être à la hauteur
sans jamais en descendre
et ne pas se défendre
de vouloir en vainqueur
être à la hauteur
autrement que mortel
enfin ne plus répondre à l'appel
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur
à la hauteur
à la hauteur
être à la hauteur
autrement que mortel
enfin ne plus répondre à l'appel
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur
à la hauteur
ne plus avoir peur
ne plus avoir peur
d'être à la hauteur...
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
La vie est une chance, saisis la.
La vie est beauté, admire la.
La vie est béatitude, savoure la.
La vie est un rêve, fais en une réalité.
La vie est un défi, fais lui face.
La vie est un devoir, accomplis le.
La vie est un jeu, joue le.
La vie est précieuse, prends en soin.
La vie est une richesse, conserve la.
La vie est amour, jouis en.
La vie est mystère, perce le.
La vie est promesse, remplis la.
La vie est tristesse, surmonte la.
La vie est un hymne, chante le.
La vie est un combat, accepte le.
La vie est une tragédie, prends la à bras le corps.
La vie est une aventure, ose la.
La vie est bonheur, mérite le.
La vie est la vie, défends la.
M. Térésa
La vie est beauté, admire la.
La vie est béatitude, savoure la.
La vie est un rêve, fais en une réalité.
La vie est un défi, fais lui face.
La vie est un devoir, accomplis le.
La vie est un jeu, joue le.
La vie est précieuse, prends en soin.
La vie est une richesse, conserve la.
La vie est amour, jouis en.
La vie est mystère, perce le.
La vie est promesse, remplis la.
La vie est tristesse, surmonte la.
La vie est un hymne, chante le.
La vie est un combat, accepte le.
La vie est une tragédie, prends la à bras le corps.
La vie est une aventure, ose la.
La vie est bonheur, mérite le.
La vie est la vie, défends la.
M. Térésa
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
....qui s'aiment, se taquinent...parfois
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Le temps des vivants
Que finisse le temps des victimes
passe passe le temps des abîmes
il faut surtout pour faire un mort
du sang des nerfs et quelques os
Que finisse le temps des taudis
passe passe le temps des maudits
il faut du temps pour faire l’amour
et de l’argent pour les amants
Vienne vienne le temps des vivants
le vrai visage de notre histoire
vienne vienne le temps des victoires
et du soleil dans les mémoires
Ce vent qui passe dans nos espaces
c’est le grand vent d’un long désir
qui ne veut vraiment pas mourir
avant d’avoir vu l’avenir
Que finisse le temps des perdants
passe passe le temps inquiétant
un feu de vie chante en nos coeurs
qui brûlera tous nos malheurs
Que finisse le temps des mystères
passe passe le temps des misères
les éclairs blancs de nos amours
éclateront au flanc du jour
Vienne vienne le temps des passions
la liberté qu’on imagine
vienne vienne le temps du délire
et des artères qui chavirent
Un sang nouveau se lève en nous
qui réunit les vieux murmures
il faut pour faire un rêve aussi
un coeur un corps et un pays
Que finisse le temps des prisons
passe passe le temps des barreaux
que finisse le temps des esclaves
passe passe le temps des bourreaux
Je préfère l’indépendance
à la prudence de leur troupeau
c’est fini le temps des malchances
NOTRE ESPOIR EST UN OISEAU.
Gilbert Langevin
Que finisse le temps des victimes
passe passe le temps des abîmes
il faut surtout pour faire un mort
du sang des nerfs et quelques os
Que finisse le temps des taudis
passe passe le temps des maudits
il faut du temps pour faire l’amour
et de l’argent pour les amants
Vienne vienne le temps des vivants
le vrai visage de notre histoire
vienne vienne le temps des victoires
et du soleil dans les mémoires
Ce vent qui passe dans nos espaces
c’est le grand vent d’un long désir
qui ne veut vraiment pas mourir
avant d’avoir vu l’avenir
Que finisse le temps des perdants
passe passe le temps inquiétant
un feu de vie chante en nos coeurs
qui brûlera tous nos malheurs
Que finisse le temps des mystères
passe passe le temps des misères
les éclairs blancs de nos amours
éclateront au flanc du jour
Vienne vienne le temps des passions
la liberté qu’on imagine
vienne vienne le temps du délire
et des artères qui chavirent
Un sang nouveau se lève en nous
qui réunit les vieux murmures
il faut pour faire un rêve aussi
un coeur un corps et un pays
Que finisse le temps des prisons
passe passe le temps des barreaux
que finisse le temps des esclaves
passe passe le temps des bourreaux
Je préfère l’indépendance
à la prudence de leur troupeau
c’est fini le temps des malchances
NOTRE ESPOIR EST UN OISEAU.
Gilbert Langevin
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....qui s'aiment, se taquinent...parfois
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Châteaux en Espagne-Émile Nelligan
Je rêve de marcher comme un conquistador,
Haussant mon labarum triomphal de victoire,
Plein de fierté farouche et de valeur notoire,
Vers des assauts de ville aux tours de bronze et d'or.
Comme un royal oiseau, vautour, aigle ou condor,
Je rêve de planer au divin territoire,
De brûler au soleil mes deux ailes de gloire
À vouloir dérober le céleste Trésor.
Je ne suis hospodar, ni grand oiseau de proie ;
À peine si je puis dans mon coeur qui guerroie
Soutenir le combat des vieux Anges impurs ;
Et mes rêves altiers fondent comme des cierges
Devant cette Ilion éternelle aux cent murs,
La ville de l'Amour imprenable des Vierges !
Je rêve de marcher comme un conquistador,
Haussant mon labarum triomphal de victoire,
Plein de fierté farouche et de valeur notoire,
Vers des assauts de ville aux tours de bronze et d'or.
Comme un royal oiseau, vautour, aigle ou condor,
Je rêve de planer au divin territoire,
De brûler au soleil mes deux ailes de gloire
À vouloir dérober le céleste Trésor.
Je ne suis hospodar, ni grand oiseau de proie ;
À peine si je puis dans mon coeur qui guerroie
Soutenir le combat des vieux Anges impurs ;
Et mes rêves altiers fondent comme des cierges
Devant cette Ilion éternelle aux cent murs,
La ville de l'Amour imprenable des Vierges !
la douceur est la plenitude de la force-Alphonse Gratry
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- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
comme l'amour est beau dans son écrin de jade
aux parements de velours orné de ton doux coeur
j'y ai perdu mon âme à chercher ton chemin
mes yeux se sont usés dans tes lumières d'ambre
Au jour de mon grand voyage vers les mers d'éternités
j'emporterai ton nom comme une écharpe usée
de temps de jours passé à réchauffer mon âme
et mon esprit léger livrera ses secrets pour ton coeur de colombe
J'emporterai les parfums de ta peau délicate
de tes larmes d'espoir, je ferai un collier
de ton corps si parfait je toucherai les courbes
pour garder pres de moi ce souvenir de toi
aux parements de velours orné de ton doux coeur
j'y ai perdu mon âme à chercher ton chemin
mes yeux se sont usés dans tes lumières d'ambre
Au jour de mon grand voyage vers les mers d'éternités
j'emporterai ton nom comme une écharpe usée
de temps de jours passé à réchauffer mon âme
et mon esprit léger livrera ses secrets pour ton coeur de colombe
J'emporterai les parfums de ta peau délicate
de tes larmes d'espoir, je ferai un collier
de ton corps si parfait je toucherai les courbes
pour garder pres de moi ce souvenir de toi
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
- saintluc
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Re: poesies connues ou moins ...mais que vous aimez
Pina colada
Parfums
Incomparable
Nuage enivrant
Ananas
Coco
Oseras-tu
Libérer tes
Aromes épicés
Dans ma bouche
Au sommet l'extase....
Parfums
Incomparable
Nuage enivrant
Ananas
Coco
Oseras-tu
Libérer tes
Aromes épicés
Dans ma bouche
Au sommet l'extase....
Il n'y a d'homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé,
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine
qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie.
Alphonse de Lamartine